Filles baisée dans son cul

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France

Par SudOuest.fr avec AFP Publié le 05/04/2019 à 17h41
La prostitution adolescente s'amplifie considérablement ces dernières années. Des professionnels du monde judiciaire et des associations déplorent une banalisation et un "phénomène Zahia".
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Julia le faisait pour mettre de l'argent de côté "pour plus tard après l'école", Pauline est tombée dedans parce "que tout le monde le fait". Deux victimes parmi beaucoup d'autres d'une nouvelle prostitution adolescente qui s'amplifie considérablement en région parisienne.
À 17 ans, Julia (tous les prénoms sont modifiés) se prostituait les week-ends, pendant les vacances scolaires, le mercredi après-midi quand elle n'avait pas cours. Comme souvent dans ces affaires, elle est tombée amoureuse d'un garçon qui lui a vite proposé de devenir "escort". Il trouvera les clients, fixera les tarifs - 100 euros l'heure, 50 la demi-heure - et ils partageront les gains. Comme souvent aussi, elle n'en a guère vu la couleur.
Pourquoi accepter ? Comment se retrouve-t-on à enchaîner cinq clients le samedi après-midi ? "J'ai du mal à répondre", dira la lycéenne aux enquêteurs après l'interpellation du couple. "Parfois ça se passe bien, parfois je pense qu'au temps qui passe et à l'argent que je me fais".
À la différence de Julia qui vit chez ses parents, la plupart de ces adolescentes, 14-18 ans en moyenne, sont déscolarisées , en foyer ou en fugue. Comme Pauline, arrivée seule en région parisienne à 17 ans. "J'avais une copine qui faisait ça avec un mec, elle me l'a présenté". Elle décrit les microréseaux éphémères tenus par des petits délinquants , les recrutements sur les réseaux sociaux , les "plans" que les filles s'échangent, les garçons qui "testent" et se repassent les "bosseuses" . Ils gèrent les annonces, clients, réservations d'hôtel, et la "sécurité" depuis la salle de bain. Des petites mains ramènent à manger, des drogues et l'alcool pour les filles.
Pauline raconte les clients - "il y a de tout, des petits jeunes des cités, des employés en costume" -, les filles parfois très jeunes avec qui elle a partagé une chambre au gré de réseaux qui ne durent parfois que deux, trois jours. "Elles se mettent des faux cils, une couche de maquillage... Y a pas moyen de voir qu'elles ont 13 ans", dit-elle. Chloé, elle, fuguait régulièrement quand elle a été recrutée à 14 ans par une copine qui lui avait promis "une tonne d'argent", avait-elle expliqué devant le tribunal de Créteil où elle était venue témoigner il y a un peu plus d'un an. Petite blonde en legging et baskets, visage d'enfant, elle n'en menait pas large entre les juges et son père. C'est lui qui l'a récupérée dans un hôtel en se faisant passer pour un client.
Ce " proxénétisme des quartiers " s'est accentué de manière "considérable" ces dernières années, explique Raphaëlle Wach, substitute de la procureure et référente sur le sujet au parquet de Créteil, qui traite en ce moment une trentaine de ces affaires . En région parisienne, au moins 145 enquêtes ont été recensées entre juillet 2016 et fin 2018 . "La partie émergée de l'iceberg", selon Lorraine Questiaux du Mouvement du Nid , qui lutte contre la prostitution et regrette l'absence de chiffres officiels sur la question.
Le Nid estimait en 2015 à 37.000 le nombre global de prostituées en France , l'association Agir contre la prostitution des enfants parlait en 2013 de 5.000 à 8.000 mineures . Des adolescentes très fragiles et vulnérables, en "grand manque d'estime de soi et en quête d'affection" de par leur histoire personnelle - violences, familles compliquées, harcèlement - selon son secrétaire général Arthur Melon.
Pour certaines de ces filles, la prostitution est par ailleurs "banalisée", "glamour", explique Mme Wach, parlant des dégâts du "phénomène Zahia ", du nom de l 'ancienne escort - alors mineure - devenue célèbre pour avoir été le "c adeau d'anniversaire" du footballeur Franck Ribéry en 2009 avant de se reconvertir dans la création de lingerie de luxe. Pour elles, "c'est un modèle de femme qui a réussi".
Leur réalité se joue pourtant dans de s hôtels bas de gamme de région parisienne . Un réceptionniste décrit les filles "assises dans les escaliers" pendant la passe de la copine et raconte le manège habituel : "Le jeune homme arrive, il prend la clef, il s'en va, puis il y a une jeune fille qui arrive, on voit les allers-retours et là, on comprend." Yanis, employé dans un appart hôtel francilien en bord d'échangeur autoroutier, reconnaît les clients - "perdus et qui baissent les yeux", parfois les proxénètes. Mais "s'ils ont des cartes d'identité et ont réservé en ligne, on est obligé de donner la chambre". Dans les chambres sommaires, dit une femme de ménage, on retrouve préservatifs usagés, paquets de chips et bouteilles vides, parfois du sang sur les draps.
Quand on lui demande comment elle gérait cette vie, Pauline hausse les épaules : "Ça va... On rentre dans une bulle, on s'habitue. C'est de l'argent facile. On peut se faire 500 euros en une journée, le lendemain on se repose." Elle n'a jamais récupéré une grande partie des sommes qu'elle a gagnées pour son dernier mac, dont elle était amoureuse, mais ne se considère toujours pas comme victime deux ans plus tard. "C'était un accord, personne n'est forcé", soutient-elle. "Les filles, elles demandent à faire ça, c'est elles qui viennent. C'est une mode, tout le monde fait ça."
Même défense pour les proxénètes. "Je suis pas un mac. J'ai pas tapé, je les ai pas mises sur le trottoir, je les ai jamais forcées", s'était énervé lors de son procès le chef d'un microréseau de 22 ans, condamné à Créteil à quatre ans de prison.
"Elles ne se rendent pas compte de la violence de ce phénomène d'emprise" qui les pousse parfois même à envoyer ce qu'elles gagnent à leurs "loverboys" en prison, explique Mme Wach. Face aux policiers qui les entendent, les jeunes filles, souvent arrogantes et agressives, nient être des victimes. Elles ne se disent jamais prostituées, mais "escort" consentantes . "Elles nous disent 'je fais ce que je veux, c'est mon corps'", dit une enquêtrice en région parisienne. "Quand on leur dit 'mais en fait tu fais la pute', elles se mettent en colère", raconte-t-elle. "Elles se prennent pour des princesses. Nous on dit 'non t'es pas une princesse, tu vends ton corps pour de l'argent et en plus on te prend 50% de ce que tu gagnes '".
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Sexe dans une smart, cierge au Sacré-Cœur ou chambre uniquement tapissée de miroirs en Argentine: neuf femmes nous livrent leur session cul la plus étrange.
SEXUALITÉ - Les coups d’un soir, c’est un peu la loterie. Parfois on tombe sur une perle, d’autres sur un·e partenaire qu’on aimerait bien oublier à jamais. Et puis il y a aussi toutes ces anecdotes dont on se souvient en souriant, tant le contexte nous étonne encore. Le genre de plans qu’on se raconte après deux verres pour faire marrer l’assemblée.
On a demandé à neuf jeunes femmes de nous confier leurs histoires éphémères les plus insolites, et le cru est juteux. Une chose est sûre, on ne pensera plus jamais au Quatorze Juillet comme avant.
“C’était en première année d’étude, via Tinder ou une plateforme du genre. Je parlais pas mal avec un mec et on a décidé d’aller boire un verre. En arrivant, déjà, il ne me plaisait pas du tout physiquement! Je me suis même demandé si je n’allais pas faire demi-tour. Et puis finalement je me suis dit ‘allez, vas-y!’.
Pendant tout le rendez-vous, j’étais persuadée que ça ne le ferait pas du tout. Mais au moment de partir, je ne sais pas... Il a un peu insisté pour qu’on poursuive la soirée et moi comme ça faisait longtemps que je n’avais pas couché avec quelqu’un, j’étais partante. Je savais que je ne le reverrai pas alors pourquoi ne pas en profiter!
Sauf qu’en fait, il habitait loin, et moi je devais commencer les cours tôt le lendemain. Du coup, on l’a fait dans sa Smart, la voiture. C’était complètement improbable. On a essayé de trouver une rue pas trop passante dans Paris et on a fait notre affaire. Ensuite, je suis rentrée en RER. Mes collants étaient troués : une vraie Walk of Shame. On ne s’est plus jamais parlé après: emballé, c’est pesé!”
“C’était à une soirée de boulot, où on buvait beaucoup. C’était sympa, on rigolait bien. Et comme toutes les soirées de boulot, part une première personne, puis une deuxième personne... Restent toujours ceux qui sont célibataires et qui aiment picoler. Donc je me suis retrouvée seule avec - on va l’appeler ‘Monsieur X’ - à boire des coups. Quand, patatras!, il m’a embrassée. Pendant la soirée, j’avais dû dire que je n’étais jamais allée à la basilique de Montmartre, et que j’aimerais beaucoup la visiter.
Bonne pioche, lui avait été y faire du bénévolat et adorait cet endroit. Nous nous y sommes rendus en moto (pas bien, je sais). Il devait être sept heures du matin. Je crois même qu’on a posé un cierge et fait un signe de croix. Et puis on est allés prendre un café et on est rentrés chez moi. Absurde”.
“J’étais en voyage post-études à Buenos Aires avec ma meilleure amie. Dans l’avion, on s’était promis de ne jamais se séparer ni de rentrer avec des inconnus. Le premier soir, on s’est séparées et on est rentrées chacune avec un inconnu. Le sien était un Jamaïcain en vacances dans la même auberge que nous, le mien l’un des employés de ladite auberge.
Le deuxième soir, je suis sortie en boîte avec lui, et au moment de rentrer dans son appartement, il me dit que c’est impossible car sa sœur et son neveu y dorment, mais qu’on peut aller à l’hôtel. Pleine de confiance, je le suis. On arrive dans un hall éclairé au néon rose avec capotes sur le comptoir. Il demande une chambre pour deux heures: ça annonce la couleur.
On y entre et à la place du papier peint, sur les murs, il n’y avait que des miroirs. Partout, même au plafond. On a fait l’amour en levrette et je l’ai vu se mater sur la porte (aussi miroir) de la salle de bain. Je me suis endormie une demi-heure, et quand je me suis réveillée, il était en train de renifler ma culotte. Je crois qu’on n’a pas recouché ensemble après ça.”
“C’était une soirée sur la plage, lorsque je voyageais à Mancora, au Pérou. J’avais bu du Pisco dans une noix de coco. J’étais saoule, forcément. Avec mes copines on avait rencontré une bande de surfeurs du coin, dont un, qui s’appelait Luis, il me semble. On a sympathisé, et on a fini par coucher ensemble sur la plage. On est allés se baigner à poil après, mais rien de très romantique: je devais rester au sec au-dessus de la taille à cause d’un eczéma attrapé sur place.
Bref, je suis rentrée complètement saoule à l’auberge de jeunesse où je logeais, j’ai dormi en me disant que je n’en entendrai plus parler. Sauf que le lendemain, il a débarqué au petit-déj’ en venant me chercher pour le cours de surf que j’avais apparemment accepté qu’il me donne la veille. Il m’a appelée ‘bébé’ devant tout le monde et j’ai cru mourir de honte”.
“J’avais rencontré ce mec à une soirée d’échange linguistique et culturel - le genre d’événement où tu vas pour choper. Je le vois, il est brun, ténébreux, il a la mèche, les tatouages. Il est beau, on a l’impression qu’il sort d’une scène de film. Je le croise en partant alors que j’allais au vestiaire, on commence à se parler, à flirter. On s’écrit pendant plusieurs jours... Et je me rends compte que je ne sais pas quel âge il a. J’avais 33 ans à l’époque, il finit par me dire qu’il en a 23. Je me dis que c’est une trop grande différence d’âge, je suis prête à tout arrêter; c’est un bébé. Mais il me lance ‘tu vas voir à quel point je ne suis pas un bébé’. J’ai des frissons d’excitation de partout, alors je lui laisse une chance.
On finit par se voir et par prendre un verre. Il me fait bien comprendre qu’il est fauché, donc je paye toutes les boissons. On boit, il est hyper tactile. Moi je n’en peux plus, j’ai envie de lui et qu’on aille chez moi. Je lui propose, comme il n’a plus de sous, qu’on poursuive la soirée dans mon appartement car j’ai de quoi boire à la maison. On y va.
C’était très caliente. Il sentait bon, il avait mis du parfum, une chemise blanche : j’étais hyper motivée. On s’embrasse, et là je me dis: mauvais signe. Il m’embrasse... comment expliquer : comme une poule qui picore du maïs. C’était atroce, je n’ai jamais eu pire baiser de ma vie. On dirait qu’il allait me péter les dents, c’était juste pas possible.
On se retrouve dans mon lit, à poil, et là je découvre qu’il s’est rasé de partout. Ça piquait sur le torse. Je commence à l’embrasser un peu partout et à lui tailler une pipe. Et là, l’horreur: ça sent pas bon, une odeur de toilettes. J’essaie vraiment de l’occulter, mais je n’arrive pas à me mettre dedans. Pour couronner le tout, il n’avait pas de préservatif, et le sexe était nul. Il ne pensait pas du tout à mon plaisir. Il a commencé à grogner, ça a duré cinq minutes et c’était fini. C’était vraiment zéro.
Forcément, j’avais envie qu’il parte, mais il voulait rester dormir, alors j’ai un peu cédé. Grave erreur: il a pété toute la nuit j’ai mis 24 heures à me débarrasser de l’odeur. Et en plus de ça, il n’a pas décampé avant que je le dirige vers la porte à 13 heures le lendemain. Je ne l’ai évidemment jamais revu, malgré ses relances”.
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