Frère qui s'occupe bien de la soeur
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Heureusement oui, répond Nicole Prieur . Les fratries qui ne s’entendent pas ou peu sont légion. Mais, en avançant en âge, il est possible de dépasser les souffrances du passé et de trouver enfin du plaisir à être ensemble.
Nicole Prieur : Elles ne vont pas de soi, en effet. Elles s’élaborent au fil du temps. Contrairement aux relations avec les parents, vis-à-vis desquels nous sommes redevables, entre autres parce qu’ils nous ont donné la vie, la fratrie ne se constitue pas sur un don, il n’y a pas spontanément de loyauté fraternelle. Elle se construira peu à peu, sous l’influence parentale. Les enfants sont souvent dans une rivalité pour obtenir l’amour de leurs parents. Aucun ne veut recevoir moins que l’autre. Dans cette relation, ça n’arrête pas de compter : l’attention qui est donnée, les chocolats, les cadeaux… Cela s’explique parce que la fratrie se constitue sur un vécu de perte pour l’aîné, il n’est plus le centre de l’attention de ses parents ni l’objet de leur amour exclusif. Et de manque pour le cadet, qui ne connaîtra pas cette exclusivité-là. Tout l’enjeu va consister à intégrer la possibilité de partager d’abord l’amour parental. Mais le partage, c’est l’expérience de la dépossession, et cela n’est pas facile. Les jeunes enfants ont peur de ne plus exister. Or ils éprouvent le sentiment d’existence grâce au regard des parents. Si ce regard se détourne pour se poser sur le frère ou la sœur, il craint d’être renvoyé au néant.
Vous voulez dire que l’arrivée d’un frère ou d’une sœur ne suscite pas seulement de la jalousie, mais que cela peut aller jusqu’à une angoisse existentielle ? Nicole Prieur : Oui, cela va jusque-là. Et pour celui qui éprouve cette angoisse, se mêle une mauvaise image de lui-même provoquée par l’agressivité ressentie à l’égard de l’autre, frère ou sœur. Les relations fraternelles sont complexes, c’est en cela qu’elles sont intéressantes.
Nicole Prieur : Un rôle fondamental, pour ne pas dire fondateur. C’est la parole, la loi parentale qui vont instituer l’interdit de « tuer », d’éliminer le gêneur que représente le frère ou la sœur pour l’enfant. Sans cette parole, les pulsions agressives pourraient se déchaîner. D’ailleurs, bien des enfants souhaitent la disparition du nouveau bébé arrivé à la maison. Qui n’a entendu le récit d’un aîné qui voulait jeter le bébé à la poubelle, ou essayant de l’aspirer avec l’aspirateur_? Le mythe biblique de Caïn et Abel dit d’ailleurs tout sur cette violence fraternelle latente : c’est lorsque Dieu intervient, qu’Il punit Caïn pour la mort d’Abel, que Caïn prend conscience de sa faute. Jusqu’alors, il était indifférent à son frère : qu’il vive ou qu’il soit mort, cela importait peu. C’est par la loi divine énoncée, le « Tu ne tueras pas » qu’il mesure la nécessité de respecter l’autre. Accepter de faire une place au frère, à la sœur permet de construire un lien profond fait de complicité, de soutien, de reconnaissance mutuelle. Chacun peut en percevoir la richesse, c’est la seule relation familiale qui dure toute la vie, sauf accident : les parents disparaissent, le couple ne dure pas forcément. Mais on est frère et sœur pour toujours.
À l’âge adulte, que deviennent ces relations qui ont commencé avec difficulté ? Nicole Prieur : En devenant adulte, on évolue, chacun suit son chemin, et parfois ce sont des voies divergentes. À cette période, les enfants s’éloignent. Ce sont les parents qui continuent à faire le lien, par les fêtes, les réunions familiales, les anniversaires. Même quand on a du plaisir à se retrouver, je constate combien les souffrances du passé restent intactes et prêtes à resurgir. Le pédiatre et psychanalyste britannique Donald W. Winnicott disait : « La souffrance vient de ce qui n’est pas advenu. » Or, dans la calculette inconsciente, tout ce qui n’est pas advenu subsiste et pèse lourd. Le refoulé revient au moment du vieillissement des parents, c’est-à-dire au moment où les rapports parents-enfants tendent à s’inverser, lorsqu’ils deviennent plus faibles. C’est souvent à cette période que les livres de comptes s’ouvrent à nouveau. « Mon frère ne s’occupe pas de ma mère, il la voit deux fois par an, mais elle ne parle que de lui », « Je veille sur mon père, mais c’est à ma sœur qu’il a donné de l’argent »… Et quand survient le décès des parents, le retour du refoulé se fait massivement. Sonne alors l’heure des règlements de comptes, on aimerait présenter à la fratrie la facture de ce que l’on n’a pas reçu des parents.
Nicole Prieur : Oui, on ne se dispute pas pour les petites cuillères en tant que telles, mais pour leur valeur symbolique. L’objet convoité est une façon de chercher réparation : je me paie sur l’héritage de ce que je n’ai pas eu du vivant des parents, je cherche à avoir une place que je n’ai pas eue. Ou, au contraire, je défends avec virulence celle que je veux conserver. Chacun va interpréter le don ou le legs – « Je n’ai eu “que” ceci, c’est que décidément mon frère était le préféré. » L’héritage est un terrain « idéal » pour tenter d’éliminer l’autre, maintenant que les parents ne sont plus là pour préserver l’entente.
Peut-on se libérer de cette rivalité et parvenir à des relations apaisées ? Nicole Prieur : Bien sûr, heureusement ! J’ai souvent vu des fratries qui ne s’entendaient pas ou peu se rapprocher en avançant en âge. Cette évolution de l’amour fraternel – car il est bien question d’amour – passe par des étapes importantes. Pour devenir adulte, il faut accepter que les parents n’aient pas donné plus qu’ils ne le pouvaient. Accepter et admettre que ce ne sont pas les dieux tout-puissants de notre enfance, mais des humains, comme nous, avec leurs limites. Ce changement de regard sur les parents entraîne un changement de notre propre place dans la famille. Et puis, n’oublions pas de nous demander ce que nous voulons transmettre à nos enfants : nous souff rons lorsqu’ils se disputent ou se battent. Regardons alors ce que nous avons fait de nos frères et soeurs, car c’est cela que nous transmettons à nos propres enfants. Les comptes non soldés passent aux générations suivantes, que nous en parlions ou non.
Nicole Prieur : En nous posant la question du lien fraternel, moins simple qu’il y paraît. Quel sens a-t-il pour moi ? En quoi est-il important ou non ? Quelle place est-ce que je veux donner au fraternel dans ma vie ? À l’âge adulte, entretenir de bonnes relations est un choix délibéré, puisque les parents ne sont pas là pour assurer la cohérence de la famille. Et puis, en étant réaliste : nous ne parvenons pas à passer plus de trois jours ensemble sans nous disputer, comme quand nous étions petits ? Eh bien, contentons-nous d’un week-end, pendant lequel chacun peut garder le sourire.
Ce n’est pas toujours facile… Nicole Prieur : Non, mais c’est tellement riche. Bien sûr, il existe des familles où ce questionnement n’est pas nécessaire, car les ajustements se font au fur et à mesure. Ce lien nous inscrit dans notre histoire familiale, il nous relie aux origines. Nous partageons des souvenirs communs, cela permet de construire un sentiment de permanence, et ce précieux sentiment de continuum d’existence, qui aide à lutter contre les inquiétudes liées à l’insécurité de la vie. Et puis, ce processus de construction du lien fraternel constitue un apprentissage de l’altérité, qui passe, entre autres, par la capacité de se décentrer. Emmanuel Levinas nous y invitait à sa manière : « Le partage du monde s’effectue à partir du moment où on le regarde avec les yeux de l’autre. »
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