Fine étudiante fendue en deux par ces étudiants

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Publié le 07/12/2020 à 19h00
• Mis à jour le 10/12/2020 à 09h28


Écrit par



America Lopez





Un marché gratuit pour aider les étudiants à se nourrir correctement est ouvert tous les jeudis entre 13h30 et 16 heures sur le campus de l'université Bordeaux Montaigne.

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"Moins de 15 euros par mois pour manger", des étudiants dans la précarité sur le campus de Bordeaux









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Avec le confinement, de nombreux étudiants ont perdu les petits boulots qui les aidaient à payer leurs études. Certains n'ont plus assez d'argent pour acheter à manger. Des distributions gratuites de nourriture ont lieu chaque semaine sur le campus de Bordeaux. 
Elle a 23 ans. Elle est étudiante en première année de Master à l'université Bordeaux Montaigne. Elle a accepté de témoigner en cette période difficile.
Sa voix est douce. Elle préfère rester anonyme par pudeur car "la période est compliquée". Elle est issue d'une famille de quatre enfants, "Je suis la dernière et la seule à faire des études" , précise-t-elle.
Avant le confinement, elle travaillait dans la restauration pour "se faire de l'argent et payer" ses études à Bordeaux. Avec la fermeture des cafés et des restaurants, c'est fini. Grâce aux jobs étudiants, elle arrivait à gagner "entre 250 et 300 euros selon les mois" . De quoi vivre correctement et payer son studio de 500 euros, ainsi que ses factures (internet, électricité et un prêt pour rembourser du matériel informatique pour ses études).
"Mes parents ne peuvent pas trop m'aider financièrement et je ne suis pas boursière. Pas d'aide au logement non plus. Du coup, c'est devenu trop dur. J'ai d'abord tenu avec mes économies car j'ai pu travailler cet été, mais c'est devenu trop compliqué".
Manger des pâtes tous les jours, c'est pas tenable alors je suis allée au marché gratuit sur le campus. J'ai pu avoir des fruits et des légumes gratuitement. De quoi améliorer les repas.
La jeune étudiante a également fait une demande d'aide à la Commission des aides sociales de l'université Bordeaux Montaigne. Accordée. Elle a reçu 300 euros. Cela va lui permettre de payer ses factures et "vivre ce mois de décembre à peu près normalement".
Beaucoup d'étudiants ont moins de 20 euros pour se nourrir, mais certains sont carrément en négatif, entre 150 et 250 euros par moins.
Kevin Dagneau, vice-président de la vie étudiante Bordeaux Montaigne
Le marché gratuit est aussi l’occasion de garder un lien social avec les étudiants dans le besoin et d'échanger avec eux.
Kevin Dagneau, vice-président de la vie étudiante Bordeaux Montaigne
Deux autres points de distribution se sont organisés pour faire face à cette nouvelle précarité étudiante. "Depuis le premier confinement, la banque alimentaire de Bordeaux et de la Gironde a enregistré plus de 700 demandes d'aides alimentaires d'étudiants. C'est une nouvelle précarité qui s'installe avec la crise sanitaire" , commente Gilles Dupuy, président de l'association caritative. En partenariat avec le Crous et l'Atena (regroupement d'associations étudiantes), la banque alimentaire assure deux distributions par semaine pour les étudiants démunis :
Les étudiants, qui vivent mal le confinement, se signalent sur notre site et ils sont rappelés par une équipe d'étudiants et le personnel pour discuter et être soutenus.
Kevin Dagneau, vice-président de la vie étudiante Bordeaux Montaigne




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La filière pharmacie particulièrement touchée par les violences sexistes et sexuelles.
Midi Libre - MICHAEL ESDOURRUBAILH










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L'Association nationale des étudiants en pharmacie (Anepf) a mené une étude accablante sur les agressions et le harcèlement sexuel observés dans les facultés. La filière est massivement touchée, affectée notamment par le poids des "traditions". 

Une future pharmacienne sur quatre dit avoir subi une agression sexuelle dans le cadre de ses études. Un chiffre qui monte à une sur deux quand on parle de harcèlement sexuel. Présentée ce mercredi 2 février, l'enquête de l'Association nationale des étudiants en pharmacie est très inquiétante. 
"Les constats sont affligeants et déplorables", a d'ailleurs déploré Numan Bahroun, président de l'Anepf, qui a indiqué vouloir "briser l'omerta." Les violences sexistes et sexuelles, qui touchent deux fois plus les femmes que les hommes dans cette filière, semblent véritablement enracinées. Sur les 2 103 étudiants en pharmacie interrogés, 55% des étudiantes disent avoir déjà fait l'objet de remarques sexistes de la part d'autres étudiants mais également de professeurs. Du recours à la pilule du lendemain à l'avortement, les exemples ne manquent pas.
#EtudionsSansAgressions | \ud83d\udde3Lancement de la #conférence de #presse de présentation des résultats de l’enquête #VSS \ud83d\udcdd 2️⃣1️⃣0️⃣3️⃣ personnes qui ont accepté de témoigner à l’occasion de la diffusion de notre enquête durant 1 mois Introduction par @TheoV_ANEPF pic.twitter.com/YTzHXoNSJo
Selon l'enquête, le harcèlement toucherait 48% des étudiantes, qui rapportent des "messages déplacés", mais aussi des "caresses sur les cheveux" pendant les cours. Pire, 27% auraient subi des agressions sexuelles, principalement lors des soirées étudiantes.
"Cette banalisation des actes entre étudiants a été une surprise. On ne s'attendait honnêtement pas à retrouver ce genre de violences", explique le porte-parole de l'Anepf, Théo Vitrolles. Selon lui, le poids des "traditions" et un "effet de mimétisme" font que "Ces violences sont plus répandues dans le milieu de la santé que dans les autres filières universitaires". 
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Du recours à la pilule du lendemain à l'avortement, les exemples ne manquent pas.
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Heu ... pour en arriver là, c'est "un peu plus" que du harcèlement et de l'agression sexuelle ... non ?!
Déjà parler à une fille peut être répréhensible , d'ici que ce soit pareil avec les garçons ....
Mais en fin de compte, ne voudrait-on pas nous expliquer qu'il faut absolument séparer les étudiants des étudiantes, et ainsi de suite ? Cela ne vous rappelle rien ?.....



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