Finalement de la viande sur de la viande

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Le recul des productions animales entraĂźnera une rĂ©duction des Ă©missions de gaz Ă  effet de serre, mais l’augmentation des intrants (engrais, produits phytosanitaires) pour la production vĂ©gĂ©tale comblera cette diminution. © Cagkan - stock.adobe.com



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Depuis 20 ans, la consommation de viande baisse rĂ©guliĂšrement. Si cette baisse devait se poursuivre dans les annĂ©es Ă  venir, la production agricole, et particuliĂšrement la filiĂšre animale, devrait s’adapter aux nouveaux modes de consommation.




Temps de lecture 
3 minutes

La transformation des modes de vie, la diminution des temps de cuisine et de repas, l’intĂ©rĂȘt portĂ© aux relations entre l’alimentation et la santĂ©, la prise en considĂ©ration du bien-ĂȘtre animal, la prise de conscience de l’impact de l’élevage sur l’environnement et le climat... Tous ces facteurs concourent Ă  la rĂ©duction de la consommation de viande qui devrait se poursuivre encore dans les annĂ©es futures.
Afin d'en mesurer l’impact sur la filiĂšre viande et plus gĂ©nĂ©ralement sur l’ensemble de la production agricole , le Centre d’études et de prospective du ministĂšre de l’agriculture et de l’alimentation a rĂ©alisĂ© des simulations Ă  partir des prĂ©conisations du programme national nutrition santĂ© (PNNS4, 2019-2023) (nouvelle fenĂȘtre) .
Les simulations montrent que, dans tous les cas, une baisse significative de la consommation de viande aurait un impact sur la filiÚre animale et nécessiterait une adaptation de tout le secteur agricole .
Une baisse de la consommation entraĂźnerait une baisse des prix et, par consĂ©quent, une baisse de l'excĂ©dent brut d'exploitation des Ă©levages. Les fermes seraient contraintes de rĂ©orienter leurs surfaces agricoles. Les surfaces de production vĂ©gĂ©tales progresseraient mais sans compenser les pertes des ateliers de production animale. En amont de la filiĂšre agricole, les producteurs d'aliments industriels pour animaux seraient touchĂ©s. À l'inverse, les besoins en engrais, en produits phytosanitaires et en produits pĂ©troliers progresseraient. L’emploi perdu dans le secteur animal devrait ĂȘtre redĂ©ployĂ© dans le secteur vĂ©gĂ©tal.
Par ailleurs, le recul des productions animales entraĂźnerait une rĂ©duction des Ă©missions de gaz Ă  effet de serre mais l’augmentation des intrants pour la production vĂ©gĂ©tale viendrait combler cette diminution.
La baisse de la consommation carnĂ©e a Ă©tĂ© confirmĂ©e par les rĂ©sultats de l'enquĂȘte sur les comportements et consommations alimentaires en France (nouvelle fenĂȘtre) conduite par le Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (CrĂ©doc).
La viande de boucherie est particuliĂšrement touchĂ©e passant d’une consommation de 58 grammes par personne et par jour en 2007 Ă  46 g par jour en 2016, la charcuterie de 35g/j Ă  29g/j. La frĂ©quence de la consommation carnĂ©e a Ă©galement baissĂ© puisque les Français mangeaient Ă  peu prĂšs trois fois par semaine de la viande en 2007 et deux fois par semaine en 2016.
La consommation de viande n’est plus un symbole de richesse. Au contraire, ce sont les catĂ©gories sociales supĂ©rieures qui consomment le moins de viande passant de 140g/j Ă  113g/j soit une baisse de 19% entre 2007 et 2016.
Les 18-24 ans sont les plus gros consommateurs, en quantité et en fréquence, privilégiant les produits transformés qui incluent des produits carnés comme pour les sandwichs, les pizzas, les burgers (37g/j) mais aussi la viande de boucherie (46g/j).
Plus les Français vieillissent et moins ils mangent de viande tant en quantité qu'en fréquence (au-delà de 65 ans en dessous de 130g/j et moins de dix fois par semaine).
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Ancien chef du département de médecine interne, hÎpital LariboisiÚre (Paris), professeur émérite de thérapeutique, Université Paris Cité
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Production mondiale de viande par continent, de 1961 Ă  2014.
L’agneau et le bƓuf sont les viandes les plus Ă©mettrices
CO 2 Ă©mis par kilogramme de viande produite.
Les bovins sont surreprésentés dans les émissions de GES
Part des diffĂ©rentes viandes dans la consommation et l’émission des gaz Ă  effet de serre.
Population mondiale et production de viande de 1961 Ă  2005 et projections de 2005 Ă  2080.
Comment agir pour le climat ? « Le Monde » se mobilise pendant une semaine
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#UrgenceClimat. Les 323 millions de tonnes de viande produites dans le monde ont un impact majeur sur le rĂ©chauffement, la dĂ©forestation et la consommation d’eau.
Jamais nous n’avons produit et consommĂ© autant de viande qu’aujourd’hui. En 2017, 323 millions de tonnes ont Ă©tĂ© produites dans le monde, selon l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). Chaque annĂ©e, ce sont 65 milliards d’animaux qui sont tuĂ©s (soit prĂšs de 2 000 animaux
 par seconde) pour finir dans nos assiettes. Une production massive qui n’est pas sans consĂ©quences sur notre environnement.
La viande, plus que tout autre aliment, coĂ»te cher Ă  la planĂšte. Le dernier rapport de la FAO , publié en 2013, estime que l’élevage de bĂ©tail dans le monde Ă©tait responsable, en 2005, de 14,5 % des Ă©missions de gaz Ă  effet de serre d’origine anthropique, c’est-Ă -dire liĂ©e aux activitĂ©s humaines, sur la planĂšte : cette activitĂ© Ă©met environ 7 milliards de tonnes de CO 2 par an, soit plus que les Etats-Unis et la France rĂ©unis. La production et la transformation des aliments pour les bĂȘtes reprĂ©sentent 41 % des Ă©missions attribuĂ©es Ă  l’élevage ; la fermentation entĂ©rique (les rots) 44 % ; et 10 % sont dues au stockage et au traitement du fumier. Le reste est attribuable au transport de la viande produite.
Toutes les viandes n’ont toutefois pas un coĂ»t Ă©gal et certaines sont plus gourmandes en ressources que d’autres. C’est le cas du bƓuf ou de l’agneau , les viandes dont la production est la plus Ă©mettrice de gaz Ă  effet de serre.
Un kilogramme de viande bovine Ă©quivaut Ă  une Ă©mission de 27 kg de gaz Ă  effet de serre (GES, en Ă©quivalent CO 2 ), tandis que produire la mĂȘme quantitĂ© de viande d’agneau Ă©met 39 kg de GES. Bien loin devant le porc (12,1 kg), la dinde (10,9 kg) ou le poulet (6,9 kg).
La viande bovine reprĂ©sente 41 % des Ă©missions dues Ă  l’élevage de bĂ©tail (74 % lorsqu’on prend en compte la production de lait), alors qu’elle ne reprĂ©sente que 22 % de la consommation totale de viande.
En comparaison, le porc, viande la plus consommĂ©e au monde (36,3 % de la consommation), ne reprĂ©sente « que » 9 % des Ă©missions. MĂȘme chose pour le poulet qui, bien qu’il soit Ă©galement trĂšs consommĂ© (35,2 % de la consommation mondiale de viande), n’est responsable que de 8 % des Ă©missions de GES attribuĂ©es Ă  l’élevage de bĂ©tail.
Le porc et le poulet, bien que viandes moins Ă©mettrices, posent d’autres problĂšmes Ă  l’environnement, dus aux Ă©levages industriels, notamment en termes de pollution des eaux. Le rĂ©gime trĂšs riche en nutriments des animaux entraĂźne un taux d’azote supĂ©rieur Ă  la normale dans les eaux rejetĂ©es et peut entraĂźner des problĂšmes de santĂ© publique autant que la prolifĂ©ration indĂ©sirable d’algues et de la population microbienne des eaux, perturbant ainsi les Ă©cosystĂšmes marins.
Si la production de viande, combinĂ©e Ă  celle de produits laitiers, Ă©met la moitiĂ© des gaz à effet de serre liĂ©s Ă  l’alimentation, elles ne reprĂ©sentent pourtant Ă  elles deux que 20 % des calories ingĂ©rĂ©es au niveau mondial.
La production de viande est Ă©galement trĂšs consommatrice d’eau. En Ă©levage industriel, la production d’un kilo de bƓuf absorbe par exemple 13 500 litres d’eau, bien plus que pour le porc (4 600 l) et le poulet (4 100 l). C’est aussi bien plus Ă©levĂ© que la quantitĂ© nĂ©cessaire Ă  la culture de cĂ©rĂ©ales, telles que le riz (1 400 litres), le blĂ© (1 200 l) ou le maĂŻs (700 l).
Une Ă©tude parue en 2013 note que l’ « empreinte eau » des EuropĂ©ens liĂ©e Ă  leur alimentation pourrait baisser de 23 % Ă  38 % en diminuant ou supprimant la part de la viande dans les repas.
PrÚs de 40 % des céréales produites et récoltées dans le monde servent à nourrir le bétail
L’élevage est Ă©galement un gros consommateur de cĂ©rĂ©ales. PrĂšs de 40 % des cĂ©rĂ©ales produites et rĂ©coltĂ©es dans le monde servent directement Ă  nourrir le bĂ©tail. Actuellement, cela reprĂ©sente au niveau mondial 800 millions de tonnes, soit assez pour nourrir trois milliards et demi d’ĂȘtres humains. LĂ  encore, la viande de bƓuf est la plus gourmande. Pour chaque kilo produit en Ă©levage industriel, ce sont de 10 kg à 25 kg de cĂ©rĂ©ales qui sont consommĂ©s.
Un investissement en production cĂ©rĂ©aliĂšre trĂšs peu rentable, puisqu’il faut de neuf Ă  onze calories vĂ©gĂ©tales pour produire une seule calorie de viande de bƓuf, cinq Ă  sept pour produire une calorie de viande de porc et trois Ă  quatre pour le poulet.
Gourmande en eau et en cĂ©rĂ©ales, la production de viande l’est aussi en terres. La FAO estime que 70 % de la surface agricole mondiale est utilisĂ©e soit pour le pĂąturage du bĂ©tail, soit pour la production de cĂ©rĂ©ales destinĂ©es Ă  les nourrir.
Le manque de terres agricoles pousse aussi Ă  la dĂ©forestation : 91 % des terres « rĂ©cupĂ©rĂ©es » dans la forĂȘt amazonienne servent ainsi aux pĂąturages ou Ă  la production de soja qui nourrira plus tard le bĂ©tail. Et moins de forĂȘt, c’est moins d’émissions de dioxyde de carbone absorbĂ©es.
PassĂ©e de 70 millions de tonnes en 1961 Ă  330 millions en 2018 par l’industrialisation massive de l’élevage, qui a accompagnĂ© l’élĂ©vation du niveau de vie des pays occidentaux dĂ©butĂ©e aprĂšs la seconde guerre mondiale, la production de viande devrait continuer Ă  croĂźtre dans les dĂ©cennies qui viennent, notamment dans les pays Ă©mergents. Elle pourrait atteindre au moins 524 millions de tonnes en 2080, selon les projections rĂ©alisĂ©es par la FAO, un bon de presque 60 %.
En France toutefois, comme dans d’autres pays occidentaux, la consommation de viande baisse rĂ©guliĂšrement. LĂ  oĂč elle reprĂ©sentait 23,7 % du panier alimentaire moyen des Français en 1960, la viande reprĂ©sente dĂ©sormais 20,4 % du mĂȘme panier, selon une enquĂȘte de l’Institut national de la statistique et des Ă©etudes Ă©conomiques (Insee) .
Que faire face au dĂ©fi du changement climatique ? Comment agir, concrĂštement, Ă  l’échelle individuelle ou collective ? Les initiatives citoyennes ont-elles un sens alors que c’est tout le systĂšme qu’il faudrait faire Ă©voluer pour espĂ©rer limiter les effets du dĂ©rĂšglement ? Alors que la COP24 sur le climat s’est ouverte, dimanche 2 dĂ©cembre, en Pologne , la rĂ©daction du Monde se mobilise autour de ces questions. Au-delĂ  du constat de l’urgence, nous avons voulu nous interroger sur les solutions existantes ou Ă  explorer.
Chaque jour, pendant une semaine, des personnalités, expertes de leur domaine et engagées au quotidien, répondront en direct aux questions des internautes :
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Viande, oeuf, poisson






L’un des arguments les plus utilisĂ©s pour nous dĂ©courager de manger des produits animaux, viandes de bƓuf ou de veau, volailles, poissons, crustacĂ©s, et mĂȘme laitages et Ɠufs, consiste Ă  nous culpabiliser. Manger de la viande ne nuirait pas seulement Ă  notre santĂ© , mais nous dĂ©truirions la planĂšte avec nos dents. Nous consommerions outranciĂšrement des ressources, ĂŽtant ainsi aux pauvres affamĂ©s de par le monde le pain de la bouche, Ă  moins que ce ne soient le riz ou les ignames. Il faudrait donc nous rĂ©soudre Ă  devenir tous vĂ©gĂ©tariens, ne plus consommer en guise de steak que des ersatz fabriquĂ©s Ă  partir de soja.
Eh bien, figurez-vous qu’ une Ă©tude rĂ©cente de chercheurs en ingĂ©nieurerie environnementale de l’UniversitĂ© Carnegie Mellon, Ă  Pittsburgh aux États-Unis, vient remettre tout cela en question.
Les chercheurs ont comparé les effets su
Une jeune bombe domine son homme Ă  la maison
Plusieurs bites gangbangées en public
Pipe et baise en POV

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