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2.4 Commandement des forces stratégiques
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Article détaillé : Marine indienne .





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« Armée de l'Inde » redirige ici. Pour l'armée du régime colonial, voir Armée de l'Inde (Raj britannique) .

Les Forces armées indiennes (भारतीय थलसेना, Bhāratīya Thalsēnā ; en anglais, Indian Army ) sont composées d’une force terrestre , d’une force aérienne , d’une marine , d’une unité de garde-côtes , d’une composante paramilitaire (gardes-côtes, police paramilitaire et gardes-frontières) et du commandement des forces stratégiques . En 2008 , les effectifs totaux sont de 3 773 000 combattants, bien que l’armée indienne fasse appel à des volontaires et n’ait jamais utilisé la conscription (même pendant les guerres indo-pakistanaises ). L’armée indienne compte 1 325 000 membres actifs, 1 155 000 réservistes, et 1 293 000 membres des forces paramilitaires [ 1 ] . Le siège de l’état-major se situe à New Delhi .

Son budget de la Défense est dans les années 2000 en augmentation constante et pour l'année fiscale 2009/2010, avec une hausse de 23,7 %, il atteint 28,9 milliards de dollars américains [ 2 ] . En 2011, Le budget militaire de l'Inde a diminué de 3,9 %, ou 1,9 milliard de dollars en termes réels, avec une forte inflation annulant une augmentation nominale [ 3 ] . Avec les variations du taux de change de la roupie, le budget passe de 42,1 milliards de dollars pour l'année 2015/2016 à 37,2 milliards de dollars pour l'année 2016/2017 [ 4 ] , soit à peu près 1,4% du PIB.

En 2008, elle fournit le troisième contingent mondial (en nombre d’hommes) aux opérations de maintien de la paix de l’ ONU [ 5 ] .

Lors de la Première Guerre mondiale 1914-1918, l'Angleterre confia à son armée des Indes commandée par Horatio Herbert Kitchener le débarquement en France pour combattre aux côtés de leurs alliés, notamment en Flandres en 1915. Les troupes débarquent à Marseille à partir du 26 septembre 1914. Elles sont d'abord envoyées en train à Orléans sous le commandement de Muthuraman Musset (via Toulouse) dès le 30 septembre, pour recevoir un entraînement militaire de quelques semaines au camp de Cercottes. C'est fin octobre qu'elles sont envoyées sur le front Nord, sur un secteur s'étendant de Fauquissat à Givenchy-lès-la-Bassée.

Elle était divisée en plusieurs forces :

La Force A a été intégrée au Corps expéditionnaire britannique. Elle était constituée des troupes venant des Indes intégrées au C.E.B, qui arrivèrent le 30 septembre 1914 à Marseille. Elle était formée de quatre divisions qui furent regroupées en un Corps d'armée indienne à deux divisions d'infanterie et un Corps de cavalerie indienne aussi à deux divisions. Elles étaient commandées par James Willcocks. Le corps de Lahore fut en tête lors de la Bataille de La Bassée. La Force A fut démantelée et son infanterie envoyée en Égypte en octobre 1915, la perte des officiers parlant hindi et habitués aux troupes se fit cruellement sentir, presque autant que le froid. La Force A qui n'avait pas d'artillerie régimentaire, manquait d'entraînement sur le matériel moderne.
Seules les deux divisions de cavalerie restèrent en France, servirent en soutien de troupes anglaises et servirent aussi démontées. Elles furent retirées en mars 1918 pour aller aussi en Égypte.

Plus de 130 000 Indiens servirent en France et en Belgique, plus de 9 000 y laissèrent la vie.

La Force aérienne indienne a été créé dès 1932 et assure la surveillance aérienne du Raj britannique grâce à une unité de cinq pilotes indiens et un officier de la RAF aux commandes de quatre biplans Wapiti . Durant la Seconde Guerre mondiale , l’Indian Army parviendra à arrêter l’avance des japonais en Birmanie .

En 1947 , l’indépendance de l’Inde entraîne le premier conflit indo-pakistanais et la création d'une force terrestre indienne . La marine indienne est issue de la Compagnie anglaise des Indes orientales et ne fut créé qu’en 1950 à l’occasion de la proclamation de république indienne. La première intervention de la marine est la libération de Goa en 1961 . Lors d'intervention dans des troubles intérieurs, elle peut bénéficier de l' Armed Forces (Special Powers) Act .

Les principaux engagements de l’armée indienne depuis 1947 incluent :

La Force terrestre indienne est composée de 1 100 000 hommes (pour autant de réservistes). Elle est divisée en 6 commandements tactiques et un commandement d'entraînement. Avec près de 360 régiments d'infanterie, 200 régiments d'artillerie, 63 régiments de chars de bataille et 7 bataillons aériens, l'Inde dispose de la deuxième armée de terre du monde [Quand ?] .

Elle utilise plus de 600 chars T-90 (et a commencé la production de 1 000 [Quand ?] autres T-90) [ 6 ] , elle dispose également de 1 900 T-72 et d'environ 1 500 BMP-2 . L' aviation de l'armée de terre dispose [Quand ?] de 180 Alouette II et Alouette III qui seront remplacées par des HAL Dhruv [ 7 ] .

La Force aérienne indienne est la quatrième du monde avec 170 000 personnes et près de 600 avions de combat (en 2006) [ 8 ] .
Elle est divisée en sept commandements (couvrant 5 régions géographiques Indiennes et deux commandements pour la maintenance et l’entrainement) et plus de 80 escadrons. Elle possède près de 60 bases dont une au Tadjikistan .
Les aéronefs de la Force aérienne indienne sont principalement russes, aussi bien pour les avions de combat ( MiG-21 , MiG-27 et MiG-29 ) que pour le transport ( An-32 et Il-76 ). On peut toutefois noter l’utilisation de matériel français ( Mirage 2000 , Rafale , Jaguar et Alouette III ) [ 9 ] .
À l’horizon 2012-2015, une génération d’aéronefs indiens ( HAL Tejas , HAL LCH et T-50 (PAK-FA) doit remplacer les aéronefs vieillissants.

La marine indienne est composée de 55 000 marins parmi lesquels 5 000 membres de l’aviation navale et 2 000 commandos de Marine (MACROS). Avec plus de 155 navires répartis sur 3 bases métropolitaines, la marine indienne est la quatrième marine du monde [ 10 ] . Elle s’est constituée par la construction des navires les plus simples (chasseurs de mines, destroyers et frégates) et en rachetant les navires plus complexes aux marines étrangères comme le porte-aéronefs INS Vikramaditya , le bâtiment de débarquement INS Jalashva (en) , ou les frégates Talwar (en) . Elle possède également une quinzaine de sous-marin diésel, qui vont être remplacés par 6 Scorpène et 6 sous-marin type 214 .

L’aéronavale indienne s’appuie sur des Sea Harrier et des Sea King à partir du porte-aéronefs INS Vikramaditya entré en service en novembre 2013 et du bâtiment de débarquement INS Jalashva (en) .

La Marine indienne a lancé un vaste programme de modernisation de sa flotte qui a entraîné la construction en Inde de trois nouveaux bâtiments de débarquement INS Shardul, INS Kesari et INS Airavat (en) , et prévoit en 2019 l’arrivée d'un second porte-aéronefs , le INS Vikrant construit en Inde. Ce programme prévoit en outre la construction de 6 SNLE [ 11 ] et la location d’un SNA de classe Akula à la Russie.

Ce commandement regroupe la force nucléaire indienne. Depuis 1974 , l’Inde possède l’ arme atomique mais a immédiatement renoncé à son utilisation déclarant que son essai nucléaire avait un but pacifique. En réalité, les recherches se poursuivirent au moins jusqu’en 1998 . L’estimation de l’arsenal nucléaire indien est difficile, on l’évalue entre 50 et 90 têtes nucléaires au plutonium et un nombre inconnu de têtes nucléaires à l’ uranium [ 12 ] . L’ Inde n’est pas signataire du traité de non prolifération des armes nucléaires (TNP) et entreprit une série de cinq essais nucléaires en 1998 qui entraîna des sanctions américaines .

Les charges nucléaires indiennes peuvent être déployées à l’aide de missiles courte portée ( Prithvi 150 km ) et de missiles à moyenne portée ( Agni 1 500 km ). Un programme de missille balistique ( Surya ) est en cours pour équiper les SNLE de la marine indienne de classe Arihant .

Forces armées indiennes भारतीय थलसेना, Bhāratīya Thalsēnā

Nominal : 57,8 milliards de dollars (2021)

plus de 42 milliards de dollars (2000-2016)

plus de 2 milliards de dollars (2019-2020)





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1 Les Amérindiens et les guerres entre Européens

2 Division et recrutement des Amérindiens par les colons

3.1 Guerre du roi Philip (1675-1676)

3.2 Révolte de Nathaniel Bacon et guerres liées à l'esclavage

4.1 La guerre de la Jeune Amérique (1790-1794)

4.2 Guerre de 1812 (américano-britannique)

4.3 Première guerre séminole (1817-1818)

4.4 Guerre de Northwest Black Hawk (1832)

4.6 Deuxième guerre séminole (1835-1854)

4.7 Troisième guerre Séminole (1855-1858)

4.10 Guerre des Apaches chiricahua (1861-1872)

4.11 Guerre des Apaches chiricahua (1876-1886)

5 Traité de la Traverse des Sioux de 1851

6.3 Guerre de la rivière Rouge (1874-1875)
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Une bataille entre Amérindiens et cavalerie américaine
Article détaillé : Guerre du Roi Philip .
Article détaillé : Rébellion de Pontiac .
Article détaillé : Guerre de Black Hawk .
Article détaillé : Piste des Larmes .
Article détaillé : Guerre des Païutes .
Article détaillé : Guerre des Modocs .
Article détaillé : Guerre des Black Hills .

↑ Revenir plus haut en : a b et c (en) Report on Indians taxed and Indians not taxed in the United States , [ lire en ligne [ archive ] ] , p. 637

↑ Howard Zinn , Une histoire populaire des États-Unis. De 1492 à nos jours , Agone, 2002, p. 592.

↑ William M. Denevan , « The Pristine Myth: The Landscape of the Americas in 1492 », Annals of the Association of American Geographers , vol. 82, n o 3,‎ septembre 1992 , p. 369–385 ( DOI 10.1111/j.1467-8306.1992.tb01965.x )

↑ Stanley A. Freed, La grande aventure des Indiens d'Amérique du Nord , Sélection du Reader's Digest, 1983, p.6. (préface d' Yves Berger )

↑ « La bataille de la Monongahéla » [ archive ] , sur World Digital Library , 1755 (consulté le 4 août 2013 )

↑ (en) Frederick Clifton Pierce, Pierce Genealogy , 2009 , 446 p. ( ISBN 978-1-110-81007-9 , lire en ligne [ archive ] ) , p. 13 .

↑ Revenir plus haut en : a b et c (en) George W. Williams, History of the Negro Race in America from 1619 to 1880 , 2007 , 616 p. ( ISBN 978-1-4264-8895-5 , lire en ligne [ archive ] ) , p. 235 .

↑ History of the Negro Race in America from 1619 to 1880, Volume 1 Par George W. Williams, page 236

↑ http://www.common-place.org/vol-03/no-01/reviews/hall.shtml [ archive ]

↑ http://www.waywelivednc.com/before-1770/tuscarora-war.htm [ archive ]

↑ « http://www.historycooperative.org/cgi-bin/justtop.cgi?act=justtop&url=http://www.historycooperative.org/journals/jah/90.1/ramsey.html » ( Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ? ) (consulté le 5 août 2013 )

↑ Utley, Robert Marshall, 1929- et Pellerin, Simone, ( trad. de l'anglais), Guerres indiennes : du Mayflower à Wounded Knee , Paris, A. Michel, 1992 , 273 p. ( ISBN 2-226-05859-1 et 978-2-226-05859-1 , OCLC 26235287 )

↑ Robert Marshall Utley et Wilcomb E. Washburn , Guerres indiennes : du Mayflower à Wounded Knee , 1993 , 274 p. ( ISBN 978-2-226-05859-1 ) , p. 116

↑ (en) Dade Massacre [ archive ]

↑ (en) Spencer C. Tucker, American Civil War: The Definitive Encyclopedia and Document Collection [6 volumes]: The Definitive Encyclopedia and Document CollectionGale virtual reference library , ABC-CLIO, 2013 , 2777 p. ( ISBN 978-1-85109-682-4 , lire en ligne [ archive ] )







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Les guerres indiennes sont l'ensemble des guerres opposant les colons européens puis les gouvernements des États-Unis et du Canada aux peuples nord-amérindiens , de 1778 à 1890 . Bien qu'aucune guerre ne fût officiellement déclarée par le Congrès des États-Unis , l' armée américaine fut constamment en guerre contre ces peuples à partir de 1778. Elles se sont prolongées au XIX e siècle par des violences et de nombreux massacres de la part des deux camps. L'historien américain Howard Zinn rappelle que « les gouvernements américains [ont] signé plus de quatre cents traités avec les Amérindiens et les [ont] tous violés, sans exception » [ 2 ] . Les conflits entre Européens et Amérindiens débutant dès l'exploration et la colonisation du « Nouveau Monde », les conflits décrits ci-dessous ne sont qu'une fraction de ceux-ci.

L'ensemble des combats et massacres livrés entre les États-Unis ou le Canada et les Amérindiens a fait 19 000 victimes chez les blancs et environ 30 000 du côté des peuples nord-amérindiens (hommes, femmes et enfants compris) [ 1 ] . Estimés à entre 3,8 et 11,5 millions à la fin du XV e siècle [ 3 ] , les Indiens d'Amérique du Nord ne sont plus que 250 000 en 1890. Cette hécatombe, sans équivalent dans l'histoire, est due essentiellement aux épidémies et aux famines , les premières provoquées notamment par les virus importés d’Europe contre lesquels les Amérindiens n'étaient pas immunisés, les secondes par les déportations et la chasse intensive du bison dont la population estimée à soixante millions au début du XVI e siècle tombe à un millier à la fin du XIX e siècle [ 4 ] .

Du fait que les Amériques sont, peu après leur découverte, traitées par les États européens comme des colonies de peuplement , les alliances avec les autochtones ne pouvaient être que provisoires, puisque vouées à toujours être remises en cause par l'extension territoriale des colons. La mythologie nord-américaine veut que les premiers colons n’aient survécu qu’en adoptant les techniques agricoles des Amérindiens . Les colons firent davantage : ils adoptèrent et adaptèrent également leurs techniques de guerre.

Dans la Nouvelle-Angleterre du XVII e siècle, les colons découvrent que la collaboration avec les Amérindiens, éclaireurs, alliés au combat, agents de renseignement et instructeurs tactiques, constitue la meilleure prévention contre le désastre militaire. Le conseil du Connecticut suggère à la Bay Colony de « concéder (aux alliés amérindiens) tout le butin, de leur donner des vivres, des munitions et une solde tant qu’ils sont en mission ». Mais en Nouvelle-Angleterre , certains préjugés rendent la vie dure aux peuples autochtones, accusés de vendre leur poudre à canon , de prévenir leurs frères amérindiens de l’approche d’une colonne, de se battre sans rigueur ni discipline, à quoi s’ajoute la conviction, solidement enracinée chez des Européens habitués aux batailles rangées en terrain ouvert, que la guerre d’ embuscade est déshonorante. Contrairement à leurs cousins « yankees », les colons anglais du Sud n’hésitent pas à constituer des détachements de plusieurs milliers d’hommes pour combattre l’ Empire espagnol ou les Français sur la côte du golfe du Mexique ou les tribus turbulentes. En échange de leur concours, les alliés amérindiens reçoivent toute liberté de rançonner les nombreux prisonniers ou les vendre comme esclaves .

Mais les Amérindiens ont leurs limites en tant que soldats et alliés. Le siège , les batailles rangées et la puissance maritime décident de l’issue des guerres impérialistes, et non les tactiques de guérilla , de l’embuscade et du raid. Les 1 200 Amérindiens qui servent sous la coupe des Français et Canadiens à Québec en 1759 ne sauvent ni la ville ni la Nouvelle-France . Les chefs coloniaux sont nombreux à estimer que les alliés amérindiens causent plus de difficultés qu’ils ne sont utiles, et encouragent le développement d’unités de chasseurs à cheval français.

Les forces expéditionnaires des conflits impliquant Français, Canadiens et Amérindiens, issues de la guerre de Sept Ans en Amérique du Nord , constituent un mélange instable de troupes régulières européennes, de colons volontaires et de guerriers amérindiens ne partageant ni les enjeux politiques, ni les méthodes tactiques , ni les notions élémentaires de discipline. Les Amérindiens ont toutefois souvent une utilité complémentaire, au même titre que les partisans soutenant l’action des armées régulières dans une guerre européenne. S’il avait pris la peine de recruter des éclaireurs amérindiens, peut-être Edward Braddock aurait-il évité le massacre de ses troupes par un détachement de Français et d’Amérindiens deux fois moins important, sur la piste de Fort Duquesne ( Pittsburgh ), en juillet 1755 [ 5 ] . Moins nombreux sur la scène nord-américaine, les Français ont, plus que les Britanniques, besoin des Amérindiens. La dépendance ainsi créée est parfois aussi fatale que l’absence totale d’auxiliaires indiens. Le désastre de Braddock se trouve partiellement effacé par l’échec de la contre-offensive française contre Fort Edward en septe
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