Glamour lesbien entre deux déesses

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II, 1. Dialogue de Socrate et d’Aristippe. Apologue de Prodicus sur Hercule





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Hercule, tenant une massue et une quenouille (n’est-ce pas plutôt la main droite de la Déesse de droite ?), se tient debout, de face, entre deux femmes à l’intérieur d’un temple figuré par un toit plat, un seuil et deux colonnes. En dessous de ces trois personnages debout, un homme est allongé, représentant une Divinité fluviale ou maritime : la proue d’un navire est représentée derrière lui, orientée vers la gauche.
1. Au recto de la pièce on peut lire : « IMP CAESAR TRAIAN HADRIANVS AVG: »
Le recto représente la tête d’Hadrien, ceint d’une couronne de laurier, tournée vers la droite.
Au verso, on peut lire : « P(ontifex) M(aximus) TR(ibunicia) P(otestate) CO(n)S(ul) III » (Grand pontife, revêtu de la puissance tribunitienne, consul pour la troisième fois).
2. Réf : RIC II Hadrien 59, p. 348. Voir également RE3 99, p. 254.
Diamètre : 6 mm. Poids : 7,19 g.
Acquis par le musée en 1825, de la collection de George IV.
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Histoires d'amour lesbiennes la première fois
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Au sommaire de cette page vous pourrez trouver toutes les histoires d’amour lesbiennes la première fois . Pour les lire il suffit simplement de cliquer sur le nom de chacune d’entre elles.
Une page est spécialement dédiée à cette thématique car c’est le mot clé en tête des recherches.
Le taxi venait de s’arrêter dans la cour du château. Les traits tirés par le long voyage en train, Louise se sentit tout d’un coup défaillir. En effet elle n’avait pas imaginé un seul instant que son séjour en maison de repos, de surcroît pris en charge par la sécurité sociale, se passerait dans un lieu aussi prestigieux. Le plus difficile maintenant était de descendre de la voiture et de régler les formalités administratives. Heureusement le chauffeur avait, grâce au pourboire, poussé l’amabilité jusqu’à lui porter sa valise dans le hall d’entrée. En la quittant il la salua et lui remit sa carte de visite. Quand elle se sentirait mieux, peut-être aurait-elle envie aussi de visiter la région.
Louise le remercia sans pouvoir néanmoins imaginer l’utilité réelle de la carte. Elle souffrait de dépression et c’est son médecin qui, avec son accord, avait organisé cette hospitalisation. Louise devait ainsi profiter de ces quelques semaines pour se reposer mais également réfléchir à son avenir. 
Un après-midi au parc. La municipalité dans le cadre de son jumelage avait organisé un concours de chorales d’amateurs. Ambre, ajointe à la mairie en charge de la culture, avec Bob son homologue américain avaient mis un an à monter ce projet.
C’était un spectacle gratuit qui rassemblait musiciens et chanteurs des deux continents. Tous les soirs à 18 heures durant une heure, elles se relayaient chaque jour durant tout le mois de juillet dans le jardin public, au kiosque à musique. Ensuite chaque auditeur disposait d’une heure pour élire la chorale de son choix. Que la meilleure gagne.
Aussi pour la population voir débarquer ces chorales américaines en France, c’était l’attraction. La ville était située près d’un parc d’attractions à thèmes dont les héros étaient ceux de célèbres dessins animés américains. Elle appartenait à une communauté de communes assez riche grâce aux retombées économiques des touristes…
« Jess lève-toi ! Tu vas être en retard au lycée, » lança Vanessa, sa mère, depuis la cuisine où elle s’activait à préparer le petit déjeuner.
Malgré le ton autoritaire, ce rappel resta sans réponse. Jess tira la couette jusque sous son nez alors qu’elle avait cours toute la journée. Seulement aujourd’hui c’était au-dessus de ses forces. Impossible de se motiver. Vanessa, inquiète de ce comportement inhabituel décida d’aller voir. Elle frappa à la porte et sans réponse de Jess, entra. La pièce était plongée dans le noir. Aussi Vanessa appuya sur l’interrupteur ce qui eut pour effet de déclencher un cri perçant de Jess. « Éteins, ça me brûle les yeux ! »
Pour ne pas la contrarier sa mère lui obéit puis s’assit sur le bord du lit tout en caressant doucement les cheveux de sa fille.
« Qu’est-ce qui ne va pas Jess ? Pourquoi tu ne veux pas aller au lycée ?
Mardi matin. Pauline laissa un mot pour la femme de ménage afin de lui dire que dorénavant il y aurait la deuxième chambre à nettoyer. Pour le moment elles continueraient à faire chambre à part. En effet Pauline était insomniaque. Afin de terminer sa nuit sans avoir à ruminer les problèmes professionnels elle lisait ou regardait la télévision.
Elles étaient aussi passées au tutoiement. Cependant pour l’agence, leur relation n’étant pas encore officielle elles garderaient le vouvoiement. Quant à la voiture, Jess et Pauline continueraient à prendre chacune la leur. Leur activité leur occasionnait de nombreux déplacements. Finalement le seul changement visible était la nouvelle tenue de Jess. Costume et chemise habillée, plus rien à voir avec ses tenues adolescentes.
Pauline ne put s’empêcher de la complimenter pour son élégance. Elle dut aussi se faire violence pour ne pas lui faire l’amour car la vision de son amante déclencha en elle une pulsion difficilement contrôlable. Heureusement qu’elle tenait à son maquillage …
Jade regarda sa montre. Il lui restait deux heures pour tout boucler. Ses affaires étaient prêtes. Elle ne devait surtout rien oublier. L’ordinateur, la tablette, le téléphone portable ainsi que les cordons, les batteries de rechanges et bien sûr les disques durs externes. Ensuite bien vérifier que tout était rangé et propre, la poubelle vidée. En effet Jade partait pour un mois dans la villa familiale pour les vacances d’été.
En fait vacances c’était vite dit. Jade quittait la ville pour la campagne. Même si la piscine et le beau temps assuré donnait un air de farniente, ces congés seraient studieux. De toute manière Camille ne manquerait pas de l’appeler plusieurs fois par jour pour le lui rappeler. Jade et Camille avaient toutes les deux 26 ans. Elles étaient donc jeunes et se lançaient à corps perdus dans la création de leur start-up. En plus d’être jeunes elles étaient ambitieuses. Jade est une jeune femme de son temps, pressée, urbaine, mondialisée. 
Lundi 13 janvier 1992 – ENTRETIEN AVEC LA PSYCHIATRE
« Raptus suicidaire ». La psychiatre m’a dit que la thérapie allait entrainer de nombreuses crises d’angoisses et le risque était le raptus suicidaire. C’est pourquoi une seule de ses consœurs a accepté de me prendre. J’avais rendez-vous avec elle demain. Par ailleurs compte-tenu de ce qui s’était passé un homme était contre-indiqué, il y aurait trop de résistances.
D’autre part la psychiatre n’était pas très chaude pour que je m’installe seule même si mes parents ne sont pas loin. Au moins à l’hôtel il y a quelqu’un si jamais je me sens mal y compris la nuit avec le veilleur. Elle va appeler mon père et revoir avec lui les modalités de mon emménagement. J’ai alors pleuré car j’en ai marre qu’on me traite en petite fille. Je vais avoir 29 ans, je suis une adulte, je peux me prendre en charge.
Bonne à rien, nulle en tout. Ce jugement paternel sans appel résonnait encore dans les oreilles d’Émilie. Elle en était profondément blessée car à quinze ans, on est sensible, les émotions étant exacerbées. Victoire était sa meilleure amie, à la vie à la mort. Inséparables elles étaient jusque dans la fusion. Rien de plus banal à l’adolescence que de traverser par cette étape, de l’amitié trouble qui ne dit pas son nom. Le père d’Émilie était un psychorigide qui n’acceptait pas de voir sa petite fille chérie grandir et devenir une femme. Il pestait contre Victoire qu’il voyait d’un mauvais œil car elle avait une influence détestable en détournant Émilie de ses études. Encore que ce fût vite dit.
Émilie était toujours une excellente élève, vouée à une carrière brillante. Bien qu’elle ne se consacrât plus uniquement aux études, elle apprenait également à s’éveiller à autre chose.
Le verdict venait de tomber. Condamnée à une peine de huit ans d’emprisonnement dont deux avec sursis, Line assise dans la boxe des accusés, prit la sentence sans broncher car elle avait été jugée pour meurtre.
Line, célibataire, habitait dans une citée, un minuscule deux pièces, dans une ville dortoir de banlieue où elle travaillait dans l’hypermarché du coin en tant que caissière. Sa voisine de palier, Sylvie, mariée à Yves, un routier plus souvent sur les routes qu’au domicile conjugal, était également sa collègue. Toutes deux la petite trentaine se retrouvaient tout naturellement sur leur lieu de travail et c’est ainsi qu’elles devinrent vite deux amies intimes inséparables. Ainsi Line invitait son amie Sylvie pour boire un café, le soir après le boulot mais c’était surtout un prétexte pour papoter.
Colette n’en pouvait plus de ses kilos superflus. Il y avait bien longtemps que son mari ne lui susurrait plus des mots d’amour et les rares fois où il avait encore envie d’elle, c’était le matin, certain que son érection tenait plus de la mécanique que de la libido. Ses copines l’avaient bien entraînée à la piscine. Mais le calvaire du maillot de bain noir une pièce trop serré pour elle et des regards ironiques quand elle entrait dans l’eau, l’avait peu à peu découragée.
C’est son médecin, qui au regard de sa tension aussi élevée que l’Everest et de son taux de cholestérol qui se portait mieux que le cours de la bourse, qui lui parla d’une cure thermale. Colette n’aurait aucun mal à obtenir de la sécurité sociale une prise en charge pour les soins, resterait à ses frais l’hôtellerie. Colette était ravie de cette proposition. Ce serait l’occasion de partir sans son mari qu’elle ne supportait plus.
Suzanne et Jean-Pierre étaient mariés depuis trente ans. Leurs deux filles, âgées de 29 et 28 ans, étaient bien établies, mariées et mères de famille. A cinquante ans Suzanne avait tout d’une femme comblée. Elle avait rencontré son mari au lycée. Première amour, amour de jeunesse, depuis ils ne s’étaient plus quittés.
La vie de Suzanne avait été une longue ligne droite. Avec Jean-Pierre ils avaient hérité de l’entreprise familiale. Une société de bus, spécialisée dans les transports scolaires. Leur vie était rythmée par les vacances et les classes de neige, de mer ou vertes ainsi que les sorties de fin d’année. C’est ainsi que leur carnet de commandes étaient remplis d’une année sur l’autre. Rien ne pouvait arrêter la course du temps.
Jean-Pierre avait su développer son entreprise. Par un habile réseautage, il avait su se faire connaitre et reconnaitre par les décideurs.
Un après-midi froid et ensoleillé d’hiver. Anne avait envie de profiter de ce dimanche. Elle habitait et travaillait en banlieue. Sa vie était calme et rangée. Elle passait ses distractions à Paris. Avec le train et la carte d’abonnement, c’était facile de s’y rendre. Son plus grand plaisir était ainsi d’errer sans but dans les rues de la capitale. Au gré de son humeur et de ses pensées, elle découvrait un monde qui lui paraissait inaccessible.
Anne aimait avant tout observer les gens dans ce qu’ils ont de plus insignifiant. Un détail, une attitude, des paroles et elle pouvait du reste inventer un scénario. Elle mettait en scène ses rêves, ses désirs, ses peurs et ses angoisses. Tour à tour bourgeoise, SDF, étudiante ou touriste, elle imaginait ce que devait être leur vie. Cela lui permettait entre autres d’accepter les contraintes et les frustrations de la sienne, d’en assumer les paradoxes. Elle préférait ainsi oublier que sa famille s’était écartée d’elle lorsqu’elle lui avait révélé que ses choix affectifs ne rimaient pas avec préservatifs, contraception ou mariage.
Iris avait très mal dormi dans la couchette du train parti la veille au soir d’une gare parisienne pour la Suisse. En effet elle n’avait pas eu le choix lors de la réservation. Il faut dire que la promotion était alléchante. Pour tout séjour de deux semaines dans cet hôtel de luxe la deuxième et troisième de janvier, la seconde était offerte à condition de voyager de nuit dans ce train spécialement affrété par le club. Iris n’avait pas les moyens de se payer un tel séjour en dehors de cette période, encore moins un billet d’avion et le taxi à l’arrivée. C’est pourquoi elle avait dû se supporter les ronflements de ses voisines de couchettes amplifiés par la sécheresse du chauffage mal réglé.
Cependant elle devait reconnaitre que l’organisation était bien huilée. A peine descendus du wagon, le personnel du club était venu les accueillir pour les guider vers les bus qui devaient les mener à l’hôtel. Ce bref trajet sur les routes très enneigées de haute montagne les plongea directement dans les vacances. L’hôtel totalement refait à neuf depuis un incendie se dressait face aux pistes. 
La mouette n’avait de rieuse que le nom. La fiente s’était écrasée sur la table arrêtant net la dispute. Sylvia fusillait du regard Roxanne en regrettant presque que le volatile ait raté sa cible. Au moins Roxanne aurait eu une bonne raison d’en vouloir à quelqu’un car elle n’en pouvait plus de ses reproches. D’ailleurs elle ne savait même pas comment avaient débuté ceux-ci. Elles sirotaient tranquillement un rafraichissement en terrasse tout en contemplant la mer quand Roxanne avait entonné son refrain préféré parce que Sylvia refusait de lui dire à quoi elle pensait.
Et si justement elle ne pensait pas, qu’elle se contentait du spectacle offert par les vagues et les oiseaux tournoyants dans les airs. Mais Roxanne insistait. Le jeu des questions réponses avait commencé, rien ne pouvait l’arrêter. Sylvia soupira car elle savait déjà comment cela allait se terminer. Pourtant elle qui détestait la bagarre était gâtée. En effet Roxanne savait donner les coups. Difficile de se mettre à l’abri dans des moments pareils.
« Ma langue humide sur ton sexe brûlant, tu en rêvais je l’ai fait. Ton Minou »
Florence en fit tomber le portable de Clothilde de ses mains. Elles étaient en retard au diner de leurs amies et Clothilde avait demandé depuis la douche de les prévenir car le numéro était dans le répertoire de son mobile. Mais Florence n’était pas un as de la technologie. En effet elle avait paniqué en pianotant sur toutes les touches car elle ignorait comment accéder directement à la liste de ses contacts. Les yeux grands ouverts elle lisait et relisait le sms. Ton minou. Quelle vulgarité !
Et pourquoi pas ta chatte pendant qu’elle y était ! M
Belle mère bonne baisée par son beau fils
S'occuper de sa chatte comme il faut
Deux étudiantes et une bite

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