Grosse orgie asiatique dans le dojo

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Grosse orgie asiatique dans le dojo
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Le Club d’arts martiaux asiatiques rĂ©uni au dojo Jimmy-Agard



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Le Club d’arts martiaux asiatiques a proposĂ© une matinĂ©e de dĂ©couverte des diffĂ©rentes disciplines proposĂ©es par la structure. Histoire de mieux connaĂźtre le club.



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Le Club d'arts martiaux asiatiques (Cama) était présent au dojo Jimmy-Agard samedi, pour une matinée de découverte de la discipline et de connaissance du club.
Jean-Marie Ragon a créé l'école de Lan Long Yu Lin (dragon bleu, licorne de jade). Elle regroupe tous les arts martiaux sous deux formes : une interne, expression de formes lentes basées sur la respiration, le placement et la découverte de son corps, comme le tai-chi ; l'autre externe consiste en combats traditionnels (pieds et poings), en travail au sol et avec des armes (épées, lances, bùtons).
Ce club qui a quinze ans d'existence compte une trentaine de membres, dans une tranche d'Ăąge comprise entre 14 et 55 ans. Son prĂ©sident, CĂ©dric DĂ©pard souligne que ce sport requiert partage, concentration et dĂ©passement de soi. « Il est adaptĂ© Ă  tous les Ăąges tout en allant au maximum de ses capacitĂ©s. Ici, on ne pratique pas de compĂ©tition mais si un membre le dĂ©sire, il pourra y ĂȘtre prĂ©parĂ© au sein du club. »
Ăš Pratique. Kung-fu, lundi et mercredi, de 19 Ă  21 heures. Groupe formes internes, chaque premier samedi du mois, de 9 Ă  11 heures. Renseignements : www.cama-vierzon.jimdo.com ou 06.62.01.06.56
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Professeure d’économie Ă  Rennes School of Business
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Sommaire de notre série Les hyÚnes du Malawi ou le terrible « apprentissage » du sexe
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Les hyĂšnes du Malawi ou le terrible « apprentissage » du sexe (1/4). Les familles envoient leurs filles Ă  peine pubĂšres dans des camps de « vacances » pour qu’elles apprennent « les choses de la vie ».
L’innocence d’Awa Kandaya n’est qu’une façade. La virginitĂ© de cette jeune femme de 20 ans, sac Ă  dos d’écoliĂšre sur les Ă©paules et sourire charmant, lui a Ă©tĂ© arrachĂ©e quand elle avait 9 ans dans un camp d’« initiation sexuelle », dans le sud du Malawi. Selon la tradition locale, un homme, payĂ© par ses parents pour lui apprendre « les choses de la vi e », l’a violĂ©e. Onze ans plus tard, les parents parlent volontiers du camp. Le viol, lui, reste un tabou.
Assise sur les marches d’un bĂątiment de Nampugo, village du district de Mulanje, Ă  des kilomĂštres de la premiĂšre route bitumĂ©e, Awa explique le rite. Si elle est commune Ă  certains pays d’Afrique de l’Est qui l’abrogent peu Ă  peu, cette tradition d’« initiation sexuelle » des petites filles reste trĂšs implantĂ©e au Malawi. Ici, comme dans la majoritĂ© des zones rurales, elles doivent toutes se rendre, dĂšs leurs premiĂšres menstruations, dans un camp. Elles en ressortent sinon dĂ©florĂ©es, du moins profondĂ©ment changĂ©es.
« Les parents inscrivent leurs filles au camp, c’est une affaire familiale, explique Esitele Paulo, l’une des deux organisatrices du camp oĂč a Ă©tĂ© envoyĂ©e Awa Kandaya. Elles se prĂ©sentent durant les vacances de septembre et sont Ă  nous pour deux semaines. » Deux semaines pour faire de ces fillettes des « femmes » avant l’heure censĂ©es ĂȘtre aptes Ă  prendre en main un foyer.
VĂ©ritable outil d’asservissement aux hommes, le camp d’initiation est dirigĂ© par deux femmes. « On part Ă  l’écart du village, dans un bĂątiment loin des hommes oĂč nous sommes seules avec les organisatrices du camp » , se souvient la jeune Awa. « Une fois que les premiers rituels commencent, on comprend qu’on est lĂ  pour apprendre Ă  plaire Ă  un homme, comment lui faire plaisir sexuellement », continue-t-elle. Devenue anxieuse Ă  l’évocation de ses souvenirs, la jeune fille perd son sourire.
Rien ne transparaĂźt sur les pratiques du camp : l’omerta est entiĂšre. Aux gamines qui refusent de se plier au rite, la loi des ancĂȘtres promet maladies de peau et malheurs familiaux. Certaines, naĂŻves, sont heureuses de se rendre dans ce qu’elles croient ĂȘtre un camp de vacances, d’autres ont dĂ©jĂ  entendu des rumeurs, ou les messages de dĂ©nonciation des ONG. Mais, bon grĂ© mal grĂ©, l’immense majoritĂ© des filles s’y rĂ©signent, encouragĂ©es par des mĂšres qui perpĂ©tuent ce qu’elles ont elles-mĂȘmes subi sans rien dire Ă  leurs enfants de ce qui les attend.
« On les emmĂšne Ă  la riviĂšre, les filles se dĂ©shabillent, elles doivent ĂȘtre nues , explique sans gĂȘne la tenanciĂšre du lieu, pieds nus et vĂȘtue de son chitenje traditionnel bleu roi. Elles s’essaient Ă  la danse chisamba, Ă  remuer leurs fesses pour exciter les hommes. » Toujours nues, les enfants se frottent les unes contre les autres, puis s’allongent et doivent simuler chacune l’acte sexuel. Sur une vieille chaise en plastique de l’école catholique Namulenga, Esitele Paulo raconte sans sourciller ce qu’elle fait depuis « des dizaines d’annĂ©es ».
Au bord de la riviĂšre, dans la forĂȘt, les fillettes doivent s’entraĂźner Ă  la fellation sur un morceau de bois alors qu’elles n’ont mĂȘme pas encore passĂ© leur pubertĂ©. Mais Esitele Paulo et de nombreuses mĂšres de famille n’en dĂ©mordent pas : il faut enseigner « la vie » Ă  la jeunesse grandissante. « Pourquoi j’ai envoyĂ© ma fille dans ce camp ? Pour la tradition et pour lui apprendre les bonnes maniĂšres », rĂ©pond du tac au tac Lima Kandaya, la mĂšre d’Awa, balayant d’un revers de la main les rĂ©actions « des gens de la ville » qui osent poser des questions sur le traumatisme psychique et physique engendrĂ© par ces pratiques.
Ici, la tradition prend le dessus sur le consentement individuel, les rĂšgles d’hygiĂšne Ă©lĂ©mentaires et la planification familiale. Entre autres lois enseignĂ©es au camp : tout ce qui a trait aux menstruations − l’utilisation de serviettes hygiĂ©niques ou de tampons − devra ĂȘtre cachĂ© aux hommes parce qu’ils pourraient en ĂȘtre dĂ©goĂ»tĂ©s et ne plus vouloir toucher leur femme. En revanche, aucun enseignement sur l’appareil gĂ©nital fĂ©minin, la procrĂ©ation, aucun encouragement Ă  l’usage de contraceptifs. Aucune prĂ©vention non plus sur la transmission du sida.
« Ces camps sont un lavage de cerveau de ces filles qui deviennent femmes trop vite , dĂ©nonce Joyce Mkandawire, de l’ONG Let’s Girls Lead. Les consĂ©quences sont dĂ©sastreuses. Et aprĂšs le camp, beaucoup de filles se marient et quittent l’école. » Au Malawi, une fille sur deux est mariĂ©e avant ses 18 ans. A Mulanje, le poids de la tradition est puissant autant que sa remise en question est lente. « Combien ont la force de remettre en cause cette culture quand votre mĂšre, votre grand-mĂšre vous disent que c’est bien ? Combien ont la force de dire qu’une “ hyĂšne ” est un violeur ? »
Les hyÚnes, ces hommes payés par les familles pour avoir une relation sexuelle avec leurs fillettes, sont légion en zone rurale. Si les autorités insistent sur la disparition de cette pratique, beaucoup de filles subissent encore une relation sexuelle non protégée avec une hyÚne au sortir du camp, pour « parachever » le rite.
Esitele Paulo parle volontiers des hyĂšnes, mais refuse d’y ĂȘtre associĂ©e. « Pas de ça chez nous ! », s’énerve-t-elle, l’air altier et les yeux accusateurs. Le kusasa fumbi , comme on l’appelle en langue chichewa, est interdit au Malawi depuis 2013, et personne ne veut risquer de finir derriĂšre les barreaux.
PlongĂ©e en quatre reportages dans l’extrĂȘme sud de ce pays d’Afrique de l’Est, oĂč la tradition exige que les jeunes filles et les femmes soient rĂ©guliĂšrement « purifiĂ©es sexuellement ».
La jeune Awa, elle, acquiesce quand on Ă©voque ensemble les fisi , les hyĂšnes. Les autres interlocuteurs ont tous niĂ©, un Ă  un, mais Awa Kandaya, ancienne pensionnaire du camp d’Esitele Paulo, reconnaĂźt la prĂ©sence d’une hyĂšne dans la communautĂ©. Oui, on l’a obligĂ©e Ă  avoir une relation sexuelle non protĂ©gĂ©e avec cet homme ĂągĂ©. Oui, elle a Ă©tĂ© violĂ©e. Au Malawi, une personne sur dix est porteuse du VIH. Awa n’a pas fait de test, elle refuse pour l’heure de s’en inquiĂ©ter. Comme une rĂ©miniscence de sa jeunesse innocente. Sa jeunesse d’avant la hyĂšne.
Amaury Hauchard (contributeur Le Monde Afrique, Nampugo, Malawi, envoyé spécial)
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Lorsqu’on dĂ©barque pour la
premiùre fois dans un club de JJB, on se doute rarement qu’il y a des rùgles de savoir-vivre à respecter. C’est d’autant plus le cas si c’est la premiùre fois que l’on pratique des arts martiaux.
Le débutant peut trouver ses rÚgles contraignantes voire futiles mais, loin de là, elles permettent de pratiquer le Jiu Jitsu Brésilien en toute sécurité et dans la bonne
entent e


.
Je n’avais aucune connaissance de ses rĂšgles lorsque j’ai dĂ©butĂ© et c’est pour cette raison que j’écris cet article fondamental sur les rĂšgles de savoir-vivre dans un club de JJB.



#1 SOYEZ PROPRE
VENEZ À L’ENTRAÎNEMENT AVEC DES AFFAIRES PROPRES
Par respect pour vos partenaires, venez Ă  l’entraĂźnement avec un kimono et une ceinture propres, secs et sans odeurs fĂ©tides. Lavez votre kimono et votre ceinture aprĂšs l’entraĂźnement et
faites-les bien sécher.
Certains vous diront de ne pas laver votre ceinture car c’est le reflet de vos efforts et du temps passĂ© sur les tatamis. Mais le bon sens et le respect pour vos partenaires vous diront que vos
affaires pleines de sueurs non lavées peuvent transmettre des infections (mycoses, staphylocoque doré, etc.)
Si vous vous entraĂźnez plusieurs jours d’affilĂ©s, vous avez donc une trĂšs bonne excuse pour acheter un nouveau kimono de JJB  .
AYEZ UNE HYGIÈNE IRRÉPROCHABLE
Comme votre kimono et votre ceinture, vous serez en contact direct avec vos partenaires. Alors, brossez-vous les dents et mettez du déodorant  .
AprĂšs l’entraĂźnement, prenez votre douche dĂšs que possible pour minimiser les risques d’infections microbiennes. Il existe des savons spĂ©cialement conçus pour combattre les microbes.
CLIQUEZ-ICI POUR VOIR LES RAVAGES QUE PEUVENT CAUSER LES INFECTIONS DU TYPE STAPHYLOCOQUE DORÉE (ÂMES SENSIBLES, S'ABTENIR)



#2 ARRIVEZ À L’HEURE À L’ENTRAÎNEMENT
Soyez ponctuel par respect pour votre professeur et vos partenaires.
Et s’il vous arrive d’ĂȘtre en retard

ATTENDEZ QUE LE PROFESSEUR VOUS FASSE SIGNE DE RENTRER LORSQUE VOUS ÊTES EN RETARD
Lorsque vous ĂȘtes retard, attendez au bord du tatami que votre professeur vous fasse signe de rentrer.



#3 ALIGNEZ-VOUS AVEC VOS PARTENAIRES POUR LE SALUT



Au dĂ©but et Ă  la fin de chaque cours de JJB, les Ă©lĂšves et les professeurs se saluentAu dĂ©but du cours de JJB mais aussi Ă  la fin, les Ă©lĂšves s’alignent gĂ©nĂ©ralement au bord du tatami en face du
professeur pour effectuer le salut.
Le salut consiste simplement Ă  se tenir droit et Ă  s’incliner lĂ©gĂšrement au signal du professeur.
L’alignement des Ă©lĂšves se fait par couleur de ceintures, du plus gradĂ© au moins gradĂ©.
Il arrive que dans certains clubs, il n’y ait pas de salut ni d’alignement par grade. A la Roger Gracie Academy par exemple, les Ă©lĂšves s’alignent le long du mur sans ordre de grade et le prof
vient les saluer un par un. Dans le doute, rangez-vous par grade.
SERREZ LA MAIN DU PROF À LA FIN DU COURS
Les Ă©lĂšves tapent dans la main du prof et des autres partenaires Ă  la fin du cours de JJB pour se remercierAprĂšs le salut de fin de cours, les Ă©lĂšves font la queue pour aller serrer la main du
prof et se placer derriĂšre lui pour serrer celles des autres Ă©lĂšves.
C’est le moment oĂč l’on remercie notre professeur pour ce qu’il nous a enseignĂ© et nos partenaires pour s’ĂȘtre entraĂźnĂ©s avec nous.



#4 NE MARCHEZ PAS PIEDS NUS EN DEHORS DU TATAMI


Si l’on marche en dehors du
tatami pi
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