Fille en gangbang en pleine forêt

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Fille en gangbang en pleine forêt


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Des bois qui deviennent torrides à la nuit tombée, un club échangiste luxueux caché derrière une façade décrépite ou encore une société spécialiste du film X amateur : découvrez ces lieux de plaisir cachés aux quatre coins de la Seine-et-Marne. Sur un parking bondé comme une aire d'autoroute un jour de chassé-croisé, un étrange ballet de véhicules. Jeux de phares, silhouettes à demi dévoilées et regards en coin. Bienvenue dans l'antre des rencontres en pleine nature de Seine-et-Marne. Ici, à chacun sa place. Sur la droite, en entrant, le coin des hétéros, suivi de près par celui des travestis. Puis, plus en retrait, en bordure de forêt, voici le territoire des homos, l'immense majorité de la population locale. Et on ne badine pas avec les frontières : « Tu recules, cette voiture, c'est la limite. Les homos, c'est derrière. »« Il y en a qui attendent qu'il fasse noir pour se livrer, d'autres jouent les stars »Il est 21 heures, ce mercredi 26 août, dans la forêt de Ferrières. Ã? côté de sa Twingo grise, Gilles*, la soixantaine précieuse, est à l'affût. Et particulièrement organisé. « Comme je suis un peu narcissique, et que pas grand monde ne m'intéresse, j'ai un répertoire où je note tous les numéros de plaque, révèle l'habitué. J'en ai bien une soixantaine. Et je mets une appréciation. Comme ça, même si la voiture ne s'arrête pas, je sais qui est à l'intérieur ! » Comment cet homme marié, cheveux gris et regard clair, choisit-il son compagnon d'un soir ? « A chacun sa technique, explique Gilles. Il y en a qui attendent qu'il fasse noir pour se livrer, d'autres jouent les stars ! Moi je ne vais pas vers les gens, j'attends qu'ils viennent. »«Nez à nez avec le père d'un client»Hugues*, 48 ans, moniteur d'auto-école « Moi ce qui m'intéresse, c'est la chasse. » Hugues*, 48 ans, moniteur d'auto-école, gare son véhicule professionnel sur un parking de la forêt de Montceaux, un lieu de drague moins prisé que celui de Ferrières mais où les va-et-vient restent réguliers. « Les heures de pointe, c'est entre midi et deux, et à la sortie du travail », explique cet habitué des lieux et arpenteur régulier des chemins de traverse dévolus aux rencontres homosexuelles.Pacsé, il a fait avec son compagnon le choix d'une sexualité libre. « D'ailleurs, j'attends mon ami qui doit arriver à Meaux en train. Il me reste une heure à tuer, je me suis dit qu'il y avait peut-être quelque chose à grignoter. » Au gré de ses « grignotages », il lui est arrivé de faire des rencontres cocasses. « Je suis tombé un jour sur une voiture. J'avais du mal à distinguer le mec à l'intérieur. Lorsqu'il est descendu, je me suis retrouvé nez à nez avec le père d'un client. On a fait abstraction de notre relation professionnelle ! Un peu plus tard, je l'ai reçu en rendez-vous pédagogique avec son fils. On a fait comme si de rien n'était. »Parfois, loin des clichés, le coup d'un jour devient l'ami de quelque temps. « Ce jour-là, je ne voulais pas partir sans faire une chasse. J'ai rencontré quelqu'un de 30 ans, on s'est fait plaisir puis a discuté pendant deux heures. Ensuite, on a échangé par téléphone pendant plusieurs moisâ?¦ »*Le prénom a été modifiéTout le monde n'est pas aussi tatillon. Juchée sur des talons de 12 cm, perruque auburn et rouge à lèvres rouge, Patricia*, travesti parisien tutoyant les 60 ans, trouve ici son équilibre : « Le sexe est un départ et puis il y a des liens amicaux qui se créent, même si ça ne va jamais très loin. Je n'ai pas d'amis, je suis seule. Quand on est isolé sur le plan affectif, ça fait un lien, ça occupe. Généralement, on est trois ou quatre copines. » Cela fait vingt ans que Patricia devient femme quand le soleil se couche. Une véritable renaissance nocturne après l'échec de son mariage.« Je suis marié. Je ne m'attendais pas du tout à ça »Patricia n'est pas la seule à fréquenter les bois pour pallier une vie affective difficile. Ils sont même nombreux à s'y rendre régulièrement. Gilles évoque même une « addiction » qui lui « pourrit la vie » : « Je suis marié. Je ne m'attendais pas du tout à ça. J'avais peut-être le germe, mais comme j'habitais en province, il ne s'est pas développé, dévoile-t-il. Je suis monté à Paris et puis j'ai découvert ce qu'il ne fallait pas découvrir. Heureusement que j'ai réussi le reste, parce queâ?¦ Mais je n'ai jamais envisagé de quitter mon épouse pour me mettre avec un mec. C'est une passion de l'instant. »Entre les arbres, dans la pénombre, cette passion se dévoile, silencieuse. Certains déambulent en costume, d'autres en survêtement. La barrière des origines sociales tombe et les corps s'entrechoquent. On se croise, se scrute, dans un jeu très codé. Un coup d'Å?il qui déshabille, une courte marche, puis une pause. Si la cible suit, « c'est que la proie est ferrée », et le consentement mutuel.*Les prénoms ont été changés.
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