Femme hindoue de Delhi en couple

Femme hindoue de Delhi en couple




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Femme hindoue de Delhi en couple


Afficher / masquer la barre latérale











Sur cette version linguistique de Wikipédia, les liens interlangues sont placés en haut à droite du titre de l’article. Aller en haut .

1 Rôle et symbolique du féminin selon la théorie hindoue

3.3 Coutumes historiques controversées sous le Raj britannique

3.3.2 Restrictions vestimentaires – la purdah
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Article détaillé : période védique .
Article détaillé : Raj britannique .
Article détaillé : Mariage hindou .

↑ Jayapalan , Indian society and social institutions , Atlantic Publishers & Distri., 2001 , 606 p. ( ISBN 978-81-7156-925-0 , lire en ligne [ archive ] ) , p. 145,146

↑ Revenir plus haut en : a et b Caraka-Samhitâ Traité d'Âyurveda, volume I, traduction de Michel Angot, éditions Les Belles Lettres, page 76 ( ISBN 978-2-251-72052-4 )

↑ Caraka-Samhitâ Traité d'Âyurveda, volume I, traduction de Michel Angot, éditions Les Belles Lettres, page 640 ( ISBN 978-2-251-72052-4 )

↑ Caraka-Samhitâ Traité d'Âyurveda, volume I, traduction de Michel Angot, éditions Les Belles Lettres, page 648 ( ISBN 978-2-251-72052-4 )

↑ éditions Le livre de poche, ( ISBN 978-2-253-15281-1 ) , page 20.

↑ Vâtsyâyana, les Kâma-sûtra , Jean Papin, éditions Le livre de poche, ( ISBN 978-2-253-15281-1 ) , page 20.

↑ Revenir plus haut en : a et b (en) Constantina Rhodes , Invoking Lakshmi : The Goddess of Wealth in Song and Ceremony , State University of New York Press, 2011 , 291 p. ( ISBN 978-1-4384-3320-2 ) .

↑ L'hindouisme, anthropologie d'une civilisation , Madeleine Biardeau, éditions Flammarion.

↑ Revenir plus haut en : a et b Le Grand Secret , Maurice Maeterlinck, éditions transatlantiques, ( ISBN 2922941140 )

↑ Lois de Manou, traduites par Loiseleur-Deslongchamps [1] [ archive ]

↑ Michel Angot, L'Inde classique , Les Belles Lettres , Paris, 2007, page 89 ( ISBN 978-2-251-41015-9 )

↑ Les Kâma-Sûtra , Vâtsyâyana, traduit du sanskrit par Jean Papin, ( ISBN 978-2-253-15281-1 ) , page 115

↑ Tanika Sarkar , Hindu Wife, Hindu Nation : Community, Religion and Cultural Nationalism , New Delhi, Permanent Black, 2001 . (page manquante à ajouter)

↑ Abbe Jean Antoine Dubois, Hindu Manners, Customs, and Ceremonies , translated from the French by Henry King Beauchamp, (Oxford: Clarendon Press, 1897)

↑ (ManuSmriti 3.56) (Mahabharata 13-45.5), Prabhākara Mācave , Hinduism, its contribution to science and civilisation , 1979 , 148 p. ( ISBN 978-0-7069-0805-3 , lire en ligne [ archive ] ) — In Manu Smriti 3.56 and Mahabharata 13-45.5 it was said: Yatra ... Where women are worshipped, there the Gods are delighted. But where they are not worshipped, all religious ceremonies become futile

↑ Revenir plus haut en : a et b R. C. Mishra , Towards Gender Equality , Authorspress, 2006 ( ISBN 81-7273-306-2 , lire en ligne [ archive ] )

↑ Raj Kumar Pruthi , Rameshwari Devi et Romila Pruthi, Status and Position of Women : In Ancient, Medieval and Modern India , Vedam books, 2001 ( ISBN 81-7594-078-6 , lire en ligne [ archive ] )

↑ Le Nyâya-sûtra de Gautama Akshpâda et Le Nyâya-Bhâshya d'Akshapâda Pakshilasvâmin , traduction de Michel Angot, éditions Les Belles Lettres, page 697 ( ISBN 978-2-251-72051-7 )

↑ Cf. le « commentaire de Pāṇini » ( vārttika ) de Kātyāyana , chap. 125, v. 2477

↑ Commentaires à l’ Ashtadhyayi (§§3.3.21 et 4.1.14) de Patanjali

↑ R. C. Majumdar et A. D. Pusalker (editors): The history and culture of the Indian people. Volume I, The Vedic age. Bombay: Bharatiya Vidya Bhavan 1951, p. 394

↑ Subhamoy Das, « Four Famous Female Figures of Vedic India – About Ghosha, Lopamudra, Maitreyi and Gargi » [ archive ] (consulté le 26 mai 2012 )

↑ Le plus beau fleuron de la discrimination, Viveka-Cûdâ-Mani , par Sri Sankarâcârya, d'après la traduction anglaise du Swâmi Mâdhavânanda, par Marcel Sauton, Adrien Maisonneuve éditeur, p.2

↑ 108 upanishad , traduction et présentation de Martine Buttex, éditions Dervy, p.1267.

↑ Mythes et légendes extraits des Brâhmanas , traduits et annotés par Jean Varenne, éditions Gallimard, page 172 ( ISBN 978-2-07-070751-5 )

↑ D'après Shweta Singh, Examining the Dharma Driven Identity of Women : Mahabharata’s Kunti : In The Woman Question in the Contemporary Indian English Women Writings , Sarup: Delhi, Ed. Indu Swami, 2009 .

↑ D'après (en) Tryambakayajvan ( trad. du sanskrit par Julia Leslie), The perfect wife: strIdharmapaddhati (guide de conduite des femmes) , New Delhi/London/New York, Penguin, 1995 , 375 p. ( ISBN 0-14-043598-0 , lire en ligne [ archive ] ) .

↑ mukhyo dharmaḥ smṛtiṣu vihito bhartṛśuśrūṣaṇam hi

↑ Spectrum lead article, The Sunday Tribune, Dec 24, 2000 [ archive ]

↑ Revenir plus haut en : a et b « Women in History » [ archive ] , National Resource Center for Women (consulté le 24 décembre 2006 )

↑ D’après Jyotsana Kamat, Social Life in Medieval Karnataka , New Delhi, Abhinav, 1980 ( lire en ligne [ archive ] )

↑ Approche de l'hindouisme , Alain Daniélou, éditions Kailash.

↑ Vimla Dang, « Feudal mindset still dogs women's struggle », The Tribune ,‎ 1998 ( lire en ligne [ archive ] , consulté le 24 décembre 2006 )

↑ « The Commission of Sati (Prevention) Act, 1987 » [ archive ] (consulté le 24 décembre 2006 )

↑ (en) Simmi Jain, Encyclopaedia of Indian women through the ages : Modern India , Gyan Publishing House, 2003 , 351 p. ( ISBN 81-7835-175-7 , lire en ligne [ archive ] ) , p. 266

↑ (en) Om Gupta, Encyclopaedia of India, Pakistan and Bangladesh , Gyan Publishing House, 2006 , 2666 p. ( ISBN 81-8205-389-7 , lire en ligne [ archive ] ) , p. 1955

↑ K. L. Kamat, « The Yellamma Cult » [ archive ] , sur Dr. Kamat's potpourri , 31 juillet 2000 (consulté le 25 mai 2012 )

↑ Revenir plus haut en : a b c d et e la colère de la déesse décapitée , Jackie Assayag CNRS éditions ( ISBN 2 222 04707 2 ) p. 154 , 155, 156

↑ le modèle indou , Guy Déleury, éditions Kailash

↑ D'après Sujata Madhok, « Women in India : Background and perspectives » [ archive ] , sur Infochange India

↑ Marriage is a Sacred Bond and Pledge http://www.akhandjyoti.org/?Akhand-Jyoti/2003/Mar-Apr/MarriageSacredBond/ [ archive ]

↑ Official Website of All World Gayatri Pariwar http://www.awgp.org/ [ archive ]

↑ Magazine of All World Gayatri Pariwar http://www.akhandjyoti.org/ [ archive ]

↑ Kâmasûtra , Vâtsyâyana Mallanâga, traduction de la version anglaise établie par Wendy Doniger et Sudhir Kakar, éditions Points, page 399 ( ISBN 978-2-7578-1938-8 )

↑ « Hindu Red Dot » [ archive ] , sur snopes.com (consulté le 3 avril 2012 )

↑ Bowker, John H.; Holm, Jean, Women in religion , Londres, Continuum, 1994 ( ISBN 0-8264-5304-X ) , p. 79

↑ C. J. Fuller, The Camphor Flame: popular Hinduism and society in India , Princeton, N.J, Princeton University Press , 2004 ( ISBN 0-691-12048-X ) , p. 23

↑ « Aid plan for India's 33m widows », BBC News ,‎ 22 décembre 2007 ( lire en ligne [ archive ] )

↑ (en) « India moves to make it easier to divorce » , BBC News ,‎ 10 juin 2010 ( lire en ligne [ archive ] , consulté le 11 septembre 2011 )

↑ (en) « The Parsi Marriage And Divorce Act, 1936 » [ archive ] , Indiankanoon.org (consulté le 27 mars 2012 )

↑ (en) « The Dissolution Of Muslim Marriages Act, 1939 » [ archive ] , Indiankanoon.org (consulté le 27 mars 2012 )

↑ (en) « The Foreign Marriage Act, 1969 » [ archive ] , Indiankanoon.org (consulté le 27 mars 2012 )

↑ (en) Rina Chandran, « An easier end to unhappy marriages in India? » [ archive ] , India insight , sur Blogs.reuters.com , 11 juin 2010 (consulté le 19 mai 2013 )

↑ (en) « Press Information Bureau English Releases » [ archive ] , Pib.nic.in (consulté le 27 mars 2012 )




↑ Selon le Brihadaranyaka Upanishad : « VI-iv-17 : Celui qui désire engendrer une fille qui deviendra érudite et parviendra au terme d'une longue vie, doit faire cuire du riz avec du sésame et le partager avec sa femme, accompagné de beurre clarifié. Ils seront alors capables d'engendrer une telle fille. » D'après 108 Upanishads , traduction et présentation de Martine Buttex, éditions Dervy, page 154 ( ISBN 978-2-84454-949-5 )


Condition et émancipation féminines




La dernière modification de cette page a été faite le 16 avril 2022 à 10:29.
Droit d'auteur : les textes sont disponibles sous licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions ; d’autres conditions peuvent s’appliquer. Voyez les conditions d’utilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques . En cas de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et mentionner la licence .
Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc. , organisation de bienfaisance régie par le paragraphe 501(c)(3) du code fiscal des États-Unis.



Politique de confidentialité
À propos de Wikipédia
Avertissements
Contact
Version mobile
Développeurs
Statistiques
Déclaration sur les témoins (cookies)
Modifier les paramètres d’aperçu










Pages pour les contributeurs déconnectés en savoir plus


Sommaire
déplacer vers la barre latérale
masquer

Cet article est une ébauche concernant l’ hindouisme et les femmes ou le féminisme .

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant ( comment ? ) selon les recommandations des projets correspondants .

La place des femmes dans l’hindouisme est souvent contestée, et les opinions vont de l'égalité de statut avec les hommes jusqu'à un statut restrictif [ 1 ] .

Selon la théorie hindoue, le féminin est l' eau contenant le feu en puissance : le masculin ne peut exister et « se manifester qu'au prix d'un travail rituel, d'une action » (c'est pour cette raison que, dans le monde hindou, on doit faire des rites précis si l'on veut avoir un fils, une fille étant obtenue sans effort rituel – ce qui n'empêche pas qu'il existe aussi des techniques rituelles si l'on veut absolument une fille) [ note 1 ] ; le féminin est sans cesse et spontanément le possible (la Nature, Prakriti , est la « Femelle » par excellence, offrant nourritures et dons), le masculin est le résultat « d'une extraction » : pendant la grossesse, l'enfant mâle a d'abord été féminin [ 2 ] .

Selon la mythologie hindoue, les règles sont une souillure exprimant une mauvaise action, en l'occurrence le meurtre du Brahman commis par le dieu Indra , faute qu'il a transmise partiellement sur les femmes, avec leur accord : en échange, les femmes ont obtenu « de pouvoir toujours faire l'amour, contrairement aux autres êtres » [ 3 ] :

« [Indra] approcha l'assemblée des femmes. "Acceptez un tiers de ce meurtre de brahman ", dit-il. Elles [répon]dirent : "Puissions choisir un vœu. Puissions-nous être fécondes après les périodes. Puissions-nous nous unir selon notre désir jusqu'à la naissance < de l'enfant >". Aussi les femmes sont-elles fécondes depuis les périodes et s'unissent-elles selon leur désir jusqu'à la naissance, car tel fut leur vœu. Elles prirent le tiers du meurtre de brahman . »

Selon Vishnusmriti (XXII, 91), les règles sont un moyen efficace de purification : « Une femme dont les pensées ont été impures est purifiée par ses règles. » [ 2 ]

Le sage Kaiyata, commentant Patanjali, dit que « la mère a plus de valeur que le père parce qu'elle porte le fœtus . » [ 4 ]

Dans le tantrisme , la théorie hindoue affirme que

« La femme, qui est l'initiatrice, mène le jeu érotique symbolisant la danse cosmique des éléments ; l'homme est passif ou peu actif. Elle représente l'énergie créatrice ( shakti ) qui, dans l'œuvre d'élaboration et de transformation du monde, éveille la conscience sous-jacente ( shiva ). »

— Jean Papin, Vâtsyâyana, les Kâma-sûtra [ 5 ] .
Cette conception de la femme vue comme le cosmos ou la Nature , se veut à la fois comme la personnification des grands principes de la réalité universelle et comme le rôle actif de la femme dans les rapports amoureux [ 6 ] .

Dans de nombreux textes hindous, toute femme peut incarner la Déesse suprême, comme Lakshmi , une déesse majeure des Purana et des Itihasa de l'hindouisme. Dans les anciennes écritures de l'Inde, toutes les femmes sont déclarées être des incarnations de Lakshmi , comme le montrent ces hymnes dédiés à la déesse Lakshmî :

« Chaque femme est une incarnation de vous. Vous existez en tant que petites filles dans leur enfance, En tant que jeunes femmes dans leur jeunesse Et en tant que femmes âgées dans leur vieil âge. »

« Chaque femme est une émanation de toi. »

— Sri Daivakrta Laksmi Stotram [ 7 ] .
L' hindouisme est basé sur de nombreux textes, dont certains remontent à 2000 av. J.-C. ou plus tôt. Ils sont variés en position d'autorité, d'authenticité, de contenu et de thème, et ceux ayant le plus d'autorité sont les Védas . La connaissance de ceux-ci est toutefois réservée aux trois hautes castes (dvija) et aux hommes. La place des femmes dans l'hindouisme est largement tributaire du texte et du contexte spécifique. Des références positives sont faites à la femme idéale dans des textes comme le Râmâyana et le Mahâbhârata , alors que certains textes tels que les Lois de Manu préconisent une restriction des droits des femmes (une femme doit obéir à son père, puis, épouse, à son mari, puis, lorsque son mari est mort, à ses fils) et considèrent que le dharma /devoir premier de la femme vivant en société, est de vénérer son époux comme son Dieu principal [ 8 ] :

« Bien que la conduite de son époux soit blâmable, bien qu'il se livre à d'autres amours et soit dépourvu de bonnes qualités, une femme vertueuse [ sati ] doit constamment le vénérer comme un Dieu [ 9 ] . »

Dans ces textes de lois, la femme est assimilée à un shudra , un « serviteur », un homme non initié aux Védas , à moins qu'elle n'aie ses règles, auquel cas elle est particulièrement impure et est assimilée à un chandâla , un intouchable [ 10 ] . Elle ne peut notamment pas servir de témoin dans un procès [ 11 ] .

Dans le Kâma-Sûtra , ouvrage sacré de l' hindouisme dédié à l' éros , Vatsyayana indique que les désirs de la femme doivent être respectés, et qu'il s'agit là d'une condition à son épanouissement nécessaire ; le Kâma-Sûtra refuse les mariages forcés, l'union physique devant être précédée d'abord par une union intellectuelle entre les deux partenaires ; par exemple :

« Une jeune fille ne sera jamais comblée si les parents l'ont forcée, par cupidité, à prendre pour mari un homme aisé, sans se soucier de son apparence et de ses qualités (...). Même s'il est pauvre et insignifiant, mieux vaut un époux docile et maître de lui qu'un mari de très grand mérite qui possède de nombreuses femmes. »

Dans les temps modernes, la femme hindoue a été traditionnellement considérée comme quelqu'un qui doit à tout prix rester chaste ou pur [ 13 ] . Ceci est en contraste avec les traditions très différentes qui ont prévalu dans les temps anciens des royaumes hindous, qui comprenaient de très respectées courtisanes professionnelles (comme Ambapali de Vesali ), des devadasis sacrées, des mathématiciens et des magiciens de sexe féminin (les basavis , les kulikas tantriques ). Certains chercheurs européens ont observé chez les femmes hindoues du dix-neuvième siècle qu'elles étaient « naturellement plus chastes » et « plus vertueuses » que les autres femmes, bien qu'exactement ce qu'ils voulaient dire par là est sujet à controverse. En tout cas, en tant qu'hommes étrangers, ils n'auraient pas pu avoir accès aux espaces secrets et sacrés que les femmes ont souvent habités [ 14 ] .

Le Mahâbhârata et les Lois de Manu affirment que les dieux ne sont ravis que lorsque les femmes sont vénérées ou honorées, sinon, toutes les actions spirituelles deviennent futiles [ 15 ] , les Lois de Manu précisant bien que ceux qui violentent ou font souffrir les femmes, sont maudits par les Dieux :

« Celui qui méprise une femme, méprise sa mère . Les larmes des femmes attirent le feu céleste sur ceux qui les font couler [ 9 ] . »

Friedrich Nietzsche précisant sur les Lois de Manu à ce propos :

« Je ne connais pas de livres où il soit dit autant de choses douces et bonnes à la femme que dans la Loi de Manou ; ces vieilles barbes et ces saints avaient une façon d’être aimables envers les femmes qui n’a peut-être pas été dépassée depuis : « La bouche d’une femme, y est-il dit, le sein d’une jeune fille, la prière d’un enfant, la fumée du sacrifice sont toujours purs. » Ailleurs : « Il n’y a rien de plus pur que la lumière du soleil, l’ombre d’une vache, l’air, l’eau, le feu et l’haleine d’une jeune fille. » Et ailleurs encore (...) : « Toutes les ouvertures du corps au-dessus du nombril sont pures, toutes celles qui sont au-dessous sont impures ; mais chez la jeune fille le corps tout entier est pur. » »

— . Nietzsche, Le Crépuscule des idoles (57).
Selon Mata Amritanandamayi , toutes les restrictions que les femmes ont subies en Inde du fait de leur sexe n'ont aucune légitimité, tant dans le domaine profane que sacré :

« Ces interdits imposés aux femmes n'ont en vérité jamais fait partie de la tradition fondatrice de l' hindouisme . »

— Tout est en vous , paroles d'Amma, éditions Points, page 93 ( ISBN 978-2-7578-5032-9 ) .
Le statut de la femme dans l’Inde ancienne est toujours débattu : si certains universitaires [ 16 ] estiment que les femmes bénéficiaient de la parité avec les hommes dans tous les aspects de la vie civile, d’autres [ 17 ] sont plus réservés. Selon Michel Angot , « le féminin et la femme sont plutôt valorisés dans le Védisme ancien » [ 18 ] . Les écrits des anciens grammairiens indiens, tels Patanjali et Kātyāyana , nous indiquent en tous cas que les femmes avaient accès à l’instruction au cours de la période védique [ 19 ] , [ 20 ] . Les versets du Rig Veda montrent que les femmes se mariaient à l’âge adulte et qu'elles pouvaient probablement choisir leur mari [ 21 ] . Enfin, les textes sacrés : le Rig Veda et les Upanishads citent plusieurs femmes réputées pour leur sagesse ou leurs prophéties, entre autres Gargi et Maitreyi [ 22 ] .

Ainsi, les filles ne sont pas exclues de l’initiation védique, du moins dans la plus haute Antiquité, car « à l'époque védique, [la femme] a, à tout égard, été tenue pour l'égale de l'homme. Au même titre que lui, elle était investie du cordon sacré ; comme [l'homme], elle recevait l'enseignement spirituel (plusieurs Upanishad ont été composées par des femmes). » [ 23 ] . Dans « l'hindouisme traditionnel, l'instruction védique des filles était considéré comme une indispensable préparation au mariage et à leurs responsabilités sociales [ 24 ] . »

Selon Jean Varenne : « L'épouse du Sacrifiant participe de plein droit au sacrifice et en partage les bénéfices avec son mari. » [ 25 ]

Très peu de sources traitent spécifiquement de la place des femmes dans la société ancienne [ 26 ] ; la Stri Dharma Paddhati de Tryambakayajvan, un notable de Tanjavûr qui écrivait vers 1730, constitue une exception notable [ 27 ] . Ce t
Mes vidos avec des escortes filmes en cachette partie 4/8
Pamela Anderson et Brett Michaels en privé
VIDEO PORNO BAISE BRUTALE HARD

Report Page