Fille européenne veut se lancer dans l'industrie du X

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Fille européenne veut se lancer dans l'industrie du X
Doctorant à l’université Jean-Moulin-Lyon-3 et juriste en droit des affaires
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Canal Plus veut se lancer dans la production La chaîne cryptée ne veut plus financer le cinéma les yeux fermés. René Bonnell donne quelques coups de pied dans la réglementation
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Canal Plus s'apprête à prendre des positions importantes dans la production cinématographique. La chaîne de M. André Rousselet mêne de front plusieurs négociations internationales et devrait faire des annonces retentissantes dans les semaines qui viennent. Si elle se refuse, pour le moment, à confirmer les rumeurs qui courent sur ses éventuels partenaires, le virage stratégique, lui, est bel et bien pris.
L'événement est de taille. Depuis sa création, Canal Plus se comporte comme un pur diffuseur. Les sommes importantes que la chaîne investit dans le cinéma (un milliard de francs cette année) ne lui confèrent aucun droit sur les films puisqu'elles ne payent que de simples passages à l'antenne. Or la propriété de catalogues de long métrages est l'un des enjeux majeurs de la lutte internationale que se livrent les grands groupes de communication.
Une " situation complètement absurde " se lançant dans la production, Canal Plus entend se battre à armes égales avec ses rivaux américains et européens . Mais l'initiative de la chaîne cryptée inquiète déjà les professionnels français et préoccupe les pouvoirs publics attachés à la séparation entre les métiers de diffuseur et de producteur. René Bonnell, responsable du cinéma sur Canal Plus, défend avec passion la nouvelle stratégie de sa chaîne : " Canal Plus ne peut pas continuer à subventionner les parts- producteur des autres qui viendront enrichir les catalogues de nos concurrents. Nous ne pouvons pas non plus continuer à financer, les yeux fermés, un cinéma français qui, à quelques brillantes exceptions près, accouche d'oeuvres qui ne devraient jamais voir le jour, comme le prouvent chaque semaine les entrées en salles. Des films que nous sommes obligés de diffuser, pour respecter notre cahier des charges, au risque de décevoir nos abonnés. "Cette situation est complètement absurde. L'argent de Canal Plus serait bien plus utile s'il servait, en partie, à financer le développement et l'écriture de films ambitieux capables de défendre l'expression francophone et la culture européenne en s'exportant à travers le monde. Regardons les chiffres en face : chaque grande compagnie américaine dépense chaque année, en développement de projets, 50 à 100 millions de dollars. Aucun producteur français n'est aujourd'hui capable d'un tel investissement. Il faut changer de dimension, créer de nouvelles solidarités entre les producteurs de cinéma et des chaînes de télévision dotées de solides assises financières. "Les exemples de Time-Warner ou de la Fox montrent qu'aux Etats-Unis, diffuseurs et producteurs marient leurs intérêts. En Italie, Silvio Berlusconi s'est lançé dans le cinéma. En France, on continue à considérer les diffuseurs comme les ennemis de la création, le mal absolu et on s'acharne à vouloir limiter la part que peut détenir une télévision au sein du capital d'une société de production. On se trompe d'une guerre. Un monde sans pitié, salué comme une des plus belles réussites de l'année dernière, a été refusé à l'avance sur recette et n'aurait jamais pu voir le jour sans l'intervention de Canal Plus. "Les pouvoirs publics français ont l'obsession de la réglementation. Ils enferment l'économie du cinéma dans une série de décrets rigides au moment où il faudrait beaucoup plus de souplesse pour livrer une guerre de mouvement contre le cinéma américain qui prend pied en Europe en rachetant des salles et des entreprises de production. La stratégie de la ligne Maginot n'a aucune chance et génère des effets pervers. Au lieu de stimuler la création française, les quotas de films à la télévision n'ont servi qu'à alimenter la spéculation financière sur les catalogues de films. La réglementation sur les co-production est si tatillone qu'elle handicape aujourd'hui toute coopération européenne. A côté de cette accumulation de blocages, le gouvernement laisse tout simplement faire lorsq'une des premières entreprises françaises de cinéma passe, dans des conditions pour le moins mystérieuses, dans les mains d'investisseurs étrangers.
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Propos recueillis par Libie Cousteau


Publié le
13/07/2012 à 18:02

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Par Aurélien Saussay, chercheur à la London School of Economics, économiste de l'environnement spécialiste des questions de transition énergétique

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« Comment Montebourg veut lancer la reconquête de l'industrie »


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Pour Arnaud Montebourg, le secteur des télécoms est une préoccupation en termes d'emploi.
Après avoir joué les pompiers, vous sonnez l'heure de la "reconquête industrielle". Quelles sont les grandes lignes de votre plan ?
La première étape du plan a été inaugurée, en début de semaine, lors de la conférence sociale du gouvernement . Il fallait bien d'abord renouer le dialogue avec les partenaires sociaux. Il était urgent de relancer la discussion qui, au cours de ces dernières années, a été trop partisane et idéologique. Le Medef et la CGT ne se sont plus parlé depuis longtemps. Les corps intermédiaires ont été stigmatisés. Rapprocher leurs positions sur les conditions du redressement me paraît essentiel. Leurs revendications - baisser le coût du travail pour le Medef et réfréner la gourmandise du système financier pour les organisations syndicales - doivent cesser d'être opposées, car elles peuvent être, de mon point de vue, complémentaires. 

Vous remettez le redressement productif dans les mains des partenaires sociaux ?
La reconstruction de notre industrie est une grande cause nationale qui appartient à tous les Français. Mon maître mot, c'est unifier. Il faut, d'urgence, mobiliser les 60 millions de Français en faveur de l'industrie. Le consommateur doit comprendre que, lorsqu'il prévilégie de façon systématique un produit ou un service low cost, il met en péril une part de lui-même ; il expose au chômage ses propres enfants, ses voisins, sa famille, et, à long terme, il s'appauvrit lui-même. Notre but est donc de réconcilier le consommateur avec le producteur. 

Dans la téléphonie mobile, nous estimons qu'une augmentation de quelques dizaines de centimes d'euro par mois et par forfait permettrait de relocaliser en France les dizaines de milliers d'emplois partis à l'étranger ces dernières années. Les études d'opinion nous montrent que 60 % de nos concitoyens sont prêts à payer un peu plus cher pour préserver la base industrielle France. C'est pourquoi nous avons décidé de réunir très vite les opérateurs télécoms afin de leur demander comment ils comptent s'y prendre pour rapatrier ces emplois. S'ils n'entendent pas le faire, nous prendrons nos responsabilités, car ces opérateurs, je le rappelle, utilisent un bien public, le réseau hertzien. 

Je souhaite que ce mouvement de relocalisation puisse s'opérer dans un dialogue constructif avec les pays du Maghreb. 

Appliquerez-vous cette méthode à d'autres secteurs ?
Il s'agit moins d'appliquer une méthode que de mettre en oeuvre une vision. La clef du redressement, c'est l'unité. Celle des grands groupes et des PME qui en dépendent, par exemple. Les grandes entreprises doivent changer leur comportement et cesser de malmener parfois leurs sous-traitants. A ce titre, nous pourrions élargir les attributions de Jean-Claude Volot [médiateur des relations interentreprises], qui a réalisé un excellent travail en la matière. Il faut s'inspirer du soutien apporté par un groupe comme EADS à ses fournisseurs. Le patriotisme doit être privilégié. Dans une nation en état d'urgence, nous devons chasser en meute à l'exportation et faire bénéficier les PME de la puissance de feu des grands groupes. J'ai, par ailleurs, demandé au Premier ministre de débloquer des fonds spéciaux pour faire face aux dossiers les plus critiques. 

Faire pression sur les grandes entreprises représente-t-il le principal levier à actionner pour maintenir l'outil industriel ?
Encore une fois, l'effort doit être collectif, mais l'Etat a bien l'intention de tenir son rang. Pour que la France fabrique les produits et les technologies de demain, nous allons nous atteler à diffuser les technologies dans les PME sur les territoires sur le modèle des instituts Fraunhofer allemands [organismes spécialisés dans la recherche]. Je souhaite multiplier les minipôles qui diffuseront les technologies innovantes auprès des PME et des entreprises de taille intermédiaire (ETI). Ce dispositif existe déjà à Grenoble ou à Saclay, dans l'Essonne, sous l'égide du CEA, mais nous allons l'étendre et innerver la France entière. 

Il faut d'abord créer les conditions du redressement. A savoir : susciter, comme l'a préconisé Louis Gallois [l'ex-patron d'EADS], des mesures fortes permettant d'améliorer la compétitivité de nos entreprises en Europe, de domestiquer la finance, mais aussi, et c'est fondamental, de préserver notre souveraineté énergétique. Le prix de l'énergie est un déterminant essentiel à notre compétitivité. Or les ressources nationales appartiennent à tous les Français et ne peuvent pas être privatisées par quelques sociétés. Je suivrai de très près les travaux d'exploration menés en Guyane par l'industrie pétrolière. Si des découvertes sont faites, la nation devra en profiter pleinement. La refonte du Code minier, qui pourrait être entamée dès la fin de l'année, le permettra. 

Qu'allez-vous proposer pour soutenir la filière automobile française en danger ?
Sur ce dossier, je suis en situation de médecin urgentiste, car le précédent gouvernement a préféré dissimuler les difficultés. Mais nous avons changé de méthode. Pour la première fois depuis fort longtemps, l'Etat a nommé un expert gouvernemental afin de vérifier la réalité de la situation de PSA , indépendamment des allégations de la direction d'un groupe dont l'Etat n'est pas actionnaire mais auquel des aides publiques massives ont été accordées. Ce n'est qu'après son diagnostic, au plus tard d'ici à la fin juillet, que le gouvernement prendra position. Concernant la filière, permettez-moi de garder la primeur de mon plan pour le Premier ministre et le président de la République. 

Après Fiat et Opel, PSA a annoncé la suppression du site d'Aulnay et de 8.000 emplois. Conservez-vous l'espoir de préserver ce secteur ?
Vous semblez oublier que 7 pays sur 17 de la zone euro sont en récession. Et si les Français achètent moins de voitures, c'est que leur pouvoir d'achat est limité. Par ailleurs, une grande partie du parc a été renouvelée à coups de subventions. Cela doit nous servir de leçon pour l'avenir. Le redressement productif ne consiste pas à fournir des recettes ponctuelles comme la prime à la casse. Il s'agit de changer pierre par pierre notre modèle économique. Et cela ne se fera pas en un soir. 


Publié le 16 juil. 2020 à 18:42 Mis à jour le 17 juil. 2020 à 10:16
Les astronautes de la station spatiale chinoise ont accueilli un nouveau module nommé « Wentian ». C'est le deuxième engin envoyé par l’agence spatiale chinoise. Il doit permettre à l’Empire du Milieu de mener des expériences en sciences de la vie et en biotechnologie. Un troisième module sera lancé en octobre. La station spatiale chinoise devrait être opérationnelle d’ici la fin de l’année.
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ENQUÊTE // L'industrie pornographique connaît son ubérisation. Les studios du X perdent du terrain face au commun des mortels qui, grâce à de simples smartphones, se filme et diffuse des vidéos sur internet, offrant au passage plus de diversité et de proximité avec les internautes.
Ils se sont rencontrés il y a sept ans. « Lulu », le gars, finissait ses études dans le supérieur, « Leo », la fille, cherchait à les reprendre. Tous deux déroulent alors leur stratégie pour lancer leur carrière dans des secteurs qu'il sera tout à fait respectable de citer dans un dîner en ville. Mais en parallèle de leur plan de carrière, les deux tourtereaux se découvrent une passion mutuelle pour les « nudes ». Ils s'envoient régulièrement des photos de leur corps sur Snapchat. Plutôt de jolies photos. « On n'habitait pas dans la même ville alors je faisais des efforts sur l'esthétique » , précise Leo.
Cet attrait pour la nudité se traduit aussi par des parties de jambes en l'air dans des espaces publics (toilettes, rue ou encore campagne). De simples échanges de photos, ils passent aux clubs exhibitionnistes. Ils se mettent aussi à faire des « cams », des directs où des centaines, voire des milliers d'internautes viennent les regarder faire l'amour devant leur caméra. Plusieurs heures pendant lesquelles ils animent un « show ». Objectif : rendre le spectacle assez excitant pour inciter les téléspectateurs à leur demander de faire des choses… contre un pourboire.
« C'était de l'entertainment, il fallait garder la foule chaude durant très longtemps » , se rappelle-t-il. « Au bout d'un moment, on n'avait plus assez de temps pour ces « lives » et on a préféré produire des vraies vidéos. » C'est là que naît le tandem Leo & Lulu sur PornHub, l'une des principales plateformes de vidéos pornographiques.
Au bout de six mois, leur chaîne comptabilise un million de vues. Quatre mois plus tard, le chiffre est déjà multiplié par cinq. Aujourd'hui, quatre ans après le lancement, ils ne cumulent pas moins de 700 millions de vues. Avec une rémunération comprise entre 60 et 65 centimes les 1.000 vues, Leo & Lulu auraient perçu d'après nos calculs plus de 400.000 euros de PornHub. Cela fait deux ans qu'ils ont arrêté leur carrière « classique » pour vivre uniquement de cette activité, qu'ils déclinent au-delà de PornHub puisqu'ils ont trouvé un public sur Instagram ou OnlyFans, une plateforme sur laquelle on paie un abonnement pour avoir accès à des comptes.
A l'image de Leo & Lulu, plusieurs couples se sont lancés dans le porno amateur, attirés par l'idée de gagner de l'argent tout en assouvissant un désir exhibitionniste. Le schéma est souvent le même : comme eux, ils font leurs armes sur des sites de webcam. Preuve de cet engouement : en France, d'après le classement Alexa (filiale d'Amazon), Chaturbate, l'un des leaders du marché des sites de cams, est le 18ème site le plus consulté, devant PornHub (22ème rang), Cdiscount et les principaux médias hexagonaux. Mais tous ne connaissent pas la gloire de Leo & Lulu qui ont eu la chance (ou le flair) d'être parmi les premiers couples à se lancer en France. Désormais, la concurrence est rude.
Pour une fellation, une pénétration ou une sodomie, les internautes rémunèrent les « performers » à l'acte qu'ils veulent voir s'opérer sous leurs yeux. Une grande partie peut profiter du spectacle sans payer un euro. Ce modèle dit « freemium » vient chambouler le marché traditionnel où il fallait payer dès le départ des acteurs (souvent des actrices) pour une session vidéo.
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