Gâcher leur match

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Zapping Quinze Mondial Rugby : Top 15 des joueurs les mieux payés
Gâcher la fête, c'est l'objectif du XV de la Rose.
Les Anglais sont arrivés en région parisienne et s'entraînement pour leur dernier match du tournoi, avec l'ambition non dissimulée de gâcher la fête des Bleus et donc, leurs chances de Grand Chelem. 
Jamie George, talonneur du XV de la Rose et des Saracens, affiche clairement les ambitions du XV de la Rose qui veut faire taire les supporters français en contrant les plans de jeu des Français, comme il le dit dans les colonnes de The Independant, et même si les Français semblent favoris : 
"Il y a une énorme pression sur ces gars-là. Mentalement, nous voulons leur donner quelque chose qu'ils n'attendent pas, nous voulons y aller et gâcher un peu la fête (...) 
Quand vous allez en Irlande, les supporters font du bruit quand le ballon est tapé en l’air, quand ça plaque ou quand il y a des contre-rucks. En France c’est assez différent. Les supporters français s'enflamment quand il y a des en-avants, des turnovers ou des offloads par exemple. A ce moment-là, l’ambiance peut être électrique.
Nous voulons faire taire les supporters français assez tôt dans la partie, et nous savons comment faire ça.
Au niveau physique, le but est de ne pas leur donner ce qu’ils veulent et de mettre plus de pression sur l’équipe française si le supporters ne sont pas en train de pousser derrière eux."
Les Anglais sont arrivés en région parisienne et s'entraînement pour leur dernier match du tournoi, avec l'ambition non dissimulée de gâcher la fête des Bleus et donc, leurs chances de Grand Chelem, comme le dit le talonneur Jamie George.
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Il n'y a pas que le ballon rond dans la vie, il y a aussi l'ovalie avec Quinze Mondial. Le petit frère de Onze a vu le jour en 2015 à l'occasion de la Coupe du Monde en Angleterre. Dans le giron du groupe Horyzon depuis 2016, Quinze couvre l'actualité du rugby avec des news, des dossiers, des diaporamas...

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Jean-Pierre Bouyxou

29/07/2022 à 07:30 , Mis à jour le 29/07/2022 à 12:21



Après le désistement de la ville de Woodstock, où devait se tenir le festival, un fermier de Bethel accepta de louer son terrain pour 50000 dollars. Des spectateurs y ont monté un campement.


© Georges Beutter / Paris Match



Des centaines de milliers de personnes tentent de rejoindre le site du festival de Woodstock, à Bethel, provoquant un embouteillage de près de 30 kilomètres.


© Georges Beutter / Paris Match



Beaucoup de festivaliers ont emmené leurs enfants élevés dans la culture hippie, parfois en communauté.


© Georges Beutter / Paris Match



Joe Cocker à Woodstock. Avec son interprétation de la chanson des Beatles «With a Little Help from My Friends », l’ancien plombier de Sheffield devient une star.


© Getty Images



La pluie battante, qui a duré toute une nuit à Bethel, a transformé le terrain en champ de boue, obligeant le public à se protéger sous des bâches de fortune.


© Georges Beutter / Paris Match



La pluie battante, qui a duré toute une nuit à Bethel, a transformé le terrain en champ de boue, obligeant le public à se protéger sous des bâches de fortune.


© Georges Beutter / Paris Match



La pluie battante, qui a duré toute une nuit à Bethel, a transformé le terrain en champ de boue, obligeant le public à se protéger sous des bâches de fortune.


© Georges Beutter / Paris Match



Un couple de jeunes hippies enlacés en une du numéro 1114 de Match, daté du 12 septembre 1970.


© Paris Match



À Wight, en août 1969, c’est la réapparition de Bob Dylan. Le chanteur n’avait pas fait de scène depuis trois ans, à la suite d’un accident de moto.


© Patrice Habans / Paris Match



À Bethel, le dimanche 17 août 1969 au matin, un immense bain de mousse est organisé.


© Patrice Habans / Paris Match



Des millions de boîtes de jus de fruits, canettes de soda et autres denrées alimentaires ont été acheminées sur l’île de Wight, générant des montagnes de déchets.


© Patrice Habans / Paris Match



Lors de la deuxième édition du festival de l’île de Wight, en août 1969, la plupart des spectateurs dorment sur place, sous des tentes ou dans des Combi Volkswagen.


© Patrice Habans / Paris Match



Parmi le public de la deuxième édition du festival de Wight, Georges Moustaki et Françoise Hardy.


© Patrice Habans / Paris Match



L’un des moments forts du festival de Wight: le concert des Who, le 29 août 1970, avec Pete Townshend à la guitare et Keith Moon à la batterie.


© Georges Beutter / Paris Match



La troisième édition du festival de l’île de Wight, qui eut lieu du 26 au 30 août 1970, a accueilli l’une des dernières prestations de Jimi Hendrix et des Doors.


© Getty Images









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À l'été 1969, « année érotique » selon Serge Gainsbourg, 500 000 personnes convergent près de Woodstock, dans l'État de New York, pour un rassemblement qui deviendra un symbole du phénomène hippie et de la contre-culture américaine. Un an plus tard, le festival de l'île de Wight, en Angleterre, en accueillera 600 000. En pleine guerre froide, un an après l'assassinat de Martin Luther King et alors qu'on se bat au Vietnam, des milliers de jeunes prônent « la paix et l'amour » sur des riffs de guitare.
On attendait 50 000 spectateurs, il en est venu 500 000. Payée 15 dollars au dessinateur Arnold Skolnick - mort à 85 ans le 15 juin dernier -, l'affiche du festival de Woodstock, une colombe posée sur un manche de guitare, promettait « 3 jours de paix et de musique », du 15 au 17 août 1969. Les billets à 7 dollars la journée ou à 18 dollars pour les trois jours se sont arrachés, mais les brothers et sisters qui en sont dépourvus n'ont pas renoncé pour autant. Les autorités, inquiètes, ont tout fait pour que le festival soit un échec. D'abord, malgré son nom, ce n'est pas à Woodstock, à deux heures de voiture de New York, qu'il a lieu. La municipalité a retiré son accord et il a fallu se rabattre sur un patelin paumé, Bethel, 100 kilomètres plus au sud. Un éleveur de bovins a loué un pré de 243 hectares où a été érigée une scène immense, avec une sono de 10 000 watts. Effrayé par la foule qui convergeait vers le site, le gouverneur de l'État a déclaré celui-ci « zone d'urgence » et annoncé à la radio l'annulation du festival. Personne ne l'a cru.
Alors, devant les milliers de jeunes qui continuaient d'affluer, les organisateurs, n'ayant rien à perdre et plus rien à gagner, ont laissé tout le monde entrer à l'oeil. Et la fête a commencé. Rien ne pourra la gâcher, pas même une averse diluvienne pendant laquelle le public entonnera un hymne à la pluie et improvisera des toboggans de boue. Peu d'incidents graves : les hippies de la Hog Farm, une communauté déjà active lors des « summers of love » de San Francisco, secourent ceux qui font un mauvais trip de LSD. Joan Baez, Santana, Joe Cocker, Janis Joplin, Grateful Dead, Jefferson Airplane, les Who... pop stars et groupes mythiques se succèdent sur la scène. Le dernier à y monter sera Jimi Hendrix, qui exécutera (au sens propre) « The Star-Spangled Banner » en donnant à ses riffs de guitare le son des bombardements au Vietnam... Musicalement, Woodstock n'a sans doute pas été le meilleur festival de l'histoire du rock. Qu'importe ! Il reste dans la mémoire collective celui qui, déplaçant la contreculture hippie de la côte ouest des États-Unis à la côte est, a le plus contribué à la légende du flower power.
Moins de deux semaines plus tard, l'Europe est, à son tour, gagnée par la fièvre hip. Du 29 au 31 août, 200 000 jeunes, dont beaucoup de Français, se réunissent sur l'île de Wight, près de la côte anglaise, pour applaudir Bob Dylan, les Pretty Things et les Moody Blues. Trois des Beatles sont dans le public, incognito, tout comme Françoise Hardy, Georges Moustaki et Michel Delpech, qui en ramènera une chanson, « Wight Is Wight ». L'année d'après, du 26 au 30 août 1970, toujours à Wight, pas moins de 600 000 personnes assisteront au festival suivant. Sur scène : Procol Harum, les Doors, Melanie, Joni Mitchell, Leonard Cohen, Donovan et divers anciens de Woodstock (Baez, Hendrix, les Who), sans compter un seigneur de la bossa-nova, Gilberto Gil, et un prince du jazz, Mil
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