Fetichisme du pied feminin

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Publié le
05/07/2015 à 07:00 , mis à jour le

06/05/2017 à 09:44








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Pour le compagnon de Colombe, fétichiste des pieds, ces derniers "sont des objets intimes, complètement sexuels, et les exhiber relève de la faute de goût".
Michel a été marié trois fois. Mais ce n'est qu'avec sa troisième -et actuelle- épouse qu'il peut vivre ouvertement sa sexualité: Michel est fétichiste des pieds. "Lorsque je regarde une femme, la chose qui m'attire le plus, ce sont ses pieds. C'est selon moi la partie la plus sensuelle, la plus attirante de leur corps. J'aurais du mal à trouver une femme jolie si elle avait de grosses chevilles." 

Si le fétichisme des pieds n'est pas chose courante, sa pratique a traversé les âges. Les premières traces de cet intérêt remontent à 1000 ans avant Jésus-Christ, en Égypte ou encore à Rome, où les prostituées avaient interdiction de porter des chaussures afin d'attiser le désir des hommes. On trouve cette fascination sexuelle pour les pieds dans la littérature -Octave Mirbeau, le marquis de Sade-, le cinéma -Quentin Tarantino, Pablo Almodovar- ou encore la photographie -Elmer Batters. 

Le créateur de souliers Christian Louboutin , s'il réfute être lui-même fétichiste, a fondé son empire sur cette érotisation du pied féminin: "Quand je dessine, j'imagine les femmes nues. Le soulier doit déshabiller et non habiller. Un soulier réussi est un soulier qui laisse la femme nue. D'ailleurs, une femme dénudée avec des souliers n'est jamais ridicule", a-t-il un jour déclaré à Luxe Magazine . 

>>> A lire aussi: notre dossier sur les fantasmes sexuels 

Et pour un vrai fétichiste comme Michel, le créateur de chaussures, c'est l'Eldorado: "Chez lui, je suis connu comme le loup blanc. Je suis incapable d'entrer dans une de leurs boutiques sans repartir avec une paire pour ma femme. Elle en possède plusieurs centaines, que nous répertorions dans un document Excel. Certaines paires ont plus de 13 centimètres de talons. Autant dire qu'elles sont importables en dehors du lit. Mais c'est clairement pour cela qu'elles ont été dessinées!" 

Selon la psychothérapeute de couple et sexologue Mireille Dubois-Chevalier, le fétichisme se définit par l'érotisation d'une partie du corps au détriment du sujet -à savoir de la partenaire. "Il y a une dimension de soumission dans cette pratique. Pour voir le pied de l'autre, il faut se mettre au ras du sol. C'est la partie du corps la plus éloignée du sujet, incarnée par le visage. D'une certaine façon, c'est une forme d'évitement." 

Cette fascination sexuelle pour les pieds de femmes, très majoritairement chez les hommes, a intéressé Freud en son temps. Selon le père de la psychanalyse, le fétichiste a une peur profonde de la femme, due à son absence de phallus, ce qui provoque chez lui une angoisse de castration. Ne pouvant l'affronter directement, le fétichiste jouit de la femme de façon indirecte avec un objet de substitution. 

Des analyses qui peuvent paraître sévères. Colombe, elle, vit avec un fétichiste du pied et s'en amuse: "Avec mon compagnon, lorsque nous faisons l'amour, mes pieds bénéficient d'une attention toute particulière, alors j'essaye d'en prendre soin. J'applique des masques hydratants sur mes pieds pour avoir la peau douce. Mais cela n'impacte pas l'équilibre de notre vie sexuelle. Au quotidien en revanche, c'est parfois compliqué. Il ne supporte pas que je montre mes pieds. L'été, il déteste que je porte des sandales. Pour lui, les pieds sont des objets intimes, complètement sexuels, et les exhiber relève de la faute de goût. Les tongs, par exemple, sont une aberration esthétique selon lui!" 

"Lorsque je regarde une femme, la chose qui m'attire le plus, ce sont ses pieds. C'est selon moi la partie la plus sensuelle, la plus attirante de leur corps", témoigne Michel.
Si certaines femmes s'accommodent bien de cette "lubie" de leur partenaire, d'autres, au contraire, gardent un souvenir mitigé de leur relation avec un fétichiste. C'est le cas de Céline, qui, après une rupture l'ayant fragilisée, a été déstabilisée par une rencontre faite sur Internet: "J'étais un peu paumée, et il m'a proposé de l'argent en l'échange de... mes pieds. Je ne me suis pas rendue compte tout de suite que c'était un forme de prostitution. J'ai accepté car l'expérience était nouvelle", raconte-t-elle. 

"J'ai mis mes plus beaux escarpins et je me suis rendue chez lui. C'était un bel homme, la quarantaine, bien élevé et avec une bonne situation, vu le standing de son appartement. Nous avons bu du thé puis il s'est mis à examiner mes pieds, à les caresser et à les embrasser. J'étais extrêmement gênée. Il m'a fait boire du vin 'pour me détendre', et il m'a demandé de l'attacher à un radiateur et de lui marcher dessus, pendant qu'il suçotait mes pieds. Tout cela a duré une bonne heure. Nous en sommes restés là. Je suis partie et je n'ai plus jamais répondu à ses appels. La pratique en elle-même, le fait d'avoir été payée... Tout ça était bien trop bizarre pour moi." 

Dans Le journal d'une femme de chambre, de Luis Bunuel, le maître de maison est fasciné par les bottines de Célestine, jouée par Jeanne Moreau.
Martin, lui, est "collectionneur de pieds". Pour obtenir son témoignage, il a d'ailleurs fallu négocier: "Je ne répondrai que si vous m'envoyez une photo de vos pieds ." Le ton était donné. La photo envoyée, Martin commence son récit: "Pour moi, le fétichisme des pieds est un loisir. Un passe-temps, bien rangé dans mon jardin secret. J'ai un dossier sur mon ordinateur rempli de photos de pieds. Une bonne trentaine d'amies y participent, certaines en m'envoyant des photos, d'autres en entrant dans mes jeux. Parfois, je me caresse simplement en regardant leurs pieds. J'ai ainsi le sentiment des les posséder. Mais cela peut aller plus loin. Je peux prendre du plaisir avec des inconnues, juste en regardant leurs pieds dans la rue. Je suis marié, j'ai une vie de famille, mais ma femme ne sait rien de mes 'extras' avec les pieds d'autres femmes. Ce n'est pas la tromper, puisqu'elle n'est pas au courant!" 

Pour Pascal de Sutter, professeur de psychologie, clinicien et chercheur, coauteur de L'addiction sexuelle, Idées reçues sur une souffrance méconnue (éditions Le Cavalier Bleu, 2013), le cas de Martin est à la limite de ce qu'il nomme une "sexualité dysfonctionnelle". "Dans le développement psychique de ces fétichistes, le pied est l'objet d'une empreinte émotionnelle forte , qui remonte à l'enfance. En 'collectionnant les pieds', le sujet cherche à reproduire cet émoi sexuel ressenti petit enfant. On entre dans la pathologie lorsque la personne ne peut prendre de plaisir que grâce aux pieds de sa partenaire. Mais s'il est pratiqué entre deux adultes consentants, et que le fétichiste peut aussi jouir sans passer par ce biais, alors il ne s'agit que d'un jeu sexuel comme un autre." 

Lorsqu'on lui demande ce que lui inspire notre photo de pied, Martin répond, laconique: "Vous n'imaginez pas? Venez me rencontrer, et je vous montrerai..." 


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Paraphilie répandue, le fétichisme des pieds est une pratique sexuelle ancestrale et largement illustrée dans la littérature ou encore le cinéma. Tout comme le partenaire peut éprouver une fascination toute particulière devant des dessous en latex, le fétichiste des pieds adore une partie du corps dont le potentiel érotique n'est pas évident.
Le fétichiste des pieds est plus souvent l'homme. Adulant les pieds de sa partenaire, il en fait un élément central de sa sexualité : voir, caresser, sentir ou lécher un pied stimulent son désir, provoquent son excitation et décuplent son plaisir. Pratique inhabituelle, à l'image d'autre paraphilies comme le sadomasochisme ou le travestissement, le fétichisme des pieds peut interroger : s'agit-il d'un simple fantasme ou est-ce une réelle pathologie ?
Le Kamasutra indien, datant du VIème siècle, fait déjà état de pratiques sexuelles centrées sur les pieds. Pendant les épidémies de maladies sexuellement transmissibles en Europe au XVIème siècle, l'engouement pour les pieds à titre de fétiche se développe aussi tout particulièrement. Au fil des siècles, les arts reprennent cette fascination et en diminuent la connotation déviante. Le photographe Elmer Batters, notamment, mais aussi le réalisateur Quentin Tarentino et le chanteur Ricky Martin se revendiquent fétichistes des pieds. Pourtant, la question continue de se poser : le fétichisme des pieds peut-il devenir une obsession pathologique ?
De nombreux hommes et femmes sont fétichistes. Lingerie en dentelle, fluides corporels, escarpins et talons aiguille, torse musclé... divers objets et parties du corps provoquent le désir instantané et une excitation démesurée. Mais cette adoration peut revêtir plusieurs degrés : fantasmer sur les abdos de Ryan Reynolds n'empêche pas nécessairement d'éprouver du plaisir sexuel en l'absence de l'intéressé, fort heureusement. De même, lorsque le pied du partenaire est élevé au rang de fantasme, sa mise en scène au cours des relations sexuelles peut ne pas conditionner systématiquement l'orgasme. Mais certaines formes de fétichisme des pieds atteignent un degré important au point que le fétichiste ne jouit que grâce aux pieds. Dans ce cas, la lubie peut devenir problématique au sein du couple. Certains se prêtent au jeu et acceptent le fétichisme de leur partenaire, l'intégrant dans leur sexualité parfois même pour y ajouter une dose d'insolite. D'autres ne parviennent pas à satisfaire pleinement les besoins du fétichiste.
Leur odeur, leur toucher, leur aspect ou même leur goût stimule au point d'en faire des éléments indispensables de l'acte sexuel : les pieds peuvent prendre une importance démesurée de l'avis du partenaire. Partenaire qui doit, en sus, porter un soin tout particulier à cette partie du corps... Le fétichiste des pieds, lui-même, peut pâtir de sa paraphilie lorsqu'il n'est plus capable d'éprouver du plaisir en l'absence d'un pied.
Autre cas de figure, dans le cadre d'une relation d'un soir. Les amants ne connaissent pas leurs penchants sexuels respectifs : voir son partenaire observer, embrasser ou toucher ses pieds avec insistance peut être surprenant, parfois rédhibitoire.
Conséquence également fréquente du fétichisme des pieds : le fétichiste considère cette partie du corps intime au point qu'il ne supporte pas qu'ils soient dévoilés en public. Impossible d'être pieds nus même en plein été...
En des termes techniques, le fétichisme des pieds s'apparente à la podophilie. Si la podophilie désigne l'adoration du pied nu, le fétichiste des pieds peut être excité par tous les accessoires qui ornent cette partie du corps en le mettant en valeur. Il peut ainsi s'agir de bijoux - bague d'orteil ou bracelet de cheville - ou de bas et collants. Souvent, les chaussures représentent un objet de fantasme lié au fétichisme du pied : escarpins à hauts talons, tongs dévoilant le pied ou bottes en cuir sont alors utilisés dans le cadre de la sexualité du fétichiste en vue d'atteindre un plaisir plus intense.
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Les femmes politiques, les femmes à poigne, portent quasiment toutes des talons hauts. Talon aiguille = phallus dans le sens psychanalytique du terme que lui avait donné Freud, désignant le pouvoir. Pas étonnant que j’aime alors te toiser, perchée sur mes escarpins vertigineux ! Il y a du fétichisme dans l’air… À plat ventre petit ver de terre ! Tu rampes, tu te traines sur mon parquet, obsédé par cette vision divine. Peut-être alors raisonnent en toi les rimes de cette chanson de Bashung : « J’ai longtemps contemplé Tibias, péronés Au ras des rez-de-chaussée Ces cités immenses Où je ne rutilais pas J’arpentais des tapis de braise Je suis pas libre… » Trêve de poésie ! Je m’assois dans mon fauteuil le plus confortable. Relève-toi ! Et vas donc me préparer un thé au jasmin. Ah te voilà enfin ! Tu me sers une tasse puis je t’ordonne de venir t’assoir à genoux, parterre face à moi. Je veux que tu me vénères pour mieux me plaire. Je lève légèrement la jambe pour frotter mon talon aiguille sur tes bras, ton ventre, autour de tes parties génitales. J’alterne frôlements à la limite des chatouilles et petits coups vifs qui te font sursauter. D’un instant à l’autre, tu ne sais ce qui va tomber, tu perds le contrôle, ensorcelé par ma beauté. J’attrape tes mains et je les pose sur mes chevilles comme une récompense. J’y attache tes poignets, nous voilà en pleine fusion. Tu es scotché à moi au sens propre et figuré. Tu aimerais caresser mes jambes mais c’est interdit. Le fétichisme implique bien des sacrifices… Je t’attrape les tétons, les tords, les pince, les fais rouler entre mes doigts. Tu subis, stoïque. Magnanime, je t’autorise à embrasser mes mollets, tu t’exécutes. Tes lèvres frôlent la résille de mes bas. A travers, tu t’enivres du parfum de ma peau. Alors je te délivre. Tes mains de nouveau mobiles, vont se consacrer à mes pieds. Je t’ordonne de m’ôter mes chaussures. Tu galères avec la bouche. Clac ! Je te réprimande d’un coup de cravache sur l’épaule. Avant de venir, tu aurais pu t’entrainer à cette tâche propre à tout bon adepte du fétichisme, nous perdons du temps. Maintenant, active donc tes doigts sur la plante, appuie par petites pressions bien au centre, j’ai des clitoris sous les pieds. A toi de trouver la juste intensité, guidé par mes réactions de contentement ou d’énervement. Ça y est ! Une grande détente m’envahit, je baille, je m’enfonce dans le fauteuil. Alanguie, j’oublie tout. Je me redresse, l’envie me prend de t’attacher soudain les mains dans le dos avec les menottes alors que tu restes à genoux. Cette position de dévotion, me semble tellement esthétique ! J’enlève très lentement mon bas gauche, je le fais glisser sur ma peau qui se dévoile comme un paysage que tu ne peux qu’admirer sans pouvoir le toucher. Frustration ! C’est ça qui est bon ! Mon pied et ses ongles vernis de rouge vif s’approche de ton visage. Lèche ! Tu te concentres alors sur ta mission : passer ta langue entre chaque orteil avec vigueur. Tu mollis ? Je te pince le téton gauche ! Tu reprends ton labeur. Je sens mon pied mouillé, alors avec, j’essuie la salive sur ta joue. Je croise ton regard troublé, tout entier
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