Fille indienne au milieu d'un gangbang

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Fille indienne au milieu d'un gangbang

Cet article date de plus de six ans.


Le premier long-métrage d'Eva Husson ne passera pas inaperçu : des adolescents y repoussent les limites de leur sexualité. Un regard cru sur le rapport au sexe d'une génération. Déstabilisant.




France Télévisions




Rédaction Culture





























"Bang Gang" d'Eva Husson
(Ad Vitam)




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Ces femmes reniées par leur famille et par la société indienne vivent dans une pauvreté inimaginable. Malgré tout, elles s'entraident et ont l'espoir d'une vie meilleure pour leurs enfants. Elles ont pris des photos de leur milieu. Les voici.


Ces femmes reniées par leur famille et par la société indienne vivent dans une pauvreté inimaginable. Malgré tout, elles s'entraident et ont l'espoir d'une vie meilleure pour leurs enfants. Elles ont pris des photos de leur milieu. Les voici.


Propos recueillis par Danielle Beaudoin


En février dernier, j'ai donné un atelier de photographie à une quinzaine de personnes - prostituées, ex-prostituées et leurs enfants - à Pune, en Inde. Ces femmes travaillent dans un groupe d'aide aux travailleuses du sexe, Saheli Sangh. Les images qu'elles ont prises dans l'atelier sont très représentatives. Elles donnent un aperçu de leur quotidien, des espaces qu'elles habitent, de leur communauté.


L'organisme sans but lucratif Saheli Sangh (réseau de copines, en français) emploie 10 prostituées et ex-prostituées. Ces femmes vivent dans des bordels, et près de la moitié d'entre elles exercent toujours le métier.


Saheli Sang a pignon sur rue dans Budhwar Peth, le quartier chaud de Pune. La ville de près de 4 millions d'habitants est située à une centaine de kilomètres de Mumbai, dans l'ouest de l'Inde.


Le quartier abrite des maisons closes, mais aussi de nombreux commerces et des temples. Les marchands de saris y côtoient les bijoutiers ou encore les vendeurs de fruits et légumes.


Ces femmes attendent les clients à l'abri du soleil. Pas question de bronzer. Les Indiens raffolent des femmes au teint pâle. Sur le marché de la prostitution, celles-ci sont les plus recherchées et les mieux payées. Les filles népalaises sont particulièrement prisées, notamment à cause de leur peau plus claire.


Le produit le plus vendu chez les femmes indiennes est le Fair and Lovely, une crème blanchissante pour le visage.


La prostitution de mère en fille? Oui, cela existe. Cette grand-mère est une ex-prostituée. Sa fille a aussi fait le trottoir. La photo a été prise par son petit-fils, un adolescent.


Lorsqu'elle était petite, sa famille l'a donnée à un temple pour qu'elle devienne une « devadasi », une servante de Dieu. Dans le sud de l'Inde, des villages entiers offrent ainsi leurs filles aux temples. Cette tradition millénaire des devadasis s'est transformée au fil des siècles en un trafic de prostitution. Dans ce cas-ci, la fillette a été vendue à un bordel de Pune.


En Inde, vous verrez très peu de femmes seules au restaurant. C'est mal vu. Dans ce cas-ci, il s'agit d'une prostituée qui discute avec de potentiels clients. Ce restaurant du quartier est tenu par un proxénète, qui reçoit un pourcentage de l'argent touché par les prostituées.


Le Dal Bhaat, un mélange de riz et de lentilles, est un repas typique de la communauté. Il est préparé dans les locaux de Saheli Sangh pour les enfants de la garderie et d'autres membres de l'organisme.


La garderie est ouverte jour et nuit, et les prostituées peuvent y laisser leurs enfants en toute sécurité.


Dans cette pièce d'un bordel, qui fait office de salle d'attente, les femmes mettent leurs effets personnels dans des casiers fermés à clé. Au mur, une télé et des affiches de dieux.


Dans la salle d'attente de cette maison close, on voit au mur les affiches de différents dieux, ainsi que des photos de famille. De-ci de-là, des vêtements d'hommes. Appartiennent-ils à des clients réguliers? La femme derrière le rideau est une ex-prostituée.


Une prostituée se repose dans une chambre du bordel. Un réduit sombre, où il n'y a de la place que pour un petit lit. Les femmes y dorment et y rencontrent leurs clients.


Un client dans une chambre de la maison close. Certains clients sont des réguliers, qui finissent par développer des liens avec une prostituée. Ils vont lui apporter à manger ou encore lui rendre de menus services.


La cuisine du bordel est rudimentaire, avec son réchaud, une planche de bois pour couper les légumes et le tamis pour faire le thé chai. La cruche brune contient de l'eau, le récipient rouge, du propane.


Savon, tube de dentifrice, brosse à dents… voici la salle de bain. Cette image, comme bien d'autres, montre le grand dénuement des prostituées de Pune.


Ces femmes sont très pieuses, et on trouve ce genre d'autels dans la plupart des bordels. Les femmes font des offrandes aux dieux et prient. Ici, plusieurs représentations d'Hanuman, un dieu très populaire dans l'hindouisme. Le dieu-singe symbolise l'astuce, le dévouement, l'habileté et l'agilité.


En Inde, la grande majorité des prostituées ont été vendues à un souteneur ou à une maison close par un membre de leur famille.


Au début, elles doivent souvent travailler gratuitement pour « payer la dette ». Autrement dit, elle rembourse au souteneur la somme qu'il a payée pour elle.


En Inde, même les femmes les plus pauvres s'achètent des bijoux en or. C'est un investissement, une forme de sécurité financière. Au besoin, elles peuvent les revendre.


« Nous sommes les putains de votre société, et pour cela nous sommes marginalisées, détestées, déshéritées, reniées, violées, invisibles », peut-on lire sur cette affiche, dans les locaux de Saheli Sangh.


« Mais nous sommes aussi créatives, talentueuses, aimantes, généreuses, empathiques, tendres et fortes », dit ce poème. « Nous sommes des personnes, tout comme vous », conclut le texte.


Cette ex-prostituée s'en est sortie grâce à Saheli Sangh. Elle enseigne aujourd'hui dans une école primaire de Pune. Elle a gardé des liens avec l'organisme. Elle a participé avec son fils adolescent à l'atelier de photographie.


Cette ex-prostituée travaille pour Saheli Sangh. Les employées touchent un petit salaire qui leur permet de survivre, en moyenne 84 $CA par mois, et 105 $CA pour celles qui ont le plus d'ancienneté.


L'organisme, qui vient en aide à plus de 2000 prostituées du quartier, mise beaucoup sur l'entraide par les pairs.


Les femmes plus âgées font de la prévention et de la sensibilisation auprès des plus jeunes. Les prostituées peuvent aussi voir un médecin ou un psychologue, se procurer des condoms ou apprendre comment se protéger du VIH.


Cette fillette a grandi au bordel. Aura-t-elle un meilleur avenir que sa mère? Les enfants des prostituées vivent souvent au village, avec la famille, ou dans des pensionnats.


Au retour de l'école, un enfant fait ses devoirs… en anglais.


Cette fillette prend un égoportrait. On la voit en compagnie de sa mère, une ex-prostituée d'origine népalaise, qui s'occupe de la garderie de Saheli Sangh.


Ces trois participantes se familiarisent avec leurs appareils photo. La formation a duré quatre jours. Neuf femmes de 29 à 60 ans y ont participé, ainsi que 6 enfants de 5 à 17 ans.


Un des objectifs de l'atelier était de créer une banque d'images pour le site web de Saheli Sangh ainsi que pour les collectes de fonds et autres activités.


J'avais acquis plusieurs appareils photo numériques usagés auprès d'amis. Je les ai offerts à l'organisme.


L'organisme Saheli Sangh n'est pas seulement un refuge pour reprendre des forces. Il offre aussi des traitements gratuits contre le sida, agit parfois comme intermédiaire entre les travailleuses du sexe et les policiers. Il essaie par différents moyens de permettre aux prostituées de prendre en main leur propre destinée ( empowerment ).


Dernièrement, Saheli Sangh et d'autres organisations indiennes ont réclamé la décriminalisation du travail du sexe. En ce moment, les lois permettent non seulement d'arrêter les prostituées, mais aussi de les secourir contre leur gré ou encore de les placer de force dans des maisons de correction.


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