Fille de l'est à poil sous sa douche

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Fille de l'est à poil sous sa douche
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Belgique, Allemagne, Pologne, Pays Baltes et république Tchèque


Il y a 10 ans (une éternité !) à la demande des 5 sœurs j’avais organisé un voyage en camping-car dans l’ouest américain, une terre d ‘évasion
et de découvertes dans la lignée de la conquête de l’Ouest. Re-belote aux States en 2014, 2017 puis au Canada de l’Ouest en 2019 toujours avec le même mode de transport si pratique dans ces pays
de grands espaces, mais vous avez sûrement suivi ces péripéties (ou sinon je vous y invite dans ce blog dans l’index « archives des carnets de bord »). Après la « pause »
Covid il est temps de remettre le couvert de l’aventure. Entre une proposition d’un trip en train et hôtels sur la côte Est des États-Unis dans le berceau de l’histoire américaine (Boston,
Philadelphie, Washington et New York) et une virée en camping-car vers les Pays Baltes avec pas d’avion à prendre, trop facile, les filles ont choisi cette dernière proposition pour éviter de
traîner leurs bagages à roulettes d’hébergements en hôtels et de métro surchargé en gare ferroviaire immense comme celle de Grand Central Terminal à New York.


Aux confins de l'Europe du Nord et de l'Est, je n’ai pas visité les pays Baltes en 2018. Faute de temps (8 000 km et 14 frontières quand même),
j’avais zappé ces pays souvent méconnus des touristes francophones. Je ne doute pas que cette région d'Europe est pleine de surprises et regorge de villes séduisantes à l'instar des trois
capitales : Vilnius, Riga et Tallinn. Ex-Républiques soviétiques, les Pays Baltes font aujourd'hui partie intégrante de l'Union Européenne. Nous nous y rendons en passant par l’Allemagne et
prendrons le temps de visiter la Pologne, un autre vaste pays de l'ancienne URSS où le tourisme est largement développé tant au niveau culturel que balnéaire ou religieux avec un riche patrimoine
et de nombreux sites classés au patrimoine mondial de l’Unesco.


A l'autre bout de l'Europe, le dépaysement est assuré, suivez-nous !


Lundi 23 et mardi 24 mai, étape de Morlaix à Berlin-Allemagne via Liège-Belgique : inflation accélérée au litre (1694 km)


A 7h00 je mets en route pour cette première étape vers l’Est. Depuis vendredi ce sont les préparatifs au road-trip, vendredi c’était les courses,
samedi nous avons récupéré le camping-car de location à Rosporden où nous avons été gentiment accueillis. Nous découvrons un véhicule de 13 ans au nom commercial «Elliot » (de chez CI) qui
affiche fièrement quelques 107 000 km respectables. Prévu pour 6 personnes, c’est un modèle familial basique à capucine. Hier après-midi dimanche, nous nous sommes retrouvés pour tout charger en
essayant de ne rien oublier voire en rajoutant un peu de superflu (je vous passe les détails, vous connaissez les frangines). Bref ce lundi, je suis en mode de ramassage scolaire pour embarquer 4
des 5 de la gente féminine. Nous roulons sans pluie jusqu’à Rennes et sous la flotte jusqu’à Paris, le monde à l’envers dans les théories météorologiques que nous abreuvent les prévisionnistes de
tout poil. Pour le début de l’après-midi nous sommes à Le Mée-sur-Seine pour récupérer le 5ème numéro (et dernier), la fratrie de 6 est au complet. Les filles assurent l’ambiance entre franche
rigolade et potins, au volant mes oreilles récupèrent les dernières nouvelles familiales. Direction le Nord de la France par l’autoroute A1, une « number one » bien nommée, encombrée de
poids-lourds. La région dispute les champs d’éoliennes aux céréales et autres cultures. Au péage (comme avant Paris à la barrière de St Arnoult), la caisse automatique me facture le camping-car
en classe 3 au lieu de la classe inférieure, belle arnaque provoquée par les cellules qui scannent le gabarit du véhicule, je me permettrai de réclamer plus tard la différence auprès de ces
sociétés d’escrocs. Nous passons en Belgique en début de soirée, il crachine, j’ignore l’intérêt mais les autoroutes (gratuites) du royaume sont éclairées comme pour un concert de Johnny aux
vieilles charrues (clin d’œil à Brigitte qui en est fan, même post-mortem). A Liège, nous faisons notre première nuit d’étape sur une aire d’autoroute bien animée, nous sommes installés dans une
travée prévue pour nous. Niveau fond sonore c’est le top entre les bruits de la circulation et le ronronnement des frigo des poids-lourds stationnés à proximité (comment font les routiers pour
dormir dont la cabine-couchette est scotchée au groupe frigorifique ?), Gaëlle (une grand-mère de métier) claironne que c’est parti pour 25 dodos, j’espère que nous aurons d’autres étapes plus
sereines.


Globalement nous avons tous bien dormi, ce qui nous va bien. Nous poursuivons notre route vers l’Est et passons la frontière allemande en fin de
matinée. Comme en Belgique, les autoroutes gratuites (les toilettes sont payantes à 0,70 €, tout ne peut être gratuit) compensent le prix du gasoil, depuis notre départ c’est l’inflation en
version accélérée du prix des carburants. Je résume : à Morlaix le litre était à 1,75 € (pour la pub : intermarché au-dessus de chez moi), plus loin sur l’autoroute avant Paris le tarif
monte à plus de 2 € (2,33 précisément) et cet après-midi en Allemagne il faut composer avec un litre à 2,52 €, Oups ! Bonjour la douloureuse. Coté météo le temps est à l’amélioration, les
autoroutes qui traversent les régions de Niedersachsen, de Sachesen-Anhalt et de Brandenburg sont surchargées de camions. Sur les 3 voies, les 2 de droite sont souvent encombrées m’obligeant à
beaucoup d’attention et à doubler en saut de mouton dans la voie médiane, c’est de la folie, le réseau routier par endroit en travaux peine à absorber les véhicules qui déferlent en cohortes
serrées des pays limitrophes (Benelux, pays de l’Est), quand ils ont interdiction de doubler ils sont à l’arrêt dans d’interminables files impressionnantes. Pour corser la conduite, les
conducteurs des puissantes berlines teutonnes déboulent sans vergogne à des vitesses stratosphériques lorsque ponctuellement il n'y a aucune limitation. Pour 19h00 nous sommes installés en pleine
nature dans un camping aux portes de Berlin dans l’Est du pays, dîner de grillades grâce à la plancha électrique sortie de notre soute, c’est l’avantage d’avoir sa maison roulante. Dans ce havre
de paix, notre voisin vient à 22h00 passées demander aux filles de baisser le fond sonore de leurs conversations, malgré mes recommandations ça devait arriver, et lui dans ce domaine il a de
l’autorité.


Mercredi 25 mai, journée à Berlin : plongeon dans l’histoire


L’intérêt du camping de Gatow c’est qu’il est situé près de Potsdam au bord de la rivière Havel à une dizaine de kilomètres au sud-ouest du centre de
Berlin, nous sommes installés pour 2 nuits (la facture est salée : 155 €) avec l’intention de laisser notre véhicule sur place car devant l’entrée un bus jaune permet en 50 minutes par la
ligne X34 d’accéder directement à Zoologischer Garden (le zoo de Berlin). Pour 9h30 nous partons pour passer la journée dans la capitale d’une Allemagne réunifiée. Dans le bus, le masque est de
rigueur, on l’avait presque oublié (et ici c’est le masque FFP2 qui est recommandé). Nous prenons un ticket pour la journée qui va nous permettre d’utiliser tous les transports que l’on veut,
c’est très pratique et bon marché (environ 5 € par personne). Berlin est la troisième ville la plus visitée d’Europe, avec ses 3,5 millions habitants elle est en transformation permanente, il y a
partout des chantiers. Du quartier du zoo, le métro U2 permet d’accéder à la Potsdamer Platz, aucun portique ni aucun contrôle d’accès, la confiance règne. A peine sortis du métro nous en prenons
plein les yeux avec une histoire qui va nous interpeller toute la journée. Pendant la Seconde Guerre mondiale, cette place a été victime des bombardements intensifs. Dès 1961, se trouvant au
milieu de la démarcation entre Berlin Est et Berlin Ouest, elle était une sorte de no man’s land fait pour décourager les évasions vers la RFA (Berlin
Ouest). Dès la chute du Mur en 1989, les initiatives ont été nombreuses pour refaire vivre cette place historique. Aujourd’hui, on se croirait dans une sorte de ville parallèle, tout a été
construit avec des matériaux spéciaux (dans des teintes cuivrées) spécialement conçus pour la place. Sa construction en a fait le plus grand chantier d’Europe. Nous partons à pied pour le fameux
site de Checkpoint Charlie le symbole de la division de Berlin entre secteur russe et secteur américain, le poste-frontière a aujourd'hui pris des allures d'attraction touristique, il y a un
monde fou et les sacs de sable sont en fait en ciment, chacun patiente pour la photo-souvenir. Dans le quartier de Mitte n ous faisons la pause-déjeuner
dans un petit square qui jouxte un grand parking où était situé le bunker d’Hitler, il y a un peu d’explications et un plan détaillé qui donnent quelques éclaircissements sur le site. Pas très
loin, se dresse le Mémorial aux Juifs assassinés d’Europe. Cet ensemble est dédié aux juifs victimes du génocide perpétré par les nazis (la Shoah). Le Mémorial de l’Holocauste a été inauguré en
2005. Sur une surface de 19 000 m 2 s’érigent 2 711 stèles installées à l’emplacement du bunker de Goebbels. Ces grands blocs de béton sont à la fois un immense cimetière et un
labyrinthe, symbole de la tristesse et de l’angoisse du peuple juif. Les stèles sont toutes de tailles différentes et le sol volontairement inégal. Nous décidons de le visiter, c’est très
intéressant. L’Allemagne a signé ici un travail de mémoire engagé. Nous revenons sur nos pas pour le monument le plus emblématique et le plus vu de Berlin ! Construite entre 1788 et 1791, la
porte de Brandebourg est la dernière rescapée des 18 portes de la capitale, elle est située dans l’ancien Berlin Ouest, son architecture de style néoclassique s’inspire paraît-il des Propylées de
l’Acropole d’Athènes. En haut de l’édifice se dresse le quadrige, représentation de la déesse de la Victoire. Pendant la guerre froide, cet endroit symbolisait la division de la ville, les
visiteurs à l’ouest se hissaient sur la plateforme pour regarder de l’autre côté du rideau de fer. De nombreuses ambassades ont pignon sur cette place (Grande Bretagne, États Unis, France …).
L’orage approche mais nous évite pendant la visite du quartier du Palais du Reichstag. Le siège du Reich (l’Assemblée) a été construit entre 1884 et 1894 durant le Second Empire. De style de la
grande Renaissance italienne, le monument a été en 1933 partiellement détruit par un incendie, un mois pile après le début du III e Reich (ça
tombait bien et ça a permis aux nazis de prendre le pouvoir). Pendant la Seconde Guerre mondiale, le palais a été totalement détruit par les bombardements, les soviétiques en ont fait le
symbole de la victoire en hissant le drapeau rouge quelques jours avant la capitulation. Ce n’est qu’en 1970 qu’il fut totalement restauré. La devise, inscrite sur le front du palais, insiste sur
l’importance de la nation : « Dem Deutschen Volke » (au peuple allemand). A 17h00 nous reprenons en sens inverse nos transports pour rentrer au camping, 11 km de marche
et les filles sont sur les rotules. C’était une belle journée de visites dans une ville qui donne une impression d’inachevé avec son immense diversité architecturale et son urbanisme désordonné.
Berlin est une métropole moderne et multiculturelle qui est résolument tournée vers le futur, ce qui ne l'empêche pas de préserver avec ardeur son histoire, nous avons apprécié.


Jeudi 26 mai, étape de Berlin à Gdansk-Pologne : en compagnie d’un GPS facétieux (587 km)


Les filles, porte-paroles de notre fratrie (le mot parole prend tout son sens avec elles) ont rencontré hier soir aux sanitaires un groupe de
français qui voyagent ensemble en association avec 7 camping-cars et nous avons lié conversation à bâtons rompus. Ce matin, l’une des dames avec qui nous avons échangé sympathiquement me demande
l’adresse internet du blog que je lui communique avec plaisir. Il faut bien 1h1/2 pour contourner Berlin et nous diriger vers le nord-est et la frontière polonaise. A nos dépends, nous nous
rendons compte qu’aujourd’hui est un jour férié (jeudi de l’ascension), tout est fermé (pas facile de dénicher une boulangerie ouverte) et pour ce long week-end sur les routes la capitale se
vide, c’est la transhumance de ceux qui font ce viaduc de détente. Les autoroutes sont surchargées et par endroit ça coince (heureusement que les poids-lourds ont interdiction de circuler). Dans
cette ancienne région de l’Allemagne de l’Est le revêtement routier est constitué de plaques de béton datant du siècle dernier, cela provoque un bruit continu de roulement saccadé qui n’est pas
sans me rappeler l’ambiance des trains de mon enfance. La région de Brandebourg est couverte de forêts de conifères et de feuillus, quelques cultures de céréales vert-tendre ondulent sous les
bourrasques de vent qui souffle aujourd’hui en tempête. Au mitan de la journée, pour le déjeuner nous sommes à la frontière. Coté polonais nous avons quelques bonnes surprises : la taxe de
péage sur les autoroutes ne concerne que les véhicules d’un PTAC supérieur à 3,5 tonnes (nous ne sommes pas concernés) et le litre de gasoil est affiché à 1,55 € (après le taux de conversion du
zloty, la monnaie nationale). L’autre (mauvaise) surprise c’est le pitoyable état du réseau secondaire, les routes sont franchement défoncées, seules les portions autoroutières financées par
l’Union Européenne sont de bonne facture et toujours en construction. Les conducteurs polonais n’ont pas la bienveillance de leurs voisins et je suis surpris des véhicules qui me font des appels
de phare : me disent-ils bonjour ? me signalent-ils les boites à radar disséminées partout ? ou m’avertissent-ils de la maréchaussée embusquée avec le carnet de contravention et
les récépissés dans la poche ? Que nenni, je me rends compte qu’ils me demandent d’allumer mes feux de croisement puisque je roule avec mes phares éteints, je rectifie cette erreur et les
signes que je croyais d’amitié cessent, sniff, je suis déçu. Le GPS est fantaisiste, il s’obstine à nous faire passer par des tours et des détours dans la campagne, c’est l’occasion de traverser
de petits villages typiques en Poméranie, on musarde et les 500 kilomètres prévus (587 précisément) nous prennent la journée puisque nous arriverons à Gdansk au bord de la mer Baltique au soleil
couchant. Nous nous installons près de l’océan au « Park 45 » l’un des 3 campings de la ville. Ce n’est pas la haute-saison touristique et comme à Berlin, il y a beaucoup de possibilité
d’emplacements sur un grand terrain sablonneux ombragé ce qui explique sans doute que le gérant me laisse libre de nous installer où l’on veut. Le bloc des sanitaires est neuf et très propre avec
de l’eau de douche bien chaude, c’est nickel.


Vendredi 27 mai, étape de Gdansk à Malbork : journée à Gdansk la perle de la Baltique (67 km)


Une petite pluie d’orage salue notre lever mais nous aurons du beau temps toute la journée avec un petit 15 ° C et du vent. Gdansk est une formidable
métropole de 574 000 habitants et un grand port historique qui peut se targuer d’un passé glorieux. Mieux connue sous son nom allemand de Danzig, cette ville hanséatique était l’une des plus
prospère d’Europe au moyen-âge. C’est ici que la seconde guerre mondiale a commencé. Les efforts de la Pologne communiste pour la reconstruire après le désastre ont porté leurs fruits et la
vieille ville a retrouvé sa splendeur d’antan. Aujourd’hui la Trojmiasto reste un ensemble fascinant avec la riche vieille cité, une oasis dans un environnement fortement urbain et un grand port
déplacé sur la Vistule et ses affluents. Nous réussissons à dénicher un parking sécurisé au bord de la Motlava au pied d’une grande roue panoramique le long des quais où se situait autrefois le
port délimité par des portes fortifiées dans l’enceinte médiévale. Ce secteur a fait la richesse de la ville et constitue une balade magnifique. En ce pont de l’Ascension nous ne sommes pas les
seuls touristes, les quais et les rues pavées sont noirs de promeneurs. Le spectacle est sur l’eau avec la navigation fluviale qui fait lever de grands ponts, quelques grands voiliers amarrés, un
bateau à vapeur visitable (le Soldek, bâti dans les célèbres chantiers navals après 1945) et dans les rues perpendiculaires qui mènent aux quais piétonniers. La vieille ville ressemble à peu de
chose près à ce qu’elle était il y a 3 à 4 siècles lorsque la cité était à son apogée. La voie royale qu’empruntaient les cortèges des rois de Pologne en visite est la plus riche en terme
d’architecture avec ses hautes et étroites maisons aux majestueuses façades en brique rouge ou somptueusement décorées, ornées de pignons avec d’extraordinaires sculptures. Les rez-de-chaussés en
enfilade sont garnis de restaurants avec rabatteurs et menus, de cafés, de magasins pas toujours de bon goût, de galeries d’art hétéroclites et d’innombrables échoppes d’ambre, une résine
fossilisée dans les nuances de jaune-orange il y a 40 à 60 millions d’années dont les principaux gisements sont situés sur les rives de la Baltique. Bref tout ce qu’il faut pour délester le
touriste affamé, assoiffé, peu regardant et dépensier. Plusieurs édifices et sites sont remarquables : la grue médiévale (reconstruite en 1444) intégrée au musée naval, la place du marché,
la Porte-Haute érigée en 1574, l’Avant-Porte constituée de la salle des tortures et de la tour prison (XVème siècle), la fontaine de Neptune (construite entre 1606 et 1613, l’un des plus vieux
monument du pays). Dans le cœur de la vieille ville, l’église Ste Marie avec son imposant clocher et son horloge astronomique vaut également la visite, elle a été construite entre 1343 et 1502.
L’édifice est colossal (105 m de long) avec 300 dalles funéraires et une trentaines de chapelles où nous découvrons de grandes quantités d’œuvres dont de superbes icônes. A travers 37 immenses
vitraux, la lumière naturelle vient éclairer 3 vastes nefs. Avec Gaëlle je me paye une grimpette de 409 marches pour découvrir un beau panorama à plus de 80 m de hauteur. Nous passons
l’après-midi au musée national de la seconde guerre mondiale inauguré en 2016 dans un saisissant bâtiment de verre, anguleux, à l’architecture contemporaine (avec ce prisme triangulaire inversé
d’un rouge pimpant, l’architecte a du se faire plaisir sur sa planche à dessin). Le musée est divisé en 18 sections et retrace l’histoire tragique de la Pologne entre 1939 et 1945, chacun
s’équipe de guide-audios pour enrichir considérablement l’expérience et mieux apprécier nos 3h00 heures de visite. Étape à une trentaine de kilomètres au Sud-Est de Gdansk au pied du château de
Malbork dans un camping au bord de l’étang. Nous sommes accueillis au Nad Stawem un peu à la bonne franquette par un papy qui circule en trottinette électrique. Il fait le prix à l’arrache
payable en zloty (150 soit 36,59 €), sans tarif affiché ni facture, son anglais est limité mais il m’annonce dans la langue de Shakespeare que c’est un prix d’ami « All Inclusive »
(douches, eau et électricité). On s’installe sur sa belle pelouse à notre convenance, Brigitte se met aux fourneaux p
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