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le 11/12/2015 à 15:30 par La rédaction

Comme chaque année, Le Petit Cochon livre son palmarès des scènes de sexe les plus marquantes.

Depuis qu’il existe, Le Petit Cochon célèbre Éros et la paillardise en traquant les plans osés, en dénichant les nus mémorables, en furetant dans les alcôves du Septième Art. Rien n’échappe à son groin humide.
2015 aura été une année plutôt sage, pour ne pas dire chaste, qui a commencé par la plus grand escroquerie cochonne de la décennie : 50 nuances de Grey et son sado-masochisme sur papier glacé qui n’aura réussi à émoustiller que la ménagère de plus de cinquante ans –et encore. Heureusement, il y a eu l’explicite Love de Gaspar Noé , l’évocateur et sensuel The Duke of Burgundy , le trash Indésirables et quelques full frontal de stars mémorables. De quoi satisfaire la curiosité inaltérable du Petit Cochon.
15. DAKOTA JOHNSON DANS 50 NUANCES DE GREY
Le degré zéro de l’érotisme. Des images d’un ringardisme qui ferait passer les pages lingerie du catalogue de la Redoute pour de la pornographie haut de gamme. Dakota Johnson est pourtant fort jolie mais elle est filmée de manière tellement distanciée et illustrative qu’elle en devient banale.
Le Petit Cochon a tenu à rendre hommage à l’actrice marocaine pour son courage. Menacée de mort dans son pays, Loubna Abidar explose de sensualité, et surtout de talent, dans le film de Nabil Ayouch qui porte sur les prostituées de son pays un regard plein de tendresse et de respect. Pas de nudité, donc, mais beaucoup d’amour.
À part quelques plans dénudés volés des deux actrices, le très joli film de Catherine Corsini a laissé sur sa faim le Petit Cochon qui s’attendait peut-être naïvement à voir un remix adulte de La vie d’Adèle . Il faut quand même y jeter un œil pour Izia Higelin que l’expérience de la nudité à l’écran a semble-t-il refroidie pour longtemps.
12. LOLA LE LANN DANS UN MOMENT D’ÉGAREMENT
Du film, très mauvais, la mémoire collective ne retiendra que les scènes avec Lola Le Lann qui se dénude assez généreusement devant la caméra complaisante de Jean-François Richet . Cette jeune fille téméraire a conquis le Petit Cochon. Lui reste à convaincre les cinéphiles.
11. JÉRÉMIE ELKAÏM DANS INDÉSIRABLES
Afin d’être crédible en assistant sexuel pour personnes handicapées ou déformées, Jérémie Elkaïm s’est donné à 100%. Outre les scènes bien trash d’accouplement qui tournent au voyeurisme dérangeant, l’acteur n’a pas hésité à tomber le bas. Le film n’est pas à proprement excitant mais vaut pour ce full frontal d’acteur, somme toute assez rare.
Avec sa comparse chilienne Lorenza Izzo , la cubaine Ana de Armas fait des misères à Keanu Reeves dans ce réjouissant jeu de massacre où les deux latinas rivalisent de wonderbras –quand elles ne les enlèvent pas- pour faire vaciller l’homo americanus incarné par l’acteur.
Habituée du Petit Cochon, dont elle a la carte depuis Nymphomaniac , Stacy Martin fait une apparition botticellienne dans le film de Matteo Garrone , fortement influencé par la peinture de la Renaissance. La beauté intemporelle de ce « tableau » participe beaucoup de sa puissance d’évocation érotique.
8. GIULIA GORIETTI, GRETA SCARANO ET PIERFRANCESCO FAVINO DANS SUBURRA
Entrecoupée d’un plan de Pierfrancesco Favino pissant sur Rome par la fenêtre de sa chambre d’hôtel, cette séquence, où un député passe une nuit sex’n’drugs avec deux beautés ahurissantes, illustre symboliquement le message du film sur la corruption.
Cette sculpturale actrice roumaine incarne Miss Univers dans la comédie mélancolique de Paolo Sorrentino qui ne peut s’empêcher de faire des plans felliniens dans chacun de ses films. La promo de Youth (affiche, bande-annonce) a énormément capitalisé sur le physique hors-normes de Madalina qui porte le joli prénom de la tentatrice de Jésus. Un signe qui ne trompe pas.
Autre cadeau de l’année : le déshabillage très particulier d’ Alicia Vikander dans Ex_Machina où elle joue une androïde perfectionnée au fort potentiel érotique qui libère sa féminité. À la limite, et parce qu’on est tatillon, elle est paradoxalement plus attirante dans sa tenue moulante argentée qu’elle porte pendant tout le film.
5. ÉLODIE FRÉGÉ DANS L’ART DE LA FUGUE
Comédie tout à fait moyenne, L’art de la fugue a néanmoins marqué l’année cochonne grâce à ce plan inoubliable, un full frontal totalement gratuit d’ Élodie Frégé , comme une offrande faite au Petit Cochon qui sommeille en chacun de nous.
4. KATHERINE WATERSTON DANS INHERENT VICE
Il y en a, à la rédaction de Première, qui ne se sont pas remis de la vision de Katherine Waterston devisant entièrement nue sur un canapé face à Joaquin Phoenix sur lequel elle finit par s’allonger. Cette scène a plus fait pour sa carrière que n’importe quel épisode de Boardwalk Empire . Qui se souvient d’ailleurs qu’elle jouait dans la série produite par Scorsese ?
À l’affiche de plusieurs films en 2015, Vimala Pons confirme son statut d’actrice décomplexée, aussi à l’aise habillée que dévêtue. La scène de caresse corporelle dans Vincent n’a pas d’écailles ou celle des promenades bucoliques les fesses à l’air dans Comme un avion sont autant de cartes postales charmantes et coquines dénuées de vulgarité.
2. SIDSE BABETT KNUDSEN ET CHIARA D’ANNA DANS THE DUKE OF BURGUNDY
Au contraire des risibles ébats SM de 50 nuances de Grey , ceux de The Duke of Burgundy de Peter Strickland , gangrénés par la folie, touchent au sublime de la passion amoureuse et destructrice. Sidse Babett Knudsen ( L’Hermine ), 46 ans au moment des faits, y affiche un sex-appeal incroyable en dominatrice face à la soumise Chiara d’Anna .
Peu importe les rumeurs sur le supposé membre postiche –imposant- de Karl Glusman ou sur la fausseté des scènes porno. Gaspar Noé aura réussi son pari : filmer le sexe avec sensualité et esthétisme. On n’oubliera pas de sitôt la plastique incroyable du mannequin Aomi Muyock et la gourmandise de la débutante Klara Kristin.

Les deux actrices campent deux personnages qui se désirent et le montrent devant la caméra de Catherine Corsini.


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Avec ces photos de vulves, elle veut briser les tabous


L’actrice Anne Heche meurt à l'âge de 53 ans


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Publié le 13 septembre 2019 à 16h07 Mis à jour
le 17 mars 2021 à 17h39

Les vulves sont au cœur du projet photo de Lily Rault, Tabou. e, qui espère ainsi aider les femmes à se réconcilier avec leur corps.
Comme beaucoup de femmes, Lily Rault n’a pas toujours eu des relations simples avec son corps, et la hache de guerre est loin d’être enterrée. Mais depuis qu’elle s’est lancée sur le projet Tabou. e , elle a commencé à doucement emprunter le chemin vers la paix. Photographier des vulves dans une démarche artistique, voilà la réponse de la trentenaire à ses propres interrogations et à la douleur qu’elle a longtemps supporté faute d’information. “J’ai commencé à réfléchir à ce qu’on infligeait à notre sexe quand j’habitais en Australie, raconte-t-elle. Je menais une vie nomade, et quand j’av ais des infections, je ne savais pas bien les traiter, je me sentais seule face à ces questions.”
Une fois réinstallée en France et à l’aube d’un deuxième switch de carrière qui la mène vers la photo, Lily Rault rencontre une gynécologue qui lui explique que les “soins intimes” détruisent la flore vaginale plus qu’ils ne la protègent ; elle comprend alors à quel point les femmes sont désinformées, même quand il s’agit de leur corps, ce qui ne les aide pas du tout à entretenir des rapports pacifiques avec ce dernier. “J’ai commencé à me dire qu’on n’avait aucune information sur nous-mêmes, et qu’on n’avait tout simplement pas accès à nos vulves, qu’on ne les connaissait pas, se souvient-elle. A germé l’idée de les photographier, mais je ne savais pas du tout à qui je pouvais demander ça, je pensais à contacter des travailleuses du sexe ou des actrices porno sans oser. Un soir, alors que je parlais de mon projet à des amies, elles m’ont dit qu’elles seraient partantes pour être mes modèles, et c’est comme ça que tout a commencé.” De ce verre entre copines à des expos en France et à l’étranger, Lily Rault nous raconte le parcours inattendu de son initiative, qui n’en a pas fini de se heurter aux tabous qui entourent le sexe féminin. Interview.
Pourquoi as-tu choisi de photographier cette partie de notre corps ?
Lily Rault – Les vulves m’intéressaient car elles symbolisent autant la jouissance que la douleur. Les deux sont taboues. Ces dernières années, on parle de plus en plus de la jouissance des femmes et de leur façon de se la réapproprier, mais moi, j’avais envie de m’intéresser à la douleur. Celle d’une mycose, d’un accouchement, d’une épisiotomie, de tout ce qui traverse le sexe d’une femme et que l’on tait. J’ai appris récemment qu’une femme perdait du sang pendant deux semaines après son accouchement, pourquoi on n’en parle jamais ?
Cela a-t-il été un shooting comme les autres ?
Pas du tout ! Même si je connaissais bien mes modèles, on a commencé par un bon apéro pour se détendre, on en avait besoin. On a beau être amies, c’était très intimidant. D’ailleurs, pour qu’on soit à l’aise, on a décidé qu’on était toutes à poil, comme ça on était à égalité. J’ai commencé par photographier les pieds de l’une pendant qu’une autre tenait la lumière, puis je suis remontée petit à petit et on a ensuite inversé les rôles. C’était une expérience très forte pour nous toutes et en regardant le corps des autres, on s’est rendu compte qu’on ne connaissait pas le nôtre. Je ne me rendais pas compte de la diversité des sexes féminins. J’avais lu, vu des dessins et des photos, mais le vivre en vrai, ça a changé beaucoup de choses, et ça a fait tomber des tabous.
Pourquoi avoir choisi de coller des photos de vulves sur des photos de voyage ?
Depuis le début, je veux m’emparer du sujet de façon artistique. Je veux montrer qu’un sexe féminin, c’est beau. J’ai d’abord travaillé les couleurs en prenant beaucoup de photos au néon avec mon appareil numérique. Une fois que j’ai obtenu les couleurs que je voulais, j’ai choisi des photos argentiques de mes voyages qui matchaient. L’idée c’est qu’on ne reconnaisse pas tout de suite le sexe féminin, ça crée un effet de surprise. Et puis, je crois que la couleur permet de prendre de la distance avec la prise de vue sans filtre, c’est une forme de pudeur.
Quelle est la réaction des gens quand ils les voient ?
Justement, ils ne réalisent pas tout de suite. J’ai deux tirages qui sont affichés sur les murs de mon salon, et souvent on me dit “c’est sympa cette photo” , et quand j’explique ce que c’est, il y a toujours un moment de gêne. Ça me confirme qu’un sexe féminin, c’est encore tabou, pour les femmes comme pour les hommes. C’est pour ça que j’aime particulièrement le nom du projet Tabou.e . Je ne me rendais pas compte à quel point ça l’était quand j’ai commencé.
Oui, la première fois, c’était à l’occasion du 8 mars dernier. Le bar Saint-Sauveur, dans le 20ème arrondissement de Paris, cherchait des projets artistiques féministes et on leur a parlé de mes premières photos. Ils m’ont donné la chance d’exposer mes neuf clichés, que j’ai exposés à nouveau à l’Espace Lamarck ensuite. Puis, cet été, j’ai été invitée à participer au festival Garbicz en Pologne . Mais tout n’a pas été simple sur les réseaux sociaux, et notamment sur Instagram.
Que s’est-il passé sur Instagram ?
J’ai voulu communiquer sur ces différentes expos et partager mes photos sur mon compte, qui est la vitrine de mon travail photographique. Je ne sais pas si j’ai été signalée ou si les robots ont fini par reconnaître les vulves, mais j’ai reçu un premier avertissement. Ça m’a énervée car mes photos n’ont rien de vulgaire ni de choquant, je fais un boulot éducatif. J’ai continué à poster et à partager des stories, jusqu’au jour où mes posts ont été supprimés et mon compte bloqué. J’ai dû rester un mois sans rien pouvoir faire sur Instagram, ce qui est très handicapant pour quelqu’un qui, comme moi, se lance comme photographe. Et quand petit à petit, j’ai récupéré mes accès, j’ai réalisé que plus personne ne voyait mes contenus, et que c’est encore le cas. Ce bannissement d’Instagram est au cœur de ce que je veux montrer avec Tabou. e , ça don ne du sens à ce que je fais mais ça m’attriste que le sexe féminin doive toujours être caché.
Le projet s’adresse-t-il aux femmes ou aux hommes ?
Il s’adresse à tout le monde. Ni les femmes ni les hommes n’ont des raisons d’être gênés. Statistiquement, il y a des chances qu’on ait tou·te·s vu une ou plusieurs vulves dans notre vie. Ce qui est sûr, c’est qu’on en sort tou·te·s, donc on peut se détendre ! (Rires.)
Comment aimerais-tu que Tabou. e évolue ?
J’aimerais poursuivre mes prises de vue avec d’autres modèles, d’ailleurs s’il y a des volontaires qui me lisent, elles peuvent me contacter . Je n’exclus pas de photographier par la suite des femmes transgenres, et je voudrais aller plus loin en montrant des vulves qui ont été abîm ées, que ce soit par un accouchement, des produits trop abrasifs, de la chirurgie esthétique ou une excision. Je ne m’interdis rien, je suis convaincue que l’art est politique et qu’il faut montrer le sexe des femmes. Personnellement, j’aurais aimé avoir des images et avoir plus d’informations pour éviter de commettre certaines erreurs. Si mon projet photo peut aider les femmes à faire la paix avec leur corps, alors j’aurai l’impression d’avoir fait avancer les choses.
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