Gorge profonde par la rousse Jessica Madison

Gorge profonde par la rousse Jessica Madison




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Gorge profonde par la rousse Jessica Madison





Full text of " PAL romance "


See other formats


ZARA COX

Undesirable


Dark Desires — 2


SÜMANÏICA


Zara Cox


UNDESIRABLE

Dark Désirés-2

Traduit de l’anglais (États-Unis) par Ana Urbic

Milady Romantica



Chapitre premier


Passé révolu


Axel


«Amour d’enfance. »

À l’époque, déjà, j’avais ce terme en horreur. Il n’y avait rien d’enfantin dans
ce que je ressentais pour elle, et notre relation était tout sauf un conte de fées.
Mais tout le monde nous voyait comme un petit couple aussi mignon que parfait,
et nous, on les laissait penser ce qu’ils voulaient, alors que la vérité était tout
autre. Elle était le péché incarné, et moi, le diable qui l’a entraînée dans un lieu
de perdition où il faisait si bon de s’égarer.

Je vivais pour ces moments, pour elle. Je vivais pour entendre sa voix, qui
avait le pouvoir de me faire tomber à ses pieds, je vivais pour me perdre dans le
bleu cristallin de ses yeux, je vivais pour toucher sa peau satinée et caresser ses
courbes féminines, qui s’imbriquaient si bien contre mon corps. À seize ans, elle
avait déjà tout d’une femme, et j’aurais été capable de buter n’importe quel
homme qui aurait ne serait-ce que jeté un regard vers elle.

À dix-neuf ans, j’ai accepté le fait que mon amour pour elle était en réalité une
obsession, une bombe à retardement logé dans ma poitrine qui finirait par
m’anéantir, mais je m’en foutais. Pour elle, j’étais prêt à mourir, du moment que
je poussais mon dernier soupir dans ses bras.

J’aurais dû savoir que ma fin était proche le jour où elle m’a appelé par un
surnom qui s’est révélé providentiel.

« Mon Roméo. »

Elle m’a appelé comme ça la nuit où elle m’a offert sa virginité, sous un ciel
étoilé, sur la plage devant les maisons de vacances de nos familles respectives,
dans le Connecticut.

« Mon Roméo. »

Comme si elle savait qu’on n’avait pas d’avenir, elle et moi, qu’on était
maudits. Ou, du moins, que je l’étais, moi. Peut-être qu’elle avait tout prévu dès



le début, ou alors, à partir du moment où mon père a pris la décision de
m’envoyer à l’Académie militaire de West Point. Voulant diversifier ses activités
- et s’enrichir encore plus -, Finnan Rutherford a décidé que son rôle de chef
mafieux ne lui donnait plus entière satisfaction et qu’il allait se faire un nom
dans le secteur militaire.

Tout le monde a réussi à tirer son épingle du jeu dans cette histoire. Tout le
monde, sauf moi.

J’étais son Roméo, mais elle n’était pas ma Juliette. Non, Cleopatra McCarthy
n’avait rien de la Juliette de Shakespeare. Je suis tombé dans les filets d’une
intrigante et d’une manipulatrice, qui me l’a mise bien à l’envers et m’a regardé,
impassible, périr dans les flammes de mon obsession pour elle.

Amour d’enfance mon cul, oui !

Les sentiments qu’on a pu éprouver autrefois l’un pour l’autre ont été balayés,
éradiqués en un tour de main. Ce que je ressens pour elle aujourd’hui est bien
trop compliqué à définir.

Réprimant un soupir, je la regarde, et elle me regarde aussi.

Nous ne sommes plus que des étrangers l’un pour l’autre, des ennemis jurés,
et la haine qu’on se nourrit mutuellement fait pratiquement crépiter des
étincelles dans l’espace qui nous sépare.

On est dans l’un de mes clubs, le XYNYC, et un paquet de monde autour de
nous s’abandonne au rythme cadencé de la musique assourdissante. Pourtant, je
ne vois et ne sens qu’elle. Tout le reste s’est comme évanoui. On s’est lancés
dans un concours de regards qui tuent, et je pense même qu’on en éprouve une
certaine satisfaction perverse. Moi, c’est sûr, en tout cas.

Ça fait déjà huit ans que je change et reconstruis le monde avec des « si » dans
ma tête. Elle m’obsède toujours autant, sauf que cette obsession ne fait que
nourrir la haine que je lui voue et la colère qui me consume.

Je m’accoude au bar, ignorant tout ce qui m’entoure et focalisant mon
attention uniquement sur elle. Debout, appuyée contre le garde-fou de mon carré
VIP, Cleo m’observe, une coupe de Dom Pérignon Vintage toujours intacte dans
sa main. L’endroit surélevé et délimité par des cordes de velours noir accrochées
à des poteaux chromés m’offre une parfaite vue sur ses jambes interminables, la
petite robe noire dos nu qui la moule comme une seconde peau, ses fines
épaules, légèrement halées, son cou gracieux et ses cheveux rassemblés en un
chignon souple. Elle demeure immobile, les yeux rivés sur moi, insensible à la
mélodie insistante qui s’enroule autour d’elle. Est-il possible que la musique ne
fasse plus partie des passions de Cleo McCarthy ? Même après tout ce temps, je



ressens encore un pincement de jalousie à l’encontre d’Axel Rose et de Dave
Grohl, dont les chansons ravissaient ses sens un peu trop à mon goût.

Un serveur se présente à Cleo et tend vers elle un plateau chargé de canapés
en tous genres. Elle secoue la tête à son adresse, puis se retourne vers la sortie de
l’espace VIR Aussitôt, l’un de mes videurs se poste devant elle, les bras croisés.
Esquissant une grimace agacée, elle plonge une main dans sa pochette et en
ressort son portable. Sans me regarder, elle pose sa coupe de champagne et se
met à tapoter l’écran de son téléphone. Quelques secondes après, mon portable
vibre dans ma poche et je hausse les sourcils, pas le moins du monde étonné
qu’elle ait mon numéro. L’un des membres de ma famille a dû réussir à mettre la
main dessus avant de le lui filer.

J’attends quelques instants, puis sors le téléphone de ma poche.

Ça fait presque deux semaines que je viens ici tous les soirs. Tu vas bien devoir me

parler à un moment ou un autre.

Je lève les yeux vers elle et l’observe pendant une bonne minute avant de
répondre.


Vraiment ?

Ses narines frémissent légèrement comme elle pianote sur son écran.

Il veut une réponse.

Un sourire cynique me vient aux lèvres et j’ai l’impression de la détester un
peu plus à chaque seconde.


Tu es aussi son messager maintenant ?

Elle me fusille du regard avant de hausser les épaules et de composer son
message.

Tu as ignoré tous ses mails ainsi que les coups de fil de tes frères.


Ce sont tous des idiots.


Tu veux bien me parler de vive voix ?



Non.


Dans ce cas, pourquoi tu me retiens ici ?

Je t’ai expliqué comment ça marche. Tu viens ici si tu veux, mais tu ne repars pas
avant la fermeture du club. Et, ce soir, il te reste encore 2 heures.

Tout ceci est ridicule, Axel.

Mon estomac se tord à la lecture de mon prénom.


Ne reviens plus, alors.

Elle croise de nouveau mon regard, et je sens toute sa haine et sa frustration
m’envelopper comme dans un cocon, nourrissant ma fureur et ma rancune. On se
contemple un long moment, puis elle reporte son attention sur son portable et je
reçois un nouveau SMS de sa part.

Ce n’est pas aussi simple. Je veux te parler et ça ne sera pas long, s’il te plaît.

Mon estomac se noue de plus belle et, à ma surprise, ma queue tressaille dans
mon froc.


« S’il te plaît », carrément ! Tu dois vraiment être désespérée.

Elle soupire, puis tape quelque chose sur son écran, mais ne m’envoie pas le
message immédiatement. Elle agite nerveusement son pouce avant de réappuyer
dessus.

Oui.

Voilà qui est intéressant. La Cleo que j’ai connue n’a jamais supplié
quiconque de quoi que ce soit dans la vie, sauf quand elle m’implorait pour que
je m’enfouisse en elle afin de la faire grimper au septième ciel. Ma queue se tend
davantage et, même si j’ai envie de découvrir la raison de son trouble, je décide
de ne pas creuser la question pour mon propre bien.

La haine. Il n’y a rien de mieux que la haine et le mépris.

À mon tour, je rédige ma réponse.


Après toutes ces années, tu me supplies de quelque chose par SMS, c’est bien triste.



Quoi qu’il en soit, ma réponse est toujours la même : non.


Axel, c’est vraiment important. Laisse le passé là où il est et accorde-moi 5 minutes.

S’il te plaît.

J’ai la rage de ne pas pouvoir entendre ces quatre derniers mots sortir de sa
bouche, d’autant plus que j’en rêve depuis longtemps. Et j’ai encore plus la rage
de ne pas pouvoir aller la rejoindre et lui demander qu’elle les répète à voix
haute.

La mâchoire crispée, je tapote furieusement sur mon portable.

Me parle pas du passé.

Elle lit mon message, puis lève la tête vers moi, les yeux ronds. C’est peut-
être un effet de la lumière, mais je crois surprendre la lueur d’une émotion forte,
de la même intensité que ma haine, dans son regard. Avec une petite moue
frustrée, elle pivote sur elle-même et se dirige vers le bar du carré VIP. Le
barman se penche vers elle pour entendre sa commande et hoche la tête en se
redressant. Il attrape ensuite la bouteille de tequila dans une main et un verre à
shot dans l’autre, qu’il remplit d’un geste habile avant de le faire glisser sur le
comptoir, pile devant Cleo. Celle-ci saisit le shot et l’avale d’un trait en rejetant
la tête en arrière, puis le repose sur le bar.

Machinalement, je fais quelques pas vers le carré VIP, puis m’arrête net,
furieux de me soucier des conséquences que pourrait avoir son acte - totalement
irréfléchi - sur elle. La Cleo que j’ai connue ne supportait pas bien l’alcool, mais
celle que j’ai devant moi aujourd’hui a peut-être un seuil de tolérance plus élevé,
qui sait. En tout cas, ce n’est pas mon problème.

Cloué sur place, je la regarde faire signe au barman, qui la ressert aussitôt, et
elle descend le deuxième shot cul sec avant d’aller s’installer sur l’une des
banquettes en velours capitonné avec une démarche légèrement hésitante. La
suivant du regard, je serre les poings le long de mon corps, luttant de toutes mes
forces contre l’envie d’aller la rejoindre.

Tu ne dois surtout pas céder.

Non, ça m’est même interdit.

Cleopatra McCarthy a fait voler ma vie en éclats, une vie que je n’ai même
pas pris la peine de reconstruire, car je savais que ce serait peine perdue. Du
coup, cela fait déjà huit ans que je fonctionne en pilote automatique, sans la
moindre émotion ni le moindre état d’âme. Elle m’a transformé en une personne



dénuée de vertu, de compassion et de considération pour autrui, et j’ai fini par
m’accepter comme je suis, par m’habituer à ce nouveau moi. Désormais, ce sont
ma haine et ma rancœur qui me font avancer, et ce n’est pas demain la veille que
ça va changer.

Je ne peux pas m’approcher plus d’elle, car j’ai peur de ne plus être en mesure
de répondre de moi-même. Je pensais pouvoir ignorer les pulsions qui
s’emparent de moi et font trembler mes poings chaque fois que je la vois, mais
apparemment non. Si ça avait été le cas, je lui aurais interdit l’entrée du club dès
le premier soir où elle est venue.

Mon manque de contrôle quand il est question de Cleo est une chose, mon
penchant pour le masochisme en est une autre. C’est d’ailleurs pour cette raison
que j’ai ouvert un autre club, le Punishment, et laissez-moi vous dire que le
succès est au rendez-vous. Ce club privé trie ses membres sur le volet et, depuis
qu’il a ouvert ses portes il y a deux ans, j’ai dû amasser vingt millions de dollars
rien qu’avec les frais d’inscription. Qui aurait pu croire qu’il existait des barjots
comme moi cherchant du réconfort dans ce qu’ils méprisent le plus au monde ?
Je suis content que mon club puisse leur offrir ce dont ils semblent avoir
désespérément besoin, même si, moi, il y a bien longtemps que j’ai renoncé à
trouver un exutoire pour mes propres tourments. J’ai fini par m’abandonner à
mon destin, par l’accepter. La colère qui couve en moi - celle qui,
paradoxalement, me pousse à avancer et à réussir dans ce que j’entreprends -
disparaîtra le jour où je rendrai mon dernier souffle.

— Un triple Macallan, sans glaçons, demande une voix rauque derrière moi,
interrompant le fil de mes pensées.

Je me retourne et aperçois Quinn Blackwood, planté au bar.

Ce n’est pas vraiment un ami, car je ne fais ami-ami avec personne. Disons
qu’on s’entend bien et qu’on garde une distance amicale faite de respect mutuel.
On s’est rencontrés à l’Académie militaire de West Point, et on s’est tout de suite
plu, car lui aussi est animé par une sombre force autodestructrice. On était dans
la même équipe d’entraînement, et, bien qu’il ne soit pas resté longtemps à
l’Académie, on a gardé le contact et fini par faire des affaires ensemble. Il est
copropriétaire de plusieurs de mes clubs, dont le XYNYC. Comme moi, il n’a pas
besoin d’argent, et comme moi, il vient ici - et au Punishment, parfois - pour
combattre ses démons.

Je jette un coup d’œil en direction de Cleo pour m’assurer qu’elle est toujours
assise, puis retourne vers le bar. Quinn repose brusquement son verre vide
devant lui au moment où je m’accoude au comptoir en lui lançant :



— Tu sais qu’il y a une bien meilleure bouteille rien que pour toi qui t’attend
dans le carré VIP ?

— C’est trop loin, marmonne-t-il.

Son regard bleu-gris croise le mien et Ton se contemple quelques instants. Je
peux lire dans ses yeux tous les maux qui le rongent. Un bref dialogue silencieux
s’engage entre nous, chacun conscient de l’enfer que vit l’autre. Au bout d’un
moment, je porte mon attention sur un groupe de jeunes femmes dansant non
loin de nous d’une manière plus que suggestive. Je les détaille brièvement, puis
retourne la tête vers Quinn.

— À ce point, hein ? commenté-je.

Il contracte la mâchoire et prend une profonde inspiration.

— Pire, encore, souffle-t-il.

— Besoin d’aide ?

— C’est bon, je me suis déjà occupé de tout ce qu’il fallait, réplique-t-il, l’air
sombre.

Je n’en demande pas davantage, car c’est comme ça qu’on fonctionne : on est
là quand il faut, point.

Du coin de l’œil, je remarque un mouvement dans mon espace VIP et porte
mon regard sur ma meilleure ennemie, qui s’est levée de la banquette et se dirige
de nouveau vers le garde-fou avant de s’accouder dessus, sa coupe de
champagne toujours pleine à la main. Mes gardes du corps, que j’ai postés de
chaque côté de l’espace, sont à l’affût du moindre de ses mouvements, et j’ai
presque - je dis bien presque - envie de rire en voyant à quel point ça l’énerve.

— Si jamais tu as besoin d’autre chose, tu sais où me trouver, informé-je
Quinn sans lâcher la traîtresse des yeux.

Quinn suit mon regard.

— C’est noté. À ce que je vois, toi aussi, tu as du pain sur la planche, dit-il en
faisant un signe de la tête en direction de mon carré VIP.

— Ne m’en parle pas, grommelé-je.

Je le vois furtivement détailler Cleo, l’air impassible. Comme moi, Quinn
Blackwood ne sourit jamais ; comme moi, Quinn Blackwood ne montre jamais
la moindre émotion.

— Merci pour le service que tu m’as rendu, au fait, déclare-t-il.

— Mon contact au Service de l’hygiène et de la santé m’a dit que ça faisait un
petit moment qu’ils avaient cette chaîne de motels dans le collimateur, révélé-je
distraitement. Il a suffi d’un petit billet pour les pousser à faire passer ce dossier
en priorité et d’une visite de quelques-uns de mes hommes au motel pour le faire



évacuer.

En parlant, je reporte mon regard sur Cleo, car c’est plus fort que moi.

— Tout s’est déroulé comme prévu de ton côté ? La personne en question a
atterri là où il le fallait ? lui demandé-je.

— Oui, nickel. Il y a quelqu’un dans l’appart en ce moment ?

— Non, il est vide, dis-je en haussant un sourcil étonné.

— Je peux utiliser ta douche ?

Je plisse les yeux et le jauge quelques instants, puis hoche la tête.

— Oui, bien sûr, prends tout ton temps. Tu peux même te changer, si tu veux,
tu trouveras tout ce qu’il te faut dans la penderie. Je vais demander à Tune des
filles de t’apporter une bonne bouteille.

Quinn me remercie et se dirige vers la porte au fond du bar menant à
l’appartement pendant que j’appelle Cici, Tune de mes serveuses, d’un
claquement de doigts. Je lui dis ce qu’elle doit faire. Elle m’écoute attentivement
en me dévorant des yeux, ce qui m’irrite au plus haut point. Elle commence
sérieusement à me courir sur le haricot, celle-là, mais je m’occuperai d’elle plus
tard, j’ai déjà assez de trucs à gérer ce soir.

Ravalant un soupir, je tourne mon attention sur Vardan Petrosyan, le big boss
de la mafia arménienne à New York. Installé à quatre espaces VIP de celui de
Cleo, il est train de s’enquiller des shots d’une vodka assez rare et très chère,
comme s’il n’y avait pas de lendemain. Sa présence ici ne m’enchante pas du
tout, mais, à partir du moment où j’ai décidé de pactiser avec le diable, je dois
me le farcir tout le temps qu’il faudra.

Ça fait déjà plus de deux heures qu’il est là, et je ne l’ai toujours pas calculé.
Il va falloir que je me jette à l’eau, car, si je l’ignore trop longtemps, il risque de
s’énerver, ce qui ne servira pas mes intérêts.

Quand ils n’arrivent pas à gagner le respect de quelqu’un, les types comme
Petrosyan l’y contraignent en employant la manière forte. Il ne me fait pas du
tout peur et il le sait. Néanmoins, il est également conscient que j’ai besoin de
lui ; du coup, je dois prendre sur moi et le caresser dans le sens du poil.

D’un pas nonchalant, je m’avance vers son espace privé. Lorsque j’arrive au
pied de l’escalier, deux de ses sbires se placent théâtralement devant moi et me
fixent quelques instants avant de me laisser passer. Petrosyan, un petit homme
trapu et laid comme un pou, a la tête pratiquement enfouie dans le décolleté de
Tune des deux bimbos blondes assises sur ses cuisses écartées. Les deux nanas
me détaillent lascivement, mais je les ignore, me concentrant exclusivement sur
le roi de la pègre arménienne, qui tarde délibérément à remonter à la surface.



Lorsque, enfin, il daigne remarquer ma présence, il se redresse légèrement et
m’épingle d’un regard glacial, un sourire hautain dansant sur ses lèvres.

— Je commençais à croire que tu avais oublié moi, annonce-t-il avec son
accent à couper au couteau.

— J’attendais que tu sois bien à l’aise et... détendu avant de venir te voir,
répliqué-je.

Il part d’un fou rire.

— Nadiya, il pense que je suis détendu. Toi aussi, tu penses que je suis
détendu ? interroge-t-il la nana perchée sur sa cuisse droite.

L’intéressée secoue vivement la tête.

— Vérifie, pour être sûre, tu veux bien ? T encourage-t-il.

La dénommée Nadiya s’exécute sur-le-champ et fait glisser sa paume sur ton
torse et le long de son ventre, avant de la poser sur son entrejambe.

— Non, Vardan, tu n’es jamais détendu, tu es dur de partout, minaude-t-elle.

Il glousse en lui faisant un clin d’œil, puis se retourne vers moi, l’air sérieux.

— Tu vois, tu aurais pu venir plus tôt, fait-il remarquer.

— Mes excuses, dans ce cas, dis-je en hochant la tête. As-tu tout ce dont tu as
besoin ?

Il m’observe quelques instants avant de déclarer :

— Non, mais on devrait pouvoir y remédier par une petite négociation, hein ?

Et c’est reparti pour un tour. J’ai le droit au même discours tous les trois ou

quatre mois et, normalement, je lui démontre par A plus B que je paie déjà le
double de la valeur réelle pour la marchandise qu’il me vend. Mais, cette fois, je
vais changer de tactique. Le fait que Cleo vienne ici chaque soir depuis deux
semaines prouve que mon plan fonctionne. L’empire de Finnan Rutherford est en
train de s’effondrer doucement mais sûrement, et ça, ça n’a pas de prix.

— Que veux-tu, Petr
Copine vraiment sexy à baiser
Redhead pornstar passionate banging - Free xxx sex porn video streaming
Sa belle mère est une salope

Report Page