Fille blonde baisée après s'être mise en valeur

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Fille blonde baisée après s'être mise en valeur

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Je m'arrêtai après une heure de marche, les mains sur les genoux, essoufflé et assaillit d'une douleur au thorax qui me laissait un goût métallique en bouche. Le sol de cette maudite forêt était jonché de gigantesques racines entortillées et protubérantes. La neige moelleuse rendait chaque pas plus difficile que le précédent et pour ajouter à tout ce beau mélange, de gros flocons comme des boules de coton tombaient maintenant avec paresse pour couvrir les traces fraîches. Fichue bonne à rien, incompétente! Stupide et idiote... Faible et tellement mais tellement méprisable! Je passais la langue sur mes dents avant de reprendre la marche. Une fois près, je n'avais qu'à penser aux chaînes pour que leur spectre me viennent en main et me guident tout droit à sa cachette. Car il était caché mon Dragon. Il faisait jour et les arbres denses sans feuillage ne couvrait pas la lumière omniprésente du soleil. Puis, je ricanai pour mon seul et unique plaisir. -Aucune distance ne sera assez grande pour te cacher de moi M'rrandi. Tu es à moi... J'arrive... J'arrive.. * Me mis à murmurer tel un mantra pour me donner force et persévérance alors que mon état empirait de façon exponentielle à chaque heure passée. Je dus m'arrêter une demi-heure plus loin, plié en deux suite à un nouveau spasme à l'abdomen. Mes doigts frottèrent la plaie imaginaire, tentant d'amoindrir la douleur bien réelle se trouvant en dessous. C'était à cet endroit qu'elle m'avait poignardé et laissé pour mort sur Gondoline. Je me redressai, utilisant une technique de respiration rapide pour mieux vivre avec la douleur et aperçu une carcasse de biche éventrée, dévorée à la va-vite et abandonnée sur le côté du chemin. Le vert avait parlé d'animaux chassé. J'étais sur la bonne voie. -Tu n'as nul part ou te cacher... mon adoré.. Je vais te trouvé.. et te plûmer... * Chantonnais-je, m'improvisant poète en ordonnant aux chaînes de se manifester. Aucune réponse. Je devais continuer. Je continuai. -Te plûmer... mon adoré... Te faire regretter.. de rêver de liberté... Tu n'as nul part ou te cacher... mon adoré... Je vais te trouver.. et te faire saigner... J'appelai à nouveau les chaînes et sentit le métal spectral tiède contre les paumes de mes mains. Elles n'étaient pas tendus et pendaient sur le sol sans déformer la neige fraîche dans leur sillage. Elles étaient immatérielles, invisibles pour ceux n'ayant aucun lien avec le Dragon. Je n'avais qu'à suivre la piste... Et pourquoi encore marcher? Pourquoi il ne viendrait pas à moi? J'empoignai les chaînes, serrant fort et me redressai, me faisant beau et fier tout en éliminant les maillons un à un. Les liens se tendirent, puis résistèrent avant de se plier à ma volonté et tirer de force la bête pour venir jusqu'à moi. Un sourire malsain déforma mon visage, mon plus beau et terrible rictus aux dents luisantes de sang. Il serait en forme.. Il avait manger le bougre. -Viens mon adoré... * J'étais prêt, j'allais le plumer de ses écailles car dès qu'il serait tiré hors des bois, il rencontrerait ma lumière. ________ Libre...quel rêve magnifique. Plus rien ne me retenais, j'en était ivre de joie, a courrir, a battre des ailes pour bondir plus haut, fracassé mes griffes contre les arbres agilement et me laissé planné détruisant mes traces sur des mètres de distances. Je respire profondément et rugis, bondissant sur un troupeau de cerf dormant d'un seul oeil. La panique créé, le sang qui me remplis la gueule alors que je l'entend hurler, arrachant ses entraille sans l'avoir achevé avant me fait frissonner. Mes yeux brules retrouvant ma terrible énergie de destruction, laissant explosé ma voix si fort que la forêt ce dégarnis de tout ses oiseaux et bête rampante. La nuit est mon domaine, la magie ma proie, je la renifle, la goute et la ressent dans l'air, dans le sol. Ma peau si sensible au changement de variation que j'en suis presque étourdis, assomé par la puissance de tout mes sens qui s'affole. Mes oreilles bouge sans arrêt toujours entrain de traquer chaque bruit de proie potentiel, de battement de coeur fou. Si les mages laissaient des traces, moi j'étais l'efface qui les succèdes. J'étais invisible, indétectable jusqu'a ce que je souhaite être vue. Mon camoufflage parfait et perfectionner. J'avais beaucoup appris sur Gondoline, encore d'avantage sur Hutt, j'apprendrai encore plus maintenant jusqu'a être aussi insaisissable que le vent. Tête dure que je suis, je ne démordais pas de cette objectif qui a fait battre mon coeur entravers tourment oppresser dans des cages ou brisé dans la torture. Je m'éloigne le plus loin possible de la cité, m'enfonçant profondément dans la forêt, me laissant inspirer par des routes étrangement familière dans mon esprit. Jusqu'a tombé devant une caverne que je connaissais j'en suis certain. Ma queue fouette et je souffle profondément devant ce qui ce trouve là, la salive abbondant d'entre mes dents s'étirait dans de long filament. La vengeance hurlait famine... C'est un repère de drow et ce ne tarde que j'y entre et ne découvre une ville d'elfe noire, probablement ceux ayant attaquer Palandhel. Comment dire, ce fut une nuit gorgé de sang et de violence, de crie et de vénération, car je tua oui, sans retenue aucune. Je détruit, dévore et mutile absolument tout ce qui ce trouva autour de moi, laissant libre cours a ma soif de violence. Ce qui m'amena a m'enfoncé profondément sous le roc et la terre et tombé face a face avec un temple ou ce réfugia tout les fidèles de ces faux dieux. Ma peau perle de sang, ma crinière en est humide et mes dents de cramoisie, je m'invite au blasphème et quel fut ma surprise quand je les vois tous ce prosterner devant moi, main et front sur le sol. Me voila une divinité? Je gonfle le torse et ouvre les ailes en redressant la tête, faisant le beau bien entendu a ma manière terrifiante. Je suis un dragon! rien d'aussi flatteur qu'une tel adulation ne me caresserai pas l'égo ciel non. Tout tremblant, on me m'avance des offrandes d'or, de joyaux, de nourriture, leur yeux craintif en quête de savoir quel indice leur permettrai au mieux de me séduire selon mes réactions. Mais les pauvres, je ne suis pas ce genre de dieux... je suis la destruction et leur maigres espoir vola en poussière lorsque je laisse mon aura exploser dans la pièce me nourrire de toute cette énergie mystique et vital renfermer au même endroit. Quand j'eux terminer, le silence vient totalement, plus un seul son ne dérangea les lieux. Dans ce nid de cendre, je choisis donc de me reposer, un semblant de soulagement enfin atteint. S'était une cachette agréable et plutot spacieuse. Puis plus tard dans la journée, alors que je dors paisiblement, une de mes oreilles bougea, agacé, puis tiqua a nouveau a plusieurs reprise jusqu'a me faire gromeler et montré les crocs. Un son lointain peine perceptible laissa une mince fente s'ouvrir de mes paupières. Un carillon blanc... Ma joie est totalement inexistante et le désire de tenir ma parole plus forte que tout... le tuer bien entendu. Je ne lui appartiendrai jamais que je lui avait rugis au visage. Qu'il essaya de me séduire ou de me torturer n'y avait rien changer. Il est faible ou très, très loin, mais je ne me laisserai pas faire, bien entendu! Tête de fer ou tête de dragon qui était la plus dure han? Quand je vois la chaîne, presque informe et fragile ce tendre, j'y mis un fulgurant coup de machoire pour la rompre. Le pouvoir de Deliath était totalement dominant en ce moment et j'y voi l'occassion de prendre plus de distance encore avant qu'il ne soit trop près. Je quitte mon somptueux palais de cadavre et de cendre, rejoignant l'extérieur en déployant mes grande ailes pour m'y étirer, déranger par la lumière du jour durement. Évidament, il ne m'aurai pas approcher dans mon élément de confort. Mais ce qui marchait une fois avec moi, ne fonctionnais pas nécessairement mieux une seconde ou pire une troisième. Je suis le roi de l'adaptation, de la survie. Ma langue me guide, mon nez et mon ouïe tout de concert pour m'orienté, je suivis le bruit d'un ruisselement a pas rapide, esquivant au mieux que je pouvais la lumière, devant me laissé agressé a nouveau par elle pour resté ce que je désespère au plus profond de mon être... Libre. ______________ La chaîne bien tendue se rompt soudainement et disparaît, annonçant qu'elles avaient cédés, puis que le dragon s'était dérobé au rayon d'action de sa domination. La grimace que je fis fut hideuse... horrifiante et pleine de déconfiture. Mais ça personne n'y assista. Je regardai, témoin impuissant, la chaîne se résorber entre mes doigts qui se décharnaient d'heures en heures puis portai les yeux sur la forêt sombre et silencieuse. Les oiseaux avaient fuit... les animaux avaient désertés, intelligents et apeurés, aucun ne voulaient croiser le chemin du Dragon. Je ne pouvais me permettre de gaspiller plus d'énergie à lui courir après. Il avait manger, pris des forces... Pas moi. Je doutai fort que manger ou me reposer améliorerait mon état... Non, j'étais mourrant, comme sur Gondoline et je payais mon audace. Les options et le temps manquait. Je devais le faire venir à moi... À tout prix. Je m'emparai donc du tissus imbibé de l'odeur de Deliath, à la fois floral du savon à la fleur de lune et citronné de sa magie. Puis, je m'entaillai le fond de la paume avec la seule arme que j'avais apporté, une dague bien aiguisée, pas trop lourde et facile à transporter. Le bout de tissus fut enroulé autour de ma main, se colorant de rouge foncé à grande vitesse. Ciel, je ne devais pas saigner autant, les immortels guérissent vite... très vite en temps normal. Respecte ton serment de sang M'rrandi. Pensais-je en expirant profondément. Il avait drainé Deliath, puis abandonner en forêt... Laissons le croire qu'elle est revenue, qu'elle m'a blessé et que je suis une proie facile.. Des gouttes rouges colorérent la neige immaculée à mes pieds et je m'assieds contre un immense tronc d'arbre, me laissant glisser lentement en songeant à quel point j'avais raison... Je n'aurais jamais dû partir pour Imzaresh. ___________ J'avais terminer de m'hydraté abondamment quand un signal olfactif m'arrive au nez. Ma langue fouette lâchement l'air a plusieurs reprise et je hisse contrarié. Ne retiendraient-ils jamais rien? Cette odeur cuivré utilisé trop souvent a mauvaise raison et pour me piégé n'était pas une manœuvre différente des autres au final. Si l'on m’appelait pour me faire du mal, m'emprisonner plutôt que de me quérir pour défendre ou attaquer a quoi bon? S'était écris en grosses lettres dans mon esprit, sa puait le piège abondamment, mais pour l'instant l'appelle est encore suffisamment fort pour me faire hésité et m'interpeller malgré moi. Tel un mauvais génie, je me sens imposé de répondre a l'appelle et je rebrousse le chemin la rage au gencive. La peau fumante ici et là, mais plus résistant qu'avant, j'apprenait des parades même si mes déplacement était plus hiératique qu'a la normal puisque privé d'une vision net et de la sensibilité de mon épiderme. Je sonde avec ma voix profondément grave et puissante, je goutte et j'écoute, jusqu’à débusquer la source de sang qui m'emprisonne a cette sordide esclavage. Je suis dans l'ombre, a une distance raisonnable, les paupières close a gronder au point de secouer le sol tout autour de moi. Je reste ou je suis immobile sur la défensive, agitant les oreilles guettant une quelconque attaque surprise. ___________ J'étais seul... Je n'entendais que ma respiration profonde à des kilomètres à la ronde. La présence du Dragon dans la forêt avait ce bien fait innattendu... Aucun son ne venait troubler la quiétude forestière. Et c'était beau... Je n'étais pas habitué a ce genre de décor. Né dans les tropiques, je n'avais voyagé que pendant mes jeunes années avant d'être cloîtré à l'île et son noyau. La neige était d'un blanc parfait à l'exception des sentiers de traces laissés par les animaux paniqués. Le soleil perçait à travers les quelques nuages tâchant par-ci, par-là, un ciel bleu semblable à la couleur de mes yeux. Les arbres étaient immenses... Je soupirai, impatient même mourrant. Il attendait que je meurs au bout de mon souffle avant de se pointer le bout du nez?! On ne me fait pas attendre moi! Ne lui avais-je pas dit que je le voulais au bout du quai lors de mon arrivée?! Je continuai de ruminer durant ce qui me sembla des heures avant d'entendre quelque chose approcher avec prudence, restant hors de ma vue plus si perçante que ça en ce moment. Je tentai de me lever... et le regrettai aussitôt. La douleur qui me barra le thorax me fit siffler entre mes dents. Je n'aurais pas dû m'asseoir! Quelle erreur de débutant... -Tu devais m'attendre au quai... * Grommelais-je en le sachant capable de m'entendre. Je levai la main entourée du bandage sanguignolant et constatai que la blessure continuait de suinter le sang. _________ L'odeur du sang obstruais tout, mais cette voix était reconnaissable d'entre toutes. Le doute m'avait tenue sur mes gardes, m'attendant a peu près n'importe quoi de plus intense et violent que cette rencontre. Il est seul lorsque j'approche pour entrer dans son champs de vision, sa main lever et cet odeur plus forte de sang m'attirant. Mon nez arrive proche, alors qu'il mentionne le quai et son attente de m'y voir. Disont que son retour était plutôt prévue dans deux prochain jour en faite. Mais ca je m'en moque, il est faible, incapable de bouger et je hisse, puis gronde très fort en continuant de bouger. Massif, mortel, je me protège de la lumière en ouvrant une aile comme un part soleil. J'inspire et expire d'une haleine grondante et violente, puant la mort, mon aura gréssille affamé même par le peu que je percois de son côté. Ma salive coule d'entre mes crocs, le seigneur noir tout en pouvoir en ce moment capable de trouver la faille pour se libéré d'eux jusqu'a objectif remplis. Ma violence grandissait, ma puissance surplantant la sienne d'une manière terriblement grissante. Je rugis terrible tyran que je suis pour le décoiffé, le happant d'une patte pour l'écrasé au sol et lui arracher ce bout de tissu qui protègeais sa plaie. Ma bave était comme de l'acide, le souvenir du goût de sa chair me caressait de fantasme alors que ma langue noire de jais glissait dans sa blessure saisir ce souvenir délectable. _________ Le voilà mon têtu de Dragon qui daignait enfin se montrer le bout du nez et me grâcier de sa présence. Le soleil ne semble pas le déranger plus que nécessaire, il s'en cache d'une aile pour me rejoindre et me beugler au visage. Des gouttelettes de salive me mouille la peau, souffle mes cheveux qui pâlissaient à vue d'oeil tel un damné, vivant sur du temps emprunté. Je salive moi aussi... Je sais ce que goûte son sang, je sais ce qu'il m'apporte mais... MAIS... il y a toujours un mais, une maudite condition! Il devait me l'offrir, de son plein gré, par manipulation ou bonté de cœur, tant que c'était de lui. Je payais déjà très cher d'avoir posé les lèvres sur la coupe interdite. J'étais désormais dépendant, une âme en sourcil devant s'abreuver de sa fontaine de jouvence personnelle sous peine de se faire rattraper par la mort. Très poétique. Il me gronde encore dessus, me pousse par terre et s'attaque à la source directe. Je grognai d'inconfort, m'étant attendu à un autre genre de retrouvailles et serrai les dents lorsqu'il se mit à suçoter tout ce qu'il pouvait tirer de mon pauvre corps décharné. De si proche, ses écailles sombres avaient une teinte bleutée, ce qui ne me plaisait pas... L'orangé rougeoyant lui allait tellement mieux... Je bougeai, inconfortable, et de mon autre main, sortit le bracelet sertit du cristal chargé de magie. L'une de ses pattes immobilisait mon bras, l'autre, le tenait en appui sur le sol de l'autre de mon corps pour éviter de me broyer les os sous son poids. À la taille qu'il avait... ça lui ferait une bague pardis! J'approchai la main de sa patte, creusant un peu la neige du bout des doigts pour dégager la pointe d'une griffe et poussai le bracelet le plus loin que je le pus. Au point ou j'en étais, avec le peu de temps restant, je ne pouvais me permettre de le laisser terminer son encas et voir s'il était d'humeur à discuter. J'avais déjà le pré-sentiment que son côté sombre tirait les ficelles et vu combien nous nous entendions bien lui et moi, les chances qu'il me donne volontairement de son sang était nulle. ___________ Il est si faible, une vrai poupée de chiffon ou étais-ce moi qui était si fort qu'il était réduit a un simple petit encas? Oh mais dans tout les cas, Danil était quelqu'un de viscieux et je doutais fort qu'il soit venu ici sans un plan. Un bruit chantoyant cristalin vient hérissé ma crinière, un bruit qui me laisse ambivalent et qui ne m'inspire aucune peur particulier si ce n'est qu'une sensation de réconfort. Qu'est ce que c'est? Le bruit s'intensifie alors que le vieux ce croit subtil a ce trémoussé de la sorte? Quand je suis touché je bondis par reflexe, méfiant comme tout du moindre contacte, je lui hisse dessus en restant a une distance qui me semble sécuritaire bien que je ne vois rien pour l'instant. J'ai la tête basse, a goûter les odeur frénétiquement, les oreilles tout alerte et puis pourquoi tant d'hésitation me soufflais-je intérieurement? Je reviens subitement vers lui avec ce fantasme meurtrier en bouche, voulant le dévorer vif quand ce bruit s'intensifie et m'arrête dans l'entre fait. De mes crocs tout sortie a en montré mes genscives, je respire plus sourdement en tendant l'oreille écoutant et cherchant a ouvrir les yeux, terriblement curieux que je suis. Qu'est ce que c'était que ca? Ca en est devient presque obsédent! Ma langue sort avec frénésie bougeant le nez dans chaque battement a la recherche de la source de ma curiosité. Je me renifle, mon moteur grondant plus lentement. ______________ Couché sur le dos, j'expire tout l'air contenu dans mes poumons, maintenant prisonnier d'une position qui ne me laissait plus aucune liberté de mouvements. Je tentai de lever le haut de mon corps, de me soulever à l'aide de mes bras mais tous mes membres et mes muscles désormais, refusaient de m'obéir. Mes doigts bougeaient encore, mon cou aussi... Pour combien de temps?! Est-ce que le cristal fonctionnait?! Je ne le sentais plus lécher ma main mais je ne voyais pas non plus ce qui se passait. -Un cadeau, pour toi. Tu retournes la faveur hum? * Grommelais-je en espérant que ce fichu cristal me rende mon petit prince doré .. et ma santé par la même occasion. -Surtout prend ton temps... je dois encore avoir plusieurs longues... minutes , j'imagine... * Fis-je d'un sarcasme mordant, me demandant si lorsque mon corps cesserait de fonctionner, mon esprit resterait actif. __________ Oh ma petite soie... un cadeau han? Je le goûte et entend son coeur lutté comme s'il était affligé d'un combat invisible a l'oeil. Évidament, je ne peux constaté son apparence, mais je ressens d'une tout autre manière. Je siffle immobile avant de prendre ma décision, puis l'aggripe pour le retourner face contre sol, attrape dans mes dents la bande solide de son pantalon a sa taille pour le soulever du sol bien haut et pivoté ma nuque pour le coucher sur mon col, près de la courbe entre mes épaule et ma nuque. Je n'allais pas faire cela ici, que non. Je pars avec lui, retournant dans mon royaume de ténèbre et de cendre acquis durant la nuit, l'enfoncant dans l'univers drowique bien loin sous le roc et la terre. Une fois arrivé dans mon nid, je le dépose un peu rudement dans la cendre et le retourne sur le dos les quatres pattes de chaque coté de son corps. Je m'écorche la langue et a nouveau, je lui offre de mon sang en lui remplissant la bouche avant qu'il ne succombe a un mal que je ne comprend pas pour le moment. Puisque maintenant nous sommes dans mon do
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