Frederic et Jan pour du sexe entre hommes

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Frederic et Jan pour du sexe entre hommes

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« Je ne sais pas qui l'a retirée, ce ne sont pas les services municipaux », indique Pierre-François Viard, le maire (LR) de Louveciennes, au sujet de l'affiche de prévention du ministère de la Santé sur les maladies sexuellement transmissibles entre hommes, mystérieusement envolée dans la nuit de jeudi à vendredi. Exposée face à la gare de la commune, elle a vite fait parler d'elle sur Twitter avant de disparaître soudainement. L'ancien maire (NC) de Louveciennes, André Vanhollebeke , a en effet partagé cette photo, où l'on voit deux hommes enlacés, sur le réseau social en commentant : « Rappel, dans ce cas, le maire peut faire usage de son pouvoir de police ». Une phrase qui a vite agité la toile, faisant réagir les sympathisants de la communauté LGBT.
Le lendemain matin, l'affiche avait disparu du mobilier urbain de la gare. A la mairie, on affirme qu'on ne sait pas ce qu'il s'est passé, que quelqu'un l'a certainement volée. Pierre-François Viard dit avoir reçu quelques plaintes, mais il n'a pas pris la décision de la retirer. N'ayant plus d'affiche de cette campagne en stock, la société Decaux l'a immédiatement remplacée par un visuel de marque de vêtements.
André Vanhollebeke n'en sait pas plus. Il est même surpris d'avoir suscité tant de réactions sur Twitter. Il s'explique : « Je me suis contenté d'exprimer que je suis d'accord pour que l'on fasse de la prévention, mais ça doit s'adapter au public. Qu'ils la mettent au Pacha Club où il y a une population que ça intéresse. Pas devant la gare où des enfants peuvent voir ce genre d'affiche provocatrice ».
Jean-Frédéric Poisson, député (PCD) de la 10e circonscription des Yvelines et candidat (PCD) à la primaire de la droite et du centre , lui, a demandé vendredi au Premier ministre le retrait de ces affiches « dans un souci de protection des mineurs face à ces images à caractère sexuel ». Il a également lancé une pétition, qui a recueilli en 48 heures plus de 22 300 signatures. A Versailles, certains ne l'ont pas attendu pour montrer leur désapprobation. Ils ont placardé des feuilles blanches sur le mobilier urbain afin de camoufler ces « images contribuant à une normalisation de l'adultère ».
Versailles. L'affiche du ministère de la Santé a été camouflée par des feuilles blanches. LP/V.B.
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« C'était sobre, ça sonnait juste, c'était sincère et honnête. Bref, ça lui ressemblait. Chapeau l'artiste! » Stéphane Bern a été touché par le coming out de Frédéric Lopez. Contrairement à son collègue de France 2, l'animateur de « Rendez-vous en terre inconnue » n'a pas eu besoin de Mireille Dumas pour révéler son homosexualité. Il l'a fait lundi dernier sur son propre plateau.
« Il s'est sans doute senti plus à l'aise dans sa propre émission. Mais il y a autant de manières de faire que de personnes, car faire son coming out dans sa famille ou publiquement, c'est une démarche très personnelle », explique Yannick Barbe, ex-rédacteur en chef du magazine gay « Têtu ».
L'animateur est loin de regretter sa confidence. Mercredi, Frédéric Lopez s'est même réjoui d'avoir reçu des milliers de messages de soutien et d'affection de la part d'inconnus. « Si le grand public l'ignorait, tout son entourage le savait. Donc la vie quotidienne de Frédéric n'a pas changé depuis lundi. Mais ce n'était pas prémédité. Il a vraiment décidé de se confier en entendant le témoignage de Pascal, homosexuel et papa. Ça lui a trotté dans la tête pendant tout l'entretien. Et à la fin, il s'est lancé », raconte un des proches de l'animateur de 49 ans.
« Il ne faut pas spécialement chercher à analyser la forme ou le timing de sa démarche. Chacun gère sa famille et ses amis comme il le peut », rappelle Lucas Armati, de l'Association des journalistes lesbiennes gay bi et trans (LGBT). « Mais on aimerait voir plus souvent des personnalités faire leur coming out, surtout que, de nos jours, ça n'a plus aucune influence sur les carrières, surtout celles des animateurs télé », ajoute-il. A l'image de Laurent Ruquier, qui a parlé publiquement de son homosexualité dès 1997 et a connu peu d'échecs depuis.
« Certes, on a droit à une vie privée, mais c'est vraiment utile d'en parler, rappelle Stéphane Bern. D'abord par honnêteté envers soi-même et ensuite parce que ça aide des personnes qui ont du mal à accepter leur sexualité ou qui sont rejetées par leur famille. Elles sont vraiment dans des situations difficiles », ajoute-t-il.
« Tout coming out est important. Surtout celui des personnalités, renchérit Yannick Barbe. Plus elles sont connues, plus c'est médiatisé. Surtout quand elles sont dans un secteur d'activité où l'homosexualité est mal acceptée. Le jour où un grand footballeur le fera, ça aura des répercussions très, très grandes, tant l'homosexualité est taboue dans le sport. »
Frédéric #Lopez fait son coming out, Bravo👏 👌 Ça peut aider certain(e)s qui en souffrent, alors 👏👍😉 #1001vies #MilleEtUneVies #FredericLopez pic.twitter.com/KYPvvb3R8j
Lundi, Frédéric Lopez a été très touché par Pascal, l'invité du jour de son émission quotidienne « Mille et Une Vies ». Pascal a raconté son bonheur d'être père et homosexuel. Porté par ce témoignage intime, Frédéric Lopez s'est senti légitime pour faire son coming out. « Votre histoire me touche parce qu'il m'est arrivé exactement la même chose. Pendant très longtemps, j'ai eu peur de cette homosexualité que je ressentais. Aujourd'hui, je suis quelqu'un qui accepte », a déclaré l'animateur devant son invité, aussi ému que lui par cette révélation imprévue.
Après avoir répété qu'il ne souhaitait pas en reparler, Frédéric Lopez a finalement expliqué les motivations de son geste : « Je voulais vous le dire uniquement parce qu'il y a des enfants et des adolescents dans ce pays qui se suicident parce qu'ils ressentent ça. »
En 2009, Stéphane Bern vient de rejoindre France Télévisions. L'animateur de « Secrets d'histoire » est libéré par trois années sur Canal + avec « 20 h 10 pétantes ». Invité sur le plateau de l'émission « Vie privée, vie publique », l'ancien présentateur de « Sagas » se confie à Mireille Dumas et révèle son homosexualité.
« C'était un moment impromptu et pas tout prémédité. Je n'ai jamais rien dit officiellement, mais j'ai toujours répondu honnêtement quand on me le demandait. Mireille Dumas a tout simplement été la première qui m'a posé la question dans une émission... Avant elle, tout le monde s'en foutait ! se rappelle aujourd'hui l'animateur de télévision. Mais je m'en souviens de ce coming out comme d'un moment difficile. Tout le monde a droit à ce que sa vie privée reste privée, même si je pense que le dire peut aider les jeunes à s'assumer. »
« Je n'aurais jamais parlé de ma vie privée si je ne recevais pas sans arrêt, via les réseaux sociaux, des témoignages de jeunes gays désespérés. » C'est ce que déclarait l'ex-animateur de M 6 en mai 2015 dans le magazine « Gala ». Alex Goude a accepté d'y être photographié dans sa maison de Las Vegas, en compagnie son mari Romain et son fils Elliot, né par mère porteuse aux Etats-Unis.
Deux ans après l'adoption de la loi légalisant le mariage homosexuel, le jeune homme expliquait : « Nous sommes deux hommes, nous avons fait un enfant et ça se passe bien. » Aujourd'hui, l'animateur ne regrette absolument pas cette interview. « On avait été suivis par des paparazzis donc j'ai préféré court-circuiter les photographes en faisant ça proprement, explique-t-il. Après la publication, j'ai reçu plus de 10 000 messages sur Facebook, à 95 % positifs ! »
Un pionnier ! En 1997, Laurent Ruquier commence sa carrière. A 34 ans, il officie sur France Inter avec « Rien à cirer ». En attendant de triompher à la télévision, il fait du one-man-show. Dans « Enfin gentil », devant un public acquis à sa cause, Laurent Ruquier lance sur scène : « Il va y avoir un malaise. Tant pis, je le dis. Je suis homosexuel. » Depuis, Laurent Ruquier assume. En 2012, il avait même été filmé avec Benoît, son compagnon, dans le cadre d'un portrait signé Gérard Miller.
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Je me présente, je m'appelle Franck et j'ai aujourd'hui 26 ans. Mon histoire a débuté quand j'avais aux alentours de 14 ans, à l'époque où on se masturbe régulièrement.

Comme une majorité de mecs, je regardais des films pornos et me branlais pour un oui ou pour un non, tous les soirs, le midi... J'avais quelques copains proches et un particulièrement avec qui on se masturbait: son père avait une collection de pornos impressionnante et on profitait des mercredis après-midi pour se les mater.

Son nom était Stéphane. Roux, musclé déjà pour son âge, il avait un truc qui m'attirait, pourtant j'aimais et j'aime les femmes, mais lui, je le voulais. Après plusieurs séances devant la télé, nous sommes montés comme d'habitude se finir dans sa chambre. On s'allongea sur son lit avec seul un t-shirt sur nous et on commença à se branler. Je ne pouvais pas détourner mon regard de sa bite de taille modeste mais qui m'attirait. Je lui demandais alors si je pouvais la toucher et le branler. Il me dit oui et je pris sa queue en main pour la première fois. C'était génial de le sentir prendre du plaisir comme ça. Il ne voulut pas me rendre la pareille ni que je le fasse jouir mais ce fut bon pour une première.

À partir de ce jour, nous essayions de dormir l'un chez l'autre le plus souvent possible pour avoir toute la nuit pour se toucher car rapidement, il avait entrepris de prendre ma queue. Dès que nos parents se voyaient, mangeaient ensemble, on s'arrangeait pour finir dans le même lit. Au début, nous étions l'un à côté de l'autre sur le dos et on se branlait à tour de rôle, mais rapidement, j'avais envie d'approcher sa queue de plus près. Je sentais en moi d'autres désirs plus avancés. On se mettait alors toujours sur le dos mais tête-bèche, ce qui me permettait d'avoir la tête à hauteur de sa bite et de la sentir, de la renifler, de la branler en la regardant de près. Plusieurs fois, j'ai mis ma bouche au-dessus, profitant de l'obscurité pour m'en approcher. Plusieurs fois je l'ai fait jouir et j'ai goulûment avalé le sperme qu'il me lâchait sur la main.

Je n'en pouvais plus, dès que je le voyais, un mécanisme sexuel s'activait en moi et j'avais envie de sa bite! J'adorais le finir en me mettant à genoux entre ses jambes et en allant jusqu'à ce que son sperme vienne s'écraser sur sa poitrine. Puis je léchais mes doigts après avoir pris soin d'avoir le plus de semence possible sur ma main, pour être rassasié.

C'est à cette époque que j'ai commencé à gouter mon sperme, à tenter de me faire des auto-fellations et à m'asperger le visage avec mon foutre. Durant cette période (j'avoue qu'encore aujourd'hui...) je m'enfonçais tout ce que je pouvais dans le cul pour ressentir ce que pouvais être une sodomie. Je m'achetais des capotes que je mettais sur mes "godes" dont mon préféré, un tube de laque de 25 cm de long sur 5 de circonférence, et je m'enfonçais ça bien profond et je m'activais dessus comme un fou jusqu'à hurler mon plaisir.

Ma sexualité prenait une autre dimension et je profitais de l'obscurité pour de plus en plus m'occuper de la queue de Stéphane en restant à genoux entre ses cuisses tout en me doigtant le cul, attendant impatiemment sa queue pour remplacer mes doigts.

Un an plus tard, je devais alors avoir 15 ou 16 ans, nous étions parti dans la maison de campagne de mes parents avec ma mère. Nous dormions dans la tente dehors, la maison étant petite et surtout cela nous permettait de faire le mur la nuit. Mais ce qui m'intéressait, c'était lui et ce qu'il avait entre les jambes. Dès le premier soir, à peine entrés dans le duvet, je lui mis la main sur son paquet et il ouvrit son duvet, baissa son caleçon. Je fis de même et nous avons pris nos queues en main pour commencer doucement. Comme j'aimais ça, il prenait mes couilles dans sa main pendant qu'il me branlait; il savait y faire et ça me rendait dingue. De mon côté, j'étais juste au-dessus de sa bite, la regardant subir mes aller-retours. Je sentais monter en moi une frénésie incontrôlable et de son côté, il semblait plus enclin à aller plus loin que d'habitude, n'hésitant pas à me caresser les cuisses et le ventre. Ne tenant plus, je lui demandais:

J'avais lancé l'appel, je ne pouvais pas en rester là:

— Je peux te sucer s'il te plaît? lui demandais-je doucement de peur de sa réaction.

Je me mis allongé à ses côtés et je m'avançais vers son membre doucement. Je léchais son gland, en faisait le tour avec ma langue, l'embrassant tout du long avant de la prendre dans ma bouche. Quelle sensation, à la fois bizarre et impossible à oublier. Je m'activais sur sa queue, l'entendant gémir. Je l'avalais complètement tout en me doigtant les fesses avec ferveur. Je voulais être plus soumis et qu'il me montre vraiment son plaisir. Je me suis mis sur le dos et lui est venu sur moi. Il était à genoux et se branlait dans ma bouche. Je lui caressais les fesses, me touchais en même temps et voulais qu'il me remplisse la bouche mais il s'arrêta, se mit sur le dos et me demanda de le finir à la main. Une fois qu'il m'avait fait jouir aussi, je me sentis à la fois heureux et honteux d'avoir sucé un mec.

Cette honte fut vite balayé et dès le lendemain: je le resuçais avec un plaisir non feint.

S'en suivit une période de folie d'environ deux ans, nous nous touchions partout et tout le temps. En partant au ski en voiture, nous étions à l'arrière, moi derrière le chauffeur et lui à mes côtés. Les deux autres personnes dormaient et nous nous branlions avec un duvet sur les genoux; je descendis même lui lécher le gland quelques secondes. Toutes les soirées se finissaient ensemble, quitte à écourter la fête. Après un concert, nous allions avec les cinq autres personnes nous accompagnant au camping. Nous avions 3h30 de route et je conduisais. Nous prenions donc un verre avec des personnes rencontrées lors du concert puis Stéphane alla se coucher. Je prétextais la fatigue et la conduite du lendemain pour aller le rejoindre. Dans la tente, à deux mètres de nos amis, je l'ai sucé pendant de longues minutes en lui caressant l'anus mais cela ne lui plut guère et j'arrêtai vite. Par contre, il jouit sur son torse et je goûtais son sperme goulûment et cette fois, il me vit faire. Il me demanda pourquoi je faisais ça et je mentis; je dis que je voulais y goûter, voir le goût.

Encore après une soirée, nous nous sommes débrouillés pour se retrouver dans le même lit et nous savions lequel prendre pour être tranquille. En effet, un copain a une maison sur trois niveaux et sa chambre est au troisième, le salon et la chambre de ses parents au deuxième et au rez-de-chaussée, seule une chambre avec un lit et le garage. C'est là que nous avions pris place. À la fin de la soirée, passablement éméché, j'avais envie de sexe. Stéphane aussi et tout le monde alla se coucher en haut. Cette période était géniale car je me déshabillais complètement avant de me coucher et je m'aprochais à peine du lit que déjà Stéphane avait ma queue en main et me branlait pendant que je m'installais. Ce soir-là, je fus pris d'une envie frénésique de sperme et je le suçais avidement dans plusieurs positions, lui debout moi assis sur le bord du lit, lui allongé, moi à genoux, lui à genoux sur le lit, moi à quatre pattes, me caressant l'anus sans discrétion, et c'est ce jour qu'il me caressa pour la première fois l'anus sans pour autant entrer mais il passa plusieurs minutes à me caresser et je mis deux doigts dedans pendant que lui poussait sur ma main pour donner le rythme à cette pénétration. Je le sentais prêt à jouir mais il me demanda de ne pas le faire jouir dans ma bouche et il se mit sur le dos. Je me suis alors mis à genoux entre ses cuisses, collé mon sexe contre le sien et j'ai branlé nos deux queues en même temps entre mes mains. Nous avons joui assez rapidement tous les deux et tout le foutre est allé se mélanger sur son torse. J'en voulais encore et me suis précipité sur sa queue pour la nettoyer. Il me dit:

Et je lui ai ainsi nettoyé la bite.

L'été était là avec ses fêtes à répétition et aussi les soirées en semaine où je restais dormir chez lui. Mon nouveau plaisir était de le sucer allongé, lui au-dessus de moi et de le faire jouir sur mon torse. Je me régalais de cette situation. Plusieurs fois, nous nous sommes mis en 69 mais il me branlait tandis que je le suçais. Je lui demandais un jour de me sucer mais sa réponse fut sans équivoque:

— Si tu veux faire des trucs de PD, tant mieux pour toi, mais pas moi!

— Tu te fais sucer par un mec depuis plusieurs mois, et t'es pas PD pour autant, ça changera rien à ta sexualité de me pomper...

Je ne pouvais pas arrêter de le sucer même après cette discussion et ce fut la première fois que je le fis jouir dans ma bouche, rejetant le sperme sur son ventre. Sa réaction fut là encore assez déroutante, me disant que c'était dégeu, etc...

Une semaine après, nous sommes partis en Bretagne pour un weekend de camping et bien sûr, entourés de couples, nous ne pouvions faire autrement que d'être dans la même tente. À peine couchés, c'est lui qui me mit la main au paquet et qui s'activa sur mon membre qui n'attendait que ça. Il s'arrêta, je descendais ma main, le branlai et allai assez vite mettre ma bouche sur son gland pendant quelques minutes et me relevai. Je pris sa tête dans ma main et l'encourageais à aller vers le bas et, surprise, il descnd
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