Fourrage de sa vulve de débutante

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Sept jours après le vêlage, ce pis présente encore un œdème de faible intensité. Un œdème du pis est reconnaissable au fait que la pression du pouce ou d’un doigt sur le pis forme un creux qui reste visible quelques secondes (consistance «pâteuse» du tissu mammaire).

Un œdème (accumulation d’eau dans les tissus) se crée lorsque, dans le tissu, la circulation sanguine est augmentée (en relation avec un mécanisme du flux sanguin modifié) et/ou le retour via la lymphe ou les veines (ou également l’élimination d’eau via les reins) est perturbé. Autour de la période de vêlage, un œdème du pis durant quelques jours est, dans une certaine mesure, normal.

Plusieurs jours avant le vêlage, la vache commence à «faire du pis», c.-à-d. que le pis se prépare à la lactation. Avec le début de la production laitière, le tissu du pis doit être plus fortement irrigué.

Toutes les vaches doivent pouvoir être traites complètement, sans difficulté et sans douleurs, également lors de la première traite après le vêlage.

Des mesures sont nécessaires lorsque l’œdème dérange pendant la traite et lorsque la vache a des douleurs ou ne peut pas être traite complètement. Dans les cas extrêmes, l’œdème du pis peut se répandre sous le ventre jusqu’à la poitrine et empêcher l’animal de se coucher. Un gonflement du pis jusqu’à la vulve est possible. Si l’œdème est trop important avant le vêlage et qu’il existe un risque de rupture du ligament médian, consultez votre vétérinaire pour un éventuel déclenchement du vêlage. En cas de fort œdème du pis après le vêlage, lorsque la vache ne peut plus être traite correctement et que d’autres problèmes apparaissent (nécrose des plis de la cuisse chez les animaux avec un pis attaché haut p. ex.), il existe la possibilité d’un traitement médicamenteux au moyen de cortisone et de diurétiques. En règle générale, un œdème du pis «normal» n’est pas douloureux. Si, en plus de l’enflure, on constate une zone douloureuse, une rougeur et une sensation de chaleur du pis, il faut effectuer un test de Schalm, les tissus réagissant également par une accumulation d’eau en cas d’inflammation. Une mammite débutante peut souvent être reconnue grâce au test de Schalm.  
Swissgenetics Meielenfeldweg 12 3052 Zollikofen Tel. +41 31 910 62 62


Troupeau Contrôle du troupeau Détection précoce des fraîches vêlées


























Photo: M. Reiser (concours photo 2016)






























Photo: C. Andres (concours photo 2015)






























Photo: C. Schödler (concours photo 2016)






























Photo: Ch. Ruber (concours photo 2016)






























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Les vaches émettent divers signaux qui nous permettent de savoir si elles vont bien et si elles ont bien surmonté le vêlage. C’est pourquoi un examen attentif est nécessaire immédiatement après le vêlage.
Certains détenteurs d’animaux remarquent immédiatement les signes avant-coureurs de maladie, même s’ils sont ténus. On dirait qu’ils ont des «antennes» spéciales qui leur permettent de capter ces signaux! 
D’autres éleveurs doivent observer leurs vaches de manière plus rationnelle et prendre du temps pour détecter d’éventuels signes de maladie. 
Le travail d’observation s’avère payant si les premiers signes de maladie sont détectés et que la vache peut être traitée avant qu’une pathologie aigüe ne s’installe.
Les vaches fraîchement vêlées sont les plus fragiles du troupeau et sont particulièrement sensibles aux maladies. C’est la combinaison de divers facteurs de stress qui affaiblit les vaches et leur système immunitaire après le vêlage:
Pour que l’on puisse se rendre compte que quelque chose ne va pas, il faut toujours garder à l’esprit le comportement normal des animaux en bonne santé. Comment se comporte une vache en bonne santé, directement après qu’elle ait mis un veau au monde – Quels signaux donne-t-elle?
Une vache en bonne santé se lève juste après le vêlage pour s’occuper de son veau. Les primipares «ont le droit» de rester couchées un peu plus longtemps pour récupérer.

La vache lèche son veau intensivement , pour enlever les enveloppes fœtales, sécher le pelage et stimuler les systèmes cardiovasculaire et respiratoire.

Le léchage du veau déclenche chez la vache les contractions expulsives et la montée de lait, sous l’effet des «hormones maternelles» que sont la prolactine et l’ocytocine. 
La délivrance a lieu six à douze heures après le vêlage au maximum. Une expulsion complète des arrière-faix est importante pour le nettoyage et l’involution de l’utérus. 
Comme la vache perd beaucoup de liquide, de sels minéraux et de sang lors du vêlage, elle a généralement très soif et boit au moins 40 litres d’eau tiède .

Une vache en bonne santé recommencera rapidement à manger . Vous lui faciliterez le choix entre «manger» ou «s’occuper du veau», si vous mettez le veau dans une Starterbox dans l’aire d’alimentation du box de vêlage.
Une ingestion de fourrage suffisante se traduit par un bon remplissage de la panse. Si une vache fraîchement vêlée a bien mangé et rumine , les meilleures conditions sont réunies pour la nouvelle lactation.
Les vaches pouvant se déplacer librement (p. ex. dans un box de vêlage ou au pâturage), mangent instinctivement les arrière-faix.

Si la vache fraîche vêlée satisfait tous ces points, elle est en bonne santé et peut démarrer sa lactation dans de bonnes conditions. Dans le cas contraire, il s’agit de chercher ce qui ne joue pas!
Les arrière-faix doivent être expulsés rapidement après le vêlage. C’est important à double titre: d’une part, il s’agit d’une condition de base pour un bon départ dans la lactation et d’autre part, une rétention placentaire doit toujours être considérée comme un signal d’alarme qui nécessite non seulement un traitement vétérinaire mais également une analyse plus approfondie: qu’est-ce qui ne joue pas?

Si vous n’êtes pas sûr que les arrière-faix aient été expulsés, vérifiez s’il y a encore des enveloppes fœtales dans le tractus génital. N’attendez pas que la vache commence à «sentir» à cause des restes d’enveloppes fœtales en putréfaction!
Vous ne devriez pas vous fier uniquement à «votre œil» pour déterminer si votre vache fraîchement vêlée est en bonne santé ou non. Le contrôle de la température est la mesure objective la plus simple.

Tout écart par rapport à la normale environ douze heures après la naissance doit déclencher une alarme: ce que soit une augmentation de la température corporelle (> 39.5°C = fièvre) ou une température trop basse (< 38.0°C = hypothermie).

Mesurer quotidiennement la température avec un thermomètre pendant les 10 premiers jours après le vêlage est une mesure judicieuse.
La fièvre du lait (hypocalcémie) est la maladie la plus fréquente chez les vaches fraîchement vêlées.

Avant que les muscles ne puissent plus travailler correctement en raison de l’hypocalcémie et que la vache ne puisse plus se tenir debout, il existe d’autres signes discrets.

Si vous les détectez, il est alors urgent d’intervenir, par exemple avec une administration orale de calcium , afin d’éviter que la situation empire et se termine par le syndrome de la vache couchée.
Les oreilles d’une vache atteinte de fièvre du lait sont froides , car le corps centralise la circulation sanguine. Une intervention rapide aide beaucoup.

Si vous passez la main sur le dos de la vache suspecte avec votre main, sa température vous paraîtra froide.
C’est surtout en passant la main en direction des pattes de la vache que l’on remarque que ces dernières sont plus froides que la normale. Vous n’êtes pas totalement sûr? Comparez avec la vache d’à côté.
Au toucher, l’hypothermie peut être supposée. Elle peut être détectée avec certitude au moyen d’un simple thermomètre. En cas de doute, il vaut mieux vérifier.
De faibles contractions durant le vêlage sont de premiers signes de fièvre du lait. Le processus de vêlage n’avance que lentement et la vache ne pousse pas de toute ses forces. 
Des selles foncées et sèches en surface montrent que le transit intestinal est perturbé par le manque de calcium.

Une vache en mauvaise santé cesse rapidement de boire. Ses globes oculaires s’enfoncent dans les orbites , signe d’un début de déshydratation, comme c’est aussi le cas chez les veaux qui ont la diarrhée.

La fosse paralombaire affaissée sur le flanc gauche indique que la panse est vide. La vache n’a presque rien mangé.

Certaines vaches atteintes d’un début de fièvre du lait restent parfois plus souvent debout que la normale. Elles n’osent pas se coucher, de peur de ne plus pouvoir se relever. 
L’observation des animaux peut être facilitée si la vache suspecte est marquée d’une couleur voyante sur le dos. Vous la repérerez mieux si elle reste toujours couchée dans la même logette.
Même si elles ne sont pas atteintes par le syndrome de la vache couchée, les vaches atteintes d’un début de fièvre de lait ne se lèvent qu’avec réticence. Il faut souvent les forcer à se lever.
Si la délivrance n’a pas eu lieu une demi-journée après le vêlage au maximum, cela peut être le signe d’un début de fièvre du lait. L’utérus manque de calcium et donc de force pour expulser les arrière-faix. Un cas typique: la rétention placentaire est remarquée le soir; le lendemain matin, la vache ne peut plus se lever.
Si vous rater les signaux discrets d’un début de fièvre du lait ou si son apparition est soudaine, la vache ne peut plus se lever. On dit qu’elle est atteinte du syndrome de la vache couchée.

Divers articles Conseil publiés dans TORO se sont intéressés à la fièvre du lait. Vous pouvez les télécharger en pdf.
La santé du troupeau et la fièvre du lait seront également des thèmes que nous présenterons bientôt en détail sur la homepage. Nous serions heureux de vous tenir au courant de ce qui se s’y passe. Abonnez-vous à notre newsletter .

De nombreuses vaches ont des douleurs après le vêlage, en particulier après un vêlage difficile ou en cas de rétention placentaire.

En tant qu’animaux de proie, les vaches tentent de cacher la douleur . Elles ne manifestent pas bruyamment leur douleur et ne montrent que des signes discrets.
Il est nécessaire d’observer attentivement les animaux afin de pouvoir détecter s’ils souffrent. L’ expression faciale et la posture vous en montrent beaucoup.
Le regard d’une vache malade ou qui a des douleurs semble vide et elle paraît pensive.
Les rides au-dessus des narines et des paupières supérieures font partie de l’«expression faciale marquée par la douleur». 
En cas de douleur, les narines sont grandes ouvertes. La peau présente également de légères rides sur les ailes des narines en raison de la contraction des muscles faciaux.
Les oreilles d’une vache qui ne se sent pas bien sont dirigées vers l’arrière ou sont tombantes. Le jeu d’oreilles n’est pas vif et ne montre pas non plus de la curiosité.
En cas de douleur au niveau du bassin, par exemple après un vêlage difficile ou une rétention placentaire, la posture de la vache est modifiée. 
Une vache qui a des douleurs au niveau du bassin ou de l’abdomen se déplace avec une démarche engourdie, les pattes écartées, rentre le ventre et a le dos voûté .
La vache bat en direction de l’endroit douloureux avec sa queue . Mais, contrairement aux mouvements effectués lors de la chasse des mouches, les mouvements sont plutôt nerveux.

Les douleurs au niveau du bassin déclenchent une envie de pousser. C’est pourquoi la vache tient sa queue loin de son corps . Parfois l’écart n’est que très léger, parfois la queue est presque à l’horizontale, phénomène aussi accompagné d’une pression abdominale.

Si la vache fraîche vêlée est réticente à se lever , il faut se demander si elle ne peut pas se lever
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