Garce de 19 ans niquée à l'arrache sur la machine à laver

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Titre original : Pure and passionate Genre : Téléfilm
- Pornographique Durée : 132 min.
-18
Casting de 19 ans, innocente petite garce
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Doctorant à l’université Jean-Moulin-Lyon-3 et juriste en droit des affaires
Culture Cinéma Télévision Livres Musiques Arts Scènes
Victoire " à l'arraché " de la France sur la Pologne
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Victoire à l'arraché de la France (64 à 63) sur le plancher du palais Gwardia samedi à Varsovie, mais succès tout de même.
Succès méritoire surtout qui, venant après celui obtenu il y a un mois environ contre la Tchécoslovaquie, démontre que notre formation peut se présenter avec de réelles chances contre n'importe quel adversaire sauf, bien sûr, face aux joueurs des Etats-Unis, maîtres non encore égalés.
C'est là le résultat du travail constant et intelligent entrepris par Robert Busnel depuis plusieurs années et complété par André Buffière.
La partie fut loin d'être -facile, les Polonais athlétiques, adroits, agressifs, pratiquant une rude obstruction qui faillit dégénérer à plusieurs reprises.
Si le jeu ne fut pas des plus académiques, la faute n'en incombe pas à nos représentants, dont l'énergie fut admirable.
A la mi-temps la Pologne menait par 34 à 29, avance qui fut portée même à 38-29 au début de la deuxième partie du jeu.
Notre équipe fut en effet un long moment déroutée par la sortie de Beugnot, appelé sur la touche après six minutes de jeu, alors qu'il totalisait déjà trois fautes personnelles.
Sans Beugnot et sans Antoine, qui n'a pas effectué le déplacement de Varsovie, nos hommes avaient du mal à trouver leur équilibre, leur cohésion. Ils subirent l'emprise des Polonais, dont l'ardeur était souvent trop excessive.
Mais nos joueurs ne se découragèrent jamais, et c'est là le fait d'une maturité certaine.
Au moment où l'on pouvait craindre le pire la machine se mit à tourner rond en deuxième mi-temps, grâce à Christ, Dorigo, Grange, Beugnot et surtout Baltzer, qui totalisa 11 points en huit minutes, amenant le score à 40-39, puis à 48-42 en notre faveur. Pendant cette période les Français donnèrent un festival de grande valeur.
C'est alors que Beugnot récoltant sa cinquième faute personnelle quittait définitivement le jeu. Tout était remis en question.
A la trente-deuxième minute la France menait encore par 50 à 49.
C'était un match au finish. Heureusement Buffière avait gardé pour les ultimes minutes notre géant Jean-Claude Lefèvre et Michel Rat, qui s'avéra un élément de tout premier ordre, disputant chaque balle avec acharnement, redonnant confiance à ses partenaires.
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