Frottement Dans Les Transport En Commun

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VIDEO. HarcĂšlement dans les transports: "une main sur les fesses, c'est une agression sexuelle"
Ariane Kujawski, vidéo: Antoine Heulard, Ludovic Samain, Océane Goannec et Caroline Dieudonné
Déclinée dans les transports et sur les réseaux sociaux, cette campagne vise à faire réagir et rappelle que le harcÚlement dans les transports est passible de 5 ans de prison.
Ariane Kujawski, vidéo: Antoine Heulard, Ludovic Samain, Océane Goannec et Caroline Dieudonné
VIDEO. HarcĂšlement dans les transports: "une main sur les fesses, c'est une agression sexuelle"
Gestes déplacés, commentaires désobligeants, insultes
 Le harcÚlement sexiste dans les transports fait l'objet d'une campagne nationale lancée lundi par le gouvernement, quatre mois aprÚs le lancement de la réflexion sur le sujet. Objectif: faire évoluer les comportements, et donner des outils pour faire réagir.
DĂšs lundi, des affiches et panneaux numĂ©riques dans les mĂ©tros, gares et transports en commun de plusieurs grandes villes vont rappeler avec des mots parfois crus les situations auxquelles peuvent ĂȘtre confrontĂ©es les femmes. Ces affiches dĂ©crivent les interpellations d'un agresseur, reprĂ©sentĂ©es sur une ligne de mĂ©tro fictive et devenant de plus en plus violentes Ă  chaque station: de "Mademoiselle!" Ă  "vous ĂȘtes charmante" ou "c'est pour moi cette petite jupe?", jusqu'Ă  "je vais te serrer" et "rĂ©pond sale chienne". En bout de ligne: "Stop - Ça suffit".
Elle poste la photo de son agresseur sur Facebook
D'autres affiches reflĂštent sur le mĂȘme modĂšle la peur de la victime ou les hĂ©sitations d'un tĂ©moin, qui n'ose pas rĂ©agir par peur de reprĂ©sailles. Camille, elle, a pris son agresseur en photo et a l'a ensuite postĂ©e sur les rĂ©seaux sociaux.
"La police m'a contactée aprÚs l'avoir reconnu, et m'a demandé plus d'informations sur lui. Ils m'ont dit d'aller porter plainte", raconte-t-elle à BFMTV.
"Le grand intĂ©rĂȘt de cette campagne c'est de remettre les harceleurs dans leur position de coupable", rappelle HĂ©loĂŻse DuchĂ©, du collectif Stop-harcĂšlement de rue . "La main sur la cuisse, les fesses ou les seins, quelqu'un qui se frotte contre vous, c'est considĂ©rĂ© comme une agression sexuelle".
Outre la campagne de sensibilisation, des expĂ©rimentations concrĂštes sont Ă©galement menĂ©es en France: Ă  Nantes, depuis le 1er novembre, on teste les arrĂȘts Ă  la demande dans les bus de nuit. A partir du 7 dĂ©cembre, le numĂ©ro d'alerte de la SNCF (3117) sera Ă©galement accessible par SMS, ce qui permettra de signaler une situation d'urgence plus discrĂštement qu'en tĂ©lĂ©phonant.
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Femmes et transports : peut mieux faire !




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GĂ©rard Feldzer
Le dimanche Ă  17h23 et 19h51



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Beaucoup de femmes se plaignent d'une forme de harcÚlement (propos, attouchement, frottement...) dans les transports en commun comme le métro. (Illustration) (OLIVIER CORSAN / MAXPPP)




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À l’occasion de la journĂ©e internationale des droits des femmes du 8 mars, la situation des femmes dans les transports a Ă©tĂ© Ă©voquĂ©e. Le sentiment d’insĂ©curitĂ© domine, notamment en raison des violences sexuelles et sexistes. 
 Selon l' Observatoire national de la dĂ©linquance et des rĂ©ponses pĂ©nales (ONDRP), plus de la moitiĂ© des femmes se sentent en insĂ©curitĂ© dans les transports en commun , alors qu’elles reprĂ©sentent deux tiers des usagers des transports.  
"Il y a vraiment cette question de la sĂ©curitĂ©, qui est un rĂ©el problĂšme et qui est vraiment tout le temps Ă  l’esprit des femmes. Elles subissent Ă©normĂ©ment de violences, savent que c’est un risque, et mettent donc en place des stratĂ©gies d’évitement. Non seulement, ça rajoute une Ă©norme charge mentale mais, en plus, ça affecte Ă©normĂ©ment la mobilitĂ© des femmes et donc leur indĂ©pendance, " souligne Elsa Labouret, porte-parole d’ Osez le fĂ©minisme ! 
Et pourtant, exploitants et industriels travaillent pour accroĂźtre le sentiment de sĂ©curitĂ© des femmes dans les transports, notamment la SNCF avec le numĂ©ro d’alerte 3117, ou encore l’entreprise Alstom qui agit au niveau du confort psychologique des usagers.
La qualitĂ© de l’éclairage dans les rames est un facteur important sur le sentiment d’insĂ©curitĂ©, notamment la nuit. Toutefois, ça n’est pas le seul levier : la visibilitĂ© joue Ă©galement un rĂŽle essentiel. 
"On travaille sur des grandes surfaces vitrĂ©es, parce qu’on sait que c’est un Ă©lĂ©ment qui est accueillant mais qui sĂ©curise Ă©galement car on voit ce qu’il se passe. La visibilitĂ© dans un train est trĂšs importante : on se surveille et on se rassure les uns les autres." 
Si l’amĂ©lioration de la sĂ©curitĂ© rĂ©elle ou ressentie passe par la conception des vĂ©hicules et des infrastructures, il est aussi nĂ©cessaire de mettre en place de nouvelles procĂ©dures dans l’exploitation, en particulier des bus, pour mieux repĂ©rer les agresseurs avant qu’ils n’agissent.  
"À Lyon, Ă  Lille, on fait des marches exploratoires : vous faites les trajets Ă  plusieurs en compagnie de femmes, et ça permet de mieux ressentir les situations d’insĂ©curitĂ©. Il y a aussi la descente Ă  la demande, et on a plus d’une dizaine de rĂ©seaux urbains en France qui l’ont instituĂ© aujourd’hui', prĂ©cise Marie-Ange Debon, prĂ©sidente du directoire du français Keolis , un des leaders mondiaux du secteur des transports publics.  
Au-delĂ  de l’humain, la technologie est mise Ă  contribution pour amĂ©liorer la tranquillitĂ©, notamment des passagĂšres. Chez Alstom, l’intelligence artificielle permet de dĂ©tecter des agressions, pour ensuite activer l’enregistrement vidĂ©o ou envoyer des Ă©quipes de sĂ©curitĂ©.  
"Une ingĂ©nierie basĂ©e Ă  Madrid s’est spĂ©cialisĂ©e dans l’analyse de vidĂ©o. On simule des agressions que l’on entre dans le systĂšme et, dĂšs que le logiciel dĂ©tecte une situation rĂ©elle similaire, ça remonte au niveau du systĂšme central de sĂ©curitĂ© de la rame, qui va dĂ©clencher la camĂ©ra vidĂ©o qui va filmer et voir ce qu’il se passe", explique Anne Bigand.
L’insĂ©curitĂ© ressentie ou subie par les femmes ne se limite pas Ă  la France, il s’agit d’un phĂ©nomĂšne mondial. L’Inde a par exemple mis en place des wagons rĂ©servĂ©s aux femmes, tout comme une sĂ©paration entre hommes et femmes dans les bus. De plus, des boutons d’alarme permettent d’alerter directement la police. Ailleurs, au Liban par exemple, des taxis roses sont rĂ©servĂ©s et conduits par des femmes. 
Seulement, d’aprĂšs Marie-Ange Debon de chez Keolis, le changement ne doit pas se faire uniquement au niveau des usagers, mais aussi dans le recrutement d’ingĂ©nieurs et de cadres fĂ©minins, au sein des groupes d’industriels et exploitants, afin de mieux rĂ©pondre aux prĂ©occupations des femmes dans les transports.  
"On travaille sur la fĂ©minisation de nos mĂ©tiers, qui restent encore trĂšs masculins. Les deux tiers des passagers sont des passagĂšres, mais seulement 20% des conducteurs sont des conductrices !”, prĂ©cise Marie-Ange Debon.  
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Lorsqu'elle a dû décliner son identité devant le tribunal, elle a immédiatement fondu en larmes. Le souvenir est encore trop douloureux pour cette jeune fille de 13 ans. Avec deux autres mineures, Julia* était ce lundi partie civile au procÚs de son agresseur.
Ce dernier, un commis de cuisine venu du Bangladesh ĂągĂ© de 40 ans, Ă©tait poursuivi pour agression sexuelle sur mineurs. Ce « frotteur » du mĂ©tro a en fait commis « des faits bien plus graves », comme l'a soulignĂ© la prĂ©sidente du tribunal. M. A. a Ă©tĂ© condamnĂ© Ă  un an de prison ferme, plus un an avec sursis et mise Ă  l'Ă©preuve, et Ă  indemniser ses victimes Ă  hauteur de 2 500 €. Il est aussi soumis Ă  une sĂ©rie d'obligations : se faire soigner, justifier d'un travail et de son domicile, ne pas exercer d'activitĂ© en contact avec les mineurs, et ne plus frĂ©quenter le mĂ©tro parisien.
C'est en effet dans les rames de la ligne 5 que se sont produits les faits. Les premiers remontent au mois de juin 2018, les derniers au 14 janvier dernier, peu avant son interpellation . Le mode opĂ©ratoire de ce prĂ©dateur est toujours le mĂȘme : entre Gare du Nord et RĂ©publique, en pleine heure de pointe du matin, entre 8 h 30 et 9 heures. Il profite de la foule dans les rames bondĂ©es pour se frotter Ă  des jeunes, voire trĂšs jeunes filles, leur touche les seins, l'entrejambe, et, pour l'une des victimes, ĂągĂ©e de seulement 12 ans au moment des faits, tente une pĂ©nĂ©tration digitale. En tout, quatre jeunes filles se sont portĂ©es partie civile, dont trois mineures de moins de 15 ans. La 4e victime, ĂągĂ©e de 24 ans, a mĂȘme Ă©tĂ© confrontĂ©e deux fois Ă  son agresseur.
Il aura fallu le courage de ces jeunes victimes pour que l'affaire éclate. La plus jeune a notamment appelé le 3117, le numéro d'urgence de la police des transports. « J'ai été récupéré ma fille en larmes sur le quai, nous sommes allés immédiatement déposer plainte au poste de police Gare de l'Est », raconte Rapahël, le pÚre d'une autre victime ùgée de 14 ans. « Je suis un papa en colÚre, poursuit-il. On culpabilise d'envoyer nos enfants dans le métro aux heures de pointe. C'est un problÚme de fond. J'invite toutes les femmes à porter plainte, cela aidera d'autres petites victimes comme ma fille. Et j'appelle les politiques à prendre conscience de l'état déplorable du métro, et du manque de sécurité. »
Avec les autres parties civiles, RaphaĂ«l salue en revanche le « travail formidable » de la brigade des mineurs et de la brigade des rĂ©seaux ferrĂ©s, qui ont permis, au terme d'une enquĂȘte minutieuse, en exploitant les vidĂ©osurveillances de la RATP, d'interpeller l'auteur des faits.
Celui-ci, en France depuis 8 ou 9 ans, domiciliĂ© Ă  Pierrefitte (Seine-Saint-Denis), a « reconnu l'intĂ©gralitĂ© des faits », qu'il explique difficilement, par « la solitude » ou « la frustration sexuelle », a expliquĂ© son avocat. Me Dominique BrĂ©ard regrette « une justice expĂ©ditive » pour son client, estimant qu'il aurait mieux valu une expertise psychiatrique supplĂ©mentaire. « On n'a aucune garantie Ă  sa sortie », a-t-il estimĂ©. La tĂȘte basse enfoncĂ©e dans les Ă©paules, le regard vide, M. A. « n'a sans doute pas compris sa peine », ajoute son avocat.
A la sortie de l'audience, qui s'est déroulée à huis clos pour préserver la parole des victimes, Julia* est félicitée par ses proches : « tu as été courageuse !». « L'audience a eu un effet cathartique », reconnaßt l'avocate des parties civiles. Mais le traumatisme ne sera pas évacué de sitÎt. « Certaines victimes ne peuvent toujours pas reprendre le métro, leur vie et celle de leurs proches en est chamboulée. C'est un cataclysme familial », conclut l'avocate. Dans ces conditions, la condamnation et le maintien en détention de leur agresseur constitue « un immense soulagement pour les victimes ».
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