Fille suce deux chanceux
đ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI đđ»đđ»đđ»
Fille suce deux chanceux
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes en nous basant sur votre consentement :
stocker et/ou accĂ©der Ă des informations sur un terminal , publicitĂ©s et contenu personnalisĂ©s, mesure de performance des publicitĂ©s et du contenu, donnĂ©es dâaudience et dĂ©veloppement de produit
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Les cookies de diffusion de publicitĂ© ciblĂ©e , PublicitĂ©s et contenu personnalisĂ©s, mesure de performance des publicitĂ©s et du contenu, donnĂ©es dâaudience et dĂ©veloppement de produit , Stocker et/ou accĂ©der Ă des informations sur un terminal
Français
English
Español
Űč۱ۚÙ
Newsletters
Recevoir France 24
Applications
RSS
Qui sommes-nous ?
Espace Presse
Contacter France 24
Publicité
Nous rejoindre
Mentions légales
Confidentialité
Cookies
Centre de préférences
Gestion des notifications
Les Observateurs
RFI
RFI Savoirs
RFI Musique
RFI Instrumental
Mondoblog
MCD
InfoMigrants
CFI
Académie
France MĂ©dias Monde
Par :
ClĂ©lia BĂNARD
|
Sophie WAHL
Malawi
Droits des femmes
Viol
Sida
Ajouter France 24 Ă votre Ă©cran d'accueil
© 2022 Copyright France 24 - Tous droits réservés. France 24 n'est pas responsable des contenus provenant de sites Internet externes. Fréquentation certifiée par l'ACPM/OJD.
Dans le sud du Malawi existe un rituel initiatique violent : les jeunes filles qui atteignent la puberté doivent avoir des relations sexuelles forcées avec une "hyÚne", un homme désigné par leur famille. Ce viol est encadré par des rÚgles strictes, et il est organisé dans le plus grand secret. Une pratique qui perdure malgré son interdiction.
Ce reportage a reçu le Prix du jeune reporter d'images de tĂ©lĂ©vision du magazine leRotarien â Ădition 2017
Câest un passage obligĂ© dans certaines communautĂ©s du sud du Malawi . DĂšs leurs premiĂšres rĂšgles, les jeunes filles doivent passer la nuit avec un homme choisi par la famille, appelĂ© une "hyĂšne", pour marquer leur passage Ă lâĂąge adulte. Il sâagit dâun "apprentissage de la sexualitĂ©" et, dans la croyance locale, dâune nĂ©cessitĂ© pour se "purifier" et se prĂ©munir contre de graves maladies. Mais pour ces jeunes filles, câest surtout un Ă©vĂ©nement traumatisant : un viol, qui peut Ă©galement donner lieu Ă une grossesse non dĂ©sirĂ©e.
Les "hyĂšnes" sont des hommes choisis par la communautĂ© et recrutĂ©s secrĂštement par les parents des jeunes filles. Ils sont payĂ©s pour avoir ces rapports sexuels de force. Et toujours sans protection. Une vĂ©ritable catastrophe dans un pays oĂč 10 % de la population est sĂ©ropositive, et encore plus dans cette rĂ©gion pauvre, oĂč 16 % des habitants sont infectĂ©s par le virus .
La pratique est dĂ©sormais interdite, en thĂ©orie, mais dans les zones rurales du Malawi, câest le droit local qui prime. Difficile alors de faire appliquer la loi. Pourtant, les mentalitĂ©s changent et des voix sâĂ©lĂšvent contre cette coutume. Des cheffes de district et des ONG ont dĂ©jĂ entamĂ© le long combat pour que les jeunes filles du Malawi ne soient plus les victimes de cette tradition.
Le résumé de la semaine France 24 vous propose de revenir sur les actualités qui ont marqué la semaine
Emportez l'actualité internationale partout avec vous ! Téléchargez l'application France 24
Reportage exclusif : Séoul, le prix de la liberté pour les Nord-Coréens en fuite
Vidéo : Benghazi, vitrine de l'Est libyen
"Never again" : le mouvement contre les armes qui bouscule l'Amérique
Chine : sur la trace des disparus du pouvoir
Vidéo : avec des migrants guinéens, à l'épreuve des Alpes
Vidéo : Saint-Laurent-du-Maroni, porte d'entrée clandestine vers la Guyane française
CĂŽte dâIvoire : "Jeunes patriotes", les hommes de Laurent Gbagbo
Le contenu auquel vous tentez d'accéder n'existe pas ou n'est plus disponible.
Suivre
Suivi
Suivre
Suivi
Suivre
Suivi
Suivre
Suivi
Suivre
Suivi
Suivre
Suivi
Suivre
Suivi
Suivre
Suivi
Suivre
Suivi
Suivre
Suivi
Suivre
Suivi
En 1976, Chantal Ladesou participait sans le savoir au tournage dâun film pornographique. Un extrait de ce chef-dâĆuvre olĂ©-olĂ© a Ă©tĂ© diffusĂ© hier Ă la tĂ©lĂ©vision.
Suivez votre star préférée et recevez ses actualités en avant premiÚre !
Au milieu des annĂ©es 70, alors jeune comĂ©dienne en devenir, Chantal Ladesou acceptait un peu tout et nâimporte quoi pour faire chauffer la marmite. Il y a deux ans de cela, alors que Laurent Argelier la rĂ©veillait pour la promo de sa piĂšce Nelson sur MFM radio, la comĂ©dienne sâĂ©tait souvenue de ce film porno auquel elle avait participĂ© malgrĂ© elle en 1976. Un gros moment de solitude auquel elle repense en souriant aujourdâhui. « A un moment donnĂ©, câĂ©tait une grande fĂȘte, ils ont dit : âTout le monde Ă poil mainÂteÂnant !â » Totalement paniquĂ©e face Ă cet ordre, Chantal Ladsou avait tentĂ© dâesquiver lâeffeuillage et ce qui devait se passer aprĂšs. Impossible, elle avait signĂ© un contrat⊠« Je pensais que câĂ©tait un gag, ajoutait-elle. Au final, jâai Ă©tĂ© virĂ©e du travail, câĂ©tait lâhorÂreur ! »
Ce fameux film, câĂ©tait Les maĂźtresses de vacances . Quelques images ont Ă©tĂ© diffusĂ©es hier aprĂšs-midi dans le tout premier numĂ©ro des E nfants de la tĂ©lĂ© prĂ©sentĂ© par Laurent Ruquier sur France 2. TrĂšs Ă lâaise, Chantal Ladesou a redĂ©couvert ces images en esquissant un sourire. Il faut dire que la musique, les dialogues et tout le reste sont au top. DĂ©couvrez cette sĂ©quence trĂšs drĂŽle dans la vidĂ©o ci-dessus.
Devenez maĂźtre dans l'art du gossip avec les newsletters quotidiennes Voici !
Tous les scoops sont dans votre magazine Voici !
Toutes les news people sont sur Voici !
Vous ne pouvez visionner ce contenu car vous avez refusé les cookies associés aux contenus issus de tiers. Si vous souhaitez visionner ce contenu, vous pouvez modifier vos choix .
Transsexuel ou transgenre ? - Le terme transsexuel est gĂ©nĂ©ralement utilisĂ© pour dĂ©signer les personnes trans ayant Ă©tĂ© opĂ©rĂ©es, alors que le terme transgenre est employĂ© pour parler des personnes qui ne sont pas passĂ©es (et ne passeront peut-ĂȘtre jamais) par la case chirurgie. "Pour Ă©viter dâinstaurer une hiĂ©rarchie, on prĂ©fĂ©rera le terme personnes trans, qui permet dâinclure la multiplicitĂ© des parcours et des identitĂ©s", souligne le site de l'Association des Journalistes LGBT . Photo: Lana Wachowski
Ancienne photographe et grand reporter pour la télévision
Pendant cinquante ans, j'ai cachĂ© qui j'Ă©tais. La sociĂ©tĂ© qui n'aime que la normalitĂ©, comprenez celle du plus grand nombre, m'imposa mon genre. Pour elle, le sexe conditionne le genre, qui lui-mĂȘme engendre des comportements adaptĂ©s, fondĂ©s sur la reproduction.
Pendant cinquante ans, j'ai cachĂ© qui j'Ă©tais. La sociĂ©tĂ© qui n'aime que la normalitĂ©, comprenez celle du plus grand nombre, m'imposa mon genre. Pour elle, le sexe conditionne le genre, qui lui-mĂȘme engendre des comportements adaptĂ©s, fondĂ©s sur la reproduction.
Des "Moi" j'en avais deux, dissonance mortifĂšre, cauchemar d'analyste, lutte fratricide, choix impossible. Alors la sociĂ©tĂ© a choisi pour moi car la sociĂ©tĂ© doit savoir, pour nous classifier. ClassĂ©e garçon par le sexe je devais ĂȘtre garçon par le genre, il n'y avait pas Ă discuter. Une partition de mĂąle me fut confiĂ©e pour que je l'apprenne et que je la joue de mon mieux. EncadrĂ©e par les lois et les rĂšgles sacrĂ©es je n'avais plus de choix.
Garçon je l'ai été et plus fort que les autres, car derriÚre cette virilité exacerbée, je protégeais cet autre "moi" qui malgré son enfermement continuait de grandir, habitée par l'espoir qu'un jour elle pourrait s'exprimer. De sa prison vivante, elle va me montrer mes contradictions, celles que je ne veux pas voir. Rebelle, elle me poussera au bout de mes dogmes, jusqu'à ce que je les renie, au point de disparaßtre.
Par amour j'ai dit mon mal-ĂȘtre et par amour, ma compagne d'alors m'a soutenue et encouragĂ©e pour que je prenne enfin ce train, vers la gare de l'autre genre, destination Bonheur. Je partais vers l'opĂ©ration qui me permettrait d'ĂȘtre heureuse, d'ĂȘtre moi et qu'importe le risque car je suis sĂ»re qu'il vaut mieux ne pas ĂȘtre, plutĂŽt qu'ĂȘtre ce que l'on n'est pas.
Boules de billard électrique, nos vies sont souvent chaotiques. Nous descendons la pente vers une sortie inévitable, rebondissant de bumper en bumper; les plus habiles, d'un coup de flipper remontent au point de départ et réinitialisent leur descente. Les plus chanceux héritent d'une boule supplémentaire. Ce fut mon cas: nouveau jeu, nouvelle vie, nouvelles rÚgles.
Cette partie, je ne pensais pas la raconter et puis en l'écrivant pour mémoire personnelle, je me suis dit que si elle était exception, elle pourrait aussi devenir exemple, permettant à celles et ceux qui vivent piégés dans un corps qui n'est pas le leur, de garder espoir, que la société peut changer, qu'elle doit s'adapter.
Dans ce livre , si je parle de souffrances et de détresse, je parle aussi d'amour et de joies car Choisir de vivre est positif, témoignage d'une victoire sur l'Interdit. Je souhaite que, par ce récit romancé, mes lecteurs acceptent plus facilement les différences et comprennent, je l'espÚre, qu'il n'y a pas de normes en ce qui concerne l'humain. Et tant pis si je dois chagriner les esprits les plus fermés.
Le bonheur est souvent facile Ă atteindre si nous ne mettons pas entre lui et nous des chausse-trappes sociales ou religieuses qui nous le rendent inaccessible. C'est ma certitude.
Croyant raconter ce que l'on a vĂ©cu, on raconte ce que l'on a ressenti. C'est peut ĂȘtre faux, bien que tout soit vrai. Ce sont les limites d'une autobiographie. Choisir de vivre est un roman, mĂȘme si le vrai apparaĂźt souvent au fil des pages.
Inscrivez-vous aux newsletters du HuffPost et recevez par email les infos les plus importantes et une sélection de nos meilleurs articles
En vous inscrivant Ă ce service, vous acceptez que votre adresse mail soit utilisĂ©e par le Huffington Post, responsable de traitement, pour la gestion de votre inscription Ă la newsletter. ConformĂ©ment Ă la loi du 06/01/1978 modifiĂ©e et au RĂšglement europĂ©en n°2016/679/UE du 27/04/2016, vous bĂ©nĂ©ficiez dâun droit dâaccĂšs, de modification, de portabilitĂ©, de suppression et dâopposition au traitement des informations vous concernant, que vous pouvez exercer auprĂšs de dpo@groupelemonde.fr . Pour toute information complĂ©mentaire ou rĂ©clamation: CNIL
mardi 13 septembre 2022, Saint Aimé
Justice , La Gazette du Comminges , Vidéos et Podcasts
Publié le 09/09/2022 à 06:01
, mis Ă jour
Ă 08:30
Cet article est réservé aux abonnés
Abonnez-vous pour en profiter Ă partir de 1âŹ/mois, sans engagement
Cet article est réservé aux abonnés
Abonnez-vous avec votre compte Google et profitez de -50% sur votre abonnement
Les 12 permiers mois au lieu de 9,90⏠/ mois
AccĂšs Ă tous les articles sur le site et l'application
Les articles abonnés accessibles depuis Google Actualités
Publicités limitées
Cet article est réservé aux abonnés
Accédez immédiatement à cet article à partir de
Déjà abonné(e) ?
Connectez-vous
Pour profiter pleinement de l'info, abonnez-vous !
Haute-Garonne
AriĂšge
Aude
Aveyron
Gers
Hautes-Pyrénées
Lot
Lot-et-Garonne
Tarn
Tarn-et-Garonne
Le Petit Bleu
d'Agen
S'abonner Ă la newsletter quotidienne
Mentions légales
Données personnelles
Cookies
Contactez-nous
Publicité
Plan du site
Charte de modération
Nous recrutons
Nous et nos partenaires stockons et accédons à des informations non sensibles sur votre appareil, comme des cookies ou l'identifiant unique de votre appareil, et traitons vos données à caractÚre personnel comme votre adresse IP ou un identifiant cookie, pour des traitements de données comme l'affichage de publicités personnalisées, la mesure des préférences de nos visiteurs, etc.
Vous pouvez faire un choix ici et modifier vos préférences à tout moment dans notre Politique de confidentialité sur ce site web.
Certains partenaires ne demandent pas votre consentement pour traiter vos donnĂ©es et s'appuient sur leur intĂ©rĂȘt commercial lĂ©gitime. Vous pouvez vous opposer Ă ces traitements de donnĂ©es en cliquant sur «En savoir plus».
Avec nos partenaires, nous traitons les donnĂ©es suivantes en nous basant sur votre consentement et/ou vos intĂ©rĂȘts lĂ©gitimes:
PublicitĂ©s et contenu personnalisĂ©s, mesure de performance des publicitĂ©s et du contenu, donnĂ©es dâaudience et dĂ©veloppement de produit, donnĂ©es de gĂ©olocalisation prĂ©cises et identification par analyse du terminal"
l'essentiel
Romain raconte les annĂ©es de sĂ©vices sexuels que lui a fait subir sa grand-mĂšre dans un village du Luchonnais. Il vient dâobtenir la condamnation de cette femme de 87 ans devant le tribunal correctionnel de Saint-Gaudens (31).
Romain sâest mis Ă trembler. Sans comprendre rĂ©ellement ce qui se passait. Câest arrivĂ© au moment oĂč il sâapprĂȘtait Ă changer sa fille allongĂ©e sur la table Ă langer. MaĂŻtĂ© nâavait, Ă lâĂ©poque, que quelques semaines.
«â
Jâai commencĂ© Ă paniquer. CâĂ©tait le chaos dans mon cerveau puis une idĂ©e obsĂ©dante mâa plongĂ© dans un abĂźme. Je me suis dit que, si moi jâĂ©tais comme ma grand-mĂšre, jâallais ĂȘtre attirĂ© par ma fille et quâen rĂ©alitĂ© jâĂ©tais un pĂ©dophile. Ăa mâa bouleversĂ©, jâen ai parlĂ© Ă ma femme. Elle mâa convaincu quâil fallait que je dise ce que jâavais subi dans mon enfance et que je dĂ©nonce les faits Ă la justiceâ
», raconte ce trentenaire, établi à Montpellier, marié et pÚre de deux petites filles.
Depuis cette date, il y a maintenant presque trois ans, il nâa pas la force de parler directement Ă ses parents de toutes ces annĂ©es oĂč sa grand-mĂšre a fait de lui un jouet sexuelâ
: «â
Je leur ai envoyĂ© un mail oĂč jâai tout racontĂ©. Comment ma grand-mĂšre avait abusĂ© de moi. En lisant cela, mon pĂšre a fait un grave malaise. Il a failli y passer. Ils mâont tout de suite suivi dans ma dĂ©marche. Jâen ai ensuite parlĂ© au reste de la famille. Je me suis heurtĂ© Ă un mur. Certains ont tout
« Met moi un doigt dans le cul » La nympho veut lâolive
Jeune brunette se fait prendre par plusieurs lascards
Pute mature s occupe de la queue de son voisin