Grosse queue veineuse

Grosse queue veineuse




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»

































Grosse queue veineuse

Rechercher



Recherche pour :


Recherche


C’était un soir de dĂ©cembre. Je n’avais rien prĂ©vu et j’étais en train de me prĂ©parer Ă  manger tranquillement. La sonnette retentit, je n’attendais personne pour le coup. Je regarde par le judas et voit un pompier, en tenue qui attend devant ma porte. J’ouvre et il me dit que c’est pour le calendrier de fin d’annĂ©e. J’ai toujours donnĂ© pour les pompiers et ça n’allait pas changer cette annĂ©e.
La porte s’est ouverte sur un daddy, la petite quarantaine, une barbe bien taillĂ©e, des yeux d’un bleu intense et un sourire magnifique.
« Enfin quelqu’un qui m’ouvre dans votre immeuble » dit le pompier.
« Mes voisins sont des vieux cons pour la plupart » lui dis-je. Ça l’a fait rire. « Entrez, vous voulez boire une biĂšre ? »
« Avec grand plaisir, c’est gentil Ă  vous. » me rĂ©pond-t-il.
Il est entrĂ© chez moi et j’ai pu dĂ©tailler son anatomie davantage. Ses chaussures de pompier, genre de bottines Ă  lacets, Ă©taient luisantes. On devinait une sacrĂ©e bosse Ă  l’intĂ©rieur de son pantalon et des poils noirs dĂ©passaient de son polo siglĂ© « Sapeurs-Pompiers ». Il n’était pas trĂšs grand et un peu trapu. Je lui ai proposĂ© de s’assoir Ă  table, il a sorti un tas de calendriers et je suis allĂ© chercher deux biĂšres et un ouvre-bouteille. Il a dĂ©taillĂ© mon appartement des yeux, il ne devait avoir plus aucun doute quant Ă  ma sexualitĂ©.
Je suis allĂ© chercher un billet de vingt balles dans mon portefeuille et je lui ai tendu. Il m’a donnĂ© en Ă©change le calendrier tout en notant mon nom ainsi que la somme donnĂ©e. Il m’a remerciĂ©, et pour les thunes et pour la biĂšre. J’ai pu remarquer, avec amertume, son alliance.
En prenant le calendrier, j’ai remarquĂ© que les pompiers de Nancy avaient innover cette annĂ©e. Plusieurs photos montraient des jeunes (et moins jeunes) pompiers dĂ©nudĂ©s, un peu dans l’esprit des Dieux du Stade. J’ai vu, au moins de juin, le pompier en face de moi torse nu, tenant une grosse lance Ă  incendie dans ses bras. Ces derniers ont l’ai bien dĂ©veloppĂ© et la toison noire qui recouvre son torse semble hyper confortable. Il a dĂ» voir mes yeux dĂ©tailler son corps.
« On a innovĂ© un peu cette annĂ©e. Ça semble vous plaire » me dit-il en finissant sa biĂšre. Je n’ai pas le temps de rĂ©pondre, je n’en ai d’ailleurs pas besoin. Cet Ă©change de regard avec le beau pompier a trĂšs amplement suffit.
Il se lĂšve, je me lĂšve Ă©galement pour le raccompagner. J’ai un dĂ©but de gaule et vu la bosse Ă©norme qu’il peine Ă  cacher dans son pantalon, lui aussi. En passant la porte, je lui lĂąche :
« Vous repassez quand vous le souhaitez. »
« Je repasserai Ă  vingt-trois heures tapantes » me dit-il en se retournant pour aller prendre l’ascenseur au bout du couloir. J’ai ri, pensant tout simplement Ă  de l’humour. J’ai terminĂ© de prĂ©parer mon repas, j’ai mangĂ© et je me suis posĂ©. À tout hasard, je me suis fait un lavement bien profond avant de me poser sur le canapĂ© pour mater une Ă©niĂšme daube Ă  la TV. À 23 heures tapantes, j’entends toquer Ă  la porte.
Les frissons ont parcouru mon corps tout entier, je me suis levĂ© avec prĂ©cipitation et me suis ruĂ© sur la porte d’entrĂ©e fermĂ©e Ă  clĂ©. J’ai ouvert et le beau pompier Ă©tait dans la mĂȘme tenue que tout Ă  l’heure mais sa braguette Ă©tait grande ouverte et laissait dĂ©passer une queue absolument Ă©norme.
« C’est ici l’incendie Ă  Ă©teindre ? » me dit-il. Nous avons tous les deux ri. Je l’ai fait entrer dans mon appartement et l’ai installĂ© contre un mur. Je me suis alors mis Ă  genoux pour prendre en bouche cette merveille de la nature qui pendait entre ses cuisses. Je l’ai pompĂ© jusqu’à ce qu’il se raidisse complĂštement, sa queue faisait vingt-cinq centimĂštres et c’était un vrai bonheur Ă  pomper. Au bout d’un bon moment de pompe, je me suis levĂ© pour me dĂ©shabiller et laisser juste mon jock-strap. J’avais dĂ©jĂ  bien bavĂ© sur sa queue et lui avait offert les gorges les plus profondes possibles.
Il m’a demandĂ© de le mettre nu Ă©galement. Je me suis donc remis Ă  genoux devant lui pour lui retirer les pompes que j’avais trouvĂ© belles tout Ă  l’heure, j’ai dĂ©lacĂ© et lui ai aussi retirĂ© ses chaussettes de sport qui avaient bien macĂ©rĂ©es dans ses chaussures toute la journĂ©e. J’ai desserrĂ© son bouton de pantalon et ai fait glisser son pantalon et son boxer. Je me suis levĂ© pour retrier son t-shirt et dĂ©couvrir un torse musclĂ© et vraiment poilu. Je me suis approchĂ© de ses aisselles pour les renifler : ni parfum, ni dĂ©o n’étaient prĂ©sents : une pure merveille pour les narines. Je me suis bien shootĂ© Ă  ses aisselles daubantes.
« Tu veux la prendre dans le cul ? » me dit-il.
« Si tu me prĂ©pares et que tu y vas doucement, on peut tenter. Je vais aller chercher le poppers et du gel » lui dis-je en m’exĂ©cutant.
A mon retour, il s’était installĂ© sur le canapĂ©, sa queue toujours tendue et je me suis remis Ă  le pomper comme un bon soumis. Je n’ai jamais rĂ©ussi Ă  la gober tout entiĂšre. Il m’a ensuite fait me lever pour plonger son visage entre mes fesses. Il m’a alors dĂ©vorĂ© le boule, comme rarement un mec me l’avait fait. Il faisait ça vraiment tellement bien que je me penchais au maximum pour le laisser exercer sa tĂąche avec le plus grand brio.
Une fois terminĂ©, il m’a balancĂ© une claque sur la fesse gauche et m’a dit : « AllĂ©, Ă  la casserole. ». Je me suis donc allongĂ© sur le canapĂ© lui laissant offert mon cul bien bouffĂ© et donc bien ouvert. J’ai pris quelques bouffĂ©es de poppers alors qu’il aspergeait la plus grosse queue que je n’avais jamais prise avec du gel. Il a tartinĂ© mon trou bien ouvert de gel Ă©galement, me glissant un doigt puis deux, l’air de rien. Ça rentrait comme dans du beurre. Il s’est alors installĂ© au-dessus de moi et a positionnĂ© son Ă©norme teub Ă  l’entrĂ©e de mon trou. Il a poussĂ©, lentement mais sĂ»rement jusqu’à son gros gland rentre en moi. A partir de cet instant, je ne me rappelle plus grand-chose si ce n’est le bonheur de se faire mettre.
Le pompier m’a dĂ©foncĂ© avec son Ă©norme lance comme rarement je l’avais Ă©tĂ©. Il tenait mes hanches si bien que j’étais presque Ă  quatre pattes Ă  hurler sous ses coups de rein puissants. Sa queue coulissait dans mon cul et la sueur gouttait sur mon dos, le pompier transpirait Ă  fond pendant qu’il me dĂ©fonçait. La gueule dans le canapĂ©, je lui ai demandĂ© si on pouvait changer de position, il s’est alors retirĂ© d’un coup de mon cul et j’y ai senti comme un courant d’air.
Je me suis alors mis sur le dos afin de recevoir sa grosse teub et pouvoir le voir en mĂȘme temps. A aucun moment il a tentĂ© de m’embrasser ou d’avoir des gestes doux. Je savais que je baisais avec un hĂ©tĂ©ro, sĂ»rement pĂšre de famille et que je ne devais pas en chercher plus. Il fallait profiter de l’instant et avec son Ă©norme queue entre les cuisses, je ne pouvais en profiter encore davantage.
Je pouvais donc l’observer se dĂ©mener Ă  me casser littĂ©ralement le fion avec des va-et-vient incessants et profonds, j’hurlais de plaisir tandis que ses rĂąles se faisaient de plus en plus haletants. Il s’est alors retirĂ© de mon cul, je me suis mis Ă  genoux pour prendre une superbe faciale. Son jus blanc est sorti par jets de son Ă©norme queue et m’a bien recouvert la gueule. Je m’en lĂ©chais les babines alors qu’il reprenait ses esprits.
Une deuxiĂšme biĂšre s’est imposĂ©e avant son dĂ©part. De mon cĂŽtĂ©, j’ai laissĂ© le jus sur ma gueule alors que je discutais briĂšvement avec lui. MĂȘme si Ă  son dĂ©part, il m’a dit « A l’annĂ©e prochaine peut-ĂȘtre », je ne l’ai jamais revu. Mais quel souvenir impĂ©rissable il m’a laissĂ© ce pompier avec son Ă©norme bite.
JĂ©rĂŽme est devenu, en plus, de mon esclave sexuel, une source de revenus bienvenue dans ma vie d’étudiant. On avait convenu d’une rendez-vous hebdomadaire oĂč je lui piquais du fric, cinquante balles au minimum Ă  chaque fois. En gĂ©nĂ©ral, je passais le jeudi en fin d’aprĂšs-midi pour pouvoir bien picoler avec mes potes pour les soirĂ©es Ă©tudiantes avec le fric de mon prof. Et on se voyait au moins une fois par semaine pour que je le soumette de maniĂšre complĂšte.
La premiĂšre fois que j’ai enculĂ© JĂ©rĂŽme fut mĂ©morable. Nos rapports Ă©taient assez similaires au dĂ©but en tout cas. J’arrivais, je le frappais, les fesses ou les couilles, parfois mĂȘme les deux et je me faisais pomper et bouffer le cul. Je lui jutais des tonnes de jus Ă  la gueule et je partais. Et une fois, il m’avait parlĂ© du fait, qu’il aimerait tester de prendre ma grosse queue dans son cul. Le soir en question, je lui ai bien faire rougir les fesses et puis je lui ai demandĂ© de s’allonger sur le ventre Ă  terre. J’ai pris ses fesses dans les mains et je lui ai offert un bouffage de cul bien en profondeur. Je l’ai rendu bien humide et surtout bien ouvert. J’ai glissĂ© un doigt, puis deux qui ont fini ensuite dans sa bouche Ă©videmment.
Et puis, aprĂšs lui avoir demandĂ© s’il Ă©tait prĂȘt, j’ai mollardĂ© dans ma main, j’ai recouvert ma grosse bite de mollards bien gras. J’ai Ă©talĂ©. Et je me suis installĂ© au niveau de son cul et je lui ai enfilĂ© ma queue progressivement. Il hurlait comme un damnĂ© au contact de cette grosse masse qui lui rentrait dans le fion. De mon cĂŽtĂ©, j’étais tellement raide que rien n’aurait pu m’arrĂȘter. Alors, j’ai poursuivi mon chemin dans le fondement de mon prof. Et une fois au fond de lui, je lui ai demandĂ© s’il m’aimait. Il m’a rĂ©pondu que oui. Et je l’ai sodomisĂ© comme un malade. Je voulais lui coller des tonnes de spermatozoĂŻdes au fond de son cul. Je l’ai brutalisĂ©, ses fesses Ă©taient encore rouges de mes assauts et j’allais rendre son fion inaccessible pour quelques jours.
J’ai accĂ©lĂ©rĂ© le rythme mais je suis trĂšs endurant et il le savait. Il couinait comme un fou. Je l’ai fait prendre ma position prĂ©fĂ©rĂ©e : la levrette, la plus humiliante Ă  bien des Ă©gards. Une fois installĂ© confortablement, je lui ai dit de bien poser sa gueule au sol, j’ai retirĂ© ma chaussette de sport et je lui ai collĂ© mon panard pointure 51 sur la gueule. A mon grand Ă©tonnement il s’est mis Ă  le sniffer et Ă  le lĂ©cher. Je n’avais encore jamais pensĂ© Ă  lui faire lĂ©cher mes panards. Pourtant, JĂ©rĂŽme a l’air de beaucoup aimĂ© cela. Je me suis fini dans son cul en lĂąchant des tonnes de foutre dans un rĂąle de plaisir venu du plus profond de mon ĂȘtre. Cette dĂ©charge a fait Ă©galement juter JĂ©rĂŽme qui en a foutu plein le parquet. Je lui suis alors tombĂ© sur lui, mon grand corps recouvrant le petit corps de JĂ©rĂŽme, ma grosse queue toujours plantĂ©e en lui.
« Ne bouge surtout pas » lui assenais-je. Il ne se doutait pas de ce qui allait arriver mais j’ai vidĂ© ma vessie dans son cul. Quand il a compris, il Ă©tait encore tout excitĂ©. J’avais bu pas mal de biĂšres avant de venir chez lui et la quantitĂ© de pisse devait bien ĂȘtre d’au moins un litre. Et je me suis retirĂ© de son cul. Ce dernier Ă©tait bien bĂ©ant aprĂšs le passage de ma grosse bite. J’ai pris ma chaussette et je lui ai fourrĂ©e dans le cul, histoire de le rendre hermĂ©tique. Je me suis rassis sur son matelas et lui ai demandĂ© de venir s’assoir devant moi. Il s’est relevĂ©, avec grande difficultĂ©, et s’est assis comme demandĂ©. J’ai pris son visage et je l’ai embrassĂ©. Je lui ai demandĂ© de dĂ©crasser mon bitos qui Ă©tait bien pendant et luisant aprĂšs mon passage dans son cul. Je lui ai frapper Ă  nouveau les couilles avant mon pied gauche et lui ai laissĂ© mon autre chaussette, histoire qu’il me lave la paire. Je suis reparti chez moi ce soir-lĂ  avec un air satisfait. Je l’avais humiliĂ© comme rarement.
Il m’a avouĂ© quelques jours aprĂšs que jamais on ne lui avait fait subir de telles humiliations mais qu’il avait adorĂ© le fait de se prendre mon jus et ma pisse dans le cul. Il avait surtout beaucoup aimĂ© devoir recracher toute cette pisse dans les chiottes, comme une bonne femelle soumise. Il m’a d’ailleurs avouĂ© qu’il aimerait beaucoup avaler ma pisse, mĂȘme conservĂ©e.
DĂšs lors, avant nos rendez-vous, je lui rĂ©servais deux bouteilles de ma pisse. J’arrivais parfois avec deux litres de pisse que je faisais boire Ă  JĂ©rĂŽme, il se faisait Ă  cette idĂ©e de devoir avaler ma pisse, mĂȘme conservĂ©e. Ce que je ne lui ai jamais avouĂ©, c’est qu’à plusieurs reprises, la pisse appartenait Ă  mon coloc. Je lui avais expliquĂ© la situation et je trouvais ça excitant que JĂ©rĂŽme avale la pisse de plusieurs de ses Ă©tudiants. Je n’avais pas racontĂ© Ă  mon coloc qui Ă©tait mon soumis mais que j’en avais un. Et que c’était une sacrĂ©e larve.
Pour mon anniversaire, il m’a proposĂ© de m’inviter au restaurant, je ne pouvais pas refuser cette gentille attention. Mais je lui ai dit que je ne mĂ©ritais pas un vulgaire fast-food ou restaurants bas-de-gamme. « Toi, tu mĂ©rites une Ă©toile au moins » m’a-t-il dit. C’est donc ainsi que je me suis retrouvĂ© dans un restaurant Ă©toilĂ©, que JĂ©rĂŽme semblait frĂ©quenter de temps Ă  autres Ă©tant donnĂ© qu’il y connait plusieurs serveurs. De mon cĂŽtĂ©, je faisais le fier mais jamais de ma vie je n’avais mis les pieds dans ce type de restaurant. Le parc Ă©tait magnifique, il faisait bon sur cette terrasse et j’ai bien humiliĂ© JĂ©rĂŽme en commandant du champagne et du vin hors de prix ce soir-lĂ . Il m’avait dit que je le mĂ©ritais.
En rentrant chez lui ce soir-lĂ , je devais le remercier. Il a dĂ©jĂ  bu toute ma pisse composĂ©e de dizaines d’euros qu’il avait dĂ©pensĂ© en alcool pour moi le soir-mĂȘme. Et puis j’ai Ă©tĂ© davantage doux avec lui, je lui ai fait l’amour avec passion mais aussi avec hargne. Mes coups de butoir Ă©taient tellement puissants dans son cul que cela l’a fait jouir trĂšs rapidement. Mais je me suis Ă©videmment fini, et JĂ©rĂŽme n’en eĂ»t pas voulu autrement. Je me rappelle de ce vingtiĂšme anniversaire comme si c’était hier.
Durant cette annĂ©e scolaire, j’ai fait subir Ă  JĂ©rĂŽme des choses totalement folles. Je dois mettre en avant ce cours de janvier oĂč j’avais demandĂ© Ă  JĂ©rĂŽme de porter un plug tĂ©lĂ©commandĂ© dans le cul. Du fond de la salle, j’avais la tĂ©lĂ©commande en main et je jouais Ă  changer des programmes durant son cours. Des sursauts se faisaient sentir en lui, des hĂ©sitations dans le voix se faisaient entendre et surtout une humiliation totale pour lui qui se faisait dĂ©monter le fion Ă  distance par l’un de ces Ă©tudiants au fond de la classe et ce, en plein cours. J’ai pris un pied monstrueux Ă  lui imposer cela mais il m’a dit, Ă  la suite de cette sĂ©ance, que nous avions atteint la limite Ă  ne pas franchir pour ne pas dĂ©border sur sa vie professionnelle. J’ai acquiescĂ© et j’ai compris son point de vue.
Ce qui m’excitait, dĂšs lors, davantage, Ă©tait de lui faire porter des sous-vĂȘtements de style jockstraps ou string sous ses jeans durant ses cours. Lui, comme moi, trouvions cela trĂšs kiffant. Il a Ă©tĂ© mon prof durant toute cette deuxiĂšme annĂ©e. J’ai eu une trĂšs belle moyenne dans son module aux partiels, mais ce n’était pas dĂ» au fait qu’il se prenait ma queue partout chez lui, c’était, je voulais le croire, dĂ» au fait que j’ai progressĂ© avec ce bon prof qu’était JĂ©rĂŽme.
Au-delĂ  de notre relation, je reconnais que c’était quelqu’un qui se donnait complĂštement Ă  son travail. Mais il m’a avouĂ© assez tĂŽt qu’il ne resterait pas Ă  Nancy l’annĂ©e suivante Ă©tant donnĂ© qu’il voulait partir en Allemagne afin d’y dĂ©couvrir une autre culture, se ressourcer et peut-ĂȘtre Ă©crire des livres.
La derniĂšre fois que j’ai vu JĂ©rĂŽme, c’était en juin. On est allĂ© boire un verre en ville, je lui ai fait retirer du fric et nous sommes allĂ© chez moi. Mon coloc Ă©tait dĂ©jĂ  parti en vacances et j’avais l’appartement pour moi tout seul. C’était la premiĂšre fois qu’il voyait mon appartement et donc ma chambre oĂč de nombreux livres recouvraient les Ă©tagĂšres, un nombre beaucoup plus limitĂ© que chez lui certes. Il y avait aussi nombre de carnets griffonnĂ©s, avec des Ă©bauches de scĂ©narii, des dĂ©buts de romans. Je ne lui ai pas fait lire. Mais je lui ai jurĂ© que si un jour, je deviens quelqu’un, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour le retrouver. Et peut-ĂȘtre mĂȘme continuer ce que l’on a dĂ©buter cette annĂ©e.
Je l’ai pris dans mes bras et je l’ai soumis une derniĂšre fois. Tout y est passĂ©. Je lui ai fait lĂ©cher toutes les parties de mon corps : j’avais pris soin de ne pas approcher la douche depuis presque trois jours et JĂ©rĂŽme s’est donnĂ© un malin plaisir Ă  dĂ©crasser mon grand corps : mes grands panards puants, mes aisselles poilues et daubantes, mon torse, mes cuisses. Et Ă©videmment, il a dĂ©crassĂ© mon fion en profondeur en y lĂąchant, comme toujours, des rĂąles de pucelle. Et il a terminĂ© par ma grosse bite pleine de fromage daubant dont il s’est fait plaisir de la prendre en gorge profonde. Il avait largement progressĂ© cette annĂ©e. Comme moi dans son cours. Nous sommes, tous deux, de bons professeurs. Dans des matiĂšres bien diffĂ©rentes.
Et forcĂ©ment, je lui ai demandĂ© son cul. Je lui ai bouffĂ©, j’ai pris le lubrifiant dans mon tiroir, je m’en suis aspergĂ© la queue et je l’ai dĂ©foncĂ© comme rarement je l’avais dĂ©foncĂ©. Ses cris Ă©taient tellement forts et mes rĂąles tellement puissants. La sueur coulait le long de mon torse et l’odeur que je dĂ©gageais me montait aux narines et m’excitait encore davantage. Je faisais claquer son cul alors que ma queue lui dĂ©montait littĂ©ralement l’anus. Je me suis arrĂȘtĂ©, je suis sorti de son cul pour lui faire lĂ©cher ma queue luisante. Il l’a bouffĂ©e comme un malade. Je me suis assis sur son visage et je lui ai frappĂ© les couilles, peut-ĂȘtre de la maniĂšre la plus violente que je ne l’avais jamais fait. Au bout d’une petite centaine de coups, et sans se toucher, il a jutĂ© des litres de foutre qui sont mĂȘme venus arroser ma queue en pleine Ă©rection. J’ai rĂ©cupĂ©rĂ© le prĂ©cieux nectar et j’en ai enduit ma queue.
Je me suis alors positionnĂ© devant lui, il Ă©tait toujours allongĂ© sur le dos. J’ai levĂ© ses jambes et j’ai remis ma queue bien au chaud dans son cul. Je l’ai Ă  nouveau dĂ©foncĂ© et ce pour la derniĂšre fois. J’ai pris mon temps, si bien qu’il s’est mis Ă  bander Ă  nouveau et Ă  se branler. Je traitais JĂ©rĂŽme comme un sac Ă  foutre que j’allais remplir rapidement du mien. La sĂšve a montĂ© et je me suis retirĂ© de son cul pour lui offrir une faciale. Je l’ai recouvert de mon jus chaud et gluant et il a joui une deuxiĂšme fois alors qu’il avait sa langue coincĂ©e entre mon prĂ©puce et mon gland turgescent. Je me suis assis Ă  terre pour reprendre mes esprits. JĂ©rĂŽme avait pris mon pied droit pour le lĂ©cher.
Il en voulait encore. Et je me suis alors saisi d’un gros gode dans mon tiroir pour lui dĂ©foncer son cul encore largement ouvert par le passage de ma queue. J’ai fait des va-et-vient tout en frappant ses couilles. Il a jutĂ© aprĂšs quelques minutes de ce traitement quelques gouttes de sperme. Il Ă©tait luisant de sueur et de sperme et Ă©tait dĂ©sormais rassasiĂ©.
Cette nuit, nous avons dormi ensemble. Et au matin, Ă  mon rĂ©veil, JĂ©rĂŽme Ă©tait parti. Je ne l’ai plus jamais revu. Mon dernier roman, je lui ai dĂ©diĂ©. Il a Ă©tĂ© important dans ma vie et il ne passe pas une journĂ©e oĂč je ne pense pas Ă  lui. Si jamais il se reconnait dans cet Ă©crit

Le lendemain matin, je l’ai attendu devant chez lui avec des croissants. J’avais besoin de lui parler et de revenir sur ce qui s’était passĂ© la veille. Il devait comprendre que si j’avais mis la main sur lui, ce n’était pas pour la lĂącher de sitĂŽt. Il a Ă©tĂ© trĂšs surpris de me voir devant son immeuble mais nous avons fait la route, les dix minutes sĂ©parant son appartement de la fac, ensemble. Je lui ai parlĂ© de mes kinks, de ce que j’attendais d’un soumis, malgrĂ© sa petite queue, je voyais qu’une belle bosse rĂ©gnait dans son boxer. Il Ă©tait excitĂ© et a Ă©tĂ© capable de dire oui Ă  tout ce que je lui proposais. J’ai peu de tabous, si ce n’est le sang et la merde. Je suis, en revanche, trĂšs portĂ© sur la violence physique et mentale ainsi que les humiliations.
« TrĂšs bien, lors de ton cours demain. Je vais compter combien de fois tu dis le mot « & » et chacun de ces mots te fera mĂ©riter une fessĂ©e le soir-mĂȘme chez toi. » lui ai-je dit.
« Tu n’oseras jamais ! Et puis tu sais, je n’ai pas la peau qui marque facilement alors si ton souhait est de me marquer, tu n’
Technique Cunnilingus
Jentina Small
Porno Full Hd

Report Page