Folie au travail

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A tort et Ă  travers, le terme de folie est employĂ© Ă  notre Ă©poque, mais personne n’est capable de la dĂ©finir. Pouvez-vous m’expliquer exactement ce que ca implique ? Merci.
Giannamaria, 28 ans
Mis Ă  jour le 15 octobre 2010 Ă  09:32


La folie, c’est souvent ce que l’on n’accepte pas, ou ce qu’on ne comprend pas. C’est pourquoi, en tant que psychiatre, je n’ai jamais rencontrĂ© de fous : je n’ai vu et ne continue de voir que des ĂȘtres humains qui souffrent, et qui sont perturbĂ©s dans leurs esprits ou leurs comportements par des maladies que j’essaye de soulager ou de soigner avec eux. Plus on accepte et plus on comprend, moins la folie existe.

Du moins la folie psychiatrique, qui n’est donc pas une maladie chez l’autre (la maladie « folie » n’existe pas, ou plus), mais un manque chez nous (manque de connaissances et de comprĂ©hension).

Pour l’autre folie, la « folie » de notre vocabulaire (« il est complĂštement fou ce type ») et des mĂ©dias (« la folie spĂ©culative ») elle dĂ©signe non pas la perte de la raison mais nos dĂ©raisons quotidiennes : comment les logiques absurdes qui parfois conduisent nos vies (se venger, possĂ©der, s’enrichir, dominer, ne pas vieillir, 
) vont nous conduire au pire.

Ces folies ordinaires, faites de dĂ©raisons des gens « pas fous » au dĂ©part, vont s’avĂ©rer immensĂ©ment dangereuses et pour les personnes et pour la sociĂ©tĂ©. Bien plus que la folie des patients de psychiatrie.
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Pascale Peuchmaur , psychanalyste. Intervention au sĂ©minaire de PLF du 21/11/2008 C’est Ă  propos de la tentative de spĂ©cialisation (du cĂŽtĂ© de la « psycho-pathologie du travail ») dans une unitĂ© de consultation gĂ©nĂ©rale que nous avons Ă©tĂ© amenĂ©s Ă  nous interroger sur la façon de prĂ©server des zones de non savoir lĂ  oĂč le discours de l’expert tend Ă  devenir prĂ©gnant ? En quoi ce qui se joue sur la scĂšne du travail est en Ă©cho avec la montĂ©e en puissance des marchĂ©s de la science et de la perte de pouvoir du politique comme espace de l’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral ? Comment des zones de parole peuvent se loger dans les interstices de l’instituĂ© ? Face au malaise social du travail, qui envahit les mĂ©dias actuellement, l’approche est telle que la psychologisation prend nettement le pas sur la politisation ; les collectifs sont atteints. Les employeurs font appel Ă  des cabinets privĂ©s ou des numĂ©ros verts, et maintenant des tickets psy, pour remettre sur pied au plus vite les travailleurs atteints. Au-delĂ  de l’aspect financier clairement Ă©noncĂ© par le gouvernement comme enjeu de mission publique, il y a pour nous un enjeu de causalitĂ© et de temporalitĂ©. Les demandes pour souffrance au travail ne sont pas de nouvelles demandes mais sont prises dans le discours ambiant. Toute la question qui se pose Ă  nous en institution est celle de la position Ă  tenir ; face Ă  des personnes qui ont Ă©tĂ© nommĂ©es harcelĂ©es, malades. Se situer comme ne sachant pas d’avance pour l’autre n’est pas si simple que cela Ă  soutenir : ne pas fixer une causalitĂ© univoque, ouvrir Ă  une temporalitĂ© qui ne va pas de soi. Si nous sommes rendus tĂ©moins de quelque chose qui Ă©voquerait une dĂ©shumanisation plus que la rĂ©fĂ©rence Ă  de nouvelles demandes, la question est alors bien pour nous celle de la possibilitĂ© d’existence de zones encore ouvertes aux conditions d’émergence des effets du sujet (ce que nous pouvons constater comme grandement entamĂ©). Voici la forme qu’a pu prendre notre questionnement posĂ© Ă  l’occasion d’une journĂ©e interne rĂ©unissant tous les services au sein de l’association de l’Elan RetrouvĂ©. (17 Janvier 2008). Cette forme inaugurale a pu se reprendre dans le cadre du sĂ©minaire de Pratiques de la Folie (21 Novembre 2008) pour nous faire rebondir sur l’enjeu de paradigme constituĂ© par ce questionnement ; paradigme d’une position Ă  soutenir face Ă  ce qui nous soumet Ă  une place d’ĂȘtre nommĂ© Ă , assignĂ© Ă  
 Le contexte du travail en toute connaissance de quoi nous pouvons prĂ©ciser notre position est indiquĂ© par notre collĂšgue Pascale Moins, psychiatre – psychanalyste. Pascale MOINS – Pascale PEUCHMAUR. AU TRAVAIL ! A propos de la souffrance au travail, cette notion assez floue qui recouvre diverses situations que nous Ă©coutons dans l’UnitĂ© de PsychothĂ©rapie et Psychopathologie du Travail, il m’a paru important de vous rappeler quatre points sur la place et la valeur contradictoire du travail dans notre sociĂ©tĂ© contemporaine, afin de rendre plus lisible non pas une cause mais un contexte. Dans un rĂ©cent documentaire (“J’ai (trĂšs) mal au travail” de Jean-Michel CarrĂ©), le travail Ă©tait citĂ© comme la deuxiĂšme source de bonheur juste aprĂšs la santĂ© et avant l’argent, la famille et l’amour. Plus le travail est rare et prĂ©caire (d’une prĂ©caritĂ© certes moderne), plus il est censĂ© combler Ă  lui seul toutes les aspirations existentielles des individus et plus il est question de la souffrance psychique qu’il engendre (articles sur le harcĂšlement moral au travail, sur les suicides sur les lieux du travail, ouvrages sur la souffrance, romans et films sur le monde de l’entreprise). Interrogeons-nous donc. Si l’absence d’idĂ©al alternatif limite sans doute les possibilitĂ©s de rĂȘve ou de rĂ©bellion, peut-ĂȘtre oublions-nous souvent, l’étymologie mĂȘme du terme “travail”. Je rappelle pour mĂ©moire que tripalium est Ă  l’origine double des mots travail et torture. “Travailler “ en ancien français du XIIIĂšme siĂšcle et en français classique signifie “ faire souffrir “ moralement ou physiquement avec une rĂ©fĂ©rence au corps qui perdure dans l’expression “ femme en travail “ et de façon Ă©dulcorĂ©e dans cette locution familiĂšre “quelque chose me travaille”. En effet, le travail qui est aussi une contrainte , n’est pas sans faire souffrir (0). Il nous oblige et nous transforme. Et sans doute la fameuse expression “Tout travail mĂ©rite salaire “(1) qui rappelle le caractĂšre social du travail et la reconnaissance par l’autre, apparaĂźt-elle bien dĂ©suĂšte face aux promesses d’une jouissance facile et sans limite que propose notre sociĂ©tĂ© consumĂ©riste. Ces offres de satisfaction permanente, de pouvoirs incroyables que l’on cherchait autrefois dans les mythes et plus tard dans certaines drogues circulent partout. “Tout est possible pour les vĂ©ritables dieux” Ă©crivait Ovide dans « Les MĂ©tamorphoses » (livre IV). Mais pas besoin de regarder si loin et je vous cite tout l’espoir que j’ai pu lire sur une simple boĂźte de cĂ©rĂ©ales pour le petit dĂ©jeuner (”CRUNCH”) : - « Si tu as l’esprit Crunch, t’as le pouvoir ». - « Tu as tout le temps de prendre ton temps ». - « Exprime tes envies, rĂ©alise tes rĂȘves ». - « Tes dĂ©lires ont le champ libre. » (phrase qui lĂ©gende la photographie d’un adolescent nageant littĂ©ralement dans le blĂ©) - « Si tu as l’esprit Crunch, alors rien n’est impossible ».....et je passe, il y a un site internet si l’on souhaite encore un peu plus de promesses. Pourquoi travailler encore aprĂšs un petit dĂ©jeuner pareil ? Par ailleurs si l’inquiĂ©tude sociale devant l’absence de travail (2) n’est pas dĂ©nuĂ©e d’ambigĂŒitĂ©, c’est dans bien des cas la fonction disciplinaire du travail qui fait l’objet de regrets, quelle place donnons-nous encore Ă  la valeur sublimatoire du travail qui lie l’individu Ă  un morceau de rĂ©alitĂ© et l’insĂšre dans la communautĂ© humaine? En 1929, Freud Ă©crivait dans un ouvrage pourtant fort pessimiste “Malaise dans la civilisation “ou “Malaise dans la culture” selon les traductions, (page 23 en note de bas de page): “La possibilitĂ© de dĂ©placer une forte proportion de composantes libidinales, composantes narcissiques, agressives et mĂȘme Ă©rotiques sur le travail professionnel et sur les relations humaines qui s’y rattachent, confĂšre Ă  celui-ci une valeur qui ne le cĂšde en rien Ă  son indispensabilitĂ© pour chacun aux fins d’affirmer et de justifier son existence dans la sociĂ©tĂ© .” Dernier point qui n’est pas sans lien avec la sublimation et les liens sociaux construits Ă  partir du travail : ce sont des salariĂ©s que nous recevons, j’avancerai mĂȘme uniquement; quand bien mĂȘme nous pouvons Ă©couter les plaintes d’artisans ou de travailleurs indĂ©pendants, il me semble qu’ils ne viennent jamais pour un problĂšme posĂ© comme liĂ© au travail. Ce fait, outre l’évolution paradoxale du salariat (de la protection vers une conjonction entre protection et exposition) nous indique qu’il n’y a pas de moralitĂ© intrinsĂšque au travail et que le travail ne saurait avoir d’épaisseur sociale et civilisatrice que si les conditions mĂȘmes de sa rĂ©alisation n’annulent pas les effets de son expĂ©rience. A ce titre, le travailleur salariĂ© est un sujet particuliĂšrement exposĂ© aux effets dĂ©lĂ©tĂšres de l’organisation du travail dans l’entreprise d’aujourd’hui. C’est bien en toute connaissance de ces Ă©lĂ©ments que nous situons la place de notre travail dans l’unitĂ©. Pascale Peuchmaur va vous exposer et soutenir notre position d’écoute. (0) C’est aussi ce qui participera avec l’aspect du prĂ©judice et de la rĂ©paration Ă  la construction militante et sociale du statut rĂ©cent de “victime” dans le champ du travail. (1) Salaire vient du latin salarium, somme donnĂ©e au soldat pour acheter sa ration de sel d’oĂč solde, le sel ayant fonction de conservation et assaisonnement des aliments, fonction dont on peut apprĂ©cier la valeur potentiellement mĂ©taphorique. Le mot salaire a Ă©tĂ© associĂ© au travail bien avant l’explosion de l’ùre industrielle et la constitution d’un prolĂ©tariat. (2) Les “inemployables” d’aujourd’hui font partie des nouveaux exclus et s’inscrivent sans doute dans la lignĂ©e des “inutiles au monde” du XVIĂšme siĂšcle. Cette inutilitĂ© sociale qui disqualifie sur le plan civique et politique renvoie Ă  un effroyable effacement du singulier. Le temps imparti ne permet pas de rendre compte de tous les dĂ©bats qui nous ont agitĂ©s Ă  propos de l’intitulĂ© de notre UnitĂ©, ainsi que de la polĂ©mique Ă  propos d’une spĂ©cificitĂ© ou non. Je soutiens la position suivante : Cette dĂ©nomination (l’accrochage du terme psychopathologie du travail Ă  ce qui nous fondait comme unitĂ© de psychothĂ©rapie), si elle ne nous inscrit pas Ă  une place de spĂ©cialiste, nous met toutefois Ă  l’épreuve de certains faits qui viennent rejoindre les conclusions des travaux produits dans le champ spĂ©cifique de la psychopathologie du travail devenue psychodynamique pour se dĂ©marquer de toute morbiditĂ© dans l’approche du travail (approche conceptuelle avec une visĂ©e transformatrice dans les entreprises). C’est la prise en compte de la singularitĂ© de l’humain que nous rencontrons (classique dans notre champ, un peu moins dans un champ oĂč les impĂ©ratifs d’objectivation font loi) qui nous fait partager cette vision commune, bien que nos visĂ©es n’aient rien de commun. De quoi s’agit-il pour nous avec ce « Au travail » : d’élaboration et de rĂ©sistance. De par notre orientation qui nous met en position de ne pas savoir d’avance ce qui est bon pour l’autre et de venir
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