Footballeuses lesbiennes

🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

Footballeuses lesbiennes

Êtes-vous sûr.e de vouloir vous déconnecter ?



Société
International
Arts & Culture
Vidéos
Santé


Publié le
12 septembre 2018 à 11 h 58 min


Lara Dickenmann Football Coming out
3 questions à Stéphane Bernard, président de Fierté Marseille Organisation
3 questions à Nicolas Derche, directeur national du pôle santé communautaire du Groupe SOS
3 questions à Chiara Piemonte, co-organisatrice des soirées SOROR
Offre Découverte à partir de 1 € J'en profite
Reconnaissance conjointe anticipée : L’association Les Enfants d’Arc en Ciel tire la sonnette d’alarme
Pour les homosexuels au Sénégal, une vie empêchée
Espagne : la communauté gay vers l’abstinence pour se prémunir contre la variole du singe

Félicitations ! Vous êtes maintenant inscrit à la Newsletter La Kotidienne ! Veuillez consulter votre boite email et cliquer sur le lien de confirmation que vous avez reçu…


Komitid ©
2022


À propos


L'équipe



Nos offres d'accès




Utilitaires


Informations légales


Politique de confidentialité - Cookies


Conditions d'utilisation


Contact







Accès dès 1€


Newsletter



Passée par l’Olympique Lyonnais, elle est le pilier de l’équipe nationale de football suisse. À 32 ans, la footballeuse Lara Dickenmann vient de faire son coming out. « Lara Dickenmann aime le football et les femmes » , c’est ainsi qu’était intitulé le reportage consacré à la joueuse de l’équipe nationale de Suisse diffusé ce dimanche sur la chaîne SRF 2.
« Dans les médias, elle parle ouvertement de son amour pour le football, mais pas de son amour pour les femmes » , commente la voix off dès les premières minutes de l’émission Sportpanorama Plus .
L’actuelle milieu de terrain de l’équipe allemande de Wolfsbourg a longtemps gardé le secret, ne souhaitant pas être catégorisée comme la footballeuse lesbienne de service et ainsi « confirmer le cliché » . Mais Lara Dickenmann est désormais prête à en parler publiquement : « C’est un sujet important pour moi. Dans le sport, c’était très difficile de trouver quelqu’un capable de dire “je suis lesbienne ou gay” publiquement. »
Poussée par cette envie de montrer qu’on peut être lesbienne et être heureuse et épanouie dans sa vie professionnelle et personnelle, Lara Dickenmann est prête aujourd’hui à être un modèle pour les jeunes générations. Le reportage évoque aussi sa petite amie Barla Deplazes, elle aussi footballeuse, qui officie au FC Zurich. Les deux joueuses sont en couple depuis deux ans.


Cet article date de plus de sept ans.




























Le stade Louis-Lumière, dans le 20e arrondissement de Paris. (GOOGLE EARTH)




Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.


Saisissez votre adresse mail pour recevoir l’essentiel de l’actualité tous les matins





s'abonner















France Télévisions utilise votre adresse email afin de vous adresser des newsletters.
Pour exercer vos droits, contactez-nous.
Notre politique de confidentialité
Contactez-nous







Notre compte Twitter (nouvel onglet)















Notre compte Facebook (nouvel onglet)















Notre compte Instagram (nouvel onglet)















Notre compte Youtube (nouvel onglet)











Les faits se sont déroulés dans le 20e arrondissement de la capitale, mercredi. La mairie de Paris dénonce "une agression verbale lesbophobe et sexiste" et promet des sanctions. L'entraîneur mis en cause nie avoir proféré des insultes.
Elles se font appeler "les Dégommeuses". Les joueuses de cette équipe de foot composée de lesbiennes et d'amies de lesbiennes ont subi les insultes de l'entraîneur d'une équipe de jeunes sur un terrain municipal. La mairie de Paris dénonce, dans un communiqué , vendredi 30 janvier, "une agression verbale lesbophobe et sexiste" . Et promet des sanctions.
Le 28 janvier à 19h30, les Dégommeuses se présentent au stade Louis-Lumière, près de la porte de Montreuil, dans le 20e arrondissement de Paris, où elles bénéficient d'un créneau horaire pour jouer au foot. Mais l'entraîneur d'une équipe de jeunes qui occupait le terrain pendant le créneau précédent refuse de céder la place.
"Après avoir intimé aux jeunes qu'il encadrait de ne pas quitter le terrain, il est devenu de plus en plus agressif, passant aux insultes puis aux menaces physiques", ont expliqué vendredi les Dégommeuses dans un communiqué conjoint avec l'association SOS Homophobie.
Selon elles, une joueuse a été violemment prise à partie verbalement : "Je vais te faire bouffer mes couilles dans ta bouche", a menacé l'entraîneur. Puis il aurait encouragé ses élèves à se moquer des joueuses. "Allez les jeunes, applaudissez les lesbiennes !" aurait-il lancé, entraînant "un déchaînement d'applaudissements collectifs, de cris et de railleries, sous l'œil satisfait de l’entraîneur, qui continuait lui-même d’applaudir". Jusqu'à l'arrivée d'un agent de la municipalité.
Interrogé par le site Yagg.com , l'entraîneur nie avoir proféré des insultes, et livre une autre version des faits. Selon lui, l'une des Dégommeuses aurait qualifié ses joueurs de "petits branleurs" , ce à quoi il aurait répliqué : "Et vous, vous êtes quoi ? Vous, vous êtes des petites lesbiennes !" Il accuse aussi "l'une de ces demoiselles de dire quelque chose à la limite du racisme".
La mairie de Paris et la mairie d'arrondissement ont apporté leur soutien aux joueuses et ont promis des sanctions contre l'entraîneur qui les a insultées. "Ces propos, outre leur vulgarité et leur agressivité, sont strictement prohibés par la loi. Il est d'autant plus choquant de les entendre sortir de la bouche d'une personne à qui des parents ont confié leurs enfants afin qu'ils pratiquent une activité sportive", ont jugé Jean-François Martins et Hélène Bidard, adjoints à la maire de Paris, et Frédérique Calandra, maire du 20e arrondissement.
La maire du 20e arrondissement va étudier les suites juridiques à apporter à cet incident. De son côté, la maire de Paris, Anne Hidalgo, va engager des mesures conservatoires et des sanctions administratives envers ce dirigeant de club. Elles pourraient aller jusqu'à son exclusion des terrains de sport de la ville de Paris.
Prolongez votre lecture autour de ce sujet
Franceinfo sélectionne chaque jour des contenus issus de médias audiovisuels publics européens, membres de l’Eurovision. Ces contenus sont publiés en anglais ou en français.
Soyez alerté (e) en temps réel avec l'application franceinfo :


L’homosexualité dans le football : cette footballeuse camerounaise dit tout
La vidéo ne peut être lue. (Code d'erreur: 102630)
La vidéo ne peut être lue. (Code d'erreur: 102630)
Avant de nous quitter, voici des contenus qui pourraient vous intéresser
L’Afrique apparaît comme le continent le plus ouvertement hostile à l’homosexualité des femmes en crampons. Pour Nchout Njoya Ajara , attaquante des Lionnes Indomptables du Cameroun, dit sa part de vérité à ceux qui pensent que les footballeuses sont forcément des lesbiennes.
Nchout Njoya Ajara a réagi sur le sujet de la sexualité dans le football féminin dans le forum Afrique Football Média.
La footballeuse qui a connu une année 2019 prolifique avec notamment une nomination pour le but Puskas du plus beau but de l’année, s’est indignée de ce que les femmes soient tout le temps pointées du doigt et qualifiées de lesbiennes, uniquement à cause de leur morphologie. 
Aussi, invite-t-elle les uns et les autres à faire preuve de plus de clairvoyance et de moins de jugement dans son commentaire :
“Dans le monde du football, on a toujours l’impression de croire que les footballeuses sont des garçons manqués, s’exprime-t-elle. Mais je vous rappelle qu’il y a des footballeuses qui ont juste la morphologie des hommes. Je pense que les gens doivent arrêter de croire que les footballeuses sont des lesbiennes parce que dans tous les domaines, on trouve ça. On trouve les homosexuels dans tous les domaines“.
Et de poursuivre : “Parfois, tu peux voir quelqu’un qui ne pratique même pas le sport et si on ne te dit pas que la personne est homosexuelle, tu vas jamais croire. Mais je pense que les gens se retournent beaucoup plus sur les footballeuses parce que les footballeuses sont un peu garçons manqués par rapport à leur morphologie. Donc c’est ce qui trompe aussi la vigilance des Hommes. Je dirais que les gens doivent arrêter de croire que c’est parce que tu joues au football que tu es lesbienne. Ce n’est pas forcément ça“.
Voilà qui est dit. On espère que son message sera entendu par les pseudos juges qui n’ ont de cesse de stigmatiser les footballeuses.


L’homosexualité dans le football : cette footballeuse camerounaise dit tout
La vidéo ne peut être lue. (Code d'erreur: 102630)
La vidéo ne peut être lue. (Code d'erreur: 102630)
Avant de nous quitter, voici des contenus qui pourraient vous intéresser
L’Afrique apparaît comme le continent le plus ouvertement hostile à l’homosexualité des femmes en crampons. Pour Nchout Njoya Ajara , attaquante des Lionnes Indomptables du Cameroun, dit sa part de vérité à ceux qui pensent que les footballeuses sont forcément des lesbiennes.
Nchout Njoya Ajara a réagi sur le sujet de la sexualité dans le football féminin dans le forum Afrique Football Média.
La footballeuse qui a connu une année 2019 prolifique avec notamment une nomination pour le but Puskas du plus beau but de l’année, s’est indignée de ce que les femmes soient tout le temps pointées du doigt et qualifiées de lesbiennes, uniquement à cause de leur morphologie. 
Aussi, invite-t-elle les uns et les autres à faire preuve de plus de clairvoyance et de moins de jugement dans son commentaire :
“Dans le monde du football, on a toujours l’impression de croire que les footballeuses sont des garçons manqués, s’exprime-t-elle. Mais je vous rappelle qu’il y a des footballeuses qui ont juste la morphologie des hommes. Je pense que les gens doivent arrêter de croire que les footballeuses sont des lesbiennes parce que dans tous les domaines, on trouve ça. On trouve les homosexuels dans tous les domaines“.
Et de poursuivre : “Parfois, tu peux voir quelqu’un qui ne pratique même pas le sport et si on ne te dit pas que la personne est homosexuelle, tu vas jamais croire. Mais je pense que les gens se retournent beaucoup plus sur les footballeuses parce que les footballeuses sont un peu garçons manqués par rapport à leur morphologie. Donc c’est ce qui trompe aussi la vigilance des Hommes. Je dirais que les gens doivent arrêter de croire que c’est parce que tu joues au football que tu es lesbienne. Ce n’est pas forcément ça“.
Voilà qui est dit. On espère que son message sera entendu par les pseudos juges qui n’ ont de cesse de stigmatiser les footballeuses.

Rêve humide d'une blonde aux superbes seins
La professeure de mon fils était folle d'une baise dans le cul
Une femme coquine qui prend en levrette