Fille salope qu'on se partage

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Laure Manaudou


Laure Manaudou : Sa fille Manon partage les mĂȘmes beaux yeux bleus que son pĂšre, FrĂ©dĂ©rick Bousquet

Laure Manaudou : Sa fille Manon partage les mĂȘmes beaux yeux bleus que son pĂšre, FrĂ©dĂ©rick Bousquet

Addict aux sĂ©ries sur les vampires et les zombies, il connaĂźt tout sur vos stars prĂ©fĂ©rĂ©es, avec une petite prĂ©fĂ©rence pour ce qui se passe outre-Atlantique. S’il a le sang chaud des Espagnols, il garde tout de mĂȘme son humour bien français et ne recule jamais devant un jeu de mot bien senti.

À Cannes avec son pĂšre, Manon, la fille de Laure Manaudou et FrĂ©dĂ©rick Bousquet profite de la fin des vacances. L'ancien nageur vient de publier une jolie photo d'eux deux et on peut voir que la jeune fille a dĂ©jĂ  de trĂšs beaux yeux.
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MĂȘme si la fin des vacances approche Ă  grands pas, il reste encore quelques jours pour en profiter et Manon Manaudou l'a bien compris. La jeune fille de 12 ans a la chance de vivre de bons moments avec son pĂšre, FrĂ©dĂ©rick Bousquet dans la sud de la France et tout se passe pour le mieux entre eux. L'ancienne star de la natation est un vĂ©ritable papa poule avec sa fille, qu'il n'hĂ©site pas Ă  chouchouter quand il le peut. La semaine derniĂšre, ils se sont offerts une superbe matinĂ©e avec restaurant et pĂ©dicure Ă  la clĂ© . Il faut dire que la jeune Manon a deux parents attentionnĂ©s et qui prennent soin d'elle.
Pendant que sa fille partage de belles journĂ©es avec son pĂšre, Laure Manaudou est restĂ©e en Gironde, oĂč elle habite Ă  l'annĂ©e avec son mari JĂ©rĂ©my FrĂ©rot et leurs deux enfants. AprĂšs une pĂ©riode compliquĂ©e au moment des incidents qui ont ravagĂ© la rĂ©gion , la championne olympique relĂšve la tĂȘte ces derniĂšres semaines et essaye d'aller de l'avant. Il y a quelques jours, elle a reçu des amis bien connus Ă  la maison pour une jolie visite de la dune du Pilat en famille . Pendant ce temps-lĂ , Manon est du cĂŽtĂ© de Cannes , comme FrĂ©dĂ©rick Bousquet l'a montrĂ© pendant le week-end sur son compte Instagram.
TrĂšs actif sur la plateforme, celui qui compte plus de 32 000 abonnĂ©s aime bien partager des moments de vie avec ses fans. En dĂ©but d'annĂ©e, il les a fait rĂȘver avec des photos et des vidĂ©os de ses vacances avec Manon en PolynĂ©sie française, mais actuellement c'est chez lui qu'il se trouve avec sa trĂšs grande fille. Sur sa publication, on peut le voir, tout sourire Ă  cĂŽtĂ© d'elle et mĂȘme si une partie de son visage est cachĂ©e, on peut tout de mĂȘme se rendre compte qu'elle possĂšde les mĂȘmes magnifiques yeux bleus que son pĂšre . "La vie est plus mieux avec TOI" , ajoute FrĂ©dĂ©rick Bousquet en commentaire de sa publication, qui fait une belle dĂ©claration d'amour Ă  Manon.
Un beau moment de complicité pÚre-fille pour l'ancien nageur de 41 ans, qui profite à fond de la fin des vacances avec sa grande Manon.
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fondateur du cabinet de conseil Pergamon, spécialisé en affaires publiques, communication et innovation sociale
Titulaire de la chaire Ludwig Börne Ă  l’universitĂ© de Giessen, Allemagne
Culture Cinéma Télévision Livres Musiques Arts ScÚnes
Collaborateur du « Monde des livres »
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Le deuxiÚme long-métrage de Saeed Roustaee, présenté en compétition à Cannes, ne tient pas les promesses de son premier opus, « La Loi de Téhéran », sorti en juillet 2021.
On rĂ©sume les opĂ©rations. 28 juillet 2021 : on dĂ©couvre en France, relativement Ă©bahis, La Loi de TĂ©hĂ©ran , polar sauvage, documentĂ© et irrĂ©vĂ©rencieux sur le trafic de drogue en Iran, et du mĂȘme coup son jeune auteur, Saeed Roustaee, auteur d’un premier long-mĂ©trage en 2016 ( Life and a Day ), qui nous raconte l’incroyable concours d’obstacles avec lequel il a dĂ» composer pour rĂ©aliser son nouveau film. Nonobstant la censure ( La Loi de TĂ©hĂ©ran a Ă©tĂ© interdit en Iran), l’Ɠuvre miraculeusement existe (rien ne serait moins sĂ»r aujourd’hui, oĂč les autoritĂ©s durcissent leur arsenal rĂ©pressif vis-Ă -vis des cinĂ©astes) et nous fait soudain voir au passage un Ă©tat sociopolitique du pays qu’on Ă©tait Ă  mille lieues de soupçonner.
C’est dire si, un an plus tard, l’annonce de Leila et ses frĂšres en compĂ©tition Ă  Cannes, suivie, aujourd’hui, de sa sortie en salle, a jetĂ© les cinĂ©philes dans la fĂ©brilitĂ©. Sans retirer le moins du monde l’estime qu’on porte Ă  Roustaee, il faut bien avouer que ce nouvel opus fait un peu dĂ©chanter. L’attente d’un renouvellement des opĂ©rations du prĂ©cĂ©dent film, dans ce qu’elles avaient de cru et de dantesque, aura sans doute puissamment contribuĂ© Ă  ce sentiment. Car c’est davantage du cĂŽtĂ© d’un petit thĂ©Ăątre de la cruautĂ© familiale et d’un art consommĂ© du dilemme moral Ă  la Asghar Farhadi que nous emmĂšne cette fois Roustaee.
L’actrice Taraneh Alidoosti, qui interprĂšte le rĂŽle principal de ce film, vient du cinĂ©ma de Farhadi – signe fort. Elle campe ici Leila, fille quadragĂ©naire d’un couple modeste qui a menĂ© avec son aide la conduite du foyer, et sƓur de quatre frĂšres qui tentent difficilement, chacun Ă  sa maniĂšre, de s’en tirer. Pour cette raison, Leila pense que le temps est venu de tirer profit des sacrifices consentis, et par la mĂȘme occasion de s’émanciper du foyer. Elle propose donc Ă  ses frĂšres de saisir une opportunitĂ© en s’unissant pour acheter dans une galerie un modeste local commercial qu’ils pourraient exploiter ensemble. En additionnant les maigres Ă©conomies de chacun, et en demandant aux parents d’avancer le reste, elle espĂšre tirer sa carte du jeu.
C’est ici que le bĂąt blesse. Car durant ce temps, le paterfamilias, petit homme tyrannique campĂ© sur son bon droit, a dilapidĂ© toutes les ressources du foyer pour rĂ©pondre favorablement Ă  la proposition de devenir le parrain du clan familial, charge honorifique, mais dispendieuse. Ce faux honneur que lui fait une famille qui en vĂ©ritĂ© l’a toujours mĂ©prisĂ© fait enrager Leila, non moins que le droit que veut s’arroger le vieillard de distraire le patrimoine de ses propres enfants.
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SEXUALITÉ - Je suis une salope de salope. Ils sont beaucoup Ă  le dire. Les femmes qui pensent que le sexe est rĂ©pugnant. Les types qui veulent des femmes bonnes Ă  prĂ©senter Ă  leurs mĂšres et se disent que, parce que je parle ouvertement de sexe, je n'aime pas les dĂźners familiaux.
Je suis une salope. Une salope de salope, salope. Ils sont beaucoup à le dire. Ceux qui lisent mon blog et sont en désaccord avec son contenu. Ceux qui ne m'aiment pas. Les femmes qui pensent que le sexe est répugnant. Les types qui veulent des femmes bonnes à présenter à leurs mÚres et se disent que, parce que je parle ouvertement de sexe, je n'aime pas les dßners familiaux ou les mamans.
Ils ont de multiples raisons de penser ce qu'ils pensent. J'ai couchĂ© avec pas mal d'hommes. Plus de dix. Plus de vingt. On continue sur la lancĂ©e ? J'ai beaucoup Ă©crit Ă  propos de ma vie sexuelle. J'ai partagĂ© des histoires personnelles parce que je pensais et pense encore que non seulement j'Ă©cris bien, mais j'Ă©cris une bonne histoire. Une histoire qui, j'en suis encore persuadĂ©e, aura un "happy ending" quelque part dans ce pathĂ©tique bordel, entre les mails injurieux et le papier que quelqu'un a dĂ©posĂ© dans la voiture de ma mĂšre, garĂ©e dans le parking d'une gare, sur lequel Ă©tait Ă©crit : "J'espĂšre que vous ĂȘtes fiĂšre de la salope que vous avez Ă©levĂ©e."
J'ai récemment commencé à regarder la série The newsroom , d'Aaron Sorkin. Au début, je détestais le personnage de Sloan Sabbith. Cette chroniqueuse économique, exceptionnellement attirante, follement intelligente et jamais dépourvue d'une répartie pleine d'esprit.
J'ai regardĂ© l'Ă©pisode diffusĂ© dimanche dernier. Deux moments m'ont captivĂ©e plus que tout. Maggie pose une question sur Sandra Fluke : "Qu'y a-t-il de mal Ă  ĂȘtre une salope ?" Le second passage est la situation compliquĂ©e dans laquelle se trouve Sloan Sabbith. Elle sort avec un garçon. Il prend des photos d'elle, elle est d'accord, puis elle rompt. Il publie les photos sur internet. Le monde entier voit le corps de la jeune femme. Sa carriĂšre est en danger. Tout le monde le sait. La rumeur court. Elle s'assoit dans une chambre sombre, en pleurs, et dit tout bas : "Je veux mourir."
Je ne pensais pas me sentir un jour aussi reconnaissante envers Aaron Sorkin. Pour tout. Mais j'ai remercié tout bas Aaron Sorkin.
Plus loin dans l'épisode, Sloan Sabbith fait face à son ex, qui a publié les photos, alors qu'il est en pleine réunion. Elle lui met un coup de pied dans les bourses, lui met une droite, et prend une photo de son nez sanguinolent.
La salope a gagnĂ©. Et ça, mes amis, c'est magique. Parce que, voyez-vous, la salope ne gagne jamais. Les filles dont on a publiĂ© les photos ne gagnent jamais. Elles perdent leur boulot et leur rĂ©putation. Elle sont humiliĂ©es et forcĂ©es Ă  porter leur honte. Honte de leurs corps. Elles doivent s'excuser d'ĂȘtre sexuellement actives dans le cercle privĂ©. Pour ces choses que nous faisons dans l'intimitĂ© de nos chambres que nous ne devrions pas faire mais qu'apparemment nous faisons quand mĂȘme, parce qu'il y a neuf milliards d'habitants sur cette planĂšte et qu'ils sont arrivĂ©s ici d'une maniĂšre ou d'une autre. Sloane Sabbith s'assoit dans une chambre sombre et dit : "Je veux mourir." Parce qu'elle a laissĂ© son copain prendre des photos, et il les a publiĂ©es. Pas des photos d'elle en train de tuer des chiots, de frapper des bambins ou de violer des personnes ĂągĂ©es. Des photos d'elle. De son corps. Cette chose qui vit sous ses vĂȘtements. Les parties de son corps qui sont, d'une certaine maniĂšre, plus offensantes que ses orteils.
Puis est arrivĂ©e Maggie, avec cette phrase qui rĂ©sume ce que je m'escrime Ă  dire depuis des annĂ©es. "Qu'y a-t-il de mal Ă  ĂȘtre une salope ?"
Nous sommes toutes effrayĂ©es de recevoir cette Ă©tiquette. Et l'ironie de cette histoire, c'est que la plupart d'entre nous (et peut-ĂȘtre ai-je tort sur ce point mais je suis quasiment certaine d'avoir raison) faisons ces choses que les vraies salopes font. Nous prenons des photos. Nous envoyons des sextos. Nous couchons avec nos copains. Nos maris. Nous taillons des pipes. Nous nous dĂ©shabillons. Nous avons un vagin. Nous l'utilisons. Quelques-unes d'entre nous, parfois, prennent mĂȘme du plaisir Ă  l'utiliser. Nous avons des seins et des mamelons et des fesses. Dont, de toute Ă©vidence, nous devrions toutes avoir honte. Parce que nous sommes les seules Ă  faire ce genre de choses. Tu m'entends, toi, femme du monde entier ? Tu es la seule Ă  faire ce que tu fais avec ce garçon (ou cette fille, ou, pire, LES DEUX). Et c'est si terriblement blessant, mal et honteux. Pardon ? Tu veux savoir pourquoi ? Oh. Parce que... salope ?
On m'a traitĂ©e de salope l'autre jour, sur internet, pour ce qui devait ĂȘtre la neuf milliardiĂšme fois. A cause d'un article que j'avais Ă©crit sur le mĂ©tier de barman. Comme si c'Ă©tait aussi une injure. Je n'ai jamais gagnĂ© le prix Pulitzer. Mais savez-vous ce que je suis ? Quelqu'un de bien. Suis-je parfaite ? Pas du tout. Fais-je des erreurs ? Absolument. De grosses erreurs ? Parfois. Ai-je fait des choses que je regrette ? Oui. Ai-je fait des choses que je ne regrette pas mais que, selon certains, je devrais regretter ? Oui. Je suis un ĂȘtre humain. Avec des seins. Et un vagin. Et la maniĂšre dont je les utilise ne fait pas de moi quelqu'un de bon ou mauvais. J'ai Ă©crit une fois que si une femme dĂ©couvrait un vaccin contre le sida, mais le jour suivant des photos d'elle nue avec un gode faisaient surface, cette derniĂšre partie ferait la une des journaux. Parce que, de toute Ă©vidence, les godes font du mal aux gens. (Blague Ă  part). De toute Ă©vidence, une femme ayant un rapport sexuel blesse les gens. Une femme prenant des photos du truc effrayant sous ses vĂȘtements ? Soyons sĂ©rieux, je ne dirais pas que c'est aussi horrible qu'un enfant avec le cancer, mais... en fait, si.
J'ai remerciĂ© tout bas Aaron Sorkin, pas parce qu'il a su sortir des sentiers battus et ouvrir un dĂ©bat sur le sexisme, les femmes et le "deux poids deux mesures". Ce double standard incroyablement frustrant existera jusqu'Ă  la fin de ma vie et encore longtemps aprĂšs. DĂ©solĂ©e de vous briser le cƓur, mesdames. Mais j'ai remerciĂ© Aaron Sorkin d'avoir donnĂ© Ă  la salope "ouverte" le "happy ending". D'avoir rappelĂ© au monde que la salope qui se fait surprendre Ă  faire des choses (que tout le monde fait) que personne n'oserait faire, est quand mĂȘme quelqu'un de bien. Que mĂȘme avec internet, les blogs de commĂ©rage et le "double standard", les salopes peuvent toujours gagner. Et avoir ce moment oĂč elles frappent un homme dans les bourses et lui faire regretter d'avoir un pĂ©nis Ă  ce moment-lĂ , tout comme les femmes regrettent d'avoir un vagin quand une photo dudit vagin est postĂ©e sur internet.
Je refuse de m'excuser d'ĂȘtre une vraie salope et d'Ă©crire Ă  ce sujet si cela peut Ă©viter Ă  une fille, dans ce pays, de s'asseoir dans une chambre sombre en disant qu'elle veut mourir parce qu'on l'a traitĂ©e de salope. Pour rappeler au monde que les salopes peuvent accomplir de bonnes actions. Elles font du sport, gagnent des trophĂ©es et viennent en aide aux malades. Elles gagnent des procĂšs et des Ă©lections. Elles aiment leurs familles. Elles peuvent ĂȘtre de bonnes amies qui travaillent bĂ©nĂ©volement dans un refuge pour animaux et envoient des colis aux soldats en poste Ă  l'Ă©tranger. Elles peuvent donner 10$ Ă  un sans abri auquel personne ne prĂȘte attention. Et elles ne font pas cela pour se faire pardonner d'ĂȘtre des salopes. Elles le font parce qu'elles sont de bonnes personnes.
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