Fille sans emploi débute dans le porno

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Fille sans emploi débute dans le porno
Publié
le 24/09/2014 à 16:21 , Mis à jour le 24/09/2014 à 16:55
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LE SCAN TÉLÉ - Après trois apparitions dans Les Ch'tis de W9 et une expérience dans la téléréalité de NRJ 12 cette année, Kelly Helard débute une nouvelle carrière.
Nous l'avions connu gogo danseuse dans Les Ch'tis sur W9 en 2011 et 2012. Puis comédienne dans une pastille humoristique en 2013 dans Le Mag de NRJ 12. Au début de l'année, elle avait passé deux semaines en Australie dans Les Anges de la téléréalité avec comme objectif professionnel de percer dans le domaine de la danse. Finalement, Kelly Helard avait quitté le tournage au bras de son fiancé.
Depuis, la Nordiste continuait à réaliser épisodiquement des micros-trottoirs pour les besoins du Mag de NRJ 12. Mais selon Jeremstar , la jeune femme s'apprêterait à se lancer dans le cinéma pour adulte. Le blogueur people a révélé mardi que Kelly Hélard aurait tourné une scène pornographique pour le magazine Hot vidéo . Une information qui lèverait le voile sur le dernier message de l'intéressée sur Twitter.
Kelly ne serait pas la première candidate de téléréalité s'essayer dans le cinéma pour adulte. De manière très professionnelle et avec une belle réussite, Laly a su faire sa place dans le monde du porno. Après s'être lancée sous l'impulsion du producteur Marc Dorcel, l'ancienne candidate de Secret Story est partie aux Etats-Unis où elle gère sa propre société de production.
«J'ai eu énormément de personnes issues des téléréalités qui sont venues vers moi et que j'ai la plupart du temps mis en garde, nous avait révélé Laly il y a quelques mois . Ce sont souvent des candidats qui sont perdus, qui ont gagné de l'argent durant leurs quelques mois de notoriété et qui, d'un coup, n'ont plus rien. Ils se disent pourquoi ne pas tenter le porno comme Laly? Mais ça ne fonctionne pas comme ça.»
Celle qui est installée à Las Vegas depuis trois ans avait ajouté: «quand j'ai débuté, ce n'était pas pour un essai sans suite. J'avais un véritable plan de carrière, une entreprise à bâtir et j'ai dû beaucoup travailler pour y arriver. À mon niveau d'exigence, on ne s'improvise pas acteur. Je produis de véritables films de qualité avec scénario et des structures professionnelles. Quand j'éconduis ces candidats, ils ne comprennent pas, ils sont choqués...»
C'est clair que maintenant entre la télé réalité et le porno la barrière est mince.
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Les Anges de la téléréalité : une candidate se lance dans le porno
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S. n’a que 20 ans lorsqu’elle franchit les portes de l’enfer du X… sur Instagram. En janvier 2020, cette jeune femme originaire du Val-de-Marne, désargentée et isolée, est hameçonnée par une certaine « Axelle » qui ne cesse de flatter son physique en postant des commentaires sur ses photos. Derrière ce pseudonyme se cache en fait un homme, un rabatteur qui se fait passer pour une escort-girl épanouie et pleine aux as pour mieux mettre en confiance ses proies. Ce Charon des temps modernes va profiter de la vulnérabilité de S. pour l’entraîner dans le Tartare de l’industrie pornographique, un monde glauque où les pratiques sexuelles sont extrêmes et dégradantes.
Du jour au lendemain, S. est mise à nue sur Internet, déshonorée et rejetée par sa famille dont les valeurs traditionnelles maghrébines s'accommodent peu de ce type de carrière. Joint au téléphone, la jeune femme dit n'avoir plus la force de témoigner : « Cela pourrait servir d'exemple à d'autres filles, mais c'est vraiment trop douloureux de repenser à tout ça. Mes proches ont fini par comprendre que j'étais tombée dans un traquenard. »
S. fait partie des victimes du réseau sordide démantelé à l'automne dernier par les gendarmes de la section de recherches (SR) de Paris. Quatre hommes de 30 à 59 ans sont mis en examen pour « viols » , « proxénétisme aggravé » et « traite des êtres humains aggravée » dans cette affaire qui jette une lumière crue sur des pratiques criminelles dans le milieu de la pornographie. Ils sont soupçonnés d'avoir recruté par la ruse de jeunes femmes, souvent issues de milieu modestes, pour leur imposer des relations sexuelles et des tournages ultra-violents en extorquant leur consentement par pression psychologique ou économique… voire en les droguant!
Parmi eux, deux producteurs. Pascal O., dit « Pascal OP », 59 ans, l'artisan du site French Bukkake, qui affiche une moyenne mensuelle de 280000 visiteurs. Et Matthieu L., alias « Matt Hadix », un trentenaire qui produit des films pour les célèbres franchises Dorcel* et Jacquie et Michel. Alors que tous deux sont écroués, dont l'un en janvier pour avoir continué à tourner des films en violation de son contrôle judiciaire, les enquêteurs tentent de recenser toutes les victimes qui ont pu faire les frais du groupe et déterminer l'ampleur de ses activités occultes.
Les investigations, dont nous avons pris connaissance, ont débuté lors du premier confinement. Dans le cadre d'une veille sur Internet en mars 2020, les enquêteurs du groupe « cyber » de la SR de Paris sont intrigués par les « avantages » très particuliers que propose le site de Pascal OP à ses abonnés. Moyennant 29,99 euros par mois, ces derniers ont non seulement accès à l'ensemble des contenus vidéos, qui mettent en scène des actrices amatrices, mais ils peuvent aussi participer gratuitement aux tournages.
Y compris lors de « sessions sans préservatifs » ou lors de scènes de sexe extrême, dont le « bukkake », spécialité du producteur français. Il s'agit d'une pratique sexuelle de groupe : des dizaines d'hommes se succèdent pour pratiquer une éjaculation sur une femme, prostrée et immobile, principalement sur le visage. Pour les gendarmes, ces offres sont susceptibles d'être constitutives de proxénétisme. D'autant qu'ils relèvent dans un commentaire sur son site que Pascal OP propose aussi une relation sexuelle gratuite avec l'actrice pour quiconque prête son appartement le temps du tournage.
Par ailleurs, les vidéos, que les enquêteurs visionnent jusqu'à la nausée, interrogent sur le consentement réel des « actrices ». Certaines grimacent de douleur ou implorent leur partenaire de ne pas s'adonner à certaines pénétrations. C'est le cas notamment lors de scènes avec Pascal O., également acteur, qui apparaît toujours avec des lunettes de soleil noires et dont le personnage au crâne glabre tient des propos très crus. « Ça fait bobo ? […] Tu vois que ça se fait, si on te laissait faire, tu te serais déjà barrée », dit-il dans une séquence. « Y'a pas, c'était en option et tu as choisi la mauvaise option », lance-t-il à une autre actrice qui réclamait le port du préservatif. Le parquet de Paris, avisé, ouvre une enquête préliminaire.
En explorant le profil de ce producteur controversé dans le maquis du porno amateur, les gendarmes découvrent avec surprise que pas moins de cinq actrices ont déposé plainte contre lui entre 2016 et 2020 : certaines pour viols, d'autres pour la diffusion viciée de vidéos. Car Pascal OP leur aurait promis, dans un mensonge total, que celles-ci ne seraient diffusées que sur des sites obscurs au Canada ou en Russie.
Or, S., la jeune femme du Val-de-Marne, s'est ainsi retrouvée livrée à la honte populaire lorsque l'ensemble de son quartier a pu visionner ses vidéos jusque sur Twitter. « Tu seras moins naïve la prochaine fois », lui aurait répondu Pascal O. lorsque la jeune femme l'a supplié de supprimer les vidéos. Les frères de S. ont dû payer 4500 euros au producteur pour qu'il accepte de les retirer de « French Bukkake », mais elles ont depuis été dupliquées sur de nombreux autres sites X. Sur les cinq plaintes, quatre avaient été classées sans suite sans investigations, notamment par le parquet de Bobigny qui avait estimé, pour l'une des femmes, qu'il s'agissait d'un « litige commercial »…
Pourtant, en réinterrogeant les victimes, les gendarmes font de nouvelles surprises, encore plus glaçantes. Toutes racontent s'être retrouvées sur les tournages à subir des pratiques sexuelles qui n'étaient pas prévues, avec un nombre de partenaires souvent vertigineux, et avoir reçu des pressions ou des menaces de Pascal OP pour les accepter. Le producteur aurait ainsi pour stratégie de refuser de faire lire les contrats avant les scènes ou de manipuler les actrices avec les rémunérations (entre 500 et 700 euros la scène), les changeant à la dernière minute ou ne réglant qu'une partie pour les forcer à revenir pour un nouveau tournage.
Les enquêteurs vont retrouver une vidéo de E., l'une des plaignantes, en train de pleurer et l'un des acteurs passer outre ses larmes pour lui imposer une éjaculation faciale. « J'avais l'impression que sourire c'était la seule manière pour que cela s'arrête », raconte en audition la jeune femme, décrivant un enchaînement infernal de scènes violentes. Pire, plusieurs victimes racontent avoir été alcoolisées ou droguées avant les tournages. Ce que confirme une expertise capillaire de S., la dernière plaignante, qui a mis en évidence… des traces de Zolpidem, un puissant somnifère. Le réseau aurait, en outre, fabriqué de faux tests de dépistage de MST à l'aide d'un logiciel pour manipuler les actrices.
Mais l'horreur ne s'arrête pas là. Etonnamment, la majorité des plaignantes ont été happées dans le porno amateur après avoir été contactées sur Facebook par la fameuse « Axelle ». Derrière ses photos de jeune femme séduisante, les enquêteurs identifient un homme, Julien D., 40 ans. Cet éducateur spécialisé qui travaille dans une association pour personnes handicapées, marié et père de famille, est soupçonné d'avoir mis au point un stratagème aussi redoutable que pervers.
Avec un scénario en trois temps : sous le pseudonyme « Axelle », dont la photo de profil est celle d'une femme séduisante, il repère de jeunes femmes fragiles auprès desquelles il se présente comme une escort-girl bienveillante pour les inciter à suivre son prétendu succès. « Il s'agissait exclusivement de femmes présentant un profil similaire, à savoir nées dans les années 1990, présentant des parcours de vies difficiles (abandon familial, suicide, échec scolaire…) et s'étant tournées vers la prostitution à une époque où elles rencontraient d'importants problèmes financiers », notent les enquêteurs dans leur rapport.
Le quadragénaire présente ses proies à un certain « Seb Agency », un puissant dirigeant d'une agence d'escort de luxe. Il s'agit, là encore, d'un personnage sorti tout droit de son imaginaire. Cet imposteur donne ensuite rendez-vous aux jeunes femmes dans des hôtels avec un soi-disant client fortuné pour un rapport tarifé. Lequel est en réalité Julien D. en personne, qui use alors de sa position pour extorquer des relations sexuelles. Il va jusqu'à prétendre que le « client » réclame des scénarios avec les yeux bandés pour ne pas être vu… Comble du cynisme, les femmes n'étaient pas payées. « Seb Agency » se retranchait derrière une prétendue escroquerie du « client », qui aurait disparu sans honorer la prestation.
Dans un troisième temps, Julien D. envoie les jeunes femmes auprès de Pascal OP en les présentant comme un producteur respectueux et professionnel. Pour cela, il reprend son rôle d'Axelle et n'hésite pas à jouer la bonne copine. « Totalement anonyme, j'insiste aucune image visible sinon je ferais pas. T'as 1200 euros […] super ambiance, à la cool, c'est décontracté, acteurs au top ahahah », écrit-il à l'une des victimes. Dans d'autres messages exhumés par les gendarmes, il donne du « ma belle » ou « ma puce » avec ses interlocutrices et va jusqu'à s'inventer un décès familial pour susciter la sympathie d'une femme dont la mère souffre d'une maladie des poumons.
Le 13 octobre dernier, les gendarmes placent en garde à vue Pascal O., Julien D. ainsi que deux autres hommes : le producteur Matt Hadix, soupçonné d'être une sorte d'associé du premier, puisqu'il mutualise les tournages et sert d'acteur ou de cameraman pour French Bukkake, et un jeune homme qui officie comme petite main du réseau en contrepartie de prestations sexuelles avec les actrices. Devant les enquêteurs, Pascal OP nie l'ensemble des accusations de viols et de proxénétisme. Il explique qu'il s'est inventé un personnage obscène pour faire « le buzz » et prétend que ses actrices sont traitées avec le plus grand respect.
« Je reçois beaucoup de filles de tous horizons et ces jeunes filles [NDLR : les plaignantes] qui sont prêtes à aller chez moi ne m'ont pas paru différentes des autres, se défend-il. Je demande toujours aux jeunes filles ce qu'elles veulent faire avant ou après. Et si il y a un souci pendant la scène, on arrête le tournage. » Dans un rapport, les enquêteurs jugent que Pascal O. « décrit un monde idéal en contradiction complète avec les investigations et les témoignages des victimes ». Contacté, l'avocat du producteur, Me Samuel Habib, n'a pas souhaité réagir. Les investigations révèlent que Pascal O. a engrangé plus de 240000 euros de revenus ces cinq dernières années grâce à un montage financier complexe.
Quant à Julien D., dont les autres suspects affirment qu'ils ignoraient sa réelle identité, il reconnaît avoir créé des personnages fictifs pour obtenir des rapports sexuels avec des femmes qu'il n'aurait jamais pu charmer, sans avoir pensé que cela pouvait constituer des viols par surprise. Il met sur le compte « d'une période noire » de solitude et d'ennui la mise en place de son stratagème numérique. « De par mes délires mythomanes à ce moment-là […], j'avais créé toute une vie à cette personne, inventant famille, voyages etc. Je publiais régulièrement des photos de la personne dont j'utilisais l'image ( NDLR : une mannequin américain) », admet le suspect en garde à vue.
Le rabatteur présumé avoue par ailleurs avoir poussé « une cinquantaine de filles » dans le monde du X, auprès de Pascal OP et Matt Hadix, mais peine à expliquer ses motivations. Tout juste y voyait-il un moyen pour ses victimes d'être rétribuées… Sollicité, son conseil, Me Bruno Gendrin, n'a pas souhaité s'exprimer. Cette affaire, hors normes, intervient à un moment où l'industrie pornographique est en plein examen de conscience sur ses pratiques : de nombreuses actrices ont récemment pris la parole pour réclamer un plus grand respect de leur consentement . Dans ce #MeToo du X, une autre enquête visant la franchise Jacquie et Michel est en cours à Paris.
* Edit 16/03/21, 21h08 : Dans un message transmis au Parisien, « Dorcel précise que Matt Hadix ne produit pas pour elle, mais qu’elle a distribué certains de ses films, lesquels ne sont pas concernés par l’enquête en cours. Notre société n’a jamais été impliquée directement ou indirectement avec les faits graves dénoncés dans l’article et qui font l’objet d’enquête. »
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