Femmes matures aux mains d'argent
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Femmes matures aux mains d'argent
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RĂ©sumĂ© : Le petit ami de Claire est dĂ©tenu par des hommes Ă qui il doit de lâargent. Si elle veut le sortir de lĂ , Claire va devoir accepter leur offre.
Depuis plusieurs semaines maintenant, Claire Ă©tait aux anges avec son copain. Elle ne lui avait jamais avouĂ© ce quâil sâĂ©tait rĂ©ellement passĂ© le soir oĂč il lâavait trouvĂ©e nue attachĂ©e Ă son lit. Elle nâavait pas le courage de le faire et prĂ©fĂ©rait faire comme si tout cela nâavait Ă©tĂ© quâun rĂȘve ; un merveilleux et inoubliable rĂȘve. Toujours est il que depuis cette nuit, Claire prenait un pied dâenfer avec son copain Ă chaque fois quâils faisaient lâamour. Ce dernier nâavait jamais posĂ© de questions concernant son brusque changement de comportement, mais il Ă©tait ravi des consĂ©quences quâil avait eu. Mais le copain de Claire avait une fĂącheuse habitude ; Ă chaque fois quâelle prĂ©tendait devoir bosser et quâil ne pouvait se voir, ce qui, Ă une certaine Ă©poque, arrivait couramment, il se rendait dans des endroits peu frĂ©quentables pour jouer au poker. Et bien que sa frĂ©quence se soit fortement rarĂ©fiĂ©e depuis la fameuse nuit, cette habitude nâavait pas totalement disparue. Mais un jour, ce qui devait arriver arriva. Claire connaissait bien ses habitudes et avait tentĂ© Ă de multiples reprises de la lui faire abandonner, mais sans succĂšs. Un soir il arriva chez elle, blĂȘme, la mine complĂštement dĂ©confite. Claire commença Ă lâinterroger sur ce qui lâavait mis dans cet Ă©tat, mais avant mĂȘme quâil ait commencĂ© son explication, elle remarqua que sa montre nâĂ©tait plus Ă son poignet et devina dâoĂč il venait.
â Jâai tout perdu. Tout ! Je suis mort !
â Quâest ce que tu veux dire Xavier ? Quâas-tu fais ?
â Tu comprends pas ? Je leur dois un paquet de fric et si je leur file pas, il vont me faire la peau !
Le silence se fit. Claire nâavait quâune envie, le sermonner, lui rappeler quâelle lâavait prĂ©venu Ă de nombreuses reprises et quâil ne pouvait sâen prendre quâĂ lui mĂȘme, mais elle comprit en voyant son regard que cette fois câĂ©tait bien plus grave que les fois prĂ©cĂ©dentes. Sans mĂȘme prendre la peine de se dĂ©shabiller, il sâĂ©tait mis sous les draps et tremblait comme une feuille. Il Ă©tait clairement en Ă©tat de choc. Claire vint sâinstaller Ă cĂŽtĂ© de lui.
â Combien leur dois-tu ?
â 5000.
Claire avait prĂ©parĂ© une phrase pour le rassurer, mais Ă lâannonce de cette somme, elle comprit quâelle Ă©tait dĂ©sormais hors de propos. Aucun dâeux ne dormit cette nuit lĂ , mais ils nâĂ©changĂšrent cependant pas un mot. Toute la nuit, Claire se demanda ce quâelle pouvait bien faire pour lâaider, puis elle finit par se dĂ©cider. DĂšs le lendemain matin, elle irait retirer tout ce quâelle pourrait puis se rendrait elle mĂȘme Ă lâendroit oĂč Xavier jouait pour remettre lâargent et essayer de convaincre lâhomme de renoncer Ă ce qui manquait et de les oublier. Peut-ĂȘtre serait-il raisonnable et quâil aurait pitiĂ© en voyant Claire, les yeux humides, le suppliant dâoublier jusquâĂ lâexistence de son copain. Du moins câest ce quâelle espĂ©raitâŠ
Un contrat pour Claire Le lendemain matin, comme prĂ©vu, Claire rĂ©unit tout ce quâelle pu, câest Ă dire Ă peu prĂšs 3000âŹ, puis se rendit au club frĂ©quentĂ© par son copain. Un gros balĂšze lâaccueillit froidement Ă lâentrĂ©e :
â Tu veux quoi toi ?
â Je viens de la part de Xavier, remettre ce quâil vous doit.
â Ah fallait le dire tout de suite. Entre.
Claire suivit alors le colosse qui la fit monter deux Ă©tages. Puis il stoppa, lui dit dâattendre et frappa Ă une porte. De lâautre cĂŽtĂ©, un homme lâinvita Ă entrer, ce quâil fit. Claire comprit que câest Ă cet homme quâelle aurait affaire. Quelques instants plus tard, le balĂšze reparut et lui fit signe dâentrer. Elle Ă©tait nerveuse mais faisait tout pour ne rien laisser paraĂźtre. Elle devait ĂȘtre aussi ferme et dĂ©terminĂ©e que possible. Elle franchit donc la porte et pĂ©nĂ©tra dans un bureau gigantesque et honteusement luxueux. Elle pensa aussitĂŽt que cet homme lĂ ne devait pas ĂȘtre Ă quelques centaines dâeuros prĂšs. Pendant quâelle tentait de se rassurer de la sorte, elle avançait vers lâhomme assis derriĂšre son bureau qui lâobservait avec beaucoup dâattention. Elle sâarrĂȘta Ă environ un mĂštre du bureau et lâhomme brisa le silence :
â Ainsi tu es la copine de Xavier. Dis donc, Ă le voir jouer je nâaurais jamais imaginer quâil pouvait avoir autant de chance.
â Euh je vous remercie. Je viens vous remettre lâargent quâil vous doit.
Lâhomme saisit lâenveloppe que lui tendit Claire, puis afficha un large sourire dĂšs quâil lâouvrit.
â Je nâai jamais Ă©tĂ© trĂšs douĂ© en maths, mais je crois pouvoir affirmer quâil en manque un certain nombre.
â Oui je sais. Je vous promets que nous vous rembourserons les 2000 manquant aussi rapidement que nous le pourrons.
â Ah, de toute Ă©vidence nous nous trouvons face un problĂšme. Soit câest un problĂšme de communication entre vous deux, soit câest Xavier qui ne sait pas compter.
â Que voulez-vous dire ?
â Ce que je veux dire, câest quâil ne me doit pas seulement 5000âŹ, il doit Ă©galement 5000⏠à trois de mes associĂ©s. Ătais-tu seulement au courant de cela ?
Claire nâen revenait pas. En effet, il lui avait bien parlĂ© de 5000âŹ, mais elle en avait dĂ©duit quâil devait 5000⏠à une personne, hors il devait 5000⏠à quatre personnes, soit 20000âŹ. Mais comment avait-il fait pour devoir autant dâargent ? Claire Ă©tait morte de honte et nâavait quâune envie, sâenfuir Ă toutes jambes. Mais lâhomme vit bien dans quel Ă©tat elle se trouvait et lui fit une proposition :
â Ăcoute, je te propose quelque chose, comme tu mâes sympathique, je vais tĂ©lĂ©phoner Ă mes trois associĂ©s pour voir sâil sont dâaccord pour passer lâĂ©ponge. Je te propose de repasser ce soir Ă 21h pour que je puisse tâinformer de leur dĂ©cision. Ăa te convient ?
Bien quâil fasse tout pour paraĂźtre charmant, Claire se doutait bien que ce nâĂ©tait pas le genre dâhomme Ă qui lâon pouvait se fier. Mais avait-elle dâautres choix ?
â Câest dâaccord. Je repasserai vers 21h.
â Parfait. Ah juste une chose. La prochaine fois que tu dois rentrer dans mon bureau, essaye dâĂȘtre plus Ă©lĂ©gante. Jâai une rĂ©putation Ă tenir tu comprends.
Claire nâĂ©tait pas dupe. Ce quâil venait de faire Ă©tait clair : Il lui demandait de venir bien habillĂ©e ce soir. Mais pour quelle raison ? En tout cas, les choses Ă©taient claires pour elle dĂ©sormais; elle ne rĂ©glerait pas cette histoire sans passer sous le bureau. En tout cas dans le meilleur des cas⊠Mais elle ne pouvait pas reculer. Si câĂ©tait le prix Ă payer pour obtenir la paix, elle Ă©tait prĂȘte Ă le payer !
Ce soir lĂ , comme prĂ©vu, elle se prĂ©senta devant la porte de lâĂ©tablissement Ă 21h. Elle avait suivi la recommandation Ă©mise quelques heures plus tĂŽt par le dirigeant et sâĂ©tait donc parĂ©e dâun chemisier blanc Ă agrafes, lĂ©gĂšrement transparent et quelque peu ouvert, dâun pantalon noir un peu moulant et dâune paire de bottines. Ce nâĂ©tait pas exceptionnel, mais comme elle craignait de devoir les enlever assez rapidement, elle se dit que cela suffirait bien. Le mĂȘme balĂšze lâaccueillit et sans mĂȘme dire un mot la conduisit au bureau de son patron. Il frappa deux coups Ă la porte et sans mĂȘme attendre une rĂ©ponse, il ouvrit la porte puis sâen retourna Ă son poste. Il nây avait pas de lumiĂšre dans la piĂšce, seule la lampe de bureau Ă©tait allumĂ©e. Claire respira un grand coup, pĂ©nĂ©tra dans le bureau et referma la porte. Lâhomme quâelle avait vu plus tĂŽt dans la journĂ©e se tenait Ă la mĂȘme place que quand elle lâavait rencontrĂ©. Une nouvelle fois, câest lui qui brisa le silence.
â Bonsoir. Je vois que tu as fais ce que je tâai demandĂ©. Câest trĂšs bien. Je savais quâon allait sâentendre tous les deux. NĂ©anmoins, en ce qui concerne notre petit diffĂ©rent, les choses ne se sont pas aussi bien passĂ©es que je lâespĂ©rais.
Claire ne fut pas surprise par cette nouvelle. Elle sây attendait clairement. La question Ă©tait, quâallait-elle donc devoir faire pour rĂ©gler ce diffĂ©rent.
â Mais nous ne sommes pas des monstres. Vu la charmante nĂ©gociatrice que Xavier nous a envoyĂ©, nous nous somme dit que nous pouvions surement trouver un arrangement. Quâen penses-tu ?
â Je suis dâaccord.
â Parfait. Comme nous sommes tous rĂ©unis ici ce soir, je pense que nous pouvons dĂšs Ă prĂ©sent entamer les nĂ©gociations.
Claire se retourna alors, suivant le regard de lâhomme et parvint Ă distinguer trois chaises occupĂ©es, Ă lâautre bout de la piĂšce, dans le noir le plus complet. Son cĆur sâemballa subitement. Elle nâavait pas imaginĂ© devoir en arriver lĂ . Mais il Ă©tait bien trop tard pour faire demi tour. Elle tourna de nouveau son regard vers son interlocuteur qui affichait un grand sourire, surement ravi dâavoir enfin rĂ©ussi Ă la faire vaciller. Il reprit aussitĂŽt la parole :
â Pour commencer, je te propose de gagner les faveurs de ton auditoire.
Sa main disparut sous son bureau et un petit âclicâ se fit entendre. Claire se retourna de nouveau et dĂ©couvrit ce que lâinterrupteur avait dĂ©clenchĂ©. Un spot venait de sâallumer au milieu de la piĂšce laissant apparaĂźtre une barre verticale. Claire ne jugea pas utile de poser la moindre question. Elle se souvint de la lettre quâelle avait reçu dans lâaprĂšs-midi, une lettre provenant Ă nâen pas douter du mystĂ©rieux homme qui lui avait fait passer la plus belle nuit de sa vie quelques semaines plus tĂŽt. Il y Ă©tait Ă©crit : « Je sais ce que tu as fait ce matin et tu as eu tord ! Mais maintenant il est trop tard pour faire machine arriĂšre. Ce soir, on va te faire une proposition que tu devras accepter. Quoi quâil te demande, fais-le. Je vais te sortir de lĂ , je te le promets. Mais je ne pourrai rien faire avant 5 jours. Alors dâici lĂ , tiens le coup ! » Bien quâelle nâait passĂ© que quelques instants avec lâauteur de cette lettre, bien quâelle nâait mĂȘme jamais vu son visage, elle faisait entiĂšrement confiance Ă cet inconnu. Elle se dirigea donc doucement vers la barre tout en essayant de calmer ses tremblements et de se remĂ©morer ce quâelle avait vu faire dans les films avec de pareilles barres. Elle se mit face Ă son auditoire quâelle nâarrivait toujours pas Ă distinguer Ă cause du spot qui pointait vers elle. Elle retira alors ses bottines, ferma les yeux, essayant dâimaginer que seul son mystĂ©rieux amant lâobservait, et entama sa danse.
Elle commença par poser ses mains dans ses cheveux, puis les fit glisser doucement vers le bas, insistant bien sur ses seins. Elle descendit jusquâĂ ses chevilles, puis remonta exactement de la mĂȘme maniĂšre. En faisant cela, elle ondulait trĂšs lĂ©gĂšrement avec son corps. On aurait cru quâelle avait fait cela toute sa vie ! Puis aprĂšs avoir tournĂ© quelques secondes autour de sa merveilleuse poitrine, elle entreprit dâenlever les quelques agrafes qui maintenaient son chemisier fermĂ©. Une fois cela fait, elle le retira doucement. A la vue de son 90-C parfaitement rempli, lâun des spectateurs fit entendre un âhummmmâ faisant comprendre quâil apprĂ©ciait la vue quâelle lui offrait. Claire colla donc la barre entre ses seins et sâaccroupit doucement, en prenant soin de la maintenir oĂč elle se trouvait. Elle se releva ensuite tout en gardant la barre contre elle. Au bruit que faisait le soutien gorge, on voyait bien quâil nâapprĂ©ciait pas ce que Claire lui faisait subir. Le principal Ă©tait que les spectateurs apprĂ©cient eux. Puis elle leur fit dos et dĂ©grafa son soutien gorge. Lâhomme Ă son bureau se trouvait dĂ©sormais en face dâelle et assistait au spectacle avec beaucoup dâattention. Claire se rassura en se disant quâau moins elle ne faisait pas ça pour rien vu quâils avaient lâair dâapprĂ©cier le spectacle. Elle laissa donc son soutien gorge tomber Ă ses pieds. Un des trois spectateurs la siffla, visiblement ravi lui aussi. AprĂšs avoir de nouveau respirĂ© un grand coup, Claire fit volte face afin de faire dĂ©couvrir sa poitrine aux trois hommes. Elle entendit lâun dâeux murmurer Ă lâoreille de son voisin « Ăa câest de la gonzesse ! ». Tandis quâelle poursuivait sa danse, Claire dĂ©boutonna son pantalon puis le fit glisser tout doucement jusquâĂ ses chevilles. Elle ne portait dĂ©sormais plus quâun simple shorty en dentelle totalement transparent. Claire se mit alors en position accroupie, la barre entre les cuisses. Elle tenait la barre fermement de ses deux mains, les bras tendus au dessus de la tĂȘte. Elle dĂ©buta alors des mouvements verticaux, Ă la force des bras, frottant ainsi son sexe contre la barre. Quelques lĂ©gers gĂ©missements lui Ă©chappĂšrent, mais elle Ă©tait beaucoup trop concentrĂ©e sur ce quâelle faisait pour y prendre du plaisir. Et le moment quâelle redoutait le plus approchait. Dans quelques secondes, elle serait nue face Ă ces hommes et, timide comme elle lâĂ©tait, cela la dĂ©rangeait bientĂŽt plus que de leur faire une fellation. Cependant, elle ne pouvait y Ă©chapper et elle le savait bien. AprĂšs environ 3 minutes Ă se frotter contre la barre, elle se redressa donc et posa ses mains quelques centimĂštres au dessus de ses seins. De nouveau elle les fit glisser le long de son corps doucement, tout doucement, repoussant au maximum le moment ou elles finiraient par atteindre le dernier morceau de tissu masquant son intimitĂ©. Mais ce moment arriva. Claire ferma alors les yeux et ne put cacher une grimace au moment oĂč ces doigts passĂšrent sous la dentelle afin de lâentrainer dans leur mouvement de descente. Une fois le shorty arrivĂ© Ă ses pieds, elle sâempressa de le retirer, se redressa et cacha son intimitĂ© avec ses mains. Lâhomme installait derriĂšre son bureau intervint aussitĂŽt :
â Je suis dĂ©solĂ©, mais il va falloir ĂȘtre un peu plus convaincante que cela. Vu que tu tâes plutĂŽt bien dĂ©brouillĂ©e jusque lĂ , jâaccepte dâoublier ce que je viens de voir et de te laisser encore quelques minutes. Profites-en, je ne serai pas toujours aussi clĂ©ment.
Claire, pour la premiĂšre fois de la soirĂ©e, perdit alors son calme. Que pouvait-elle bien faire Ă prĂ©sent ? Pendant quelques secondes, qui lui parurent durer une Ă©ternitĂ©, elle resta plantĂ©e debout, les mains toujours devant son sexe sans savoir quoi faire. Elle se remĂ©mora alors la lettre. Elle devait absolument les satisfaire. Elle entreprit alors de se remettre dans la position prĂ©cĂ©dente, Ă savoir accroupie, la barre contre son sexe. Comme quelques minutes auparavant, elle se frotta contre la barre. Toutefois, elle craignait de ne pas pouvoir sâen sortir aussi facilement. Mais au bout dâun certain temps, Claire rĂ©alisa quâelle mouillait lĂ©gĂšrement, diminuant dâailleurs lĂ©gĂšrement la sensation de brulure que lui procurait la barre lors de ses va-et-vient. Elle fit alors ce quâelle put pour se dĂ©tendre, afin dâamplifier le phĂ©nomĂšne de lubrification. Puis, ayant jugĂ© que cela suffisait, elle se redressa et fit un pas en arriĂšre. Elle se mit alors Ă quatre pattes face Ă la barre et posa un doigt sur celle-ci Ă lâendroit oĂč elle sây Ă©tait frottĂ©e. Comme elle lâavait prĂ©dit, un lĂ©ger filet accompagna son doigt lorsquâelle le retira. Elle lâapprocha alors de sa bouche et le lĂ©cha. Cela la dĂ©goutait, mais elle Ă©tait sĂ»re que ça leur plairait. Elle sâapprocha alors de la barre et commença Ă la lĂ©cher. Elle faisait de longs et lents mouvements avec sa langue, comparable Ă des caresses. Lâhomme derriĂšre son bureau se leva alors. Elle avait rĂ©ussi son coup !
â FĂ©licitations, lui dit-il. Je suis convaincu et je pense pouvoir affirmer sans me tromper quâil en est de mĂȘme pour mes collaborateurs. Tu peux te relever.
Claire sâexĂ©cuta et se tourna vers son interlocuteur. Machinalement, elle allait poser ses mains devant son sexe, mais quand elle le rĂ©alisa, elle remit ses bras le long du corps aussi sec, ce qui le fit sourire.
â Bon nous allons dĂ©sormais aborder les modalitĂ©s du contrat. Nous avons dĂ©cidĂ© Ă lâunanimitĂ© que nous avions dĂ©jĂ Ă©tĂ© bien trop gentil avec ton mec. Jâai donc envoyĂ© mon homme de main le rĂ©cupĂ©rer cet aprĂšs midi. Il est dĂ©tenu dans un sous sol de lâun de mes clubs. Cependant, nous ne lui ferons rien tant que nous serons satisfait de ton comportement. Et Ă©tant donnĂ© quâil nous doit 5000⏠à chacun, 3000 en ce qui me concerne, nous te proposons ceci : Tu passeras 5 jours chez chacun de mes collaborateurs et 3 en ma compagnie. Tu devra satisfaire nos moindres exigences et si tu y parviens, alors dans 18 jours, vous retrouverez tous deux la libertĂ©. Cela te paraĂźt-il acceptable ?
18 jours !!! Claire accusait le coup. Dans la lettre, lâinconnu avait indiquĂ© quâil ne pourrait rien faire pour elle avant 5 jours.
â Et quand dĂ©buterait le premier⊠sĂ©jour ? Demanda-t-elle dâune voix tremblante.
â DĂšs ce soir, lui rĂ©pondit lâhomme.
Mince ! Quoi quâil arrive, elle devrait passer 5 jours avec un de ces hommes. Mais ils dĂ©tenaient Xavier. Impossible de refuser.
â Câest dâaccord. Jâaccepte, dit-elle la gorge serrĂ©e.
â Parfait. Tom. Elle est Ă toi pour 5 jours. Profites en bien !
Claire entendit un des trois hommes se lever. Elle allait se retourner afin de découvrir le visage de son futur bourreau, mais celui-ci lui aboya :
â Ne bouges pas !
Ces mots lui glacĂšrent le sang. Elle Ă©tait terrorisĂ©e et ne pouvait plus rien faire pour tenter de le cacher. Des larmes commençaient Ă lui couler le long des joues. Lâhomme dĂ©nommĂ© Tom se mit alors derriĂšre elle, et posa quelque chose sur le sol. Au bruit, cela devait ĂȘtre une sorte de mallette. Il lâouvrit et aprĂšs avoir y fouillĂ© quelques secondes saisit les mains de Claire et lui menotta dans le dos. Il lui mit ensuite un bandeau sur les yeux et lui mit brutalement en bouche une grosse boule en plastique quâil lui fixa derriĂšre la tĂȘte avec une laniĂšre en cuir. Claire avait dĂ©jĂ vu ce genre dâobjet lors dâun reportage Ă la tĂ©lĂ© sur un couple sâadonnant au bondage. Pour finir, il lui mit un collier autour du cou, visiblement en cuir lui aussi. Câen fut trop pour elle. Elle manqua de sâĂ©vanouir tellement elle Ă©tait terrifiĂ©e. Elle Ă©tait Ă peine consciente de ce qui se passait dorĂ©navant. Lâhomme la fit sortir du bureau, en la tirant par une laisse fixĂ©e au collier quâil venit de lui mettre et lâentraina Ă travers plusieurs couloirs et la fit descendre quelques escaliers. Elle se retrouva alors a lâextĂ©rieur. Elle Ă©tait gelĂ©e ; il faisait Ă peine 10° et elle Ă©tait totalement nue. Lâhomme dĂ©verrouilla sa voiture, et plaça Claire dans le coffre. Puis il dĂ©marra et quitta les lieux. Au bout dâenviron une heure, Claire commença Ă rĂ©aliser dans quoi elle sâĂ©tait embarquĂ©e. A prĂ©sent, elle regrettait lĂ dĂ©cision quâelle avait prise la nuit prĂ©cĂ©dente et elle maudit Xavier Ă cause de qui elle Ă©tait dans cette situation. Quâallait donc bien pouvoir lui faire subir ce Tom et ou lâemmenait-il ? Lâinconnu allait-il vraiment pouvoir lâaider ?
jâaime beaucoup ton histoire et la trouve trĂšs excitante tout comme la photo qui nous met bien en tĂȘte la tenue de claire . trĂšs apprĂ©ciable que ton amie se rassure !!je me languis de la suite des aventure de claire
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