Frotte jusqu'à l'explosion

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Frotte jusqu'à l'explosion
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Publié le 9 mai 2014 à 23:01 par La rédaction
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© Gentside. Crédit photographique pour toutes les images de ce site (sauf indication) : © GettyImage.
Découvrez la mésaventure de cette jeune fille qui a vu le bouton de son chemisier exploser en pleine course automobile. Résultat, un décolleté encore plus voyant.
Une voiture de course, un pilote expérimenté, une femme comme copilote, une caméra embarquée à l'intérieur de la voiture et un circuit. Tous les ingrédients étaient réunis pour un moment inoubliable. Il le fut mais pas pour les bonnes raisons.
A peine la voiture lancée sur la piste que le pilote a mis le pied au plancher, n'hésitant pas à drifter le plus possible dans chaque virage. Problème, la jeune fille à ses côtés est effrayée. Elle a beau se tenir à tout ce qu'elle peut, son chemisier, lui ne tiendra pas. Deux des boutons ont ainsi explosé, laissant apparaître la poitrine de la sexy copilote. Sans soutien-gorge, la poitrine pourra être admirée jusqu'à la fin du tour de circuit. Mais le plus important, c'est bel et bien l'état de la jeune femme, apeurée, qui ne peut même pas cacher ses attributs. Dommage pour elle. Tant mieux pour nous.












La demande a explosé de 350% entre Toulouse et Montpellier.
DDM archives










Intempéries , Météo , Haute-Garonne





Manon Adoue
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La compagnie Flixbus a tiré son épingle du jeu . Suite aux intempéries qui ont frappé le Sud-Est les 22 et 23 octobre dernier dans les départements de l'Hérault, de l'Aude, des Bouches-du-Rhône, des Pyrénées-Orientales, du Var et du Vaucluse, les réservations à bord des compagnies de bus ont explosé. Et les prix aussi... C'est ce que nous relations déjà le 26 octobre dernier, trois jours après les inondations meurtrières. Les pluies diluviennes ont abîmé les voies de train. À Villeneuve-les-Béziers, dans l'Hérault, c'est même une partie du pont maintenant les rails qui s'était effondré. Résultat : le trafic SNCF a été coupé entre Narbonne et Sète et fortement perturbé entre Toulouse et Montpellier, le temps de rénover les voies.
Pour leurs déplacements, plusieurs usagers se sont donc rués sur les compagnies de bus privées comme Blablabus et Flixbus. Et les prix se sont envolés. Jusqu'à 69,99 € pour relier Toulouse à Montpellier un samedi en fin d'après-midi avec Blablabus et 39,99€ pour le même trajet avec Flixbus soit environ 20€ de plus que la moyenne. Les compagnies de bus justifiaient ces hausses de prix par " un système d'algorithmes" et une forte demande. Flixbus tire aujourd'hui le bilan : " A la veille de la reprise normale du trafic ferroviaire, l’heure est au bilan, qui est sans appel : l’opérateur constate une très forte demande sur tout le mois de novembre pour des trajets en Occitanie, vers Paris ou en direction de l’Espagne. Un constat d’autant plus significatif que la demande est restée élevée tout au long du mois de novembre", fait savoir dans un communiqué la compagnie. 
La liaison Toulouse-Montpellier notamment a capté 3,5 fois plus d'usagers soit une hausse de la demande de 350%. Entre Perpignan et Nîmes, la demande est en hausse de 280% (par rapport à la même période en 2018). Entre Montpellier et Perpignan, c'est 200% de plus et le record est atteint sur l'axe Narbonne-Paris où les réservations ont explosé de 400%. Dans le communiqué, la compagnie précise avoir ajouté des trajets supplémentaires dans la région Occitanie et jusqu'à Paris, dont 4 000 sièges entre le 31 octobre et le 25 novembre. 
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En raison de travaux sur une ligne SNCF entre Paris et le centre de la France j'ai été obligé de me rabattre sur flixbus et maintenant je prendrai les "cars Macron " , pas de grève, c'est très propre , personnel gentil. . . .
Si cette fois la SNCF n'est pas responsable des problèmes météo, on ne peut qu'applaudir E. Macron qui a permis ce type de transport il y a quelques années.
Flixbus a un bel avenir avec ce qui se prépare avec les ulta de la SNCF.


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Crédit : Aymeric Coupé / Oise Hebdo
D’importants moyens sont mobilisés pour lutter contre les flammes ce mercredi 3 août. Le feu a pris sur le toit de la résidence le Sarrazin, rue Saint-Barthélemy. Selon le Courrier picard une quinzaine d’appartements ont été détruits. «Il était midi moins dix quand j’ai entendu une explosion. Et très vite, j’ai vu de la fumée. C’était impressionnant… Et pourtant, je n’habite pas tout près», raconte Véronique, habitante de la rue Albert-Schweitzer.
Depuis la mi-mars, la toiture de la résidence est en travaux . «Il s’agissait de rénover la toiture et de refaire l’isolation. Le chantier était quasiment terminé. Il devait s’achever vendredi» , confirme Arlette Verahegge, présidente du comité syndical de la résidence.
D’autres témoins évoquent une étincelle sur ce chantier qui aurait mis le feu au toit. Les trois bâtiments de la résidence ont été touchés. Ces derniers abritent 46 logements et commerces.
Durant l’intervention, la circulation a été coupée dans plusieurs rues du centre-ville : la rue Saint-Barthélemy, le boulevard Sarrazin (où les sapeurs-pompiers ont établi leur poste de commandement). Un périmètre de sécurité qui a été élargi vers 13 heures à la place Saint-Barthélemy pour faciliter les allées et venues des véhicules des pompiers.
Suite à cet sinistre, la municipalité a annoncé la fermeture de Noyon plage jusqu’à nouvel ordre. L’événement se tenait à quelques centaines de mètres des bâtiments incendiés, parking Grimaldi.

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Le petit déjeuner de Claudia Adams

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