Fille sexy qui se donne du plaisir

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Fille sexy qui se donne du plaisir
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par Melanie Bonvard
Créé le 19/06/2020 à 18:00 , modifié le 19/06/2020 à 18:00


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Mélanie décrypte la pop culture avec un angle sociétal et questionne le female gaze dans les films ou encore les séries, car tout est une question de regard, elle en …

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Dans le documentaire Mon nom est clitoris, au cinéma ce lundi 22 juin, les réalisatrices Lisa Billuart Monet et Daphné Leblond lèvent le voile sur un véritable tabou : le plaisir féminin.
Tout commence avec des dessins. Deux jeunes femmes tentent de représenter le clitoris, cet organe qui donne du plaisir et qui ne sert qu'à cela dans l'anatomie féminine. L'exercice semble périlleux et il introduit une longue discussion avec plusieurs jeunes femmes, face caméra. Elles dialoguent autour du thème de la sexualité et toutes les reflexions qu'il englobe. Mon nom est clitoris , réalisé par Lisa Billuart Monet et Daphné Leblond, met en lumière des femmes authentiques et incroyablement touchantes. Leur liberté et leur courage sont communicatifs. Elles donnent véritablement envie de changer le monde et le regard de notre société patriarcale sur le plaisir féminin. Après tout, le plaisir masculin n'a jamais été un tabou. Il a même régi nombreux d'entre nous depuis l'enfance. Mon nom est clitoris est un film qui souhaite être salutaire, éducatif, libérateur des contraintes et des tabous qui entourent la position des femmes dans le monde. Le voile est levé.
Ce qui ressort de ces témoignages, c'est la façon dont ces jeunes femmes, au début sur la réserve, se livrent. Si elles évoquent des expériences personnelles, propres à chacune, leurs discours sont universels. C'est ce qui fait la force de ce film : il est inclusif. Il n'y a pas une sexualité féminne, il y en a plusieurs. Il n'y a pas qu'un rapport au corps féminin, il y en a plusieurs. C'était quelque chose d'important aux yeux des deux réalisatrices : "C'était essentiel, nous aurions voulu l'être davantage. Nous avons dès le casting pensé à inclure des profils différents, en diversifiant les orientations sexuelles, les corps, en inclusant des personnes racisées. Par contre, on connaît les limites du film, et certaines personnes ne se sentiront pas représentées, à juste titre. Cela nous donne une marge de progression pour la suite." nous racontent-elles.
Pour autant, ce film n'est pas uniquement un documentaire fait par des femmes et pour les femmes. Bien au contraire. Pour les réalisatrices, il s'agit d'un film sur notre société et des mécanismes de domination dans lesquelles nous sommes tous, sans exception : "Il permet de réfléchir, y compris en tant qu'homme ou que personne non-binaire, à l'endroit où on se situe sur l'échiquier complexe des dominations." En tant que femmes blanches, elles ont aussi percu l'importance de cette inclusivité en se documentant : "Par analogie, il était absolument crucial et plus que nécessaire pour nous, qui sommes blanches, de voir par exemple le film d'Amandine Gay, Ouvrir la voix, qui donne la parole à des femmes noires." Ainsi, la sororité et les prémices d'un monde nouveau à penser ensemble est le pillier de ce documentaire très réussi : "Plus largement, le film montre un ensemble de réalités auxquelles il est possible de s'identifier : l'émancipation par la parole, le témoignage intime, sa dimension politique et son potentiel révolutionnaire."
La diversification de ces témoignages éclaire sur les stéréotypes dont sont encore victimes les femmes aujoud'hui à travers leur sexualité. Tout d'abord, il y a ce mythe autour de la pénétration. Elle est encore perçue comme seule option pour avoir des rapports sexuels. Selon la pensée générale, les pratiques hors pénétrations ne seraient donc que des "préliminaires". A travers certains témoignages et expériences du film, on constate comment même le corps médical souffre de ces idées reçues et les premières à en payer les frais semblent être les femmes homosexuelles.
Puis, il y a la notion de désir qui, pour la pensée collective, semble ne pas être mérité par tout le monde. Le handicap, l'obésité, la pilosité sont injustement mis de côté dans le domaine du désir sexuel. Les réalisatrices déplorent cette idée reçue : "Les personnes grosses, avec un handicap, poilues, sortant des canons de beauté occidentaux seraient systématiquement moins désirables. Et de ce fait, pour compenser cette tragédie, elles seraient aussi parfois plus facilement sexuellement disponibles !" Tout ceci, c'est sans compter le désir et le plaisir féminin, soit disant moins présents chez les femmes. Ils sont vus comme quelque chose d'inatteignables, voire de complexe, tout en estimant le plaisir masculin comme "inférieur".
Alors qu'attendons-nous pour instaurer une éducation sexuelle plus qualitative ? Ce qui ressort notamment de ce témoignage c'est l'importance qu'accordent ces jeunes femmes à la notion de consentement, complètement absente des cours d'éducation sexuelle aujourd'hui. Lisa Billuart Monet et Daphné Leblond expliquent la façon dont ces entretiens les ont éclairé sur un véritable problème autour de ce sujet pourtant crucial : "On leur posait toujours la même question finale : est ce que vous avez quelque chose de plus à dire ? Et trois fois sur quatre, elles nous parlaient du consentement, l'importance d'en parler le plus tôt possible (pendant des cours d'éducation sexuelle par exemple), de poser et de connaître ses limites...Le fait aussi qu'on peut être consentant.e, puis ne plus l'être, et que même pendant l'acte sexuel il est encore possible de changer d'avis."
Alors, ce que souhaitent les réalisatrices militantes de Mon nom est clitoris , c'est une véritable action. Ce film, cette initative, elles en ont fait leur combat. C'est un combat qui ne cherhce pas uniquement à lever un tabou autour de la sexualité féminine. C'est également politique selon elles : "Nous sommes prêtes à aller à l'Assemblée Nationale pour ouvrir le débat comme on l'a fait au Parlement Francophone Bruxellois, si l'invitation se présente ! Les revendications doivent avoir un impact politique concret : de nouvelles lois, des budgets pour les éducateurices d'éducation sexuelle (souvent bénévoles, ce qui est dramatique) ! La loi du 4 juillet 2001 stipule que 3 cours d'éducation sexuelle sont obligatoires par an depuis la primaire. Qu'attend-on pour la faire appliquer et sanctionner les établissements qui ne la respectent pas (c'est-à-dire quasiment tous) ?"

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Ce qui ressort de ces témoignages, c'est la façon dont ces jeunes femmes, au début sur la réserve, se livrent. Si elles évoquent des expériences personnelles, propres à chacune, leurs discours sont universels. C'est ce qui fait la force de ce film : il est inclusif. Il n'y a pas une sexualité féminne, il y en a plusieurs. Il n'y a pas qu'un rapport au corps féminin, il y en a plusieurs. C'était quelque chose d'important aux yeux des deux réalisatrices : "C'était essentiel, nous aurions voulu l'être davantage. Nous avons dès le casting pensé à inclure des profils différents, en diversifiant les orientations sexuelles, les corps, en inclusant des personnes racisées. Par contre, on connaît les limites du film, et certaines personnes ne se sentiront pas représentées, à juste titre. Cela nous donne une marge de progression pour la suite." nous racontent-elles.
Pour autant, ce film n'est pas uniquement un documentaire fait par des femmes et pour les femmes. Bien au contraire. Pour les réalisatrices, il s'agit d'un film sur notre société et des mécanismes de domination dans lesquelles nous sommes tous, sans exception : "Il permet de réfléchir, y compris en tant qu'homme ou que personne non-binaire, à l'endroit où on se situe sur l'échiquier complexe des dominations." En tant que femmes blanches, elles ont aussi percu l'importance de cette inclusivité en se documentant : "Par analogie, il était absolument crucial et plus que nécessaire pour nous, qui sommes blanches, de voir par exemple le film d'Amandine Gay, Ouvrir la voix, qui donne la parole à des femmes noires." Ainsi, la sororité et les prémices d'un monde nouveau à penser ensemble est le pillier de ce documentaire très réussi : "Plus largement, le film montre un ensemble de réalités auxquelles il est possible de s'identifier : l'émancipation par la parole, le témoignage intime, sa dimension politique et son potentiel révolutionnaire."
La diversification de ces témoignages éclaire sur les stéréotypes dont sont encore victimes les femmes aujoud'hui à travers leur sexualité. Tout d'abord, il y a ce mythe autour de la pénétration. Elle est encore perçue comme seule option pour avoir des rapports sexuels. Selon la pensée générale, les pratiques hors pénétrations ne seraient donc que des "préliminaires". A travers certains témoignages et expériences du film, on constate comment même le corps médical souffre de ces idées reçues et les premières à en payer les frais semblent être les femmes homosexuelles.
Puis, il y a la notion de désir qui, pour la pensée collective, semble ne pas être mérité par tout le monde. Le handicap, l'obésité, la pilosité sont injustement mis de côté dans le domaine du désir sexuel. Les réalisatrices déplorent cette idée reçue : "Les personnes grosses, avec un handicap, poilues, sortant des canons de beauté occidentaux seraient systématiquement moins désirables. Et de ce fait, pour compenser cette tragédie, elles seraient aussi parfois plus facilement sexuellement disponibles !" Tout ceci, c'est sans compter le désir et le plaisir féminin, soit disant moins présents chez les femmes. Ils sont vus comme quelque chose d'inatteignables, voire de complexe, tout en estimant le plaisir masculin comme "inférieur".
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Alors, ce que souhaitent les réalisatrices militantes de Mon nom est clitoris , c'est une véritable action. Ce film, cette initative, elles en ont fait leur combat. C'est un combat qui ne cherhce pas uniquement à lever un tabou autour de la sexualité féminine. C'est également politique selon elles : "Nous sommes prêtes à aller à l'Assemblée Nationale pour ouvrir le débat comme on l'a fait au Parlement Francophone Bruxellois, si l'invitation se présente ! Les revendications doivent avoir un impact politique concret : de nouvelles lois, des budgets pour les éducateurices d'éducation sexuelle (souvent bénévoles, ce qui est dramatique) ! La loi du 4 juillet 2001 stipule que 3 cours d'éducation sexuelle sont obligatoires par an depuis la primaire. Qu'attend-on pour la faire appliquer et sanctionner les établissements qui ne la respectent pas (c'est-à-dire quasiment tous) ?"


Petit guide de la masturbation pour se faire plaisir


Après la lecture de ce sujet, vous saurez tout sur la masturbation. Et vous saurez aussi comment vous faire grandement plaisir. Parce que se masturber est plus que normal, suivez le guide !
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La masturbation, c’est la stimulation manuelle et solitaire des organes sexuels (pénis pour les garçons et clitoris et vagin pour les filles), dans le but de provoquer une excitation et éventuellement un orgasme. Cette pratique sexuelle existe depuis que l’humain est sur Terre. Se masturber est normal et naturel . Tout le monde ou presque s’est déjà masturbé ou se masturbe encore, jeune ou moins jeune, avec plus ou moins de fréquence.
Un petit point avant d’aller plus loin : non, la masturbation ne rend pas malade , ni obsédé, ni stérile, ni impuissant, ni sourd…et oui, même s’il est encore plus courant et facile pour les garçons de parler de ce sujet, les filles sont toutes aussi concernées… et actives !
Quand on débute sa puberté, le corps se transforme. Les organes sexuels (pénis ou vulve) se développent et la production d’hormones sexuelles (testostérone chez les garçons et estrogènes chez les filles) s’accélère. Sous l’influence de ces hormones, notre cerveau est stimulé plus ou moins en permanence par une excitation latente, que l’on qualifie de désir sexuel . Dans l’attente d’une certaine maturité sexuelle (physique et psychologique) et afin de réguler cette montée du désir, les garçons et les filles peuvent avoir recours une stimulation manuelle de leurs organes génitaux, appelée masturbation, plus pudiquement nommée « caresse », ou plus populairement « branlette » (quelle poésie).
Filles et garçons se masturbent tout simplement pour se faire plaisir. La masturbation fait du bien, elle apaise, elle détend … Elle aide aussi à dormir. Se masturber, c’est s’accorder un moment de bien-être !
Une autre vocation de la masturbation est celle de l’apprentissage et de la découverte de son corps . Les transformations physiques qui interviennent au cours de la puberté sont de grandes interrogations de la part des filles et des garçons qui n’ont pas été préparés à cela. Partir à l’exploration des organes et de leur fonctionnement joue un rôle très important à la préparation de la sexualité.
Les garçons utilisent parfois la masturbation, comme d’un régulateur mécanique de leur éjaculation. En effet, en se masturbant peu avant un rapport sexuel (une à deux heures avant), ils réduisent leur « potentiel d’excitation ». Ils retardent ainsi le moment de leur éjaculation , pour être capable de faire durer le plaisir de leur partenaire. Et les filles aussi font ça. Un orgasme solo avant un rapport sexuel retarde le prochain… (orgasme, pas rapport).
Il n’y a aucune
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