Gangbang amateur avec une fille soumise

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A l'origine du remarquable film d'Eva Husson, un fait divers racontant une bande d'adolescents américains pris dans une spirale sexuelle sans limites. Retour sur un scandale qui a traumatisé toute une ville et des parents qui ne se doutaient de rien.























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Elles sont trois, adolescentes typiques dans une chambre d'adolescente typique. Cheveux blonds , carré tendance, trop maquillées, elles se passent des cigarettes, assises sur un lit encore encombré de peluches. Katy en prend deux. « Disons que ça c'est un mec qui serait là avec nous. D'abord il couche avec moi. Quand on a fini, il couche avec Bridget. Quand ils ont fini, il couche avec une autre. Quand ils ont fini, il va revenir à moi. » Elles appellent ça « prendre le train » et rigolent quand la journaliste demande si elles ont pratiqué ce qu'elles racontent. Une partouze décrite avec la légèreté d'un récit de classe de neige.
Cette scène du documentaire « The lost children of Rockdale County » (« Les enfants perdus du comté de Rockdale ») a choqué toute l'Amérique lors de sa diffusion, en 1999, dans l'émission « Frontline », équivalent de notre « Envoyé spécial ». On y découvrait qu'en 1996, dans cette tranquille banlieue d'Atlanta, près de deux cents adolescents avaient participé, à des activités sexuelles inhabituelles pour leur âge. Garçon avec plusieurs filles, plusieurs filles avec plusieurs garçons, plusieurs filles entre elles… Le weekend, à Rockdale, collégiens et lycéens délaissaient les surprises-parties pour les parties fines. Si bien que dix-sept d'entre eux ont été contaminés par la syphilis. C'est de cette histoire que s'est inspirée la réalisatrice française Eva Husson pour écrire son nouveau film, « Bang gang (une histoire d'amour moderne) ». Un récit qu'elle a transposé sur la côte Atlantique française, où une bande d'amis va, là aussi, découvrir et repousser les limites de leur sexualité.
« S'il n'y avait pas eu l'épidémie, on n'aurait sûrement rien su. » Vingt ans plus tard, Kathleen Toomey se souvient précisément d'un des moments les plus choquants de sa carrière. Elle s'occupait de la santé publique au niveau de l’État de Géorgie quand on lui a parlé d'une recrudescence de la syphilis dans un petit comté tranquille, à 40 km d'Atlanta. « D'habitude, c'est une maladie qui concerne des populations très à la marge : les très pauvres, les drogués. Mais parfois aussi la communauté noire ou les gays. Là, c'était des jeunes Blancs, aisés, chrétiens. Il fallait parler dans les lycées. On était désemparés. » Comment la maladie a-t-elle pu se propager ? Et pourquoi ?
Alors qu'elle bataille pour faire entendre aux parents incrédules qu'il faut lancer une campagne de soins pour tous les enfants, elle dépêche dans les lycées une sociologue, Claire Sterk, afin de parler aux plus jeunes. Celle-ci va vite découvrir des comportements de groupe auxquels elle n'était pas habituée. Comme ces collégiens de 12 à 14 ans, qui se réunissent chez des amis pour regarder la chaîne Playboy et reproduire en bande toutes les scènes des films. Ou cette lycéenne qui, lors d'une boum, propose à tous les garçons de la rejoindre les uns après les autres dans une chambre, et ressort, triomphante, en sang, du sperme dans les cheveux. Claire Sterk dessine un organigramme qui se perd dans les écheveaux du nombre d'adolescents ayant couché ensemble. Deux cents, trois cents jeunes concernés.
Mais très vite elle voit aussi qu'on est loin d'un « summer of love » de sexe, léger et joyeux. Pour la plupart de ces jeunes filles blondes, aux airs d'Américaines parfaites, le sexe n'est pas du tout synonyme de plaisir. Parfois, elles ne se souviennent même plus de ce qu'elles ont fait.
Elles se sentaient prisonnières, ne savaient plus comment s'échapper. A 13 ou 14 ans, c'est très dur de dire non. Vous risquez de perdre vos amis, et l'amitié, c'est tout ce que vous avez
« Il n'y avait rien à faire ici. Tout ça, ils l'ont construit après. » Au Starbucks de la ville, Courtney Geitner, la trentaine, montre l'immense zone commerciale qui s'étend tout autour de Conyers, dix mille habitants, la plus grande ville du comté. En 1996, elle était lycéenne. « Mais comme beaucoup, je n'ai rien vu, j'ai tout découvert à la diffusion du documentaire. » A l'époque, elle croit vivre dans une ville parfaite, à la Norman Rockwell, avec son mini-bourg et son « soda fountain shop », comme aux premiers temps de la création de Coca-Cola, la success story née à Atlanta. Elle, qui a grandi aux Pays-Bas, y retrouve une certaine idée de l'Amérique et toutes ces valeurs traditionnelles. « C'est le rêve américain. Et après il y a la réalité. » La réalité, ce sont des parents qui bossent comme des fous pour payer les remboursements de la maison idéale. Cinquante, soixante heures par semaine, sans compter l'éternité perdue dans les bouchons. Et des adolescents qui passent leur temps seuls. « La plupart ne dînaient même plus avec leurs parents. Dans ces maisons immenses, ils ne faisaient que se croiser. Chacun mangeait dans sa chambre », poursuit Courtney Geitner. Livrés à eux-mêmes, les jeunes finissent par créer leur propre monde, avec ses règles.
Crédit : Hero Images / Getty Images
Dans le petit commissariat de Conyers, le capitaine Jacky Bennet, trente ans de service, n'a pas oublié les problèmes que posaient les jeunes à l'époque. « Le week-end, on pouvait en voir plus de mille draguer dans les rues. Ils prenaient leur voiture, roulaient pendant des heures, se croisaient, s'interpellaient… C'était des comportements typiques de jeunes aisés, qui ont la voiture, de quoi sortir… » A l'époque, Atlanta s'apprête à accueillir les jeux Olympiques, l'épreuve d'équitation est prévue à Conyers. Pour le capitaine Bennet, lui-même alors père d'un adolescent, « tout le monde était focalisé sur ça, la volonté de donner une bonne image. Et dans ces moments-là, on a tendance à détourner les yeux de ce qui ne cadre pas dans le tableau ». Même lorsque la syphilis est détectée, tous regardent ailleurs. « Aux réunions publiques, les parents nous disaient que leurs enfants ne pouvaient pas être concernés », explique Kathleen Toomey.
Le déni, jusqu'au scandale national. Trois ans plus tard, en 1999, Conyers fait la « une » des télés de tout le pays : un garçon de 14 ans débarque au lycée les armes à la main, un mois après le massacre de Columbine. Six blessés, dont un grave, et une Amérique qui se demande ce qui se passe dans la tête de sa jeunesse. Quelques mois plus tard, le documentaire « The lost children… » tente d'y répondre. Le pays découvre, médusé, les adolescents partouzards de ses banlieues proprettes. A la diffusion du film, la honte s'abat sur la région. Les lycéens impliqués sont tous envoyés en pension. Parfois la famille entière déménage du jour au lendemain.
Courtney Geitner se souvient : « Dès qu'on quittait la ville, on ne nous parlait que de ça. Tous les lycées du pays diffusaient le film. C'est comme après un énorme traumatisme : c'est déjà difficile de s'en remettre, alors personne n'a envie d'en parler. Aujourd'hui encore, quand vous m'avez contactée, ma première réaction a été de refuser de raconter. Pourtant je sais de quoi je parle : je suis maintenant sexologue. » Après avoir installé un cabinet à Atlanta, Courtney vient d'ouvrir une antenne à Conyers. « Tout le monde me dit qu'il y a du boulot ici. J'ai envie d'aider parents et ados à parler de sexe, pour que les enfants puissent s'épanouir. Quand j'étais au lycée, il n'y avait rien. Si un élève était homo, même les professeurs s'en prenaient à lui. »
Vingt ans plus tard, les enfants de Rockdale sont-ils toujours aussi perdus ? Au commissariat, le capitaine Bennet hausse les épaules. La ville est passée de 70 % blanche à 70 % noire, à la suite de la bulle immobilière et des conseils d'Oprah Winfrey, qui en a vanté la qualité de vie à la télé. « En ce moment, c'est plutôt des problèmes de gangs, mais c'est toujours la même base. Les parents bossent tard, les enfants dérivent. »
Au tribunal pour enfants, un programme a depuis été mis en place pour les jeunes délinquants. « Reshape », comme « reformer ». Un stage d'abstinence. Une douzaine y passent leur samedi matin. Ils sont tous là pour des histoires de violence, de vol, des problèmes familiaux. Devant un grand tableau, on leur explique que le sexe doit être « the icing on the cake », « la cerise sur le gâteau ». Holly Sammons, ancienne restauratrice et formatrice, ajoute qu'il faut s'être parlé pendant au moins trois cents heures pour bien connaître une personne. Sinon, pas de sexe possible.
A quoi peut leur servir un cours sur l'abstinence ? « On essaie de leur faire comprendre comment faire de bons choix. Puis on leur montre les ravages des maladies sexuellement transmissibles . » A la fin du stage, Brandon, 14 ans, me montre fièrement une feuille de papier. « C'est mon premier diplôme », sourit-il. Comme tous ses camarades, il a surtout été très choqué par les images de maladies vénériennes. Cela veut-il dire qu'il va faire de « bons choix » maintenant ? Il hoche la tête, explique qu'il n'est plus vierge depuis longtemps. Son « je pense que je vais me calmer » est moyennement convaincant. Et l'abstinence alors, il est d'accord ? Il sourit, en biais. Et ce n'est apparemment pas les souvenirs d'une affaire passée qui le feront changer d'avis.
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Sur le tournage d’un bukkake, le X extrême


L’actrice Anne Heche meurt à l'âge de 53 ans


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Publié le 30 juillet 2015 à 11h00 Mis à jour
le 30 juillet 2015 à 11h00

© illustration Thomas Lévy-Lasne pour Les Inrockuptibles
Dimanche 19 juillet avait lieu le tournage d’un bukkake : une scène porno où plusieurs amateurs sont invités à éjaculer sur une même actrice. Visite dans les coulisses les plus dark du X français.
Il est un peu plus de midi lorsque l’on débarque ce dimanche 19 juillet à Carrières-sur-Seine, une petite commune paisible des Yvelines, qui ressemble à n’importe quel village français. Jimmy (tous les prénoms ont été modifiés) est le premier arrivé au rendez-vous. C’est son anniversaire aujourd’hui. Grand gaillard à la peau mate et aux épaules larges, ce jeune fonctionnaire avenant du 93 a décidé de s’offrir un plaisir particulier pour ses 27 ans.
Jimmy est venu participer à son premier bukkake, une scène porno où de nombreux amateurs sont invités gratuitement à éjaculer sur la même actrice. “J’ai beaucoup hésité avant de venir, je matais des vidéos sur internet, mais j’avais une copine donc, c’était plus compliqué , confie-t-il, un sourire complice au coin des lèvres. On a fini par se séparer pour différents problèmes, alors maintenant je me lâche, c’est bon. Je ne calcule plus rien, je profite.”
Il y a trois semaines, Jimmy s’est donc inscrit sur le site French-Bukkake, la référence du genre en France, une plate-forme de vidéos amateurs détenue par l’acteur, réalisateur et producteur Pascal OP. Il a envoyé une photo de sa bite en érection, rempli un formulaire, puis attendu fébrilement sa première invitation pour un bukkake.
“J’espère que la fille a une bonne mutuelle santé”
“J’en peux plus, mec, je sors de la salle de muscu, là. Je suis chaud bouillant. J’espère que la fille a une bonne mutuelle santé, parce qu’elle va prendre cher. Elle va chier des briques !”, trépigne-t-il, quelques minutes avant de passer à l’action.
Sur le parking qui sert de point de ralliement aux amateurs du jour, une trentaine de types arrivent au compte-gouttes, en voiture ou à pied. Certains sont venus en bande, comme Nico et Stéphane, deux jeunes amis de Marne-la-Vallée qui en sont à leur cinquième bukkake en plus d’un an. D’autres sont venus seuls, comme Karim, un trentenaire du 91 qui rase les murs et sourit nerveusement. Un groupe d’habitués se forme dans un coin. Tout le monde s’observe en silence.
Jimmy, lui, commence à flipper : “Putain, je pensais qu’on allait se marrer au moins , nous souffle-t-il à l’oreille. Regarde ça, ils font tous la gueule. Je croyais qu’on venait pour baiser, mais j’ai l’impression qu’on prépare un combat de boxe.”
Les amateurs forment un cercle et se préparent
L’atmosphère se détend enfin avec l’arrivée de Pascal OP. Lunettes noires sur le nez, boule à zéro et look de paramilitaire, le maître de cérémonie compte les présents et donne ses premières indications pour l’après-midi. Par petits groupes de cinq, les mecs sont invités à rejoindre le lieu du tournage : un garage détenu par des gitans, coincé au fond d’un étroit chemin rocailleux, loin des regards indiscrets.
Rassemblés dans l’arrière-cour du hangar, une petite décharge jonchée de carcasses de voitures, les amateurs forment un cercle et se préparent pour la bagatelle : ils palpent leur caleçon, s’isolent pour se laver le sexe avec les lingettes hygiéniques mises à disposition par Pascal OP, descendent leur fiole de whisky et enfilent des cagoules ou des foulards sur le visage pour ne pas être reconnus.
“T’imagines, si la famille ou le boulot te grillent sur internet, t’es mort en deux secondes avec ce genre de vidéo , lance Yannick, la petite trentaine. L’avantage, chez Pascal, c’est qu’on peut rester anonyme. On vient, on fait notre kif, et on repart chez nous. Zéro conséquence.”
Le bukkake commence quand Pascal OP le décide
Installée près des toilettes, dans le garage, l’actrice qui sera au cœur de la scène se prépare. Elle s’appelle Natacha Guapa. Elle a 26 ans, et elle est en colère : “J’avais demandé à Pascal OP de m’inviter deux cent cinquante mecs et là ils ne sont que trente ! Bon, ça fera l’affaire, mais quand même, je voulais exploser mon précédent record.”
Moulée dans une nuisette transparente, elle finit par rentrer en scène sous les applaudissements des amateurs, qui ont déjà presque tous dégainé leur bite. Elle défile, quelques minutes, entre les types de plus en plus agités, jette des regards suggestifs, tord ses lèvres et entame les deux premiers tours de chauffe : une caresse pour chacun, suivie par une rapide fellation, censée exciter ses partenaires pour la suite du tournage.
Dans la foule, certains s’impatientent, réclament un deuxième passage et veulent déjà jouir, mais ils sont stoppés net : le bukkake commencera vraiment quand Pascal OP le décidera. Ici, c’est lui le patron.
Figure controversée du milieu X français, où il a débuté en tant que hardeur avant de se reconvertir à la production de films gonzo, ce quadra ultraprovocateur a fait du bukkake son principal business depuis le milieu des années 2000. Il en a découvert l’existence à travers des vidéos d’importation en provenance du Japon, le pays d’origine de cette pratique à l’histoire encore méconnue.
Inspiré selon certains récits des méthodes punitives de l’époque féodale (des femmes jugées coupables d’infidélité étaient aspergées de sperme par les hommes du village), le bukkake (du verbe bukkakeru qui signifie “éclabousser d’eau”) a été popularisé à la fin des années 80 dans le porno japonais, où des codes de censure stricts imposaient aux producteurs de trouver de nouveaux concepts toujours plus barrés.
L’idée était simple, efficace : dans une pièce fermée, une femme, seule, suçait puis branlait un groupe d’une dizaine de mecs au minimum avant de se faire éjaculer sur le visage. “J’étais scotché quand j’ai découvert ces vidéos, explique Pascal OP, rencontré une semaine avant le tournage. C’est simple, moi, dans la vie, j’aime éjaculer sur la gueule de mes gonze
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