Grand-mère a besoin d'être rajeunie grâce à un bon coup

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mais, vous jaspinez un gaulois à tendance belge, je vois !
patchoulyyyyyyyyyyyyyyyy !!! t'es pô fachée, dis ? tu sais être fière, t'as été la seule à répondre !
Edité le 01/10/2004 à 4:58 PM par rem67rc
hein remic ? keske tu radotes ? mamy blue = cdm alors ??? on l'a retrouvé ???? youpiiiiiiiiiiiiiiie 😍 😍 😍 patchouly tu boudes ou quoi ?
ouftiiiii ! ça va virginie ? 😁 😁 dans ton état, rigoles pas trop fort ! 😁 😁 une promenade sur ton beau cheval ?
euuuuh serait-ce vraiment coffie of the morning ???
bon ben je doute encore un chti peu , donc vais au bain et je vous laisse élucider le mystère ... vivi ( sceptik)
pétro, dans le film, c'est 7 fois pas 5 fois... 😄 😄 😄
mais vivi...on n'est pas dans un film.... 😓
quand on le dit vite, ça fait un bruit de train ....... 😁 blue, la mamie
CDM EST DE RETOUR???????????????? IL EST OU?????????????? IL EST MALADE????? ACCIDENTé??????????? IL A deserté pourquoi alors?

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patchoulyyyyyyyyyyyyyyyy !!! t'es pô fachée, dis ? tu sais être fière, t'as été la seule à répondre !
vivi aussi, c'est moi. ------------- Pétro (de passage) ------- Ouchti, c'est pas fini ces bêtises, mildiou. CDM
Comment faire pour que ma mère cesse de me dire "J'en sais rien" ?
vivi aussi, c'est moi. ------------- Pétro (de passage) ------- Ouchti, c'est pas fini ces bêtises, mildiou. CDM
bah oui, c'est moi. je suis cdm, et aussi jycroispas. je veux tous vous rendre dingues, je suis là pour vous torturer, je suis votre pire cauchemard. dites 5 fois "pétronille" en fixant votre écran, et je suis chez vous.
Ma mère fume en cachette mais je le sais
bah oui, c'est moi. je suis cdm, et aussi jycroispas. je veux tous vous rendre dingues, je suis là pour vous torturer, je suis votre pire cauchemard. dites 5 fois "pétronille" en fixant votre écran, et je suis chez vous.
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Citation : Citation : Flo, je suis ahurie que l'on doive se prémunir de quelqu'un, qui plus est, son propre fils, pour ses funérailles. Mais je répète, que fait-on du caveau, dans ce cas?
Citation : Citation : Étapes : 1Rétrocéder une concession 2Abandonner une concession (* voir plus loin) 1 Rétrocéder une concession Le concessionnaire initial, et uniquement lui, peut renoncer à ses droits et proposer à la commune de lui rétrocéder sa concession. La concession doit être vide de tout corps, soit parce qu’elle n’a jamais été utilisée, soit parce que les restes mortels des personnes qui y avaient été inhumées ont fait l’objet d’exhumation, de transfert dans une autre sépulture, ou de crémation. Cette possibilité n’est pas ouverte aux héritiers (ou ayants droit) qui sont tenus de respecter les contrats passés par leur auteur, à savoir le fondateur de la sépulture. Le conseil municipal ou le maire, s’il a reçu délégation à cet effet, est libre d’accepter ou de refuser l’offre de rétrocession. Si la rétrocession de concession est acceptée, elle sera réalisée à titre gratuit ou à titre onéreux. Elle peut en effet être subordonnée à une indemnisation au prorata du temps qui reste à courir, dans la limite du prix acquitté au profit de la commune. Jusqu’en 2000, un tiers du tarif des concessions devait obligatoirement être reversé au profit du CCAS. Depuis le 27 septembre 2000, cette quote-part est facultative (instruction n° 00-078-MO, 27 septembre 2000 relative à la répartition du produit des concessions de cimetières : BO Comptabilité publique). Ce qui a été versé au CCAS lui reste acquis. Ce remboursement ne porte que sur le terrain concédé ; ainsi, avant la rétrocession de la concession à la commune, le concessionnaire peut reprendre tous les éléments lui appartenant (plaques, stèle, monument, voire caveau…), car ce sont des biens privés. Le caveau préalablement édifié puis laissé sur place par le concessionnaire sera proposé à la vente au tarif établi, et voté par le conseil municipal dans le cadre des prestations relevant du service extérieur des pompes funèbres. Précision Généralement, il s’agit d’un tarif pour une case auquel on applique un coefficient multiplicateur en fonction du nombre de cases. Une facture sera alors établie mais le montant du caveau ne sera pas spécifié dans l’acte de concession. En effet, un titre de concession est un contrat administratif et seul le montant du tarif acquitté à ce titre doit être mentionné. Le contrat administratif précédemment établi étant rompu d’un commun accord, la rétrocession va naturellement impliquer l’abandon par le fondateur de ses droits sur la concession. A noter Le remboursement au prorata temporis posera problème si la rétrocession concerne une concession perpétuelle. Dans ce cas, c’est à la commune qu’il reviendra de déterminer souverainement le montant de la somme proposée au titre du remboursement et au concessionnaire de l’accepter ou la refuser. Une concession, conformément à l’arrêt de la Cour de cassation, 1re civ., 4 décembre 1967, n° 66-10765, confirmé par la réponse du ministère de la Justice publiée dans le JO Sénat du 25 avril 2013, page 1359, est « hors commerce » et ne peut faire l’objet d’une cession à titre onéreux auprès d’un particulier. En revanche, une concession peut faire l’objet par le concessionnaire initial d’une donation entre vifs si l’acte administratif accordant la concession et le règlement municipal ne l’interdisent pas. Dans ce cas, la possession d’une sépulture est assimilée à un droit réel immobilier et à ce titre, l’acte de donation doit être établi devant notaire en application de l’article 931 du Code civil. À réception de l’acte notarié, un acte de substitution est établi par le maire entre le donataire et le donateur. Un nouveau titre de concession est établi au nom du donataire et le contrat établi au nom du donateur ne produira plus d’effets de droit. Attention Seule une concession funéraire jamais utilisée peut faire l’objet d’une donation en faveur d’une personne étrangère à la famille. Dès la première inhumation, une concession acquiert définitivement le statut de concession familiale, même dans la perspective d’une exhumation ultérieure. Cf. Transmettre, une concession par donation ou par legs Au décès du concessionnaire, la concession est transmise, à défaut de legs ou voie testamentaire, à ses descendants, ce qui engendre une indivision perpétuelle entre les héritiers. Toutefois, un ayant droit peut renoncer à ses droits sur la concession. Une telle renonciation doit être reçue par acte notarié conformément à l’article 28-1-a du décret n° 55-22 du 4 janvier 1955 portant réforme de la publicité foncière.
Flo, merci de te réponse. 🙂 Peut-on donc imaginer que le fils puisse pousser sa mère à revendre sa concession à la commune??? 😲

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Mesdames, Messieurs , bonjour Mon Dieu, que c'est compliqué ! celà fait presque un mois que je tente de m'inscrire sur votre endroit. J'ai 72 ans et j'en suis restée à ma vieille machine à écrire Underwood. J'ai due prendre des cours avec un de mes fils ; enfin, voilà . je me permet de vous écrire cette petite lettre pour vous faire part de mon inquiétude pour ma petite fille. Elle a 16 ans et je me suis rendue compte qu'elle fume en cachette. Je lui en ai parlée et elle m'assure que je me trompe, mais je sens bien cette odeur qui reste dans la pièce. Que puis-je faire ? Je vous remercie par avance de bien vouloir m'aider. Sincères salutations. Odette
Bonjour Odette, Je connais le même problème avec mes ados! j'ai tout essayer, mais il me semble que la prévention est une bonne chose,par exemple je laisse sur la table de la documentation, je leur ai envoyé un courrier e-mail avec l'adresse du forum doctissimo,et le plus dûr!!!j'ai arrêté moi aussi afin qu'il comprenne qu'une fois qu'on commence bin c'est pas évident d'arrêter!!et quand mon papa a eu son cancer du cou, je ne leur ai pas caché le trou qu'il avait dans le cou lorsque je lui fesait les soins! voilà maintenant il n'y a plus qu'à espérer que ca portera du fruit! Bon courage Odette 😉
Bonjour, Madame Patchouly, Excusez ma lenteur, mais j'ai due téléphoner à mon fils pour savoir comment je pouvais répondre. Je n'ai moi-même jamais fumé, j'ai donc du mal à comprendre l'intèret que l'on peut avoir à fumer. Comment puis-je lui parler de votre doctissimo alors même qu'elle me soutient qu'elle ne fume pas? nous habitons toutes deux ensembles et je me sens quelque peu responsable d'elle. Odette
Oui je vous comprends, mais elle esr arrivée à un âge où les parents grand-parents ont tord!!!donc à part de la prévention laissée par hazard!!!!sur son passage peut aider et il n'y a pas le dialogue qui ...énerve!!C'est qu'ils s'énervent vite nos ados!! En tout cas je compatis et je vous souhaite bon courage. Bon appétit Madame Odette
Merci, Madame Patchouly, Je ne pense pas avoir tort de vouloir l'empêcher de fumer. C'est très mauvais pour sa santé. Bon appétit à vous aussi. Odette
Je reviens vers vous. Ce soir, ainsi que deux autres jours dans la semaine, ma petite fille va à des cours de gymnastique orientale; Elle appelle celà le quasitra, ou quasutra, je ne sais pas trop. Il parait que c'est assez fatiguant. D'ailleurs, cela m'étonne que ça finisse aussi tard le soir. Je me demande si cela n'est pas une occasion de plus pour fumer ! merci de me donner votre avis Odette
chère Odette,vous me permettez de vous apeller odette? Si je peux vous aider je vous dirai que si elle veut fumer ,malheureusement toutes les occasions sont bonnes!ET même le mensonge malheureusement! Bonne après-midi
Si elle m'a mentie, elle va voir de quel bois je me chauffe ! Elle s'imagine peut-être que mon âge l'autorise à faire ce qui lui plait chez moi ! Comme dit mon fils vulgairement, " faut pas pousser mémé dans les orties, elle est en short " cordialement Odette
BIEN RAISON Odette et en plus c'est pour la bonne cause! Bonne soirée ......Odette! 😉
Par st Hypolitte ! Faut-il que je jaspine le gaulois pour être comprise ? Pauvre madame Patchouly, elle doit maintemant savoir, avec son mp, qu'elle a été roulée dans la farine ! tu m'en veux pas, patchouly !?

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Home INTERVIEWS Terry Tarpey II raconte son fils, invité surprise à l’Euro : « Il vit un rêve ! »

Tarpey père et fils, toujours avec les couleurs du Mans, en 2019




À Cologne, au Mans, à Denain, à New York, à Williamsburg ou à... Aulus-les-Bains, les cœurs se serreront jeudi soir au moment de la Marseillaise. La mélodie qui s'élèvera dans la Lanxess Arena aura peut-être plus de saveur pour un joueur que pour d'autres : Terry Tarpey (1,95 m, 28 ans), le troisième du nom, absolument pas destiné à se re...

Crédit photo : Collection privée Terry Tarpey
Né à Poissy mais originaire de New York, Terry Tarpey III a su gravir les échelons du basket français, d'un nom totalement inconnu (si ce n'est le souvenir de son papa) sur la liste des A' en 2016 jusqu'à la sélection finale pour l'EuroBasket 2022. Ancien shooteur de Saint-Étienne, Poissy-Chatou et Le Mans, son père Terry Tarpey II est revenu avec nous sur la folle trajectoire de son fils. Et non, lui n'est pas surpris !
À Cologne, au Mans, à Denain, à New York, à Williamsburg ou à… Aulus-les-Bains, les cœurs se serreront jeudi soir au moment de la Marseillaise. La mélodie qui s’élèvera dans la Lanxess Arena aura peut-être plus de saveur pour un joueur que pour d’autres : Terry Tarpey (1,95 m, 28 ans), le troisième du nom, absolument pas destiné à se retrouver sur une aussi grande scène, encore moins sous le maillot de l’équipe de France.
Alors bien sûr, Terry Tarpey est né à Poissy, il a passé les trois premières années de sa vie au Mans, son arrière grand-père était même originaire de l’Ariège mais à part ça, plus grand chose ne le rattachait concrètement à la France au cours de son enfance. Du propre aveu de son père, sa relation avec ses racines tricolores était extrêmement faible lorsqu’il grandissait à New York City. Les maillots « Poulet de Loué » du MSB comme derniers vestiges de la carrière de son paternel, shooteur patenté de son état et champion de France NM2 1992, quelques coups de téléphone des anciens voisins sarthois et les histoires de ses parents pour entretenir le lien. Mais c’est tout… Aucun voyage estival en France, par exemple. S’il n’avait pas été basketteur, Terry Tarpey aurait-il seulement remis le pied sur la terre de ses ancêtres ?
Heureusement, s’il n’a pas hérité du bras fantastique de son père, il est également tombé amoureux de la balle orange et a développé tout un panel d’autres qualités. Surtout, il a eu le mérite de réaliser quelques choix forts qui l’ont mené jusqu’à Cologne. En 2016, par exemple, tout juste diplômé de William & Mary University, il aurait pu aller participer à un camp avec les Boston Celtics. Mais il a préféré une obscure – vue des États-Unis – équipe de France A’, avec des coéquipiers qui s’appelaient Mathis Keita, Ousmane Camara, Ron Mvouika ou Alexis Tanghe… Il était alors le strict inconnu de la liste, le nom surprise. Six ans plus tard, si certains de ses collègues de l’époque ont abondamment peuplé l’équipe de France lors des fenêtres internationales, il est le premier à être sélectionné pour une grande compétition ! La récompense – malgré tout – d’un attachement non feint au maillot bleu, mais surtout de son hyper-activité sur le parquet et d’un parcours intelligent, bâti dans la stabilité au Mans.
Dans un excellent français, en visioconférence depuis New York, Terry Tarpey II (57 ans), est longuement revenu en notre compagnie sur son parcours puis l’ascension de son fils. Plus de 30 minutes de discussion où il était aisé, malgré l’Océan nous séparant, de percevoir toute la fierté d’un père sur le point de voir son héritier représenter son pays d’adoption. En voilà un qui a bien fait de quitter l’agitation de Manhattan pour un essai sans promesse de lendemain à Gravelines-Dunkerque en 1987…
Terence, pouvez-vous raconter vos liens avec la France ? Ils sont largement plus anciens que votre simple passage en France…
Mon grand-père maternel est né en Ariège (en 1911). C’est grâce à cela que j’ai obtenu la nationalité française. J’ai toujours de la famille à côté de Pau, dans un petit village des Pyrénées qui s’appelle Aulus-les-Bains. Quand il avait 16 ans, mon grand-père a pris le bateau pour aller s’installer aux États-Unis. Il est devenu un chef français, au sein de l’Empire State Building. Il a rencontré ma grand-mère là-bas et ma mère est ensuite née à New York. Il s’appelait Joseph Tariol.
­Êtes-vous déjà allé en Ariège du coup ?
Au moins une douzaine de fois, oui ! Nous avons de la famille en Ariège mais aussi des cousins à Toulouse ou à côté de Pau. Je viens de parler avec eux il y a deux jours (entretien réalisé vendredi 26 août, ndlr), ils sont très contents de voir les progrès de Terry évidemment. Je me rappelle de l’un de mes matchs de Pro B à Toulouse, toute ma famille était là !
Vous avez joué dix ans en France. Pouvez-vous raconter votre parcours ?
J’ai d’abord joué à New York University, à Manhattan, en troisième division NCAA. En fait, quand j’ai quitté le lycée, j’étais un peu trop maigre, je n’avais pas le physique nécessaire pour le niveau supérieur. Mais NYU était une université réputée pour la comptabilité, le domaine où j’ai obtenu mon diplôme. Sportivement, on a gagné beaucoup de matchs et j’ai fini ma carrière comme le meilleur marqueur de l’histoire de l’université. Le record tient encore, ça fait un moment hein (il rit).
Lors de mon année senior, on a été souvent retransmis par la télévision et il y avait un Monsieur qui connaissait un ancien dirigeant de Gravelines. Le BCM m’a invité à faire un essai en mai et j’ai finalement passé ma première année en France là-bas. Mais j’étais considéré comme le quatrième muté, ils avaient déjà signé trois joueurs donc je ne pouvais pas être qualifié. Gravelines, au début, c’était difficile pour moi. On jouait au Backgammon jusqu’à 3h du matin, on allait à Lille, on mangeait au McDo à 17h tous les dimanche après-midi. Je passais mon temps avec Larry Lawrence ! NYU est au cœur de Manhattan, le centre-ville de New York. Et d’un coup, je débarque à Gravelines, 12 000 habitants. J’ai demandé au coach où étaient les 12 000 car je voyais les mêmes 50 personnes par jour (il rit). Ce n’était vraiment pas facile, surtout que je ne parlais pas trop le Français à l’époque. Mais je me suis accroché car je voulais vraiment devenir un joueur professionnel.
Ensuite, je suis allé à Saint-Étienne en Pro B, où j’ai évolué sous les ordres de Djordje Andrijasevic. J’y ai passé deux années. J’ai notamment joué avec Billy Goodwin lors de la première, on a terminé 5e et on a battu Nantes en playoffs. Saint-Étienne, ça reste un très beau souvenir. Les derbys contre Roanne, c’était chaud… (il souffle) Et le sponsor Géant Casino, les matchs de foot, allez les Verts !
Après, j’ai signé à Poissy. À l’époque, la mère de Terry avait un boulot à Paris donc jouer en Ile-de-France était idéal pour moi. On a gagné le titre en Nationale 2 (troisième division, ndlr) pour monter en Pro B (victoire 112-91 avec 24 unités de Tarpey le 2 mai 1992 en finale contre le Lot-et-Garonne Basket Club, ndlr). J’ai été coaché par Joë Jaunay là-bas. Et enfin, j’ai terminé au MSB lors de mes trois dernières saisons, de 1994 à 1997, avec Ernie Signars puis Alain Weisz sur le banc. Parvenir enfin à jouer en Pro A après plusieurs bonnes saisons en Pro B était très important pour moi. J’ai souvent été dans les meilleurs marqueurs du championnat, une fois avec plus de 20 points par rencontre.
Je me suis fait des amis pour la vie grâce au basket : Jean-Marc Forria, mon coéquipier à Poissy, veut venir en Allemagne pour l’Euro. Quand je suis au Mans, je vais voir les matchs de Terry avec Bob Wymbs. On rigole. Je suis resté copain avec Mike Gonsalvès et Billy Goodwin également. Monsieur Le Bouille, aussi, le président du MSB : quand j’étais joueur, il était en charge des partenariats.
Terry est donc venu au monde lors de votre carrière française…
Terry est né à Poissy, en face du gymnase. L’hôpital était directement en face de la salle Marcel-Cerdan. J’ai une fille qui est née en France aussi, Kaitlyn. Terry a vécu les trois premières années de sa vie au Mans. On est retourné aux États-Unis après ma carrière. J’étais entraîneur pour un JuniorCollege à Long Island et j’étais aussi adjoint à NYU. Après, j’ai été professeur dans un lycée pendant 22 ans. Depu
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