Grand-mère dans une orgie

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Grand-mère dans une orgie
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Jeunesse








Certains matins Pascal faisait un rêve terrible, un rêve qui l'effrayait et le comblait à la fois. Il s'en laissait pénétrer comme s'il accomplissait une vengeance. Il imaginait qu'il était orphelin, qu'ils étaient morts, lui son père, elle, sa mère. Il ne pouvait pas penser « tous les deux », il ne pouvait plus les associer. Ils n'avaient plus rien à voir l'un avec l'autre et c'était définitif. Divorcés, ils étaient divorcés. Son père avait fait comprendre qu'il ne voulait plus aucune sorte de rapport avec son ancienne épouse si ce n'était par l'intermédiaire d'un avocat. Oui, il serait orphelin et ce serait aussi bien. A l'école, il avait une camarade qui n'avait jamais connu son père, mort alors que sa mère était enceinte. Elle vivait en rêvant de ce père absent, s'extasiait devant les photos anciennes, lui attribuait toutes sortes de qualités et de dons que personne jamais ne démentirait. Pascal jugeait confortable de vivre avec de telles illusions. Ses parents à lui étaient bien vivants mais imparfaits. Quand il les avait ainsi immolés sur le temple de son désarroi, il s'inventait « un autre départ dans la vie », la formule lui plaisait. Il savait sa rêverie puérile mais il s'y complaisait. Il aurait donc vécu les premières années de sa vie dans un orphelinat ; des années sombres pendant lesquelles il aurait été soutenu par l'espoir d'être adopté. Il aurait inspiré la pitié, on l'aurait plaint, cajolé, apaisé. Puis, un jour, comme cela arrivait presque toujours dans les films d'histoires d'orphelin qu'il avait vus à la télévision, quelqu'un serait venu... Une dame, une dame superbe. Elle serait tombée en admiration devant lui au premier coup d'œil. Elle l'aurait abordé avec ménagement de peur d'être mal reçue. C'est à ce moment-là que la réalité le happait à nouveau car le plus souvent la femme superbe lui apparaissait sous les traits de Laure, la nouvelle épouse de son père. Il avait du mal à chasser son image. Il s'en culpabilisait parfois car il lui semblait éprouver plus d'affection pour elle que pour ses parents. Sa mère entra dans la chambre et déposa sur son bureau un bol de chocolat chaud. Il semblait à l'enfant qu'en ces occasions elle faisait un effort particulier de coquetterie. Les autres jours, elle se laissait souvent aller, arrivait le réveiller décoiffée, une robe de chambre vieillie, hâtivement passée sur son pyjama. Le petit garçon l'observa un instant. Il aurait vraiment voulu la trouver belle. Il se le reprochait mais beaucoup de choses lui déplaisaient en elle. Ses cheveux d'abord, ils étaient décolorés, plus ou moins jaunes, selon que l'on était proche ou non de la séance chez le coiffeur. Régulièrement apparaissait l'horrible raie noire, dénonciatrice impitoyable de la supercherie. Fréquemment elle se promenait dans la maison avec des bigoudis sur la tête. Avec naïveté, il se demandait comment elle osait avec autant d'impudeur révéler ses artifices. Elle était ridicule avec tous ces petits rouleaux de couleur fixés sur le crâne. Parfois, il s'interrogeait: « Est-ce qu'elle se comportait ainsi quand Papa était là ? » Par comparaison l'image resplendissante de Laure lui revenait à l'esprit. Elle, il ne l'avait jamais vue avec ces horreurs sur la tête, pourtant, l'été, il vivait plus d'un mois dans son intimité. Et il conclut pour lui-même « Papa a eu de la chance ». C'était sa mère qui avait été infidèle et avait brisé le couple, lui imposant un nouveau père de pacotille, déjà reparti dans la nuit des temps. Il savait qu'elle avait mal agi mais il refusait d'y penser, il l'aimait malgré tout. Elle s'y entendait pour l'apitoyer, employant des arguments que l'enfant acceptait bon gré, mal gré. — Je me suis mariée trop jeune, se lamentait-elle. Et il faut bien dire la vérité, ton père ne m'a pas trop longtemps regrettée. Elle aurait aisément réussi à se poser comme unique victime de la séparation et à faire de son ancien époux un homme sans cœur. Son sens de la dramaturgie était à son comble quand elle évoquait ses difficiles conditions d'existence et le mérite qu'elle avait à aller travailler chaque jour pour les faire subsister tous les deux. — Ce n'est pas avec la maigre pension alimentaire que me verse ton père... Elle ne terminait pas sa phrase tant le début lui paraissait explicite et contenait de sous-entendus. Pascal n'était pas tout à fait dupe maintenant qu'il grandissait. Il comprenait sans vouloir s'y attarder que sa mère avait été la grande perdante de la rupture qu'elle avait provoquée. Contrairement à ce qu'elle avait imaginé, en conformité avec la trame des feuilletons sirupeux dont elle se délectait à la télévision, son époux, après un bref moment de désespoir, s'était bien remis de sa désertion. Il avait rencontré une femme, plus belle, plus jeune, plus gaie et surtout bien plus cultivée qu'elle. Elle ne l'avait pas envisagé un instant et en avait souffert cruellement dans sa vanité d'autant qu'elle n'avait pas su retenir le séducteur lamentable qui l'avait subjuguée. L'enfant n'avait jamais vraiment aimé cet homme mais il l'avait accepté au fur et à mesure du temps et quand ce deuxième père disparut, il en fut très perturbé. Il n'avait que six ans lors de son apparition, il lui restait cependant quelques souvenirs de cette époque. Sa mère lui avait demandé de l'appeler « Tonton Louis » puisqu'il en existait réellement un susceptible de rendre visite à son neveu. Puis il se souvenait qu'un jour, lui, sa maman et tonton Louis étaient partis habiter dans une autre maison. Dans cette nouvelle demeure il fallait appeler « Tonton Louis » Papa, à cause des voisins. L'autre papa, il ne le voyait plus beaucoup mais il était content d'avoir une nouvelle chambre. De temps en temps, il se réveillait en pleurs la nuit et réclamait son premier père, c'était l'autre qui venait le faire taire. Il finit par s'habituer. Arriva l'époque des week-ends et Laure la douce entra dans sa vie, Laure la magnifique, Laure qui avait rendu son papa heureux. Au début sa mère avait essayé de le détourner de la jeune femme, usant d'arguments stupides qu'elle croyait convaincants pour l'enfant : — Est-ce qu'elle te paie des bonbons ? Elle n'est pas aussi gentille que moi, pas vrai ? Sans doute se rendit-elle compte elle-même de la sottise de ses propos car elle y renonça. Il ne lui restait plus qu'à se résigner. Avant Laure, son père et Pascal allaient passer leurs dimanches chez la grand-mère paternelle de l'enfant. Puis il y eut Laure et la maison au bord du canal, la vie prit un autre goût. Les vacances étaient un enchantement. Son père et lui pêchaient des brochets et des sandres que la jeune femme faisait griller en plein air. Une fois, alors qu'ils étaient elle et lui devant le feu de camp, il s'était approché timidement, le cœur battant, il lui avait murmuré à l'oreille « Maman ». Il n'y avait pas si longtemps il appelait bien l'amant de sa mère « Papa». Doucement, Laure lui avait caressé les cheveux et lui avait répondu d'un ton plein de tendresse : - Non, mon petit amour. Je ne suis pas ta maman, je suis ta Laure. L'enfant ressentit une émotion intense et pensa que c'était encore mieux qu'il en soit ainsi. Quand il était avec eux, ils mettaient tout en œuvre pour lui faire plaisir. Ils l'accompagnaient aux fêtes foraines, au cirque. Il ne pouvait s'empêcher de constater que sa mère n'était pas aussi dévouée. Une fois il lui en fit la remarque, elle parut très affectée : - Si tu vivais tous les jours avec eux, crois-tu qu'ils en feraient autant ? Pascal s'était dit qu'elle était jalouse et qu'évidemment ils agiraient de la même façon s'il était toujours avec eux. Jamais Laure ni son père ne lui posaient la moindre question sur sa mère. Chez lui, ce n'était pas la même chose. Quand il rentrait le dimanche soir, elle désirait tout savoir. L'interrogatoire durait longtemps car elle ne voulait pas avouer sa curiosité, alors elle contournait le sujet, quêtant des informations. Elle l'interrompit à nouveau dans ses réflexions : — Est-ce que tu apportes ton carnet de notes à ton père? — Si tu veux, répondit-il , peu convaincu. Il savait que de toute façon, il ne le montrerait pas. Il était un mauvais élève. L'école ne l'intéressait pas. Le seul titre de gloire qu'il pût revendiquer était celui de pitre de la classe. Il ignorait lui-même pourquoi il se conduisait ainsi. Les professeurs s'accordaient à reconnaître, selon l'expression consacrée, qu'il était loin d'être sot mais qu'il n'y avait rien à faire pour qu'il se raisonne. En réalité, ils ne l'aimaient pas, ils ne le supportaient pas parce qu'il perturbait leurs cours. Pour les copains, il était la vedette, le chef de bande, celui qui n'avait peur de rien. Ses résultats cependant étaient catastrophiques. Son père et Laure ne s'en seraient jamais doutés. Ils le prenaient pour un petit garçon intelligent, sérieux et sensible. Bien sûr, ils se renseignaient sur son travail scolaire mais il mentait. — Qu'est-ce qu'il pense de tes résultats, ton père? Il n'ignorait pas qu'en réalité sa mère pensait « Comment juge-t-elle ton travail, elle ? » — Il me dit de faire mieux, concéda l'enfant. Elle avait l'air sombre. A quoi allait-elle occuper son temps quand il ne serait pas là ? Est-ce qu'elle se sentirait plus libre ou lui manquerait-il ? Sa grand-mère paternelle prétendait qu'elle n'était sûrement pas seule et qu'elle avait bien dû se retrouver un amant depuis que le premier l'avait laissé à son tour. Pascal ne voyait jamais d'homme à la maison cependant, et sa mère ne s'absentait presque jamais en dehors de ses heures de travail. Profitait-elle de ses séjours chez son père ou même du temps où il était en classe pour rencontrer quelqu'un ? Il envisagea avec horreur qu'elle lui présente un troisième père, il ne pourrait le supporter. — Tu sais qu'il y a une réunion parents-professeurs, lundi soir? — Je sais, je sais, soupira l'enfant. Il en était terrifié. Elle allait encore se croire obligée de se mettre sur son trente et un. Elle passerait sa fin d'après-midi à se pomponner, à se mettre du rouge sur les ongles. Elle aurait le même rouge vulgaire sur les lèvres, ses cheveux seraient trop blonds. Elle sortirait son manteau de faux léopard et il aurait honte d'elle, et il en aurait mauvaise conscience. « Elle n'y comprend rien, se désespérait-il. Elle y va plus pour parader que pour parler de moi. Et puis elle fait des fautes de français quand elle s'exprime. Pour peu qu'on lui demande d'écrire quelque chose... Je lui échapperai, j'irai aux WC. Elle n'a vraiment pas l'allure de la mère d'un caïd. Les profs et les copains doivent rigoler en douce ». Enfin quand ils reviendraient tous les deux, il devrait subir ses reproches. Elle serait déçue, amère. Ils auraient tous dit du mal de lui. — Tu ne trouves pas que j'ai assez de soucis ? Je n'ai que toi dans la vie et tu me donnes du tracas. Il faut que tu fasses un effort. Que vais-je faire de toi ? Qu'allons-nous devenir ? Ces sempiternelles lamentations désolaient l'enfant, elles l'agaçaient et en même temps il se sentait fautif. Lundi soir ce serait comme toujours. Il décida de ne plus y penser. Il allait passer vingt-quatre heures merveilleuses, loin de son univers quotidien près des deux seules personnes au monde qui le prenaient pour un petit garçon bien. — Maman, que vas-tu faire demain ? — Oh ! Ne t'inquiète pas pour moi, répondit-elle négligemment. Je dois passer la journée avec tante Marcelle. Nous irons sans doute au cinéma. C'était probable. Il s'agissait du programme habituel souvent même lorsqu'il était présent. — Je vais prendre un bain et m'habiller, déclara-t-elle soudain. Prépare ta valise, n'oublie pas ton survêtement. Si tu joues dehors, mets-le surtout. Tâche de rapporter quelque chose de propre pour lundi, ne laisse rien là-bas, cette fois. C'était une allusion directe à son étourderie mais aussi une allusion directe à ce qu'elle considérait comme la négligence de la seconde épouse de son ex-mari qui ne prenait jamais la peine de vérifier le contenu du bagage de l'enfant. C'était vrai que Laure était insouciante et n'attachait que peu d'importance aux réalités matérielles. Tandis qu'il empilait ses menues affaires, sa mère rentra et se campa devant lui, en position d'attente. Il la regarda, surpris, mais elle ne dit toujours rien alors il se replongea dans sa tâche. — Et bien, finit-elle par demander, comment tu le trouves mon nouvel ensemble ? C'était donc ça. Il n'avait pas remarqué la tenue de sa mère. Il releva le tête. Il n'y avait rien à dire sur le nouvel ensemble mais il répondit : — Il est magnifique, maman, il te va très bien. Tu es très belle. C'est ce qu'elle voulait entendre. Il l'avait dit. Elle parut satisfaite. Sa valise terminée, Pascal s'installa à son bureau avec la ferme attention d'achever ses devoirs pour avoir l'esprit libre tout le week-end. Il ne parvint pas à rester attentif plus de cinq minutes. Il en était toujours ainsi quand « Ils » venaient le chercher. Le crayon dans la bouche, les exercices complètement oubliés, il revoyait le beau visage de Laure, encadré de très longs et magnifiques cheveux bruns. Il pensait que toutes les femmes devraient avoir les cheveux longs. Avec fatalité, il referma son cahier, constatant son incapacité à se concentrer. Par la fenêtre, il aperçut Ludovic Germain, son copain Ludo. Il descendit précipitamment pour le rejoindre. — Salut, Ludo ! — Salut le cassos, répondit irrespectueusement mais amicalement l'interpellé. Tu viens avec moi à la boulangerie ? Ils étaient tous les deux dans la même classe et Pascal s'informa du degré d'avancement des devoirs de son camarade : — T'as terminé les exos du père Lesage ? — Penses-tu ! Ce vieux schnock, il fait tout pour nous brouiller les méninges. J'ai rien pigé à son truc de la dernière fois. Et l'autre relou de Creton, poursuivit le jeune Ludo, tu sais qu'elle m'a foutu un zéro à la dernière rédac et qu'en plus il faut que je la recommence. Double peine, quoi ! Soi-disant que j'ai copié sur un livre, c'est ce qu'elle a écrit sur ma copie. J'ai copié sur un livre ! Elle en a de bonnes celle-là. Je me suis comme qui dirait, inspiré, mais copié, faut pas exagérer. Elle n'a qu'à aller se faire voir ! — La barbe de ces débiles, acheva Pascal qui finalement préférait parler d'autre chose. Tu sais que je vais chez mon père cette semaine ? — Ah ouais ! C'est vrai. Je l'ai jamais vu moi, ton père, ma mère dit qu'il est pas mal et sa nouvelle gonzesse aussi. — C'est pas une gonzesse. — Qu'est-ce que c'est alors ? Pascal cherchait le mot qui convenait : — C'est... c'est une super dame, sauf qu'elle a l'air trop jeune pour qu'on emploie le mot « dame ». — Tu as de la veine au bout du compte d'avoir deux familles, conclut Ludo. — Oui, c'est vrai. Et c'était bien son avis devant les copains. Paradoxalement, bien qu'il fût intérieurement bouleversé par sa situation familiale, il en retirait une sorte de vanité puérile. Le divorce de ses parents faisait de lui un être à part, que l'on pouvait plaindre ou envier. Etre comme tout le monde, c'est ce qu'il désirait parfois tout seul dans sa chambre mais jamais devant autrui. — Et puis, ajouta Ludo généralement pratique et intéressé, ça fait deux fois des cadeaux à chaque occasion. — Ca, c'est encore vrai, consentit crânement Pascal. Pour mon anniversaire, avec eux, j'aurai un vélo de course ultra léger, avec ma mère j'aurai un ordinateur portable. Elle a le droit de le payer en cinq fois, sans frais ! — Tu me le prêteras ton vélo ? — C'est pas sûr, je le laisserai peut-être là-bas. Tu comprends, ici, avec la circulation, c'est pas marrant. — Oh, quand-même, riposta Ludo qui ne précisa pas sa pensée. A la boulangerie, en plus du pain aux céréales, ils achetèrent des sucettes au coca. Sur le chemin du retour, sans avertissement, Ludo se mit à imiter le vrombissement d'une moto, zigzaguant sur le trottoir. Inévitablement, il bouscula un passant, un grincheux à cravate d'une quarantaine d'années qui maugréa : — Tu ne peux pas faire attention, non ? — Fais chier, pauvre mec ! chuchota l'enfant, non qu'il fût couard mais parce qu'il avait compris depuis longtemps qu'il n'y avait aucune discussion possible avec ce genre d'adulte. Comme si un souvenir lointain lui revenait, il demanda soudain à son camarade : — Elle va à la réunion lundi soir ta mère ? — Oui, fit timidement Pascal. — Si elle n'est pas trop fatiguée par ses orgies, ajouta mystérieusement Ludo. — Qu'est-ce que tu racontes ? Qu'est-ce que c'est que ça, des orgies ? s'informa l'enfant ignorant mais inquiet devant ce mot. — Ca mon pote, j'en sais rien. C'est mon père qui a dit ça à la voisine l'autre jour en la voyant passer « Elle a l'air crevé la mère Dusol, pas étonnant après les orgies qu'elle fait ». Et même qu'il a continué en parlant de toi « Pauvre petit ! Heureusement qu'il ne se doute de rien ». La voisine a rajouté là-dessus que, malgré tout, elle respectait ta mère parce qu'elle faisait ça seulement quand tu n'étais pas là. — Au revoir Ludo, il faut que je file. A lundi. Pascal courut aussi vite que son souffle le lui permit. Il était terrorisé. Sa mère faisait des orgies comme d'autres avaient un cancer. C'était peut-être grave et lui n'était pas gentil avec elle. Sa décision était prise, il allait sacrifier son beau week-end et rester avec elle. Il fallait soigner ses orgies. Son cerveau était en ébullition. « Orgies, or...eillons ; or...gelets ». Peut-être qu'en cherchant des mots de la même famille, il allait trouver ce dont il s'agissait. « Or...gane, or...nithorynque », ça n'avait rien à voir, sa mère n'avait eu aucune occasion de se trouver en présence d'un ornithorynque. « Or...or...or... ». C'est orgelet qui allait le mieux. Orgies, orgelets. Orgies, orgelets. Oui, c'était sûrement la même racine comme dirait la mère Creton. Mais les orgelets, ce n'était pas très grave. Sûrement, ça faisait souffrir mais ce n'était pas mortel. Peut-être qu'il pourrait tout de même aller en week-end. Pascal arrêta de courir, il avait un point de côté. Il respira et se remit en route en marchant. Si vraiment, ça avait été sérieux, elle n'aurait pas pu le lui cacher. Sans doute que tout ce maquillage, c'é
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