Fille léopard aux seins énormes

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Fille léopard aux seins énormes
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Oui, Anne Dorval est folle... de joie : un rêve qu’elle caresse depuis des lustres se réalisera très bientôt. Elle est aussi folle de culture : c’est pourquoi on l’a rencontrée au musée.


Jean-Yves Girard | Photo : Monic Richard

8 décembre 2010

Il y a longtemps que je n’ai été aussi heureuse », dit-elle en grillant une dernière cigarette avant d’entrer au Musée des beaux-arts de Montréal. La raison de ce bonheur? Un homme prénommé Jean. Dès qu’elle parle de lui – de sa sensibilité, des mots qu’il a écrits et qu’elle répète partout, de sa chambre à sa salle de bains –, son visage s’éclaire derrière les verres fumés. Dommage que l’homme soit mort en 1699. Par contre, Jean Racine, l’auteur, est immortel.
Et le 18 janvier prochain, Andromaque , sa pièce maîtresse, rarement montée au Québec, prendra l’affiche à l’Espace Go. Le personnage d’Hermione, figure légendaire et tragique, aura les traits fins d’Anne Dorval. « À cause des enfants [Alice, 16 ans, et Louis, 12 ans, dont Marc-André Coallier et Anne se partagent la garde depuis leur séparation], j’ai mis le théâtre en veilleuse pendant longtemps, mais je n’en pouvais plus. Jouer Hermione, j’en rêve depuis des années. » C’était le moment ou jamais. Car, en Serge Denoncourt, elle dit avoir enfin trouvé « un metteur en scène qui a la même vision que moi du texte de Racine : le présenter sans “crémage” ni rideaux de velours et autres patentes. Les mots serviront de décor, serviront de tout. »
L’action, si on peut dire, se déroule dans la Grèce mythologique, après la chute de Troie. Anne, soucieuse d’actualiser un monument du théâtre classique qui a la réputation de « faire peur au monde », résume la pièce ainsi : « Racine parle de ce que nous sommes, de toutes les contradictions de l’être humain. Si on le joue encore, plus de trois siècles après sa mort, c’est qu’il a gardé une pertinence, une modernité. Il s’agit de quatre genres d’amoureux complètement dysfonctionnels. À la fin, deux d’entre eux sombrent dans la folie et une se tue, allongée sur le corps de celui qu’elle aime et qu’elle a fait tuer. »
En attendant de se suicider tous les soirs – et en alexandrins : Où suis-je? Qu’ai-je fait? Que dois-je faire encore? / Quel transport me saisit? Quel chagrin me dévore? / Errante, et sans dessein, je cours dans ce palais / Ah! Ne puis-je savoir si j’aime ou si je hais? –, la future Hermione (et autrefois Lola dans Chambres en ville ) s’accorde, en ce matin ensoleillé de novembre, une pause de quelques heures. Pour cela, l’inoubliable interprète de Criquette du Cœur a ses raisons a d’abord dû trouver un trou dans son agenda de première ministre.
La séance photo devait prendre fin à 14 h 45… Mais, même après 17 h, Anne Dorval était toujours en studio à prendre la pose! On lui a proposé plein de belles pièces griffées qu’elle a toutes voulu essayer!
Otto Dix (1891-1969) Femme allongée sur une peau de léopard (Portrait de Vera Simailowa), 1927, Huile sur bois.
Mais aujourd’hui, Anne Dorval n’est pas Hermione, ni Criquette, ni Sharon. Elle est amatrice d’art visuel et curieuse de découvrir Rouge Cabaret : Le monde effroyable et beau d’Otto Dix . Une exposition qui risque de choquer certains visiteurs, comme nous en avertit un écriteau placé dans l’entrée.
Peintre et dessinateur né en Alle­magne en 1891, Otto Dix est marqué par les horreurs de la Première Guerre mondiale, à laquelle il a participé. Il pose un regard cru sur ses contemporains : soldats atrocement blessés, artistes de la marge, prostituées fanées des bordels et leurs clients véreux. Dans les années 1930, sa façon peu flatteuse (ou trop réaliste) de représenter le peuple allemand va à l’encontre de la propagande aryenne d’Adolf Hitler. On qualifie son art de « dégénéré », ses œuvres sont mises à l’index, dispersées ou détruites. Ayant perdu son poste de professeur à l’université, il s’exile dans les montagnes, près de la frontière suisse. Presque tombé dans l’oubli, Otto Dix termine sa carrière comme peintre paysagiste et meurt en 1969. Il est aujourd’hui considéré comme l’un des artistes majeurs du XXe siècle.
Fascinée, troublée, émue, Anne Dorval ne veut rien manquer.Elle désire tout lire, et on y serait encore si je n’avais pas pressé le pas. Dès le début de l’exposition, une citation d’Otto Dix retient son attention : « Je n’ai jamais donné par écrit des informations me concernant puisque mes tableaux informent mieux que tout ce que vous pourriez trouver sur moi aujourd’hui. Que celui qui a des yeux pour voir regarde. » « Tout le discours des artistes est là! » fait-elle, assez fort pour qu’une dame qui l’a reconnue s’approche, mine de rien, pour l’écouter. « C’est exactement ça! On n’a pas à tout expliquer. Et on n’a pas à tout comprendre. Quand je vais voir une exposition, je ne suis pas là pour comprendre, je suis là pour ressentir. Une véritable œuvre d’art, c’est la vérité de quelqu’un sur une réalité qui l’a touché. Et quand je la regarde, je veux me sentir moins seule et me dire : “Mon Dieu, c’est comme si l’artiste parlait à ma place.” »
Elle cite en exemple Blue Moon , une chanson que lui a fait connaître Xavier Dolan, son « âme sœur ». « C’est une Suédoise, Kendal Johansson, qui la chante en anglais avec un accent pas possible ; je ne comprends rien, mais c’est pas important, je l’écoute en boucle. Pour moi, cette chanson, c’est un cri animal, une plainte lancinante… C’est Andromaque . »
La visite continue. Sur les toiles, des corps défaits par l’âge ou la maladie, des chairs flasques. L’un des modèles d’Otto Dix, une femme obèse aux énormes seins pendants, s’offre avec abandon, le visage détourné. « Je ne suis pas obsédé à représenter la laideur, a dit un jour le peintre. Tout ce que j’ai vu était beau. » « Il montre la vulnérabilité, chuchote Anne, au diapason de l’artiste allemand. Ça m’arrache le cœur. C’est fait sans joliesse, mais avec grâce. On y trouve de la beauté. »
La beauté est un terme qui revient souvent dans la conversation. Et ce n’est jamais elle qui en est l’objet. Tel metteur en scène ne voulait pas entendre parler d’Anne pour un premier rôle dans un Molière, « parce qu’il ne me trouvait pas assez jolie ». (Elle a eu le rôle, mais après une audition pénible où elle a eu l’impression de « jouer sa vie ».) Avant de travailler avec Serge Denoncourt, il y a huit ans, elle aurait juré qu’il la détestait. Pire : « Un peu parano, comme toujours, j’étais sûre qu’il me trouvait laide. Et pourrie de toute façon. »
À quelques reprises, elle me demandera, mi-blagueuse, mi-sérieuse : « Tu me trouves folle, hein? » En plus d’être « un peu parano », Anne est aussi de nature un peu angoissée. Avis à ses amis et admirateurs : ne lui achetez surtout pas un livre sur l’œuvre d’Edvard Munch (celui qui a peint la célèbre toile Le cri ) ou de Salvador Dalí. « Je deviens angoissée, j’ai mal au cœur, je peux faire des cauchemars… »
La séance photo devait prendre fin à 14 h 45… Mais, même après 17 h, Anne Dorval était toujours en studio à prendre la pose! On lui a proposé plein de belles pièces griffées qu’elle a toutes voulu essayer!
Denis Gagnon (né en 1962) : 10 ans de création du designer au Musée des beaux-arts de Montréal.
Après avoir quitté le monde étouffant d’Otto Dix, on avale une bouffée d’air chic dans la salle d’exposition du designer québécois Denis Gagnon . Anne, qui, il y a quelques mois à peine, a porté l’une de ses créations à l’occasion d’une séance de photos glamour et sexy pour le magazine Pure , m’assure que « du Gagnon, ce n’est pas pour moi. Ça m’arrive ici, dans le gros du jarret, et c’est laid. Et si tu n’as pas assez de seins, ça tombe. Bref, il n’y a rien de ce que fait Denis qui marche sur moi, mais ça ne m’empêche pas d’apprécier la qualité extraordinaire de son travail. »
On a beau lui dire qu’elle est très jolie, qu’elle est plus pétillante que le champagne, qu’un tas de femmes l’envient, que le temps n’a pas prise sur elle, Anne Dorval répond « oui, oui » et passe à un autre sujet d’angoisse, sa progéniture. « Je ne suis pas très optimiste ; j’ai confiance en mes enfants, mais je ne fais pas confiance au monde dans lequel ils vivent. »
Pendant que la fille de l’actrice se nourrit de littérature, de cinéma, de théâtre, bien sûr, et songe à suivre (peut-être) les traces de sa mère, celle-ci se ronge les ongles. C’est un milieu « horrible », dit-elle, où l’on est constamment jugé sur son apparence, où l’on n’a pas le droit de vieillir – surtout si ce « on » est une femme – et où la sécurité d’emploi n’existe pas. Alors, chère angoissée, pourquoi avoir choisi ce métier? « Je ne l’ai pas choisi. Pour moi, devenir comédienne, c’était une question de vie ou de mort. Ça ne pouvait pas ne pas marcher. »
Et ça a marché dès sa sortie du Conservatoire d’art dramatique, il y a 25 ans, dans son premier rôle important, et pas n’importe lequel : celui d’Aurore, l’enfant martyre, version théâtrale, en tournée dans tout le Québec. « Bizarrement, autant le sujet était difficile, autant on riait tout le temps pendant les répétitions. Alors que j’ai déjà joué dans une comédie où je me trouvais si mauvaise que j’en ai fait du zona. »
Rapidement, elle est devenue la jeune première qui brûle les planches, dans le classique comme le contemporain. Parrainée par René Richard Cyr, elle a la cote. Elle est la chanceuse que dirige Denys Arcand dans Les lettres de la religieuse portugaise , la seule et unique mise en scène au théâtre du cinéaste. « Comme ça fait 20 ans, aujourd’hui, je peux le dire : j’étais en désaccord à peu près complet avec ce qu’il me demandait de faire, mais c’était Denys Arcand, un intouchable. Pour lui, je n’étais qu’une jeune actrice. J’en garde un souvenir très douloureux. »
La séance photo devait prendre fin à 14 h 45… Mais, même après 17 h, Anne Dorval était toujours en studio à prendre la pose! On lui a proposé plein de belles pièces griffées qu’elle a toutes voulu essayer!
Les années ont passé, elle a pris du galon, s’est affirmée et ne se laisse plus manipuler comme une marionnette sans rien dire. Elle aussi est devenue mère, et des concessions ont dû être faites. « Je ne regretterai jamais d’avoir eu des enfants, mais je fais un métier difficile à concilier avec la vie de famille. Les jours de tournage des Parent , je me lève à 4 h du matin, je pars à 5 h 30 et je finis à 18 h 30, si on n’a pas de retard. Je ne suis donc jamais de retour à la maison avant 19 h, 19 h 30. Ça veut dire que quand Alice et Louis se lèvent ils sont tout seuls. Ma fille part à l’école avant son petit frère, car lui commence plus tard. C’est dur pour eux, surtout pour mon fils. Et maintenant, le théâtre en plus! Ils sont plus vieux, ils comprennent un peu mieux. Mais j’ai eu droit à une crise, cet automne… »
Une dernière citation d’Otto Dix a retenu l’attention d’Anne Dorval : « Tout art est un exorcisme. » Elle y reviendra à quelques reprises. « Quand quelqu’un souffre, il n’a pas besoin d’être un artiste, il faut que ça sorte d’une façon ou d’une autre, il va se mettre à écrire, même si c’est tout croche. L’art permet de survivre. D’où son importance pour nous tous, pour la société. »
Lors d’un récent voyage éclair à Londres, elle a fait une découverte étonnante : tous les musées y sont gratuits! « Je pense que c’est ça la santé d’un peuple, dire que la culture, c’est tellement important qu’il faut que tout le monde y ait accès, surtout ceux qui n’ont pas la parole, les démunis, les laissés-pour-compte, les robineux. J’ai parlé de ça avec Ginette [Noiseux, directrice du théâtre Espace Go]. “Ce serait tellement l’ fun , pourquoi ce spectacle-là n’est pas gratuit?” Oui, pourquoi pas? Idéalement, tous les jeunes viendraient voir et entendre Andromaque , eux qui sont si idéalistes, qui investissent tout dans l’amour, qui y croient. Ce sont les premiers qui vont se suicider par amour. J’ai entendu tellement souvent : “On ne meurt pas d’amour.” Bien oui, on meurt d’amour, les amis. Regardez les journaux : tous les jours, on meurt d’amour. »
Elle-même peut témoigner. Longuement. Non, elle n’est pas morte d’amour, mais pas loin. Entière, assoiffée d’absolu, à fleur de peau, Anne Dorval n’aime pas à moitié ni aux trois quarts. « En amour, je suis stupide, niaiseuse. Je donne beaucoup, beaucoup trop. » Elle jure qu’elle a appris sa leçon et panse les plaies de sa dernière peine d’amour, vieille de plusieurs mois déjà. « J’en suis rendue au stade où je le hais. » L’art étant aussi un exutoire, elle apprécie encore plus Andromaque : dans quelques semaines, chaque soir, dans le rôle d’Hermione, elle fera assassiner l’homme qu’elle aime et qui en aime une autre. « Crois-moi : ça fait du bien! »
1- Cette année, je vais faire… les choses moins frénétiquement, avec un peu plus de lenteur.
2- Je ne vais surtout pas refaire… les mêmes sempiternelles erreurs.
3- Il faudrait bien que… j’utilise moins ma voiture.
4- Je ne veux plus rien savoir de… Je veux tout savoir, au contraire!
5- La mauvaise habitude que je veux perdre… Me lever aussi tôt le matin, mais c’est utopique, je crois.
6- La bonne habitude que je veux adopter… Me lever plus tard le matin, mais c’est utopique, je crois.
7- Une folie que je vais oser faire… J’ai toujours osé faire des folies, ça fait partie de mon quotidien.
8- Un truc que je vais essayer… Rester calme quand je vois une araignée.
9- Un livre que je vais (enfin) lire… Guerre et paix , de Léon Tolstoï.
10- Un pays que j’aimerais revoir… L’Italie, avec mes enfants cette fois-ci!
La séance photo devait prendre fin à 14 h 45… Mais, même après 17 h, Anne Dorval était toujours en studio à prendre la pose! On lui a proposé plein de belles pièces griffées qu’elle a toutes voulu essayer!
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