Grosse décharge sexuelle dans son cul

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Grosse décharge sexuelle dans son cul


Le canton de Berne interdit les «thérapies» de conversion





Il y a 20 ans, la tragédie du Moderne



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De nuit comme de jour, les aires d’autoroute sont prisées pour la «consommation rapide». Toilettes ou buissons, activisme ou voyeurisme, il y en a pour tous les goûts. Une drague qui a ses heures, ses rites et parfois, comme à Zurich, son trop plein de flics.
Il y a celles qu’on apprécie pour leur densité de buissons, il y a les discrètes et les populeuses, les nocturnes version cuir et celles plutôt complet trois pièces après le bureau. A chaque aire sa spécialité, à chaque heure sa clientèle. Mais tous ceux qui les fréquentent leur trouvent un avantage commun: «Les aires d’autoroute? J’adore y aller. Parce que, contrairement aux autres tasses, ce sont des vrais lieux de passage. Par définition: sûr que vous n’y rencontrerez jamais deux fois la même tête», raconte Sébastien, qui avoue un faible pour l’aire de Coppet, côté Jura, «parce qu’il y a une jolie forêt».
Coppet, Bavois, Matran, combien sont-elles en Suisse romande ces mal dénommées aires de repos où, comme dit Jacques, adepte lui aussi, «les buissons n’arrêtent jamais de bouger»? Une chose est sûre, toutes celles qui ne sont pas trop éclairées ont des chances de voir défiler, jour et nuit, des automobilistes qui ne s’arrêtent pas vraiment pour aller faire pipi. A Matran – une aire si réputée qu’elle figure dans les guides homos internationaux – le service d’entretien ne prend même plus la peine de faire réparer les barrières trouées censées séparer bitume et bosquets. On n’arrête pas si facilement les désirs pressants.
Touristes, businessmen en transit, employés de bureau cravatés, militaires en perm., il faut voir la faune qui s’y arrête. «Un jour j’y ai même rencontré un cavalier, tout de blanc vêtu, la cravache à la main», s’esclaffe Jacques. «Dommage, il n’avait pas le sens de l’humour. Quand je lui ai demandé « où était sa monture », il est parti au galop.» Le type de clientèle varie aussi en fonction des heures – plutôt 45 ans et plus l’après-midi, toujours plus jeune au fil de la nuit – et même des saisons. «A Matran, certains ne viennent qu’à la saison des militaires, d’autres ne s’intéressent qu’aux camionneurs», constate un habitué.
La drague autoroutière n’a pas seulement ses anecdotes toujours mi-drôles, mi-déprime, chez ceux qui s’y adonnent; elle a ses rites, ses techniques. Entre les timides qui restent dans leur voiture et n’en finissent pas de régler leur auto radio, les nonchalants qui se baladent mains dans les poches ou font semblant de promener Médor, les faux pisseurs, les vrais chieurs, il faut détecter les envies. On se croise, il suffit d’un regard pour partir ensemble aux toilettes ou se promener dans les bois. «Il n’y a évidemment aucune intimité dans ce genre d’endroit. En pleine action, vous pouvez être sûr qu’il y a des types qui vous regardent», relève Jacques. Cela peut même ajouter quelque piment à l’affaire: «C’est excitant de savoir que l’on peut se faire surprendre», lâche Sébastien.
Le défilé des hommes mariés
Se faire surprendre par des voyeurs qui ne sont venus que pour cela. Ou par ceux qui n’osent pas vraiment passer à l’acte. Car la clientèle des autoroutes n’est pas forcément celle qui s’assume et qui s’affiche en ville. A Matran par exemple ne défilent pas seulement les touristes de passage, mais aussi des clients de la région qui n’assument pas leurs désirs homos. Souvent des hommes mariés, des pères de famille qui débarquent avec l’autocollant «bébés à bord» collé sur le cul de leur Renault Espace. Dans leur train-train quotidien ou leur carrière bien tracée, une sinistre place en goudron fait donc office de jardin secret. Trop glauque pour être assumé.
«Ces gens-là ont peur d’être reconnus, c’est le seul endroit homo qu’ils osent fréquenter», commente Pascal Purro, de Sarigai, qui connaît bien ce genre de clientèle et toute celle d’ailleurs qui s’arrête à Matran. Chaque semaine en effet, depuis deux ans et pendant la bonne saison, lui et d’autres membres de l’association fribourgeoise viennent y déplier leur table de camping sur le parking, direction Lausanne. Pas pour y pique-niquer, mais pour y faire de la prévention sida. Préservatifs, gel, revues, thermos de café sont mis à la disposition des conducteurs dont les écarts de route ne pas toujours bien contrôlés: «Les hommes mariés ne sont pas ceux qui utilisent le plus facilement des préservatifs. Leur déficit d’info sur le sida par rapport aux homos bien établis est manifeste. Une raison de plus pour faire de la prévention dans ces endroits», note Pascal Purro. «Bien sûr, au début, certains se demandaient ce qu’on venait faire ici, tout le monde n’appréciait pas. Aujourd’hui, les gens se sont habitués. Même les hétéros viennent nous poser des questions. Quant à la police, elle sait que ce qu’on fait est utile. Elle sait aussi qu’on collaborera si une affaire pas nette se produit.»
La police zurichoise entre en chasse
Partout en Suisse romande, la police semble d’ailleurs avoir pris le parti de ne pas intervenir contre ces rendez-vous autoroutiers. «Tant que tout cela reste discret, cela ne dérange pas. Mais c’est vrai que nous passons régulièrement sur les aires de repos pour y faire des contrôles de routine. Cela maintient une certaine pression pour que ces lieux restent fréquentables par tous les automobilistes, les familles en particulier», note Jean-Claude Berdoz, responsable d’intervention à la police vaudoise.
A Zurich en revanche, la police semble avoir pris une voie nettement moins large d’esprit. Depuis plusieurs mois en effet, elle intervient régulièrement sur les aires de repos du canton pour y mener une véritable chasse aux homos. Il n’est pas rare que 50 personnes se fassent contrôler en un seul soir. Ceux qui se font prendre dans les rafles sont contraints de donner leur nom et se voient fichés pour cinq ans. A quoi cela sert-il? C’est la question que certains militants d’associations zurichoises ont essayé de poser aux autorités, sans obtenir pour l’instant de réponse satisfaisante, sinon qu’il s’agit d’une «question d’ordre public». «Cette affaire cache un problème plus profond quant à l’image très conservatrice que la police se fait des gays», note Mark Bächer, président de Pink Cross. Ces dernières semaines, l’association a d’ailleurs organisé des tables rondes avec la police zurichoise pour tenter de trouver un terrain d’entente. «A l’heure actuelle, un homosexuel victime de violence n’osera pas se plaindre dans un commissariat parce qu’il sait qu’il ne sera pas écouté, voire carrément tourné en ridicule. Il faut que la police travaille à un changement de mentalité, et ce n’est pas son attitude sur les aires autoroutières qui y contribue.» De son côté, Pink Cross est prêt à faire de l’information auprès des adeptes de sex-service sur autoroutes. Notamment pour les inciter, en bons citoyens, à jeter leur préservatif dans la poubelle après usage…
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En 1976, Chantal Ladesou participait sans le savoir au tournage d’un film pornographique. Un extrait de ce chef-d’œuvre olé-olé a été diffusé hier à la télévision.
Au milieu des années 70, alors jeune comédienne en devenir, Chantal Ladesou acceptait un peu tout et n’importe quoi pour faire chauffer la marmite. Il y a deux ans de cela, alors que Laurent Argelier la réveillait pour la promo de sa pièce Nelson sur MFM radio, la comédienne s’était souvenue de ce film porno auquel elle avait participé malgré elle en 1976. Un gros moment de solitude auquel elle repense en souriant aujourd’hui. « A un moment donné, c’était une grande fête, ils ont dit : “Tout le monde à poil main­te­nant !” » Totalement paniquée face à cet ordre, Chantal Ladsou avait tenté d’esquiver l’effeuillage et ce qui devait se passer après. Impossible, elle avait signé un contrat… « Je pensais que c’était un gag, ajoutait-elle. Au final, j’ai été virée du travail, c’était l’hor­reur ! »
Ce fameux film, c’était Les maîtresses de vacances . Quelques images ont été diffusées hier après-midi dans le tout premier numéro des E nfants de la télé présenté par Laurent Ruquier sur France 2. Très à l’aise, Chantal Ladesou a redécouvert ces images en esquissant un sourire. Il faut dire que la musique, les dialogues et tout le reste sont au top. Découvrez cette séquence très drôle dans la vidéo ci-dessus.

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Cet article date de plus de quatre ans.



Publié le 10/11/2017 10:33


Mis à jour le 10/11/2017 10:35



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Des mineures enrôlées comme prostituées dans certaines banlieues françaises... Pour "Complément d'enquête", Rola Tarsissi a rencontré Lucille et Sophie, 17 et 16 ans. L'une est proxénète, l'autre prostituée. Dans cet extrait, la seconde confie ses impressions.
En France, entre 5 000 et 8 000 mineures se prostitueraient, selon les estimations. Un fléau qui n'existait pas il y a encore cinq ans. Dans cet extrait d'un numéro de "Complément d'enquête" sur les nouveaux trafics d'êtres humains, une jeune fille confie s'être prostituée jusqu'en janvier 2017 sur le site Vivastreet . 
"Je pouvais gagner jusqu'à 20 000 euros par mois", explique Sophie, 16 ans, qui dit avoir "fait ça pendant deux mois et demi, trois mois" – peut-être davantage, selon sa copine Lucille, qui jouait, elle, le rôle de la proxénète. Elle n'appelait pas ça de la prostitution, elle disait "je vais bosser". 
Sophie ne semple pas avoir conscience de ses actes. Elle montre sans difficulté la photo aguicheuse qu'elle avait postée sur la Toile. La première fois qu'elle a "fait ça" pour de l'argent, qu'a-t-elle ressenti ? "Je sais pas comment décrire, en fait, sur l'instant… C'était bizarre… Genre tu te dis 'ah ouais… je me suis donnée pour de l'argent'. Après, tu vois les sous, tu te dis que c'est des sous rapides à se faire. Mais c'est pas facile. Parce que tu te donnes." 
Extrait de "Dealers d'adolescentes", un reportage diffusé dans "Complément d'enquête" le 9 novembre 2017.
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