Fille snob baise le mécanicien sur le capot de sa bagnole

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Fille snob baise le mécanicien sur le capot de sa bagnole
Hot-Rod / Dirt-Tracker… 25 août 2018 16 minutes de lecture 790 vues
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On m’avait rencardé sur un “scoop” de cinquième main, l’existence d’un Hot-Rod spécial qui allait être présenté en première universelle dans une concentration-concentrationnaire qui se déroulait dans un recoin des USA…, en même temps qu’une course de Dragsters “Dirt-Track” , sur terre, un bazar-machin poussiéreux réservé aux inconditionnel(e)s…, ce qui allait m’offrir une nouvelle expérience des folies inhumaines…
Un Chinois à la con a écrit que l’expérience est une lanterne qu’on porte dans son dos et qui n’éclaire que le passé…, pour ma part, d’expériences diverses, je pense que vivre, c’est arpenter un tapis roulant allant en sens inverse de son déplacement, ce qu’on peut espérer de mieux, c’est de pas trop reculer…, se maintenir est une victoire, avancer une utopie…, les forces déclinent… et le moment vient où on se retrouve à la case départ, la gueule déjà barbouillée de mort…, cela écrit, il n’y a pas de quoi s’affoler.
Je réfléchissais à ça dans le car Greenwood climatisé qui roulait peinardement…, l’horizon s’élargissait au fur et à mesure du temps passé à rouler…, sinistre et magnifique à la fois…, les terres alentours étaient plus glabres que la chaglatte d’une vieillarde… et puis on a ralenti… et le car s’est payé un majestueux arc de cercle avant de se ranger entre deux monstres de son espèce.
Les touristes pullulaient : des Japs blêmes, des Scandinaves trop blonds, des Teutons trop gras, dont les femelles portaient des culottes de cheval consécutives aux excès de lard fumé…, un ramassis de glandus, nantis de coups de soleil et de chapeaux de toile ridicules, coltinant un matériel photo qui achevait de les enconner…, la horde habituelle !
Installé sur le siège proche de la porte, je fus le premier à poser le pied sur terre, le soleil contondait durement…, un vieux larbin de l’organisation de la manifestation a rameuté tout le monde et nous a entraîné en direction d’un cabanon ou l’ancêtre s’est mis à expliquer ce qui allait se dérouler…, un rien théâtral il était fier de ses explications (dont je n’ai rien saisi), comme d’un exploit physique que lui seul réussissait… tout juste s’il n’attendait pas des ovations…, il s’est résigné à enfouiller quelques pourliches parcimonieux puis, d’un geste autoritaire, nous a embarqué un peu plus loin.
Un sourd grondement nous est alors parvenu, de plus en plus fort… et un Hot-Rod a jailli comme vers le ciel avant de retomber à coté du groupe hétérogène que nous formions…, l’assistance a crié de surprise, de peur peut-être aussi…, une ravissante jeune fille accompagnant son père paralysé, a eu un élan de frayeur et s’est blottie contre mon épaule…, mais aussitôt, elle s’est écartée, confuse.
— “Excusez-moi !” balbutia-t-elle avec un délicieux accent russe… — “Tout le plaisir a été pour moi”, j’y ai rétorqué dans un français se la jouant entre l’inflexion dauphinoise et l’intonation parisienne.
En pleine choucroute, le conducteur-pilote du Hot-Rod n’avait pas l’air tellement vieux, mais il avait dû morfler un court-jus dans le cigare qui le faisait patauger du bulbe.., ce mec avait dû être quelqu’un de bien, ça se distinguait encore sur ses traits, cheveux bruns, grisonnants aux tempes, yeux de Delft, pommettes longtemps encaustiquées à l’aquavit, dommage qu’il paraissait en pleine crise de décroissance !
On clapait morne dans cette ambiance lamentable de touristes au rabais, toujours soucieux d’obtenir le maximum en échange du minimum…, je guignais sans déplaisir la demoiselle au papa déjanté…, si blonde et bronzée.., j’imaginais son corps gracieux, peint aux bains de soleil…, mais bon, stop…, j’allais pas me mettre à goder avec une tranche d’animal mort…, je me morigénais…, j’ébullitionnais du bulbe…, trépignais de la bistougne.., la trempe-trempe, ça devenait systématique, à la longue…, j’aurais pu tenter de faire un usage différent de ma vie…, me consacrer aux autres…, aller au secours des populations sous-alimentées du tiers monde…, m’occuper de jeunes (et jolies) délinquantes…, l’homme de bonne volonté trouve toujours à s’employer…, à force de copuler, on fini par se vider l’âme plus vite que les bourses.
Je pourrais vous interpréter le rôle intéressant du Hot-Rodder éperdu d’amour découvrant le Saint-Graal qu’était ce Hot-Rod Dirt-Track “verdache” immatriculé “UNDERSLUNG” : j’aurais du, auquel cas, pleurer de bonheur sur mon clavier d’ordinateur, déchiqueter un mouchoir à belles dents, me tordre les mains, et autres simagrées de même style : au lieu de ça, je suis resté digne dans mes souvenirs “zémus” …
J’ai tiré mon calepin à couvrante de moleskine pour prendre des notes…, on n’en trouvait pratiquement plus dans le commerce…, on n’en trouve d’ailleurs maintenant plus du tout, mais j’en ai tout un stock qui me vient de mon pépé, lequel adorait faire des réserves, il accumulait les trucs les plus insensés, des crayons, des trombones de toutes les tailles, des cornes à chaussures, des crochets « X » , des savonnettes Gibbs, des brosses à dents, que sais-je encore ?…
Il avait un côté écureuil, mon pépé, des marottes lui venaient brusquement, un besoin de se prémunir contre les vacheries futures de l’existence : iI m’avait dit un jour que le temps des calepins allait disparaître et cette perspective lui paraissait intolérable…, alors il a foncé dans une grande papeterie et a acheté tout son stock de calepins…., dommage qu’il ait disparu si tôt, on aurait sûrement eu des choses à se dire, des connivences somptueuses à établir entre nous…, bref, j’ai noté dans le calepin mes ressentis concernant le Saint-Graal que je venais de découvrir…
Moi, j’ai fait romancier spécialisé en autos mobiles et particulièrement les Hot-Rods au lieu de cosmonaute, je ne m’en sentais pas capable… et quand j’ai vu le retour sur Terre des vaillants pionniers de l’espace, j’ai de suite compris que ces héros étaient pleins de merde dans leur combinaison… et…, pour rester coincé des jours et des jours et nuits et jour plein de merde dans ces énormes toupies bourrées de fils, de condensateurs, de bidules et de trucmuches avec, à peine discernables dans cet enchevêtrement, deux places pour des cosmonautes…, fallait-il avoir des couilles géantes pour oser prendre place là-dedans et se laisser valdinguer dans l’intersidéral, ces héros devaient avoir le cul super irrité, tout rouge/violet sans pouvoir se gratouiller avec leurs gros gants !
Ces gonziers qu’on a déjà oublié les blazes, je les salue bas…., devoir supporter tant de merde dans l’espace, c’est un exploit sidéral…, ils auront fait du genre humain autre chose qu’un paillasson…, sur leurs calepins ils avaient surement noté des rencards pour la semaine de leur retour…., la foi en Dieu, peut-être ?
Moi, ces places réduites qui les obligeaient à se tenir tête-bêche, recroquevillés à l’extrême, je comprenais pas où ils pouvaient loger leurs gigantesques burnes, les focards de l’espace…. et puis ils en sont revenus, ils ont, depuis, fait des gosses, pris du ventre, regardé des débilités à la TV…, ils sont rentrés dans l’atmosphère glandue qui est la notre, là que le con prolifère, que se développe le vice et qu’on meurt pour de bon…, pas plus avancés qu’avant le déluge !
Notez que l’intérieur d’un Hot-Rod c’est presque pareil qu’une capsule spatiale, y a pas de place pour les jambes, les couilles sont compressées, l’air est irrespirable, faut espérer ne pas avoir de crampes et prier pour qu’on puisse en sortir vivant…, de plus, lorsqu’on arrive en Hot-Rod dans une fumiste concentration concentrationnaire, on a quasi les mêmes sensations qu’Amstrong posant ses pieds sur la lune (Amstrong le cosmonaute, pas le coureur cycliste)…, on se demande ce qu’on est venu f… là…
Généralement, dans les concentrations concentrationnaires, qui sait y faire avec les femmes, embroque à fond de couilles dans les cagoinsses…, ça manque de poésie, mais dans les cas d’urgence, le décor n’a plus la moindre importance…, j’ai d’ailleurs connu une Hot-Roddeuse nymphomane qui à ma vue s’est direct déslipée, puis accrochée à mon cou, ses admirables jambes autour de ma taille, je l’ai promenée d’un mur à l’autre des toilettes jusqu’au moment ou je ne sais plus qui est entré because sa prostate qui le taraudait… et quand il m’a vu en train de bien faire, il a ouvert la bouche pour un cri de surprise qui n’est pas sorti, par contre, il s’est licebroqué une grande giclette dans le falzoche…., puis, discret, il est ressorti…, la Hot-Roddeuse pendant ce temps d’éternité tentait de ne pas crier, mais lorsque je lui ai eu déposé le bord des fesses sur le lavabo pour pouvoir y aller plein gaz, ç’a été trop intense et elle s’est mise à appeler sa maman sur l’air impérissable de la Marseillaise.
Je tente, en écrivant tout ceci de dresser un catalogue raisonné de ces jolies greluches adeptes du Hot-Rodding…, mais y en a trop, toutes bien ronflantes du Pétrus et salopiote de bon ton…, par contre, en comparaison, les pétasses des réunions de voitures classieuses, c’est pas qu’on n’arrive pas à les culbuter…, même si elles sont trop bien sapées pour les étreintes forestières, y a toujours la manière…, la frénésie aidant, on peut arriver à les embrocher et embourber…, mais c’est exceptionnel…
A la rigueur extrême, on y arrive pendant que leur mari, à la calvitie étincelante, se trouve avec d’autres semblables occupés à se congratuler à tour de rôle, se pâmant de vanité de recevoir quelques derniers lauriers façon sacre de Napo avec remise en fanfare d’une coupe en fer blanc en hommage d’avoir gagné la catégorie de la bagnole la plus chère du concours d’élégance…, son auditoire gémissant trop fort d’obséquiosités indicibles pour qu’il puisse percevoir le chant du fade de sa merveilleuse occupée à jouir…
Les pétasses “de la haute” , donc…, elles préfèrent s’encanailler dans un hôtel chic et cher, histoire d’ajouter des sensations : voire à l’arrière d’une Rolls ou d’une Bentley…, mais elles restent très mode, elles pratiquent la baise haute couture…, une habitude priseuse des manies de leur vieux pépère qui ne baise plus qu’avec la langue depuis longtemps…, excepté dans des occases rarissimes, les soirs de gala ou les coïts relèvent de la légitime défense après une longue préparation d’artillerie…, si bien que le cocufiage n’est en réalité que de l’assistance à personne en danger.
Avec les Hot-Roddeuses, par contre, on peut leur flanquer la grande seringuée cosaque dans un buisson ardent, derrière un arbre ou dans un cabanon en ruine, une seringuée telle qu’on n’en a plus revu depuis la chute des Romanoff…, les cris deviennent alors stridents…, mais, après…, une fois le désir assouvi, que ce soit avec elles ou avec des “de la haute”…, ne reste plus que le ressenti d’un vide cacateux !
J’en reviens au sujet de cette chronique : ma découverte du Saint-Graal des Hot-Rods Dirt-Track…, je respirais les vapeurs d’essence avec volupté…, lorsqu’une dame m’a interpellé…, elle était entrée dans la catégorie des encombrants…, des “encombrantes” aussi… , de ceux et celles dont la famille attend le décanillage définitif pour palper l’héritage…, elle était donc parcheminée époque moyen-âge ancien (très)… et une sorte de dais en toile lui assurait un poil d’ombre afin qu’elle n’entre pas en auto-combustion…
— “Vous vous intéressez aux Hot-Rods ?” …, m’a t’elle dit avec un délicieux accent méridional. — “Un peu !” ai-je roucoulé, charmeur…, “Chère compatriote, puis-je vous demander pourquoi vous êtes là, si loin de votre Provence…, dans ce bled étouffant des Etats-Unis d’Amérique, dans cette atmosphère chaude et puante ?” … — “C’est rapport à mon mari…, j’ai une entorse et du mal à me déplacer, alors je suis restée ici pendant qu’il fait le tour des lieux” … Soupir profond et long de cette dame aux jambes sédentaires…
Il ne faut jamais s’attarder en ce bas monde…, quand on devient gênant pour l’entourage, il faut savoir se retirer dans un mouroir ou enjamber le parapet d’un pont sous lequel coulent les amours anciennes…, tout le monde vous en sera gré…, en ce sens, j’ai fait un sourire tendre à la Mémé…, j’aurais voulu lui offrir un bouquet de violettes, ou un petit cadeau à trois balles, histoire de lui faire savoir qu’elle n’était pas seule en plein cagnard…, mais à quoi bon ?
A ce stade de mon récit, ô lecteur frappé de constipation chronique et de gonflement gazeux dans le tissu cellulaire, il est louable que je te révèle l’objet de cette chronique…, oui, je te tutoie exceptionnellement…
Ce n’est pas pour pratiquer un tourisme de masse que je suis venu dans ce bled, mais pour tenter de combattre l’un des fléaux de la planète…, que ce “thon” théâtral ne te paraisse point excessif, surtout…, tu vas croire que je romance, que je fantômasse… et pourtant, ce que je déclare ici est la sous-expression de la vérité…, la certitude qu’un esprit démoniaque étend sa toile d’araignée sur le monde…
A voir les Hot-Rods tourner en rond, je me suis dit que les objets les plus neufs sont des épaves en puissance…, je me philosophais cette pensée en matant les bedonnants et variqueux, imaginant leur oignon douteux, leur sexe suintant, toutes leurs saloperies mal gérées.., me sentant cruellement moi-même organique et propagateur de sanies…, en fait, j’observais la foule au forfait tirant partie de cet eden… et songeais qu’après une longue immersion dans la médiocrité, je prendrai un pied éléphantesque dans un restaurant “chic” où j’irai attaquer mon éternité.
Ces Hot-Rods sont trop exigus pour qu’on y puisse tirer un coup convenable sans excès de souplesse et d’ingéniosité, je l’ai écrit ci-avant, mais je me répète à dessein…, même une nanana voulant jouer à la femme-serpent…, après le coup de rapière…, y aurait plus mèche de la rectifier, de lui supprimer ses crampes, qui lui forcent à conserver une position d’acrobate ayant raté son numéro…., il faudrait des heures pour arriver à la dénouer, avec les sévices d’un mécanicien pervers, pour démonter les sièges et la masser tout en lui glissant le médius dans la grotte des mille merveilles, il serait ravi de l’aubaine…, le reste de la journée, il (le mécanicien) ferait sentir ses doigts à ses potes en affirmant que sans les aubaines que le ciel nous accorde, le monde ne serait pas existable.
Puisqu’il est question de grotte des mille merveilles, sachez que tout souterrain recèle un mystère car il représente une anomalie géologique…, notre planète est faite pour rester dure et compacte…, qu’elle abrite en ses profondeurs (lieu présumé des enfers) des galeries au cheminements bizarres, assez semblables à celui des vers dans les fruits, nous déconcerte… et aussi nous effraie, nous les hommes…, aussi, besognons-nous silencieusement dans l’interminable terrier, tantôt aisément, parfois non…, car rechercher le poing sensible pour elle et le point sensible pour nous, reste parfois aléatoire…
Faut ensuite se restaurer…, la machine réclame…, c’est ce qui nous perd, mais aussi nous sauve, nous les bipèdes pensants, c’est cette nécessité d’ingurgiter périodiquement des calories…, après les plus extraordinaires jouissances et orgasmes…, dans les pires désespoirs aussi, refusant la vie, mais finissant par accepter un casse-dalle, sandwiche-rillettes ou jambon-beurre…, en cas de grands désespoirs : tu te suicides, ou bien tu bouffes…, combien en ai-je connu, des peines de cœur, qui capotaient dans le foie gras et la caille aux raisins…, la tortore a réconforté davantage d’amants trahis que la ciguë n’en a tués…, meurs ou mange…, là est l’unique question !
Bien…, j’en viens (ou reviens) au but premier de ce reportage/chronique qui concerne le Saint-Grall des Hot-Rods Dirt-Track…, le Dirt-Track est une discipline typiquement américaine qui a eu ses moments de gloire avant la dernière guerre… et suscite un grand intérêt auprès des nostalgiques du Hot-Rodding des débuts dont les plus âgés (presque centenaires) se souviennent d’avoir respiré la poussière en bordure de piste, en culottes courtes, entre papa et maman, suçant un candy-bar.
Bob Schoonhoven est l’un d’eux…, beaucoup trop jeune pour pouvoir courir lui-même, il construisait des maquettes de “racers” complètement fous, avec des pneus arrières gigantesques, des peintures vives… et rêvait toutes les nuits qu’il gagnait le “Grand National” devant les meilleurs pilotes du moment…, il eut, un beau jour, l’occasion de racheter une de ces vieilles machines de course… et se mit en tête de la restaurer façon Hot-Rod…, plus tard, Bob devenu un gars rangé, marié et tout et tout, avec un bon job…, avait toujours en lui le virus du Dirt-Track…, ce Hot-Rod Track’T’23, que je vous présente ici dans toute sa splendeur
Il s’agit d’un engin simpliste et déuet, dont je n’ai rien retenu de particulier au niveau du palmarès d’autant plus que j’ai perdu le calepin dans lequel j’avais tout noté…, y compris les coordonnées des jolies avec qui j’ai…. euh…., sauf simplement qu’il a participé à quelques compétitions entre 1926 et 1932 alors qu’il était muni d’un 4 cylindres d’époque…, ce Hot-Rod Dirt-Track a été construit par un certain Bo Jones (qui était un préparateur célèbre à l’époque et que l’univers a oublié)… ensuite Bob Schoonhoven lui a racheté l’engin à l’état d’épave restaurable en cadeau à sa fille Nancy, sur le point de rejoindre son père sur les circuits de course de Dirt-Track…
L’ensemble de la voiture était sain, mais surtout rien n’y manquait… le trackster ayant eté rangé dans un petit hangar au retour de sa dernière course, puis oublié…, plus personne ne l’avait regardé depuis, il portait encore son numéro de course et était couvert de poussière rouge, celle de sa dernière Track-Race.., les Trakster’s d’aujourd’hui n’ont plus rien de commun avec celui-ci, vous en avez certainement vu des photos dans des magazines américains, on les appelle parfois “Midget”, tellement ils sont devenus petits (Midget veut dire nain, rien à voir avec les MG de ce nom)…, ils n’ont plus de carrosserie, ils ne sont qu’une cage de tubes qui entoure complètement le pilote… et ils tournent sur des pistes ovales à des vitesses effrayantes en prenant les deux virages en travers des quatre roues !
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