Grosse orgie dans la salle des profs

Grosse orgie dans la salle des profs




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Grosse orgie dans la salle des profs

1.février.2015 1.2.2015 // Les Crises

purefrancophone // 01.02.2015 Ă  00h23


purefrancophone // 01.02.2015 Ă  17h08


le Prolo du Biolo // 03.02.2015 Ă  15h52


Carabistouille // 01.02.2015 Ă  20h11


Homùre d’Allore // 01.02.2015 à 20h41


JEAN DOREMIEUX // 01.02.2015 Ă  09h31


JEAN DOREMIEUX // 02.02.2015 Ă  03h52


JEAN DOREMIEUX // 02.02.2015 Ă  13h37


fendu du chichoule // 01.02.2015 Ă  09h52


Homùre d’Allore // 01.02.2015 à 11h46


Demoralisateur // 01.02.2015 Ă  12h27


JEAN DOREMIEUX // 02.02.2015 Ă  13h41


Homùre d’Allore // 02.02.2015 à 19h01


Homùre d’Allore // 04.02.2015 à 09h57


31 janvier 2015 31.Jan.2015 // Les Crises


31 janvier 2015
31.Jan.2015


31 janvier 2015 31.Jan.2015 // Les Crises


31 janvier 2015
31.Jan.2015


31 janvier 2015 31.Jan.2015 // Les Crises


31 janvier 2015
31.Jan.2015

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NON !!!!!! On ne va pas parler longuement de cette histoire ridicule de fresque. C’est plus l’analyse qui en est intĂ©ressante.
Je rappelle en 2 mots le contexte cependant : dans cette salle de garde (non ouverte au public) figurait depuis 15 ans une fresque orgiaque – comme souvent. Des mĂ©decins farceurs avaient collĂ© quelques feuilles pour faire des sortes de bulles, pour se moquer de Marisol Touraine et de sa rĂ©forme.
Au vu du buzz, la fresque a été effacée.
Comme il a été dire dans un commentaire :
Non il ne s’agit pas d’une scĂšne de viol mais d’une orgie. Dans la plupart des salles de garde il y a ce type de fresques. Certaines sont d’ailleurs de toute beautĂ©. A chaque fois toutes les personnes reprĂ©sentĂ©es (ce sont souvent des profs de la fac de mĂ©decine) ont l’air consentantes et prennent plaisirdans leurs actes. Et c Ă©tait aussi le cas de la wonder woman. De l’humour carabin classique.
Ce qui, Ă  la limite, pouvait paraĂźtre choquant, ce sont simplement les textes contenus dans les bulles ! Et qui ont Ă©tĂ© collĂ©s juste ces derniers jours. Je rappelle que cette fresque avait 15 ans, ce n’est pas la ministre qui Ă©tait reprĂ©sentĂ©e initialement. Et pas dans une position de viol je le rĂ©pĂšte. Tout au plus puvait on simplement retirer les bulles 

1. On est en janvier 2015, on a un pays meurtri, des lois liberticides en cours, des juges qui embastillent comme des gorets, une Ă©conomie chancelante, une monnaie en Ă©tat de coma dĂ©passĂ©, MAIS on trouve le temps de parler d’une fresque de « la salle de garde (non ouverte au public) Ă  l’internat du CHU de Clermont-Ferrand » 
2. c’est surtout ce long billet dans L’Obs qui m’a fait rĂ©agir, de Francoise Degois; « PrĂ©sidente de l’agence citoyenne » :
« Ils sont minables, osons le dire, ces carabins qui se cachent derriĂšre leur tradition (et quelles traditions, mes aĂŻeux !) pour justifier l’injustifiable : cette fresque, d’une facture assez grossiĂšre sur le plan pictural qui met en scĂšne un « gang bang ». »

. ce qui rappelle les zeures sombres de notre Histoire

« J’emploie cette expression Ă  dessein celle d' »incitation au viol » Ă©tant, semble t-il d’une telle violence pour ses pauvres petits internes, tellement choquante pour leur pauvre petit cƓur fragile, qu’il faudrait donc Ă©dulcorer, comme si, entre vous et moi, le gang bang Ă©tait une pratique courante, usuelle et parfaitement acceptable. »
Disons que je pense que juridiquement, ça va quand mĂȘme ĂȘtre dur d’interdire les orgies (consentantes), mais bon

Ça n’a rien Ă  voir avec la libertĂ© d’expression
Certains vont mĂȘme jusqu’a crier « Charlie est mort une seconde fois ». Grand dieux ! Oser comparer l’assassinat de sang froid de 17 personnes Ă  la kalachnikov Ă  l’offense faite Ă  la libertĂ© de ces Ă©tudiants en mĂ©decine.
On peut se retrancher derriĂšre des mots mais cette fresque, modifiĂ©e volontairement pour cibler Marisol Touraine, cette fresque fait bel et bien l’apologie du viol.
Et nulle tradition ne peut justifier cette outrance, venant de citoyens dont le métier consiste à respecter la vie, à célébrer la vie, à lutter corps et ùme pour la vie.
Mais plus grave encore de mon point de vue, les commentaires sur la page Facebook « Les médecins ne sont pas des pigeons ».
Plus glaçant, un certain Pascal R. (lui aussi futur mĂ©decin) : « HĂ©las non, Florence, Daech est aussi en grĂšve đŸ™‚Â Â», en rĂ©ponse Ă  une certaine Florence F. qui se dĂ©solait ainsi : « Personne pour la chopper et la massacrer Ă  la sortie de ses interviews ? »
Cette jeunesse qui n’a pas l’air d’ĂȘtre nĂ©e dans des quartiers dĂ©shĂ©ritĂ©s, ne semble pas ĂȘtre manipulĂ©e par des imams dĂ©gĂ©nĂ©rĂ©s, cette jeunesse peut tranquillement sur facebook, invoquer l’État islamique, appeler au passage Ă  tabac d’une ministre de la RĂ©publique et la traiter de chienne.
La libertĂ© d’expression est encadrĂ©e en France. Elle fixe les limites du droit Ă  l’outrance.
Ah, c’est bien d’arrĂȘter avec les slogans Ă  la noix « La libertĂ© d’expression ne doit pas avoir de limites ». En fait, c’est « La loi met des limites Ă  la libertĂ© d’expression », et donc « Mais que doit-on mettre dans la loi » ce qui dĂ©jĂ  pose bien mieux le dĂ©bat – et lui permet mĂȘme d’exister.
Bon en l’espĂšce, elle veut clairement une police de l’humour nase. IntĂ©ressant

Notre pays se remet Ă  peine de dix jours absolument Ă©pouvantables qui ont dĂ©montrĂ© une solidaritĂ©, une puissance populaire jamais vue, mais aussi une libĂ©ration de la parole raciste, antisĂ©mite, terroriste, sur les rĂ©seaux sociaux. La justice a frappĂ© fort pour l’exemple.
Est-il acceptable que de tels propos, depuis retirĂ©s, aient pu arriver sur la toile en toute impunitĂ©, sans aucune sanction pour leurs auteurs ? Non, ça ne l’est pas.
J’entends dĂ©jĂ  le procĂšs fait aux fĂ©ministes, les rires bien gras – souvent masculins – et cet air de commisĂ©ration, gĂ©nĂ©ralement ponctuĂ© d’un « Mais t’as pas d’humour ma pauvre fille » avant d’ajouter « Regarde Charlie ». Pardon mais « Charlie » n’a jamais fait l’apologie du terrorisme encore moins du viol,
malgré le goût prononcé de ses caricaturistes pour les croquis sexuels et souvent trÚs drÎles.
Pas plus que « Charlie » n’a fait appel, mĂȘme en riant, Ă  l’État islamique.
Accepter d’en rire et refuser de s’en offusquer Ă©quivaut Ă  faire des compromis avec la haine et la pulsion de mort, mĂȘme dĂ©guisĂ©s en fresque ratĂ©e et en rĂ©actions aussi irresponsables que dangereuses sur les rĂ©seaux sociaux.
Le mur des cons Ă©tait minable, la fresque de Clermont et certains des commentaires qui l’accompagnent sont honteux et dangereux .
Et qu’on ne vienne pas nous parler de politiquement correct et de gauche ou droite morale ! Appelons un chat un chat, pour une fois, sans barguigner et se cacher derriùre des justifications aussi fumeuses que lñches.
En parlant d’apologie et de fumeux, je voudrais bien voir ce que les bobos diraient si l’UMP votait dans 2 ans le crime « d’apologie de la drogue ? »
MAIS BREF, en fait, ce qui m’a vraiment donnĂ© l’envie de ce billet, c’est ça – vous ne notez rien de bizarre ? :
Zut, moi qui avais cru comprendre qu’un dessin / fresque c’était toujours de l’humour et ça ne pouvait jamais blesser ou ĂȘtre nocif

Donc « Oui Ă  la libertĂ© d’expression des gens qui disent et font des choses qui me plaisent ou ne me dĂ©plaisent pas, mais non quand ça me choque » 
La façon dont on dĂ©gaine « l’apologie du terrorisme » Ă  tout propos, les arrestations de gamins de 8 ans, les indignations bien-pensantes concernant les fresques de salles de garde, l’opprobre dont on foudroie les personnes qui restent en retrait de la position « je suis Charlie », la traque aux personnes qui profĂšrent des propos jugĂ©s inadmissibles, la mise Ă  pied d’enseignants « non-conformes » 
Tout cela ressemble furieusement Ă  la mentalitĂ© USA : imposition du politiquement correct, vitupĂ©rations Ă  tout bout de champ du « harcĂšlement sexuel » et des « d’attitudes sexistes », « vous ĂȘtes avec nous ou contre nous », arrestations de gamins Ă  l’école, renvois de professeurs, tout y est.
Et oui, le tropisme atlantiste-USA-mondialisation anglo-saxonne a des consĂ©quences. Pour connaĂźtre la suite, il suffit donc de regarder ce qui s’est passĂ© de l’autre cĂŽtĂ© de l’Atlantique; ça promet.
C’est une tradition les fresques dans les salles de gardes des hĂŽpitaux en France .Rien de choquant , rien de mĂ©chant , de la caricature pas plus .Pas de quoi en faire des tonnes .
Que celles et ceux qui sont choqués ne les regardent pas !!!!
Le « mur des cons » n’est pas pire dans l’esprit???
Les mĂ©decins , et internes vivent des heures difficiles auprĂšs des malades , ils se battent pour eux , donnent sans compter comme tout le personnel soignant des hĂŽpitaux .La salle de garde est un dĂ©fouloir .Laissez leur ce sas de dĂ©compression !!!! (heureusement que les dĂ©nonciateurs de fresques n’entendent pas ce qu’il se dit parfois dans ces salles )!
Ne seront offusquĂ©s que celles et ceux qui n’ont jamais passĂ© une garde avec les mĂ©decins .
Quand Ă  l’incitation au viol soit disant exprimĂ©e sur cette fresque , combien de viol de la part des mĂ©decins ayant vu cette fresque ? Il faut arrĂȘter le dĂ©lire !
Ce qu’il se dit? Qui est-ce qui « se dit » des choses dans ces salles de garde? Se les dit-il Ă  lui-mĂȘme?
moi je dirais plutĂŽt que ces fresques montrent trĂšs bien qu’un mĂ©decin a brulĂ© son cerveau aprĂšs 7 ans d’études
en gros on a des médecins avec le syndrome DSK
ils ont subi une lobotomie en rĂȘgle signĂ©e par les entreprises « big pharma bizness »  qui fabrique autant de mĂ©dicaments que de poisons etc etc
une mĂ©decine moderne malade, d’oĂč le dĂ©fouloir

Il est certain que, en France (et je dis bien en France), la libertĂ© d’expression est davantage amputĂ©e par les fĂ©ministes que par les religieux.
La libertĂ© d’expression est rĂ©servĂ©e et chasse gardĂ©e des j o u r n a l i s t e s.
Qui, en corporation s’auto-glorifiant dans la complaisance de l’esprit clanique, limite celle des citoyens.
Ils font feu de tout bois, ils sont sacrĂ©s. Les remettre en cause et en question, c’est blasphĂ©mer.
Ils Ă©mettent donc des fatwas, en mettant tout hors contexte, en tronquant, ils sont les Rois de l’intox..et du dĂ©tournement de sujet.
Ils sont les Papes de l’expression. Leurs opinions (le contraire de la connaissance) sont dogmes.
La presse peut vous oppresser. Ils sont prompts à la censure
. des a u t r e s.
Ni un enfant, ni un mĂ©decin, ni un sociologue n’échapperont Ă  leur vigilance de garde de l’ordre social et du pouvoir. (D’oĂč leur arrogance de prescripteur de sentiments et opinions)
Censeurs garde-chiourmes et prescripteurs de l’ordre

Une vidĂ©o des Inconnus.. l’illustre trĂšs bien..
Voir la fin du 20H JT-Quizz jeu
 on peut jouer sur les morts civils.., les assassinĂ©s, et Ă  la fin
. ah non, c’est sĂ©rieux (un journaliste cameraman.. non un peu de dĂ©cence,Philippe, on ne joue plus là
) Minute 4.55

http://www.dailymotion.com/video/xagli8_les-inconnus-le-20h-quizz_fun
@ corbito
De quel feminisme parlez- vous? De celui » made in 
., qu’on voit partout, oĂč du vrai fĂ©minisme, qui est juste le refus d’une soumission d’un ĂȘtre humain Ă  un autre ĂȘtre humain.
Vous savez, celui qu’on ne voit jamais dans les mĂ©dias, qui demande juste » Ă  travail Ă©gal, salaire Ă©gal » Et en plus Ă  avoir droit aux orgies
 si on en a envie

Merci Ă  Lamonette, ça manque un peu de femmes pour parler de fĂ©minisme

Votre réponse est dans votre question.
Le fĂ©minisme qui lutte pour l’égalitĂ© des femmes, pour la fin des discriminations et pour l’émancipation, celui-ci n’a jamais empĂȘchĂ© personne de parler, d’écrire ou de dessiner.
Encore un crime d’apologie : « apologie » va finir par devenir un gros mot et on imagine l’injure :
Vas au diable, espùce de
 de
 espùce d’apologiste !
En tous cas, deux qui sont Ă  l’abri d’une quelconque apologie, sont le NodocĂ©phale du Faubourg et l’AgitĂ© du Bocal de la rue de Varenne.
Pire que les « complotistes », les « apologistes du complot », c’est-Ă -dire des complotistes qui essaient en plus par dessus le marchĂ© – qui est libre et non faussĂ©, hein, on le voit tous les jours avec le CAC au cric et le DOW JONES en apesanteur – de convaincre les autres !
SacrilĂšge! Je suis Charlie, merde, la libertĂ© d’expression doit ĂȘtre absolument totale, bon, sauf dans des cas dĂ©cidĂ©s au Politburo de l’Otanie.
Complotistes, apologistes, skieurs-de-hors-pistes
. si avec tous ces Ă©pithĂštes, on ne finit pas tous Ă  Cayennatamo
! 🙂
tout ces Charlie oserais je dire : tous ces charlots qui montrent leurs muscles n’atteignent pas l’esprit frondeur et gaulois d’un tas de français et de catĂ©gories professionnelles reconnues qui ne sont pas impressionnĂ©s par le fichage,le flicage et les gros sourcils de big brother .
toutes les dramatisations et leurs mises en scĂšne font pschitt comme disait Jacquot.
Leurs rÚglements juridico pantoufles 
nous avons les machines pour les révoquer
demain matin (amour anarchie. Léo Ferré)
Une preuve qu’avec l’arrivĂ©e importante (voire majoritaire) de femmes dans bon nombre de mĂ©tiers s’accompagne d’un changements d’idĂ©ologie. C’est un effet mĂ©canique, par le simple jeu des rapports de forces.
Ou comment le maccarthysme tue la gauloiserie. La France fout le camps ma brave dame.
Ah! Evidemment l’humour et la libertĂ© d’expression ont des limites dans certains cas. Il y a des cas plus Ă©gaux que les autres. BlasphĂ©mer une ministre c’est trĂšs trĂšs grave.Un curĂ© ou un imam en pleine sodomie c’est bien, mais une ministre en pleine partouse c’est pas bien. Non mais quand mĂȘme !!! oĂč va-t-on? C’est jeunes internes enfants de parents bobos qui leur ont appris avec soin les bienfaits du libertinisme libertaire de la nouvelle sociĂ©tĂ© progressiste seraient-ils des petits monstres qui se sont instruits dans la trĂšs intellectuelle revue CH.
Les unes de charlie me foutent la gerbe (surtout celle sur Boko Haram).
Plus je vois les unes de Charlie sorties de l’oubli et reportĂ©es dans le billets, plus elles me font (presque toutes) gerber. Pas Ă©tonnant que ce journal allait vers la faillite et qu’ils aient du se dĂ©pĂȘcher de faire sortir les gens dehors avant qu’ils en apprennent le contenu exact. Je ne suis pas sĂ»r qu’ils auraient autant de succĂšs maintenant.
Bonsoir Ă  tous,
Mieux connaütre l’Agence Citoyenne,
« La rĂ©servation du nom de domaine a Ă©tĂ© effectuĂ©e auprĂšs de la sociĂ©tĂ© GANDI SAS, SociĂ©tĂ© par Actions SimplifiĂ©e au capital de 300.000€ ayant son siĂšge social au 63-65 boulevard Massena, Ă  Paris (75013 – France), conformĂ©ment aux dispositions en vigueur. Le prĂ©sent site web est hĂ©bergĂ© par la sociĂ©tĂ© la sociĂ©tĂ© GANDI SAS, SociĂ©tĂ© par Actions SimplifiĂ©e au capital de 300.000€ ayant son siĂšge social au 63-65 boulevard Massena, Ă  Paris (75013 – France), conformĂ©ment aux dispositions en vigueur. Directrice de la publication : Françoise Degois »
http://www.lagencecitoyenne.com/#!mentionslegales/c16f
La façon dont on dĂ©gaine « l’apologie du terrorisme » Ă  tout propos, les arrestations de gamins de 8 ans, les indignations bien-pensantes concernant les fresques de salles de garde, l’opprobre dont on foudroie les personnes qui restent en retrait de la position « je suis Charlie », la traque aux personnes qui profĂšrent des propos jugĂ©s inadmissibles, la mise Ă  pied d’enseignants « non-conformes » 
Tout cela ressemble furieusement Ă  la mentalitĂ© USA : imposition du politiquement correct, vitupĂ©rations Ă  tout bout de champ du « harcĂšlement sexuel » et des « d’attitudes sexistes », « vous ĂȘtes avec nous ou contre nous », arrestations de gamins Ă  l’école, renvois de professeurs, tout y est.
Et oui, le tropisme atlantiste-USA-mondialisation anglo-saxonne a des consĂ©quences. Pour connaĂźtre la suite, il suffit donc de regarder ce qui s’est passĂ© de l’autre cĂŽtĂ© de l’Atlantique; ça promet.
c’est exactement ça.
relire Henry Miller : sexus, plexus nexus et ensuite le cauchemar climatisé.
On se précipite dans la pudibonderie parpaillote ,bien pensante et chiante du cauchemar climatisé.
C’est le lissage modùle globalisation.
Je suis pas Charlie, je suis pas la fresque mais putain laissons les déconner.
Le droit à la déconne dans la constitution!
Plus on nous parle de sociĂ©tĂ© libĂ©rale, plus on nous prive de libertĂ©s, dans ce monde la libertĂ© c’est pas pour les esprits, pas pour les gens, uniquement pour la monnaie.
Dans le plutĂŽt bon et rĂ©cent film « Hippocrate » qui Ă©voque les dĂ©buts Ă  l’hĂŽpital d’un jeune interne, l’action se dĂ©roule parfois dans une salle de garde ; sur le mur figure une telle fresque (moins sophistiquĂ©e que celle de Clermont) reprĂ©sentant une orgie.
C’est sĂ»r, ce n’est pas de la grande finesse mais y dĂ©celer une incitation au viol est tout aussi grossier.
Bon, c’est Françoise Degois
(pas trĂšs aĂ©rienne dans l’analyse en gĂ©nĂ©ral).
Un passage que j’adore dans le film, c’est le moment oĂč le « hĂ©ros » cherche en catastrophe son collĂšgue FFI (Ă©tranger Faisant Fonction d’Interne) Ă  l’internat. La situation est dramatique, il a besoin de le trouver d’urgence par rapport Ă  l’une de ses patientes. Le dialogue suivant en est encore plus savoureux :
HĂ©ros : « Eh, tu sais oĂč est la chambre d’Abdel ? »
Interne (le plus sĂ©rieusement du monde) : « La chambre d’Abdel ? Tu peux pas la rater, c’est celle avec la bite verte sur la porte »
Que peut faire une madame Degois si ce n’est
 dĂ©goiser ?
Fresque d’autant plus lamentable qu’elle s’adresse Ă  des Ă©tudiants

Je mets un point d’honneur lĂ  oĂč j’enseigne Ă  lutter contre les « traditions humoristiques gauloises » des Ă©tudiants. Et si je mĂšne cette petite guerre, c’est pour une raison trĂšs simple. Il y a dans certaines filiĂšres une nette majoritĂ© de garçons, voire uniquement des garçons et ce sont justement dans ces filiĂšres que cet humour sĂ©vit le plus dĂ©sagrĂ©ablement.
Il me semble Ă©vident que, si j’étais une fille, je n’aurai nullement envie d’intĂ©grer une petite sociĂ©tĂ© qui utilise pour ticket d’entrĂ©e un humour qui consiste essentiellement Ă  raconter des histoires oĂč, infailliblement, la fille n’est vue que comme un objet sexuel. A supposer qu’elle soit sexuellement neutre en apparence, ces blagues sont toujours stĂ©rĂ©otypĂ©es : les hĂ©ros en sont toujours des hommes sortis de la filiĂšre en question. (Vous avez dĂ©jĂ  enten
Culs De Vieilles
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