Femme qui le fait misch-style

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Ancien téléphoniste et garde du corps d'Adolf Hitler, Rochus Misch (1917-2013) a vécu près du Führer, à Berlin, la fin du régime nazi. Il est le dernier soldat allemand à quitter le bunker de la chancellerie, le 2 mai 1945. Témoignage
C'est le dernier. L'ultime survivant de la garde rapprochée d'Adolf Hitler. Le dernier soldat allemand à quitter le bunker de la chancellerie, le 2 mai 1945, le jour où l'Armée rouge s'empare de la capitale d'un III e Reich en ruine. L'homme qui a vu le corps inerte du Führer et celui de sa compagne, Eva Braun. Le SS de 27 ans auquel s'est adressé Joseph Goebbels, ministre de la propagande, cinq minutes avant de se suicider.
Ce qui frappe d'abord, c'est sa carrure. Rochus Misch est grand, ses épaules sont encore larges. A 87 ans, il se tient droit, raide même, devant la porte de son petit pavillon de Rudow, un quartier résidentiel de Berlin. Ensuite, il y a cette poignée de main ferme, presque inquiétante. Ce regard aussi. Qui fixe et se pose, aussi longtemps qu'il le faut.
"Vous venez pour quoi déjà ?" Sans attendre la réponse, il s'installe au salon. La télévision est éteinte, il n'y a pas de radio. Il fait sombre. Au mur, une photographie de sa femme, Gerda, « décédée il y a cinq ans » . Des bouquets de fleurs posés ici et là. Une guirlande de Noël. Rochus Misch porte un gilet gris à moitié boutonné. Il a des allures de retraité sans histoire.
« Avec la sortie du film La Chute [d'Olivier Hirschbiegel] , les journalistes n'arrêtent pas. » Le vieil homme fait mine de lire son agenda, tourne les pages dans le désordre. Hier la BBC, demain une télévision publique allemande, il trouve que cela fait peut-être « un peu beaucoup d'un coup » mais ne se plaint pas. Il semble même savourer l'instant, profiter de cette notoriété tardive après avoir été un habitué des notes de bas de pages dans les ouvrages spécialisés. « Ce film est un drame d'opérette, lance-t-il, tout y est exagéré ! Le bunker n'avait rien à voir avec cela. Il n'y avait pas tout ce monde, tous ces généraux, et puis on ne buvait quand même pas de champagne dans ces minuscules cellules en béton ! »
Dans Die Katakombe (Ed. Rororo, 1975), un des ouvrages de référence sur les dernières heures du nazisme, les historiens et journalistes Uwe Bahnsen et James P. O'Donnell considèrent Misch comme « un des témoins oculaires les plus importants parmi les "petites gens" qui entouraient Hitler (...), un des témoins fiables du bunker ». Un survivant présenté à la fois par les médias de son pays comme un « témoin exclusif » et un « citoyen ordinaire » dont le destin n'a pas donné lieu à polémique.
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David Rising, The Associated Press — PC
Sep 6, 2013, 08:00 AM EDT | Updated Nov 6, 2013
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BERLIN - L'homme qui a été le garde du corps d'Adolf Hitler pendant presque toute la Deuxième Guerre mondiale et qui était le seul témoin encore vivant des dernières heures du leader nazi est mort à l'âge de 96 ans.
Rochus Misch est décédé à Berlin jeudi, après une courte maladie. Son décès a été confirmé à l'Associated Press par Burkhard Nachtigall, qui a aidé Misch à écrire son autobiographie en 2008.
Misch est demeuré fier jusqu'au bout des années passées aux côtés de Hitler, qu'il surnommait affectueusement «patron».
Lors d'une entrevue accordée en 2005 à l'Associated Presse, Misch s'est souvenu de Hitler comme d'un «homme très normal» et a offert un récit captivant des derniers jours du dictateur allemand avant que lui et sa femme Eva Braun ne s'enlèvent la vie dans leur bunker de Berlin, à l'approche de l'armée soviétique.
«Il (Hitler) n'était ni une brute, ni un monstre, ni un surhomme», a dit M. Misch.
Misch était né le 29 juillet 1917 dans une petite ville de Silésie, une région qui se trouve aujourd'hui en Pologne. Orphelin à l'âge de 12 ans, il se joint à l'unité des SS à 20 ans pour contrer ce qu'il perçoit être la menace gauchiste. Il se porte également volontaire pour appartenir au Leibstandarte SS Adolf Hitler, une unité mise sur pied pour assurer la protection rapprochée du Fuhrer.
«C'était anticommuniste, contre Staline — pour protéger l'Europe, a précisé Misch. Je voulais participer à la guerre contre le bolchévisme, pas pour Adolf Hitler.»
Après avoir été gravement blessé lors de l'invasion de la Pologne en 1939, il est choisi en mai 1940 pour devenir garde du corps de Hitler. À partir de ce moment, Misch et l'autre garde du corps, Johannes Hentschel, accompagnent le leader nazi pratiquement partout, y compris son refuge alpin de Berchtesgaden et son quartier-général surnommé la «Tanière du loup».
«C'était un excellent patron, a-t-il dit. J'ai vécu avec lui pendant cinq ans. Nous étions les gens les plus proches qui travaillaient avec lui (...). Nous étions toujours là. Nous étions avec Hitler jour et nuit.»
Misch vivra sous terre avec Hitler pendant les derniers jours de sa vie, protégé par les épais murs de ciment du bunker personnel du Fuhrer.
«Hentschel s'occupait de l'éclairage, de l'eau et de l'air et moi des téléphones — il n'y avait personne d'autre, a-t-il expliqué. Quand quelqu'un venait en bas, on ne pouvait même pas leur offrir de s'asseoir tellement c'était petit.»
Après le début de l'assaut soviétique, Misch se souvient des officiers nazis qui essayaient désespérément d'organiser une défense avec les lambeaux de l'armée nazie. Le 22 avril, deux jours avant que les Russes ne finissent d'encercler Berlin, Hitler a dit: «C'est fini. La guerre est perdue. Vous pouvez tous partir.»
«Tout le monde sauf ceux comme nous qui avaient un travail à faire — il fallait qu'on reste, a précisé Misch. L'éclairage, l'eau, le téléphone (...) il fallait que ça continue mais tous les autres ont pu partir et presque tous ont quitté immédiatement.»
Le 28 avril, Misch voit le ministre de la Propagande, Josef Goebbels, et un proche de Hitler, Martin Bormann, entrer dans le bunker en compagnie d'un homme inconnu. «J'ai demandé qui c'était et on m'a dit que c'était un magistrat civil venu célébrer le mariage de Hitler», a dit Misch.
Deux jours plus tard, Misch voit Goebbels et Bormann en conversation avec Hitler et son adjudant, Otto Guensche, dans un couloir du bunker. «Je l'ai vu entrer dans sa chambre (...) et quelqu'un, Guensche, a dit qu'on ne devait pas le déranger, a expliqué Misch. Tout le monde savait ce qui se passait. Il avait dit qu'il ne quitterait pas Berlin, qu'il resterait ici. Il n'y a pas eu de coup de feu, nous n'avons rien entendu, mais un de ceux dans le couloir a dit que c'était fini, que c'était fait.»
«Et puis tout est devenu très silencieux (...). Je ne me souviens pas qui a ouvert la porte et comme de raison j'ai regardé et la deuxième porte a été ouverte (...) et j'ai vu Hitler couché sur la table comme ça, a dit Misch en appuyant la tête sur ses mains sur la table de son salon. Et Eva était couchée sur le divan, avec les genoux relevés et la tête penchée vers lui.»
Des hommes ont ensuite enveloppé les deux corps et les ont amenés à l'extérieur avant de les arroser d'essence. Un autre membre des SS est venu chercher Misch.
«Il a dit, 'On fait brûler le patron. Venez dehors'», s'est souvenu Misch. Il s'est plutôt réfugié dans le bunker, aux côtés de son camarade Hentschel.
«Je lui ai dit que j'avais vu des types de la Gestapo et qu'ils pourraient vouloir faire disparaître les témoins», a-t-il dit.
Misch reste dans le bunker avec Goebbels et d'autres jusqu'au 2 mai, quand on lui donne finalement la permission de partir. Il s'enfui alors dans les ruines de Berlin mais est rapidement arrêté par les soldats soviétiques. On lui permettra de revenir à Berlin seulement en 1954, où il retrouvera sa femme et ouvrira un petit commerce.
Lors de son entretien avec AP à l'âge de 87 ans, il ressemblait toujours à un SS avec sa posture rigide, ses épaules larges et ses cheveux bien peignés. Il a nié toute responsabilité envers l'Holocauste, affirmant n'avoir rien su du meurtre de six millions de Juifs et qu'Hitler n'a jamais mentionné la Solution finale en sa présence.
«Ça n'a jamais été discuté, a-t-il lancé fermement. Jamais.»

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