Geisha aussi élégant que le vent

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Geisha aussi élégant que le vent

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« Mémoires d’une geisha » suscite une controverse spirituelle
Comment une simple recommandation de voir un beau film peut-elle susciter autant de controverse ?
J’écris un bulletin d’information en ligne et j’avais suggéré à mes abonnés de voir le film « Mémoires d’une Geisha ».
J’ai reçu une avalanche de courriels du monde entier me demandant pourquoi j’encourageais les gens à voir un film qui raconte l’histoire d’une enfant vendue dans un monde cruel et inhospitalier pour être formée toute sa vie à servir des hommes.
Bien que les geishas ne soient pas des prostituées, les nombreuses personnes qui ont remis en question ma recommandation ne voulaient pas voir un film qui traite de l’exploitation des femmes.
Je comprends ce point de vue.
Ma réponse a été de voir le film pour la même raison que vous verriez Racines et Autant en emporte le vent…. La liste de Schindler et Exodus . … et Danse avec les loups et Le dernier des Mohicans.
Chacun de ces films est extraordinairement beau et puissant dans son portrait d’humains agissant de manière loin d’être parfaite envers d’autres humains.
La raison pour laquelle vous et moi nous identifions si profondément à ces classiques est que la plupart d’entre nous menons nous-mêmes des vies moins que parfaites. La plupart d’entre nous sont confrontés à des situations et à des personnes difficiles à différents moments de leur vie.
Ce que des films extraordinaires comme Les mémoires d’une geisha peuvent faire pour vous, c’est vous montrer qu’il est possible de s’élever au-dessus des circonstances les plus difficiles . … comment, même dans les pires conditions, quelques âmes riches peuvent parfois apparaître et toucher votre cœur.
Et surtout, comment VOUS pouvez vous-même devenir une âme riche pour toucher les autres.
Lorsque j’ai recommandé Mémoires d’une geisha, j’avais une scène particulière en tête. C’est cette scène qui en a fait un film extraordinaire pour moi.
Si vous n’avez pas encore vu le film, je ne vais pas vous dévoiler l’histoire en vous en disant trop ici. En fait, si j’évoque cette scène, c’est parce qu’il serait facile de passer sous silence les leçons extraordinaires et la beauté qu’elle contient.
Elle se déroule dans le film après que l’enfant Chiyo a été arrachée à sa famille et vendue à une maison de geishas. Peu de temps après, elle est manipulée par la Geisha la plus importante de la maison pour commettre une violation impardonnable.
Puis, après une grave chute lors d’une tentative ratée d’échapper à son destin qui ne cesse de s’aggraver, Chiyo est condamnée à une vie d’esclavage par la mère de la maison. À cause de cet acte manqué, elle est exclue de la formation qui lui permettra d’améliorer sa position et de devenir une geisha.
Chiyo, âgée d’une dizaine d’années, a perdu tout espoir.
Son monde entièrement sombre, elle est à genoux sur un pont piétonnier, quand un homme bien habillé accompagné de deux Geisha s’arrête, se penche vers elle et lui dit : » C’est une trop belle journée pour être si malheureuse. Etes-vous tombée ? »
C’est un moment étonnant dans le film.
C’est presque trop incroyable.
Quelqu’un fait vraiment preuve de gentillesse ?
C’est au point que vous, vous-même, n’êtes pas sûr à ce moment-là, en pensant, « Maintenant, qu’est-ce que cet homme va essayer d’obtenir d’elle ? »
En fait, ses mots gentils continuent.
Il dit à l’enfant silencieux : « Nous trébuchons tous parfois. » Désignant l’une des élégantes geishas qui l’accompagnaient, il sourit : « Un jour, elle est tombée de ses chaussures en bois. Maintenant, regardez-la. »
Il va un peu plus loin. Il demande à Chiyo son nom. Il lui achète une succulente friandise sur un stand.
Et le nuage sous lequel l’enfant est restée si longtemps se dissipe soudainement. Ses yeux s’illuminent et elle s’exclame : « Maintenant, moi aussi je suis une geisha ! »
Le gentleman disparaît. Mais comme une véritable âme riche, son acte de grâce a un impact profond.
La voix de Chiyo racontant l’histoire à l’âge adulte dit : « À ce moment-là, je suis passée d’une fille qui ne connaissait que le vide à quelqu’un qui avait un but. »
Et sa vie entière change en effet à ce moment-là.
Elle est toujours asservie. Mais elle prend alors la décision de suivre son destin, de l’embrasser et d’utiliser la voie qui lui a été donnée pour s’élever au-dessus de tout.
Et c’est avec de telles décisions, mon ami… quelles que soient tes circonstances… que ta vie change aussi.
Avez-vous déjà vécu un tel moment ?
Quelqu’un vous a-t-il déjà dit des mots semblables pour vous élever et vous donner la force de poursuivre votre route vers des lendemains qui chantent ?
Ou, plus important encore, avez-vous déjà prononcé ces mots pour quelqu’un d’autre, bouclant ainsi la boucle, embrassant votre destinée la plus élevée afin d’être également une lumière pour les autres ?
Face à vos propres défis, vous avez parfois – comme moi – désespérément souhaité trouver de telles personnes.
Les véritables âmes riches peuvent en effet être rares.
Voulez-vous savoir où les trouver ?
Voulez-vous savoir COMMENT les trouver ?
Tout commence par l’ouverture de votre cœur à une autre personne dans le besoin et par le fait de devenir vous-même une âme riche.












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Cela faisait un petit moment que je n'avais pas fait de point "culture nippone". Alors voici un nouvel article aujourd'hui sur les Geisha. Un peu long peut-être, mais j'éspère que ça vous plaira ^^
(Source Wikipédia - Article inédit)
Une geisha plus souvent appelée geiko à Kyōto, est au Japon une artiste et une dame de compagnie, qui consacre sa vie à la pratique artistique raffinée des arts traditionnels japonais pour des prestations d'accompagnement et de divertissement, pour une clientèle très aisée. Elle cultive le raffinement artistique dans divers domaines tels que l'habillement en kimono, la musique classique, la danse, les rapports sociaux et la conversation, des jeux... Le mot « geisha » peut s’interpréter comme « personne d’arts » ou « femme qui excelle dans le métier de l'art ».
Les geishas étaient nombreuses aux XVIII e et XIX e siècles. Elles existent encore dans le Japon contemporain bien que leur nombre soit en constante diminution : estimé à 17 000 dans les années 1980, il n'est plus que d'environ 200 de nos jours, principalement à Kyōto dans le quartier de Gion. Cependant, grâce à une meilleure communication sur les activités des geishas notamment par la télévision et Internet, le nombre d'apprenties geisha ( maiko ) a connu récemment une nette augmentation. 
L'institution multi-séculaire des geishas entretient un rapport étroit et complexe avec le phénomène de prostitution — entre idéalisation de leur rôle et de leurs activités, et réalités historiques et sociales. Il est toutefois certain que l'octroi de faveurs sexuelles par la geisha à son client n'a jamais été entendu comme systématique ou allant de soi.
Le mot geisha se compose de deux kanjis signifiant « art » et « personne » ou « pratiquant » ; une geisha est donc littéralement une « personne qui pratique les arts ».
Dans le dialecte de Kyōto, les geishas sont dénommées geiko et leurs apprenties maiko . Dans d'autres régions du Japon, notamment à Tōkyō, on pourra utiliser les termes de hangyoku ou d’ oshakusan pour désigner les jeunes filles en apprentissage.
Les geishas appartiennent au " monde des fleurs et des saules" . Selon la geisha Mineko Iwasaki, une geisha doit avoir la délicatesse d'une fleur ainsi que la force et la souplesse d'un saule.
Les geishas spécialisées dans la danse ou le jeu d’un instrument à vent ou de percussion, plus jolies, étaient appelées tachikata ( « personne debout » ), celles spécialisées dans le chant ou le jeu d'un instrument à corde jikata ( « personne assise » ), les secondes étant considérées comme des accompagnatrices des premières.
L'ouverture des maisons de thé dans les quartiers de plaisirs en 1712 marque le début du métier de geisha. Les geishas sont le résultat de l'évolution des taikomochi ou hōkan , équivalents au Japon des bouffons du Moyen Âge en Europe. Ainsi, les premiers geishas étaient des hommes, dont le travail était principalement de divertir, par des chants et de la musique, les clients des maisons de thé.
Au début de leur intégration aux geishas, dans les années 1750, les femmes étaient appelées onna geisha ( littéralement : femme geisha ), ou geiko à Kyōto. Elles devinrent rapidement plus nombreuses que les hommes, qui prirent le nom d' otoko geisha ( homme geisha ) pour se différencier des femmes. À partir de 1800, toutes les geishas étaient des femmes.
En 1779, le gouvernement japonais officialisa le métier de geisha et créa un bureau d'enregistrement, destiné à recenser les geishas et à faire respecter la loi. Celle-ci indiquait que seules les prostituées patentées pouvaient avoir des relations sexuelles avec leurs clients, et pas les geishas.
En 1842, la réforme Tenpō proscrivit la prostitution et fit fermer les quartiers de plaisirs, mais ceux-ci rouvrirent en 1851. En 1886, afin de garder le contrôle sur les activités des geishas, le gouvernement fixa un tarif officiel pour leurs activités.
Jusqu'au début du XX e siècle, les geishas étaient considérées comme à la pointe de la mode, à tel point qu'avec l'occidentalisation du Japon dans les années 1920-1930, on vit apparaître des geishas s'habillant et dansant à l'occidentale, surnommées dansu geisha . Mais beaucoup d'entre elles s'opposèrent à cette modernisation et se posèrent en gardiennes de la tradition japonaise, ce qui est toujours le cas actuellement.
En 1944, pendant la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement fit fermer les quartiers de plaisir et envoya les geishas travailler en usine pour soutenir l'effort de guerre. Le 25 octobre 1945, les quartiers de plaisir rouvrirent. L'interdiction totale de la prostitution en 1957 démarqua définitivement les geishas des prostituées. À la même époque, de nouvelles lois sur le travail des enfants et la scolarité obligatoire interdirent aux filles de devenir maiko avant quinze ans.
En 1965, la Kyōto dentō gigei shinkō zaidan ( littéralement « Fondation pour le développement des arts et musiques traditionnels de Kyōto » ) dénombrait à Kyōto 65 maiko , chiffre qui chuta ensuite jusqu'à 28 en 1975, avant de remonter et se stabiliser à une moyenne de 60 maiko dans les années 1990. Ces dernières années, on observe un engouement nouveau pour la profession de geisha au Japon, avec pour la première fois en avril 2008 plus de 100 maiko (101 exactement) dans les cinq hanamachi de Kyōto. Il semblerait que cet engouement soit notamment dû au nombre grandissant d'informations disponibles sur ce métier : livres, reportages et documentaires télévisés, mais aussi blogs et sites web personnels de maiko ou de geishas.
Kyoto est traditionnellement la ville des Geishas, c'est dans cette ville que les Geishas ont fait leur première apparition. De nos jours c'est dans cette ville qu'elles sont les plus nombreuses.
Le vêtement des geishas est un kimono de soie décolleté dans le dos, surnommé obebe dans le dialecte de Kyōto. Les couleurs du kimono se choisissent selon la saison, mais aussi selon l'âge de la porteuse : les jeunes femmes portent des couleurs vives tandis que les geishas de plus de trente ans choisissent des couleurs plus discrètes.
Le kimono est plus ou moins épais selon la saison : le kimono d'été, ro , est en simple gaze de soie ; le kimono d'automne ou hitoe est en soie non doublée. Enfin, le kimono d'hiver, awase , est doublé de crêpe.
Le kimono est noué dans le dos par une large ceinture de soie, nommée obi . Cet obi se noue différemment selon l'âge de la geisha : les femmes mûres le portent en « nœud de tambour » (taiko musubi ), mais les maiko le portent « en traîne » ( darari obi ), avec un nœud qui remonte jusqu'aux omoplates, le bout de l' obi traînant presque par terre. Un tel nœud nécessite un obi de plusieurs mètres de long. Ce nœud dans le dos distingue les geishas des oiran et autres prostituées, qui nouaient leur obi sur le devant pour pouvoir l'enlever et le remettre plusieurs fois au cours d'une soirée.
Enfiler un kimono et nouer un obi est une opération complexe, d'autant plus que, les kimonos étant tous de la même longueur quelle que soit la taille de la porteuse, il est généralement nécessaire de replier le tissu du kimono sous l' obi , sauf pour une geisha très grande. C'est pourquoi les geishas font souvent appel aux services d'un « habilleur » professionnel.
Les kimonos sont fabriqués et peints à la main, ce qui les rend très chers : entre 5000 et 6 000 euros pour un bon kimono.
En dehors des kimonos « ordinaires », les geishas portent pour les cérémonies importantes un kimono appartenant à leur okiya , de type kurotomesode , noir avec cinq kamon (blasons) de l' okiya .
En guise de sous-vêtements, les geishas portent un koshimaki ou « couvre-hanches », une simple bande de tissu fin enroulée autour des hanches, puis une combinaison. Cette combinaison doit être en harmonie avec les couleurs du kimono, car elle apparaît en deux endroits : au niveau des chevilles quand la geisha relève son kimono pour marcher, et au niveau du col. Ce col est traditionnellement cousu chaque matin à la combinaison choisie par la geisha, puis décousu le soir pour être lavé. Il est rouge — couleur associée à l'enfance — pour les maiko , et blanc pour les geishas confirmées.
Les geishas portent aux pieds des chaussettes tabi et des sandales de bois ( geta ).
Bien souvent le maquillage que l'on associe aux geishas est en réalité celui des maiko . La distinction entre les deux réside dans le port du rouge à lèvres. Si les geishas ont les lèvres entièrement teintes, il ne s'agit chez les maiko que de la lèvre inférieure.
Le visage est entièrement fardé de blanc, par-dessus une couche d'huile appelée bintsuke-abura . Le maquillage est étalé à l'aide d'une brosse de bambou, puis l'excédent est tamponné avec une éponge. Autrefois, ce maquillage contenait du plomb, si bien que beaucoup d'anciennes geishas souffraient de maladies et de problèmes de peau. De nos jours, il est à base de poudre de riz. La nuque est également maquillée de blanc, en laissant apparaître une partie de la peau de la geisha. Les joues, les yeux et les lèvres sont maquillés de rose et de rouge. Les sourcils et le contour des yeux sont tracés avec un bâtonnet de charbon de paulownia, ou avec du khôl. La bouche peut être entièrement teintée de rouge, mais beaucoup de maikos maquillent uniquement leur lèvre inférieure, de façon à avoir un air boudeur.
Le maquillage est une opération délicate, et les maiko se font souvent aider par leur okâsan ou par une maquilleuse lorsqu'elles débutent ; par la suite, elles doivent apprendre à faire leur maquillage elles-mêmes. Au fur et à mesure de leur carrière, elles diminuent la quantité de maquillage ; les geishas de plus de trente ans ne portent quasiment plus de maquillage, sinon dans les grandes occasions.
Les coiffures des geishas sont des chignons traditionnels japonais. Elles sont faites chez un coiffeur spécialisé et doivent tenir une semaine. Afin de ne pas aplatir leur coiffure, les geishas doivent dormir sur un « repose-nuque », le takamakura .
Les chignons nécessitant de tirer beaucoup sur les cheveux au sommet du crâne, beaucoup d'anciennes geishas ont une calvitie. Cela tend à disparaître de nos jours, d'une part parce que les maiko débutent plus tard qu'avant, et d'autre part parce que certaines geishas utilisent des perruques.
La coiffure typique des maiko est dite en « pêche fendue » ( momoware ou wareshimomo ) ; il s'agit d'un chignon divisé en deux et au milieu duquel apparaît une étoffe de soie : d'abord rouge puis blanc une fois la virginité de la geisha perdu . Les geishas plus âgées portent d'autres types de chignon comme le marumage 7 . Les chignons sont ornés de peignes, ainsi que d'épingles à cheveux nommées kanzashi .
Les geishas vivent dans des quartiers réservés, nommés hanamachi , ce qui signifie « ville fleur ». Les hanamachi les plus célèbres de Kyōto sont Gion et Ponto-chō.
Elles sont toujours rattachées à une maison de geisha, une okiya , même si elles n'y vivent pas toujours. Les okiya sont des maisons de femmes où très peu d'hommes sont autorisés à entrer. La structure d'une okiya s'apparente à une structure familiale, où la patronne est appelée okāsan , « mère », et où les geishas plus âgées sont considérées comme les grandes sœurs des jeunes. Les okiya , auxquelles étaient généralement vendues les geishas, percevaient alors la majeure partie de leur salaire, jusqu'au remboursement total de leur dette.
Une okiya se transmet par succession. L'une des geishas de la maison est désignée comme l'« héritière » ( atotori ) : il peut s'agir soit d'une fille naturelle de l' okāsan , soit d'une geisha talentueuse adoptée par la maison. En tant qu'héritière, ses gains se confondent avec ceux de son okiya , et elle est censée devenir la prochaine okāsan .
Les geishas, de nos jours, ont le choix entre deux modes de vie : soit elles vivent dans une okiya , qui leur fournit un logement et des kimonos mais perçoit une partie de leurs gains en échange, soit elles sont indépendantes ( jimae ) : elles vivent alors dans leur propre logement, et doivent financer elles-mêmes leurs vêtements et leur équipement, mais elles conservent la quasi-totalité de leurs gains. Elles restent cependant rattachées à l' okiya , qui leur sert d'« agence de rendez-vous » et qui perçoit une petite commission en échange.
Qu'elles soient indépendantes ou non, la vie des geishas est partagée avec tout le hanamachi : à chaque occasion importante (début et fin de l'apprentissage, mizuage etc.), une geisha fait le tour de son hanamachi et annonce la nouvelle aux patrons des maisons de thé en leur offrant de la nourriture ou des cadeaux. Généralement, une cérémonie a également lieu dans la maison de thé habituelle de la geisha.
Les geishas forment souvent de véritables « lignées ». En effet, chaque jeune fille désirant devenir geisha doit pour cela se trouver une « grande sœur » ( oneesan ), elle-même geisha et plus âgée qu'elle, qui lui enseigne le métier, l'emmène à ses rendez-vous, et touche en contrepartie un pourcentage des gains de sa « petite sœur » durant l'apprentissage. La « grande sœur » et la « petite sœur » se lient lors d'une cérémonie appelée san san ku do , au cours de laquelle elles boivent trois gorgées dans trois coupes de saké. Cette cérémonie est également un moment clé du mariage traditionnel japonais, elle symbolise la création d'un lien ( en ) entre deux personnes. La « petite sœur » se choisit à ce moment un nom de geisha, sur les conseils de son oneesan . Elle prend généralement un nom dont la racine est la même que celui de son oneesan : ainsi, la petite sœur d'une geisha nommée Ichiume pourra prendre le nom d'Ichigiku.
Une geisha, pour augmenter ses gains ou devenir indépendante, a besoin d'un protecteur, nommé danna , un homme riche qui lui fait divers cadeaux, ce qui ne le dispense pas de payer les prestations de la geisha au tarif normal. La ge
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