Femmes Italiennes des années 90 y vont fort

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Femmes Italiennes des années 90 y vont fort
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BEAUTÉ - À la cinquantaine, une femme se sent parfois invisible. Personne ne la regarde quand elle entre dans un café ou un restaurant. Les gens qu’elle croise dans la rue semblent ne pas la voir, comme si elle n’existait pas. Si vous lui posez la question, elle vous dira que ces marques d’inattention lui ont fait perdre de l’assurance, parce qu’elles suggèrent que ses meilleures années sont derrière elle.
Nous vivons dans une société où la jeunesse est souvent synonyme de beauté et d’énergie. Au Huffington Post , nous souhaitons prendre le contre-pied de cette façon de voir les choses. Nous pensons que les femmes peuvent être intelligentes et audacieuses, belles et sûres d’elles – et continuer à influer sur le monde qui les entoure – à 50, 75 ou même 100 ans!
Dans cette optique, Huff/Post50 a pris en photo 11 femmes très sexy, âgées de 48 à 67 ans. Des célibataires, des femmes mariées, des grand-mères, des femmes qui se sont remises d’un cancer. Ce qu’elles ont en commun, c’est qu’elles n’ont pas la langue dans leur poche. Elles se sentent mieux aujourd’hui qu’elles ne l’ont jamais été. Nous leur avons demandé de mettre une tenue dans laquelle elles se sentaient sexy, et de nous dire ce que ce mot évoque pour elles aujourd’hui, par rapport à ce qu’il représentait quand elles avaient la vingtaine. Le résultat – garanti sans retouches – est tout simplement éblouissant.
Sheryl Roberts, 48 ans – "Je sais que je suis idéalement imparfaite, avec mes défauts et mes qualités."
"Quand j’avais la vingtaine, j’étais mannequin. Je n’avais pas confiance en moi, et je suivais l’avis des autres. Je n’avais pas d’identité propre. Je portais ce qui était à la mode, j’imitais les autres filles de mon âge, et je faisais tout pour que l’on m’apprécie. Je n’avais aucune idée de ce dont j’étais capable, ou de ma sexualité. La plus grande différence entre celle que j’étais à 20 ans et celle que je suis aujourd’hui, à 48 ans, c’est que je me fiche totalement de ce que les gens pensent de moi. L’image que les autres ont de moi ne correspond pas à ma réalité. Je n’ai pas envie de me fondre dans la masse. C’est d’ailleurs pour cela que je vends des objets vintage avec ma société, IndigoStyle Vintage, qui met l’accent sur l’expression d’un point de vue personnel. Je suis sexy parce que j’ai de l’assurance, je souris et je m’accepte telle que je suis. Je n’ai pas peur de découvrir de nouvelles choses en moi, et je sais que je suis idéalement imparfaite, avec mes défauts et mes qualités."
Anne Rosenberg, 59 ans – "Je suis très attirée, et inspirée, par mon côté sexy."
"Etant donné que je suis une enfant des années 1960, j’aurais peut-être dû être un peu plus, disons, hippie (...) mais personne ne m’a prévenue! J’étais concentrée sur mes études et, le reste du temps, sur l’équitation et les travaux de la ferme. Ma tenue standard, c’était une chemise à carreaux, une salopette et des bottes. J’avais le sentiment que la sexualité ne me concernait pas. J’étais 'désexualisée' et je refusais de laisser mon désir s’exprimer. Aujourd’hui, je rigole doucement en pensant qu’à vingt ans, quand ma sexualité n’aurait posé de problème à personne, j’étais coincée. Et maintenant que la société est mal à l’aise avec la sexualité des femmes mures, je m’épanouis! Je suis très attirée, et inspirée, par mon côté sexy. C’est extraordinaire."
Mary Ann Holand, 58 ans – "Personne ne décide à ma place de ce qui est sexy ou non chez moi."
"Je pense que les femmes n’apprécient vraiment leur beauté et leur sensualité qu’à l’âge mûr. A la cinquantaine, je me sens bien plus sexy que quand j’avais 20 ans. A l’époque, je me comparais aux autres et aux critères dictés par les magazines de mode et de beauté. C’était très lourd à porter! Avec l’âge, on se sent plus sure de soi, et on a compris que l’organe le plus sexy de notre corps, c’est le cerveau! Personne ne décide à ma place de ce qui est sexy ou non chez moi. Le cheminement que j’ai suivi pour devenir celle que je suis aujourd’hui a modifié ma perception. Je suis une épouse, une mère, une grand-mère, et j’ai survécu à un cancer (avec mastectomie). J’ai la chance d’avoir conscience de ma sensualité à la cinquantaine, et je me réjouis des décennies à venir! Je suis enfin libre d’être moi-même!!!"
Shannon Bradley-Colleary, 50 ans – "Je dis ‘oui’ plus facilement."
"Je me suis rendu compte que, depuis que j’ai passé le cap de la cinquantaine, je dis ‘oui’ plus facilement. Du coup, je me sens belle, pleine de vie et sexy. 'Tu veux faire du bénévolat dans un camp de réfugiés syriens à Lesbos?' Oui. 'Tu veux prendre un cours d’initiation au pole dancing?' Oui. 'Tu veux un rendez-vous arrangé avec ton mari où vous faites semblant de vous rencontrer pour la première fois?' Dites-moi où je dois signer! A la vingtaine, j’avais peur de ne pas être assez intelligente, sexy et de ne pas être suffisamment bien foutue pour dire 'oui' à tout ce que je voulais essayer (je me disais aussi que je pourrais faire mieux niveau orgasmes, parce que je me donnais autour de 11/20 de ce côté-là). A 50 ans, je n’ai plus de temps à perdre avec ces bêtises. Je prends un peu les choses comme elles viennent. 'Tu veux bien te regarder dans le miroir et aimer ce que tu y vois aujourd’hui?’ Oui. Et merci."
Barbara Rabin, 67 ans – "Surmonter ces épreuves m’a rendu beaucoup plus forte. Une force qui me rend plus sexy."
"Être sexy, c’est avoir confiance en soi. Etre bien dans sa peau. Se regarder dans la glace et aimer ce que l’on voit. Quelqu’un m’a dit un jour que les cheveux longs, c’était pour les femmes jeunes. Et la plupart des femmes de mon âge ont les cheveux courts. Moi, j’aime quand ils sont longs et détachés. Je trouve ça sexy. L’important, c’est de se dire: ‘Je m’aime comme cela, et ça me va très bien.' Quand j’avais la vingtaine, je ne pensais qu’à ma carrière. Entretemps, j’ai perdu mon mari, et j’ai eu un cancer. J’ai surmonté ces épreuves, et ça m’a rendu beaucoup plus forte. Une force qui me rend plus sexy."
Pamela Madsen, 52 ans – "La sexualité est aujourd’hui une alliée."
" Quand j’avais la vingtaine , je voulais être invisible sur le plan sexuel parce que je me méfiais de la relation que j’entretenais avec mon corps. J’avais peur d’être vue. Aujourd’hui, passé le cap de la cinquantaine, je vous défie de ne pas me regarder! Je n’ai plus peur de mon côté sexy, parce que ce mot n’est plus synonyme d’inquiétude mais d’émancipation et de plaisir! Je sais que je sais faire le tri entre ce qui est bon pour moi et ce qui ne l’est pas. Ca m’a peut-être pris quelques dizaines d’années mais la sexualité est aujourd’hui une alliée, et j’aime la retrouver."
Sandra LaMorgese, 59 ans – " Je me concentre désormais sur ce qui me rend heureuse."
"Quand j’avais vingt ans, la sexualité était avant tout une question d’image. Je savais nettement ce qu’une femme sexy devait faire, dire et ressentir, à quoi elle devait ressembler, et je dépensais une énergie folle à tenter de donner cette impression aux autres. A présent que j’ai la cinquantaine, mon point de vue est radicalement différent: je n’éprouve plus le besoin d’être appréciée, sexy, désirable et libre parce que je sais que je le suis déjà. Je change régulièrement de partenaires romantiques et sexuels. C’est la vie. Ce qui ne change pas, en revanche, c’est celle que je suis. Ce qui veut dire que c’est à moi de trouver une manière de vivre ma sexualité, mon identité et mon amour-propre. Quand j’ai compris ça, je me suis débarrassée d’une grande partie de l’angoisse que je ressentais vis-à-vis de la sexualité parce que je n’avais plus à me préoccuper de toutes les choses sur lesquelles je n’avais aucune influence. Je me concentre désormais sur ce qui me rend heureuse, entière et affectueuse, et quand je rencontre des personnes attirées par ces qualités, nous vivons des choses très agréables et enrichissantes."
April Johnson, 58 ans – "Aujourd’hui, [être sexy] est avant tout une manière d’être."
"Pour moi, la beauté est synonyme de séduction. Et qu’est-ce qui nous rend séduisant? La gentillesse, l’amour, la générosité, l’empathie, grâce auxquelles notre beauté intérieure se reflète à l’extérieur. Quand j’avais vingt ans, je pensais qu’être sexy, c’était s’habiller d’une certaine manière pour séduire le sexe opposé et tenter de savoir ce qu’ils trouvaient sexy. Aujourd’hui, c’est avant tout une manière d’être. Les vêtements que je porte ne me définissent pas. C’est même l’inverse. Je me sens bien dans ma peau. Le fait de me sentir sexy me plaît et me rend heureuse. Ma relation aux autres s’en ressent. C’est une belle façon d’emplir le monde de bonheur!"
Robin Hoffman, 50 ans – "Le corps est quelque chose de magnifique, mais la beauté intérieure l’est davantage."
"Pour moi, la différence entre la sensualité à 21 ans et à 50 ans, c’est le chemin parcouru. Indépendamment du fait que ce ne sont plus les jeans délavés qui me font un beau cul mais les pantalons de yoga, je suis encore en train de prendre conscience que mon bien-être ne dépend plus des hommes, comme ceux qui me faisaient craquer quand j’étais à la fac. Bien entendu, il m’arrive encore de l’oublier, mais j’ai désormais une ligne que je m’efforce de suivre. Elle peut émaner de la force et de l’amour ou, à l’inverse, accentuer chaque bourrelet, chaque critique. Etre sexy à 50 ans, c’est se débarrasser de sa carapace pour permettre à la lumière que nous avons en nous d’éclairer le monde qui nous entoure. C’est s’attacher à la beauté de l’esprit plutôt qu’à la rondeur des culs et la grosseur des seins. Le corps est quelque chose de magnifique, mais la beauté intérieure l’est davantage."
Felicia Gomes-Gregory, 50 ans – "[Être sexy] est avant tout une manière de prendre soin de ma beauté intérieure."
"Quand j’avais 25 ans, j’apprenais à être sexy. Mes idées étaient dictées par des facteurs extérieures (magazines, livres, télé, etc.), par les hommes et, surtout, par le 'village des femmes' qui m’ont élevée, ma mère notamment. On m’a toujours appris qu’il n’y avait pas besoin de se déshabiller pour être 'sexy'. Aujourd’hui que j’ai 50 ans, c’est avant tout une manière de prendre soin de ma beauté intérieure, et aussi extérieure. Quand une femme s’est émancipée spirituellement et physiquement, qu’elle a de l’assurance, qu’elle sait vraiment ce qu’elle veut et qu’elle aime les autres, elle est naturellement sexy! Pour moi, la décennie qui s’annonce est une nouvelle étape de ma vie, où les quatre choses les plus importantes sont la vie, l’amour, la danse et la foi, bien au-delà de la soixantaine!"
Constance Boardman, 57 ans – "Se sentir sexy à mon âge est beaucoup moins lié au physique."
"Se sentir sexy à mon âge est beaucoup moins lié au physique. Toutes ces choses – liées à l’apparence – qui nous préoccupaient quand nous étions plus jeunes sont vraiment absurdes. Au cap de la cinquantaine, j’ai eu du mal à me sentir sexy pendant quelque temps. Les changements de votre corps se font soudain sentir. Mais je sais aujourd’hui que le sexe est quelque chose de très agréable, et qu’il est inutile de se soucier de tous ses petits détails physiques. J’ai mis un moment à me faire à l’idée que mon corps ne sera plus jamais comme avant. Mais ça n’a plus beaucoup d’importance à mes yeux."
Cet article, publié à l’origine sur le Huffington Post américain , a été traduit par Bamiyan Shiff pour Fast for Word .
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1.3 Naissance du fascisme (1919-1920)

1.5 Des élections de mai 1921 à la marche sur Rome

2.1 Marche sur Rome et premières années au pouvoir (1922-1925)

2.2 Fin des années 1920 et années 1930
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Article détaillé : Marche sur Rome .
Article connexe : Fascisme et religion .

↑ Les fils et filles de la louve de 4 à 8 ans, les Modèle:Lang=it et « Petites Italiennes » de 8 à 14 ans, les Modèle:Lang=it et « Jeunes Italiennes » de 14 à 18 ans. Enfin à partir de 1930, les « Jeunes Fascistes » et « Jeunes Filles Fascistes » pour les plus de 18 ans.



↑ Revenir plus haut en : a b et c Pierre Milza et Serge Berstein , Le Fascisme italien, 1919-1945 , Le Seuil, 1980, p. 40-41 .

↑ Revenir plus haut en : a b et c Pierre Milza et Serge Berstein , Le Fascisme italien, 1919-1945 , Le Seuil, 1980, p. 43-44 .

↑ Revenir plus haut en : a b c et d Pierre Milza et Serge Berstein , Le Fascisme italien, 1919-1945 , Le Seuil, 1980, p. 86-90 .

↑ Revenir plus haut en : a b c d e f g h i j k l m n o p q et r Pierre Milza et Serge Berstein , Le Fascisme italien, 1919-1945 , Le Seuil, 1980, p. 98-103 .

↑ Revenir plus haut en : a b c d e f g h i j k l m n et o Milza et Berstein, Le Fascisme italien, 1919-1945 , Le Seuil, 1980, p. 103-106.

↑ Revenir plus haut en : a et b Lionel Richard , « Les origines patronales du fascisme italien » [ archive ] , sur Le Monde diplomatique , 1920

↑ (it) « Infortuni sul lavoro e malattie professionali in "Diritto on line" » [ archive ] , sur treccani.it (consulté le 28 janvier 2022 )

↑ Foro 2016 , p. 70.

↑ Christophe Poupault , « Travail et loisirs en Italie fasciste. Le système corporatif et l’encadrement des masses laborieuses vus par les voyageurs français », Cahiers d’histoire. Revue d’histoire critique , n o 121,‎ 1 er avril 2013 , p. 169–188 ( ISSN 1271-6669 , DOI 10.4000/chrhc.3227 , lire en ligne [ archive ] , consulté le 12 octobre 2020 )

↑ Revenir plus haut en : a b c d e f g h et i Daniel Guérin (1936), Fascisme et grand capital , éd. Syllepses, 1999. chap. IX, p. 191 .

↑ Revenir plus haut en : a b c d e f g h i et j Daniel Guérin (1936), Fascisme et grand capital , éd. Syllepses, 1999. Chapitre IX, p. 193 .

↑ Luigi Sturzo (1927), L'Italie et le fascisme . Cité par Daniel Guérin (1936), op.cit. , p.193.

↑ Foro 2016 , p. 135.

↑ Revenir plus haut en : a b c d e f et g Daniel Guérin (1936), op.cit. , p. 194-195 .

↑ Revenir plus haut en : a b c d e f g h i j k l et m Daniel Guérin (1936), op.cit. , p. 197-199 .

↑ Discours de Mussolini du 13 janvier 1934, cité par Daniel Guérin (1936), op.cit. , p. 197 .

↑ C. Pavone, Une guerre civile. Essai historique sur l'éthique de la Résistance italienne , Seuil, 2005 (trad.française), p. 721 , note 288.







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L’ histoire de l'Italie fasciste , couramment désignée en Italie sous le terme de double décennie fasciste ( ventennio fascista ) ou simplement double décennie ( ventennio ), comprend la période de l'histoire du royaume d'Italie qui va de la prise du pouvoir par Benito Mussolini en 1922 jusqu'à la fin de sa dictature le 25 juillet 1943 .

Par extension, on associe à cette définition toute la période de l' histoire de l'Italie qui va de la fin de la Première Guerre mondiale jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale ( 1918 - 1945 ) ou la période allant de 1925 , lorsque le Parti national fasciste est déclaré parti unique, à 1945 , avec la dissolution de la République sociale italienne (RSI).

Au lendemain de la Première Guerre mondiale la situation interne est précaire : le traité de Versailles n'a pas donné les bénéfices escomptés à l'État italien (l' Italie obtient le Sud-Tyrol ainsi qu'une partie de l' Istrie sans Fiume et l' Albanie promise est confirmée dans son indépendance). Les caisses de l'État sont presque vides, la lire a perdu une grande partie de sa valeur pendant le conflit et le coût de la vie a augmenté de 450 %. Les matières premières manquent et l'industrie ne réussit pas à transformer la production de guerre en production de paix pour absorber l'abondante main-d'œuvre qui a augmenté en raison du retour des soldats du front.

Dans une telle situation, aucune classe sociale n'est satisfaite et une profonde peur d'une possible révolution communiste s'insinue dans la classe bourgeoise. L'extrême fragilité socio-économique conduit à de fréquents désordres réprimés par des méthodes sanguinaires.

Lors des négociations du traité de Versailles , les irrédentistes nationalistes font de l'agitation pour mettre la pression sur le gouvernement. En décembre 1918 , Leonida Bissolati , qui revendique une application stricte du principe des nationalités énoncé dans les Quatorze points de Wilson , ce qui conduirait Rome à renoncer à la Dalmatie , au protectorat sur l' Albanie et à l'annexion du Dodécanèse et du Haut-Adige , démissionne [ 1 ] . Le ministre Francesco Saverio Nitti démissionne à son tour, laissant le président du Conseil Orlando seul face au ministre des Affaires étrangères Sonnino et aux nationalistes [ 1 ] . Les nationalistes sont dispersés : d'un côté les disciples d' Enrico Corradini , regroupés autour de l' Association nationaliste italienne et de l’ Idea nazionale ; de l'autre ceux de Giovanni Papini et de Giuseppe Prezzolini ; enfin les futuristes ( Mario Carli , Marinetti , Giuseppe Bottai , etc.) [ 1 ] . En janvier 1919 , Mario Carli fonde la première association d’ arditi d'Italie, composée d'anciens des troupes de choc de l' armée italienne [ 2 ] .

En septembre 1919 , Gabriele D'Annunzio incite les régiments de l' armée italienne à se mutiner et à le suivre à Fiume (aujourd'hui Rijeka , en Croatie ). Occupé par les Italiens, les Français, les Britanniques et les
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