Frère et sœur aimant s'envoyer en l'air

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Frère et sœur aimant s'envoyer en l'air
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Thème Theme enfant ashe par Steph .
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Merci pour votre téléchargement de l'ebook J'arrête de râler ! Je suis heureuse de vous offrir les premières pistes pour une vie épanouie en famille.
J’ai trois enfants et comme la plupart des parents j’aimerais qu’ils cohabitent sans se chamailler ou se disputer.
Je fais de mon mieux pour traiter mes enfants de manière équitable pour qu’il n’y ait pas de jalousie.
Et pourtant ! Si vous saviez le nombre de fois où je me suis retrouvée empêtrée dans un conflit sans savoir comment en sortir pour ne pas favoriser l’un ou l’autre de mes enfants !
Alors aujourd’hui j’aimerais vous partager le fruit de mes recherches.
Dans le livre Jalousies et rivalités entre frères et soeurs, Faber & Mazlish nous invitent à imaginer que notre conjoint(e) mette son bras autour de nos épaules et nous dise :
“Ma chérie (ou mon chéri), je t’aime tellement, tu es tellement merveilleuse (x) que j’ai décidé de prendre une autre femme (ou un autre homme) exactement comme toi”. 
Imaginez maintenant que cette nouvelle femme (ou ce nouvel homme) vienne se servir dans votre placard à vêtement, ou encore dans votre porte monnaie.
Vous allez vous plaindre à votre conjoint et ce dernier (ou cette dernière) vous répond : “ne t’occupe pas d’elle (lui)”, “quelle importance” “tu pourrais être plus sympa avec elle (ou lui)”.
Il est facile de se rendre compte dans ces circonstances à quel point ne pas voir ses sentiments pris en compte peut mener à ressentir de la colère et peut être même à devenir agressif.
“Si on veut avoir la moindre chance que ça s’arrête alors il ne faut pas fermer la porte à tous ces débordements émotionnels que l’on souhaite bannir définitivement, mais les accueillir avec respect.”
Quand les émotions de nos ados débordent, nous pouvons avoir tendance à leur donner des conseils, à essayer de les rassurer ou encore à leur faire de grands discours.
Or, nos ados seront plus à même de nous écouter si l’émotion a d’abord était reconnue.
Notre rôle de parent est de leur montrer comment exprimer leur colère sans s’insulter ni se blesser.
Je ne sais pas vous, mais moi, entendre les chamailleries de mes enfants pompe toute mon énergie !
Faber & Mazlish expliquent qu’ il est normal d’avoir des moments où nous sommes incapables d’écouter avec tolérances. Il est important de le faire savoir à nos enfants. 
Dans ce cas nous pouvons proposer la chose suivante : “ je comprend combien tu en veux à ton frère, mais pour l’instant il m’est difficile de t’écouter. Nous pourrons en reparler après le dîner si tu veux ”.
Pour être honnête, si on me posait clairement la question : penses-tu comparer tes enfants entre eux ? Je dirais non, jamais de la vie, surtout pas.
Je sais combien les comparaisons peuvent être blessantes.. 
J’évite de dire des choses du genre “comment se fait-il que ta sœur range sa chambre et pas toi ?” ou encore “Tu ne laisses pas traîner tes affaires, merci. Si seulement ta sœur pouvait en faire autant” etc…
Et pourtant, la semaine dernière à une voisine qui me demandait : comment ça se passe l’école à la maison ? Je répondais : “Pour les filles ça se passe très bien, elles sont autonomes. Mon fils en revanche a plus de mal à se mettre au travail.”
Vous voyez le “en revanche” et le “plus” qui viennent comparer mon fils à ses sœurs. 
Ou encore, s’il m’arrive de faire un compliment à l’un de mes enfants du genre “j’aime bien ton écriture”, l’autre se sent dévalorisé et m’envoie dans les dents “de toute façon tu la (le) préfères” ou alors “et moi, elle est moche mon écriture ?”.
Il y aurait deux types de comparaisons :
“comment se fait-il que ton frère arrive à rentrer à l’heure et pas toi ?”
La clé pour éviter les comparaison défavorables : Décrire. 
Plutôt que faire une comparaison défavorable, décrivez.
Décrivez ce que vous voyez “je vois une veste par terre” 
ou décrivez ce que vous ressentez “cela me contrarie” 
ou “décrivez ce qu’il faut faire “la place de cette veste est dans la penderie”.
“tu es tellement plus ordonné que ton frère”
La clé pour éviter les comparaisons favorables : Ne parler que de ce qui vous satisfait dans la conduite.
Décrivez ce que vous voyez “je vois que tu as accroché ta veste dans la penderie”
ou décrivez ce que vous ressentez “ ça me fait plaisir, j’aime que l’entrée soit bien rangée”.
Enfin, comment faire pour éviter que les enfants se sentent dévalorisés quand un enfant est excité, heureux de partager quelque chose qu’il a accompli ?
Faber & Mazlish nous apportent quelques éléments de réponse : 
➢ il est préférable de choisir un moment où nous nous retrouvons seul avec lui pour lui faire part de nos commentaires enthousiastes .
➢ si les autres enfants sont là à écouter : décrire ce que l’enfant peut selon nous ressentir (tu dois vraiment être fière de toi) ou ce que l’enfant a réussi (cette médaille tu l’as obtenue à force d’entraînement et de persévérance).
L’important c’est de ne pas ajouter “je suis tellement contente, j’ai vraiment hâte de le dire à papa et aux voisins”.
Autre exemple intéressant : quand les enfants ramènent leur bulletin scolaires, il est important de dire aux ados qu’il n’y a pas de concours de bulletins ! Que nous voulons nous asseoir avec chacun d’eux individuellement pour voir les appréciations et écouter ce qu’ils pensent de leur progrès.
Et oui, donner la même chose c’est donner moins.
Pourtant, je ne sais pas vous? mais moi je me laisse souvent embarquer dans des batailles “c’est pas juste M… a eu plus que moi”.
Faber & Mazlish nous expliquent que les enfants n’ont pas besoin d’être traités tous de la même manière mais d’être traité chacun spécialement.
Au lieu de donner la même quantité à tous donnez selon les besoins de chacun.
Au lieu de manifester autant d’affection à tous montrez à chaque enfant que vous l’aimez spécialement.
Au lieu de consacrer autant de temps à tous, consacrez le temps nécessaire aux besoins de chacun. 
Et j’avoue pour l’avoir testé que ça fonctionne !
Quand l’un de mes enfants me dit “ce n’est pas juste, M… en a eu plus que moi”.
Je réponds “ M… a eu ce dont il avait besoin. Ce qui m’intéresse maintenant c’est de savoir de quoi TOI tu as besoin ?” Et si je peux le fournir tout de suite je le fais, si je ne peux pas je lui dit que je le note sur la liste pour la prochaine fois (liste de course, liste d’anniversaire etc…) et je le note réellement devant lui.
Ce n’est pas nécessaire de manifester la même affection à chacun de nos enfants.
La seule chose qui est impérative c’est de rechercher ce que chacun a de spécial et ensuite lui faire sentir le plaisir que nous procure cette particularité.
“Apprécier l’individualité de chaque enfant, le prendre tel qu’il est, c’est faire en sorte que chaque enfant se sente le premier.” 
Quand le conflit éclate comment intervenir sans favoriser l’un des enfants ?
Et bien tout dépend du niveau de chamaillerie.
Ignorez les, pensez à vos prochaines vacances !
Les enfants, en réglant leurs conflits font une expérience importante pour eux.
➺Reconnaissez leur colère “vous avez l’air furieux l’un contre l’autre”.
➺ Exprimez le point de vue de chaque enfant “alors toi X tu veux …. et toi Y tu veux…”
➺ Reconnaître la gravité du problème “C’est un cas difficile : deux ados qui….”
➺ Manifestez votre confiance dans leur capacité à trouver une solution qui leur convient à tous les deux,
➺ Informez vous. Est ce une bagarre pour rire ou une vraie bagarre ?
➺ Informez vos ados : on a le droit de se battre pour jouer si tout le monde est d’accord.
➺ Décrivez ce que vous voyez “je vois deux ados en colère qui vont se faire mal”
➺ Séparer les “ensemble vous n’êtes pas en sécurité. Il faut prendre le temps de vous calmer. Vite chacun dans vos chambres”.
Ce rappel des 4 erreurs à éviter en cas de conflit entre frères et sœurs est toujours utile.
Il est même intéressant de le relire régulièrement.
Cela étant je crois vraiment qu’il ne faut pas se mettre la pression. 
Les parents aussi ont droit à l’erreur et à une deuxième chance, voir une troisième, une quatrième…
Je suis convaincue que le simple fait de prendre conscience de nos modes de fonctionnement face aux rivalités de nos enfants nous permettra petit à petit de progresser vers plus de sérénité.
Le livre Jalousies et rivalités entre frères et soeurs de Faber & Mazlish est regorge d’exemples très concrets. Certainement des exemples que vous vivez au quotidien.
J’ai essayé de vous en citer quelque uns. Si vous souhaitez approfondir, je vous invite vraiment à lire ce livre.
Et vous, comment gérez-vous les conflits entre frères et soeurs ?
N’hésitez pas à partager vos bonnes pratiques ou alors à nous faire part de votre avis sur cet article en commentaire. J’aime bien vous lire !
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Je m’appelle Stéphanie et j’ai créé UN ADO A LA MAISON pour partager des ressources inspirantes avec les parents d’ados.
Sur ce blog vous trouverez des interviews de professionnels, des conseils de lectures, des partages d’expériences, des trucs et astuces qui peuvent faire une différence dans votre quotidien et des interviews de parents.
J’ai à cœur que ce blog soit interactif alors n’hésitez pas à partager vos expériences en commentaires.
Et si vous souhaitez que je traite d’un sujet en particulier, n’hésitez pas à me contacter !
LE GUIDE DE SURVIE DU PARENT D'ADO !
Vous êtes fatigué de toujours répéter les mêmes choses ? Vous râlez toute la journée et cela créé une mauvaise ambiance à la maison ? Dans cet Ebook, je vous offre les premières pistes pour une vie de famille épanouie...
“Tu as l’impression qu’il fait ça juste pour t’embêter” Et laisser l’ado s’exprimer
“Ne t’excite pas comme ça, tu n’as qu’à…”
C’est plutôt gênant, tu aimerais plutôt qu’il te demande avant de prendre tes affaire” Et laisser l’ado s’exprimer
“Ce n’est pas drôle. Je crois que tu devrais faire savoir à ton frère que tu n’es pas content mais par écrit”
“Ce n’est pas une façon de traiter sa soeur”
“Tu as l’air furieux. Tu es capable de régler tes comptes avec ta soeur sans l’insulter”

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Fréquenter le frère de son ex ? C’est quelque chose qui n’arrive que dans les films, non ? Pour d’autres, il ne faut même pas se demander s’il n’y a pas de mal à sortir avec le frère d’un ex parce que la plupart penserait que c’est bon marché et immoral. Surtout si on a décidé de récupérer son ex qui est en couple, comment faire ?
Il semble que tout le monde essaie de contrôler la vie des autres. Ton frère ne veut pas que tu sortes avec la fille qu’il a rejetée. Il considère que c’est une déclaration selon laquelle il a fait une erreur en la rejetant. Ainsi, il dit qu’il ne consentira pas ou ne bénira pas votre mariage. Curieusement, ni son consentement ni sa bénédiction ne sont nécessaires pour que vous puissiez épouser la femme de votre choix. Ton frère n’a pas ce contrôle sur ta vie, alors pourquoi faire comme si c’était le cas ? Bien sûr, ce serait bien s’il vous souhaitait la joie dans votre mariage, mais la seule bénédiction requise dans un mariage est la bénédiction de Dieu.
Tu veux que ton frère accepte ta décision. Je ne sais pas pourquoi ils ont rompu, mais on dirait que c’est surtout parce que votre frère a trouvé quelqu’un qu’il aimait mieux et qui était près de chez lui. Quoi qu’il en soit, vous ne pouvez pas forcer une personne déraisonnable à être raisonnable. Vous pouvez être poli, gentil et gentil avec lui, mais vous ne pouvez pas le forcer à se comporter de cette façon en retour.
Tes parents veulent la paix entre leurs fils. Ils affirment également qu’ils ne consentiront pas à ce que votre mariage soit un moyen de vous forcer, vous et votre frère, à régler votre désaccord. Ça ne marchera pas puisque le problème est du côté de votre frère et qu’ils n’ont aucune influence sur lui. Mais comme ton frère, ils n’ont aucun contrôle sur qui tu veux épouser. Ils peuvent vous conseiller, mais je suppose qu’il n’y a rien de mal à votre choix. C’est une femme parfaitement acceptable. Le seul problème, c’est le rejet de votre frère, ce qui n’est pas correct de vous en vouloir.
Pour réussir son mariage, il faut se déconnecter de l’autorité de ses parents pour pouvoir fonder sa propre famille. Qui vous épousez n’est qu’un reflet de votre choix chez un partenaire. Je suppose que vous avez l’âge et que l’homme adulte n’a pas besoin de l’approbation de ses parents pour épouser une femme. C’est agréable à avoir, mais ce n’est pas obligatoire.
Mon frère se marie avec mon ex , il est désormais mon ennemi et je refuse d’y aller !
Je compatis avec vous. L’amour non partagé peut être difficile. Mais soyons clairs. Cette journée n’a rien à voir avec toi. Il s’agit de deux personnes qui s’aiment et qui veulent passer le reste de leur vie ensemble. Malheureusement, il n’y a pas grand-chose que vous puissiez faire pour changer cela maintenant. Vous pourriez déclarer votre amour éternel pour elle, mais il semble qu’elle ait déjà fait son choix et que votre frère ne vous le pardonnerait jamais. Tu pourrais refuser d’aller au mariage.
Comme tu l’as dit, ta famille ne te parlerait plus jamais. Refuser d’aller au mariage ressemblerait un peu à un enfant qui fait une crise de colère alors qu’il ne peut pas se débrouiller seul. Mon conseil serait d’aller au mariage et d’être là pour ton frère. Vous n’aimez peut-être pas ça, mais vous ne pouvez rien y faire. Vous pouvez être calme et digne et même si vous versez une larme, personne ne le remarquera.
Les gens sont censés pleurer aux mariages de toute façon. Quoi que vous fassiez, taisez-vous quand le pasteur vous demande si quelqu’un a des objections. Tu es un adulte et le temps est venu pour toi de commencer à agir comme tel. Tu es le seul qui contrôle tes actions. Quelle que soit la façon dont vous vous comportez, c’est à vous de décider. Par-dessus tout, qu’est-il arrivé au traitement des gens comme vous aimeriez être traité vous-même ? Si vous avez de la difficulté à garder votre sang-froid ce jour-là, rappelez-vous comment vous voudriez être traité par votre frère si la chaussure était sur l’autre pied. Quelles que soient leurs décisions, bonnes ou mauvaises, la vie continue.
C’est difficile de voir pourquoi ce serait moralement répréhensible. Il ne fait aucun doute que cela dérangerait quelques personnes pendant un certain temps, mais il n’est pas certain qu’elles auraient le droit de l’être. Au-delà de ça, on ne sait pas très bien ce qui pourrait le rendre mauvais. Si les deux familles s’opposent mortellement, alors je suppose que quelqu’un pourrait dire que ses obligations envers sa famille exigent que vous restiez « juste amis ». Mais il n’est pas évident que nous devons ce genre de respect aux souhaits de nos familles, et il n’est certainement pas évident que les membres de notre famille ont le droit de nous imposer de telles exigences.
Je suis tombé amoureux de l’ex de mon frère
Bien sûr, je ne connais pas les détails de l’histoire. Peut-être que si je le faisais, les choses seraient différentes. Mais cela m’amène à la question philosophique actuelle. Vous dites que vous voulez que la question soit réglée par référence à une norme morale objective. Mais cela m’amène à me poser la question suivante : cherchez-vous une sorte de dérivation de la bonne réponse à partir d’une maxime ou deux ? Il n’y a pas beaucoup de raisons de croire que la sagesse morale fonctionne de cette façon. La bonne chose à faire est habituellement une question d’équilibre entre différentes considérations. Nous pensons à ceux qui seront blessés. Nous pensons aux conséquences à long terme. Nous pensons à la loyauté que nous devons aux autres. Nous pensons à l’équité, à la gentillesse, au courage. Nous nous demandons si nous sommes impulsifs ou si nous sommes lucides. Et nous pourrions penser à bien d’autres choses. Des théories comme l’utilitarisme sont des tentatives pour lier tout cela avec un arc, mais toutes ces théories sont controversées et post hoc.
D’ailleurs vous n’êtes pas les seuls.
Il suffit de lire ceux qui ont révélé ce qu’est d’avoir un ex comme beau-frère ou belle-sœur. Des résultats étonnamment froids aux tensions palpables lors d’événements familiaux, voici quelques-unes des réponses les plus notables.
L’idée de l’amour vous entoure tous les jours, jaillissant presque constamment de la radio et de la télévision.
Mais comme tous ceux qui ont été amoureux peuvent vous le dire, l’amour n’est pas aussi simple qu’il est souvent décrit dans les médias.
Ce que signifie être amoureux change d’une personne à l’autre, mais cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas des sentiments communs à toutes les formes d’amour.
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