Femme en colère se venge

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Lors d’un adultère, nous sommes tous amenés à réagir différemment entre le pardon, l’acceptation ou bien la vengeance. 
Lorsque l’on est trompé une fois, il est plus « facile » de pardonner que lorsque l’adultère a eu lieu plusieurs fois avec ou non le même partenaire. Certains préfèreront que le partenaire avoue sa faute tandis que d’autres souhaiteraient ne jamais avoir découvert la supercherie dans leur couple. Certains font des erreurs et regrettent leur manque de respect tandis que d’autres n’éprouvent pas le moindre scrupule à propos de ce coup de canif dans le contrat. Il est plus acceptable de pardonner un écart de conduite que des représailles à une situation régulière, ou des mensonges ou encore un refus d’admettre la vérité.
Pardonner n’est pas toujours la solution lorsque la sincérité n’est plus au rendez-vous. Si vous le souhaitez, pour vous aider, vous pouvez décider de consulter un professionnel de façon individuelle ou pour une thérapie de couple.
Il est extrêmement difficile d’accepter le fait d’être trompé. Il faut réussir à maintenir la colère loin de soi et essayer de ne pas prendre de décision hâtive dans le feu de l’instant. Les psychologues estiment la découverte telle qu’un choc post-traumatique de catastrophes naturelles ou dans le cas de guerre. Ce choc met quelques semaines voire des mois à passer. Dans le cas d’un adultère, il en va de même, c’est pour cela qu’il est préférable de prendre du recul sur la situation pendant quelques temps afin d’accepter la situation et prendre la décision de poursuivre ou non la relation. 
Vous pouvez vous confier à vos proches pour essayer d’y voir plus clair mais vous devez choisir des personnes qui ne se laisseront pas influencer par leur propre expérience passée. Le plus important est de comprendre les facteurs de cette infidélité et ne pas chercher à tout savoir car dans le cas d’une relation de longue durée, cela affecterait indéniablement votre propre confiance en vous.
Dans le cas présent, la réponse du mari trompé a été tournée vers la vengeance. Faire face à ses sentiments et sa capacité à accepter n’est pas toujours aisé. C’est pour cela que certaines personnes réagissent violemment et se vengent. Certains opteront pour la loi du Talion : « œil pour œil, dent pour dent », c’est-à-dire, « tu m’as trompé, je te trompe à mon tour » mais n’éprouveront qu’un plaisir limité puisque dans leur for intérieur, ce n’est pas une envie mais une réponse à une déception. Une fois la vengeance opérée, elle ne ramènera la personne qu’à son sentiment de tristesse. Certains se vengeront sur le partenaire d’infidélité soit en pourrissant la vie de leur conjoint. C’est cette dernière option qu’a choisi le mari trompé d’aujourd’hui. Il a inséré dans les parties intimes de sa femme du piment et c’était semble-t-il très douloureux !
L’infidélité est à l’origine de 33% de divorces en France qui sont au nombre de 130 000 par an. Restez vigilants et posez-vous avant de prendre n’importe laquelle des décisions évoquées précédemment.
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Ce livre permet de se soigner naturellement. Plus de 150 affections y sont répertoriées. De « abcès » à « Yeux irrités » des centaines de remèdes y sont dévoilés en utilisant des solutions naturelles. Il est offert gratuitement en ce moment pour tous nos lecteurs
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Le contenu du site santeplusmag.com y compris les textes, images et autres éléments sont strictement à titre informatif. Le Contenu n’est PAS destiné à se substituer à un diagnostique médical. Demandez TOUJOURS l’avis d’un médecin ou d’un autre professionnel de santé qualifié pour toutes les questions que vous vous posez au sujet d’un problème de santé.

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Adèle Haenel pourrait réveiller le mouvement #Metoo en France
Avec l'écoféminisme, l'avenir des femmes et de la planète n'a jamais été aussi lié
Chez les femmes, elle est encore associée à la folie, perçue comme négative et on leur demande de maîtriser cette émotion dès le plus jeune âge, contrairement aux hommes.
FEMMES - Se mettre en colère. Être en colère, la comprendre, l’accepter, l’assumer. Tout cela est encore un apprentissage pour les femmes. Qu’importe si celle-ci est plus que légitime, si elle apparaît dans tous les domaines de la vie. Cette émotion, perçue comme négative, ne correspond pas à ce qui est attendu des femmes.
C’est l’avis de la journaliste Soraya Chemaly, autrice d’un livre très remarqué aux États-Unis sorti en France le 7 novembre, “ Le pouvoir de la colère chez les femmes ”.
Il lui a fallu des années pour être capable ne serait-ce que de mettre des mots sur cette émotion. “Toute ma vie, on m’a fait comprendre que celle-ci était exagérée, biaisée et qu’elle me rendrait impolie et antipathique. Surtout en tant que fille, j’ai appris que la colère est une émotion qu’il est préférable de vouer au silence”, expliquait-elle lors d’une conférence TedX.
Selon elle, la colère des femmes est associée à la folie, à l’irrationalité, voire à l’hystérie. Dès le plus jeune âge, les petites filles apprennent à contrôler ou étouffer cette émotion ainsi qu’à préserver des apparences de calme et de sérénité. L’étouffement de ce ressenti a des conséquences politiques, psychologiques et intimes. Désormais, l’heure est venue d’apprendre à faire de nouveau sienne cette colère.
Soraya Chemaly s’appuie dans ce livre sur son ressenti, son expérience, mais aussi sur des études scientifiques et des avis d’experts. C’est un essai en même temps qu’une histoire, la sienne mais aussi la nôtre, qu’elle raconte.
Les femmes “s’entendent dire qu’elles sont ‘folles’, ‘irrationnelles’, voire ‘diaboliques’ (...) J’ai souvent senti que si je me montrais sous les traits d’une ‘femme en colère’ (parfois pour le simple fait de m’être exprimée à voix haute), je passerais pour hyperémotive, irrationnelle, ‘passionnelle’, voire hystérique - en tout cas, pour une personne aux idées confuses, ‘pas objective’”, écrit-elle.
La colère est aussi, souvent, associée chez les femmes à la tristesse, deux émotions pourtant fondamentalement différentes bien que l’une et l’autre puissent être ressenties en même temps. La journaliste s’appuie à ce sujet sur les travaux de Kirri Johnson, maîtresse de conférences en psychologie et techniques de communication à l’Université de Californie Los Angeles (UCLA), qui écrit: “On trouve tout à fait normal que les hommes manifestent de la colère. On s’y attend. Mais quand les femmes éprouvent une émotion négative, elles, il faut que cela se manifeste par de la tristesse.”
L’un des problèmes en filigrane, c’est que la tristesse est souvent associée au pessimisme et au repli sur soi, quand la colère est liée à l’approche des autres et à l’optimisme. En colère, on veut faire entendre sa voix et bousculer les choses. Ce qui en fait un instrument de pouvoir.
Les femmes ont pourtant, dès l’enfance et l’adolescence, de très nombreuses raisons d’être en colère. Pour n’en citer que quelques-unes: le harcèlement sexuel , le harcèlement de rue , les abus et agressions, les discriminations à la maison comme au travail, les inégalités salariales, le sexisme ordinaire, toutes les attentes que la société place dans leurs corps. La liste est loin d’être exhaustive.
Pour autant, la colère des femmes peine à s’exprimer. Comme souvent, il faut regarder du côté de l’éducation, de la socialisation, des stéréotypes genrés profondément ancrés dans la société pour réaliser que la colère est une émotion bien plus valorisée chez la gent masculine.
“Petites, on nous apprend moins à accepter ou gérer notre colère qu’à la redouter, la refouler, la dissimuler et la transformer”, souligne Soraya Chemaly. Elle est en revanche érigée en vertu chez les garçons: “elle autorise alors la disruption, le volume sonore, l’autorité, la vulgarité, l’agressivité et la domination physique”, poursuit-elle.
À force de s’entendre dire de rester calmes, sages et gentilles, les filles puis les femmes finissent par s’auto-censurer et, par suite, à perdre confiance en elles.
En outre, puisque la colère est associée à la folie, elles vont tout faire pour paraître rationnelles, ce qui signifie la plupart du temps garder le silence, d’une part, et ne jamais dire “non”, d’autre part. ”Être en colère, c’est le plus souvent dire ‘non’ dans un monde où les femmes sont conditionnées pour dire... tout sauf ‘non’”, affirme la journaliste.
Au-delà d’être personnelles, les conséquences de ce contrôle de la colère sont aussi politiques, dans le sens où la colère est un outil contre les injustices. Il faut considérer, explique Soraya Chemaly, le “transfert de la colère comme levier d’action des petites filles aux petits garçons et des femmes aux hommes, au niveau de l’individu mais aussi de la société. C’est sur ce transfert que repose le maintien du patriarcat et de la domination blanche. Si la colère reste l’émotion la moins acceptable chez les filles et les femmes, c’est qu’elle est leur première défense contre l’injustice”, affirme-t-elle.
Dans son livre, Soraya Chemaly ne se contente pas de faire un état des lieux de la colère, aussi complet et passionnant qu’il soit. Elle propose également de changer de paradigme et d’apprendre à se réapproprier la colère, prendre conscience non seulement qu’elle est légitime, mais en plus qu’elle est une forme d’affirmation de soi.
“Que faire de toute cette rage?”, s’interroge-t-elle. La faire sienne. Pour ce faire, plusieurs pistes sont avancées: dégenrer les émotions, cultiver la conscience de soi, avoir le courage de déplaire, de dire non, de s’affirmer même si cela va à l’encontre de ce qui est attendu, être gentille, oui, mais par bienveillance et pas uniquement pour plaire, parler de sa colère, avec ses amis, mais surtout avec les petites filles. “Dire Je suis en colère , c’est le premier pas vers Écoutez-moi. Croyez-moi. Faites-moi confiance. Je sais. Une fille, une femme en colère dit: ‘Ce que je ressens, ce que je pense, ce que je dis, a de l’importance.’”
C’est d’une colère collective, en plus des révélations sur Harvey Weinstein, qu’est né le mouvement #MeToo . “Un des enseignements les plus surprenants et les plus révélateurs de la Marche des femmes et du mouvement #MeToo est qu’il a fallu beaucoup, beaucoup de femmes en colère pour faire réagir le grand public”, écrit Soraya Chemaly, regrettant que chaque colère individuelle peine encore à se faire entendre.
Mais n’est-on pas en train de sentir le vent tourner? La colère de Greta Thunberg , qui agace ses plus coriaces détracteurs, n’en est-elle pas une preuve? A elle seule, la jeune militante suédoise semble capable de déplacer des montagnes. Depuis les “colères très saines” de Ségolène Royal en 2007, on avait peu vu une femme affirmer avec autant de force sa colère et en faire un outil politique, dans le cas de Greta Thunberg permettant de jouer sur la sensibilité des gens et leur faire prendre conscience de l’urgence climatique.
Cette semaine, c’est l’actrice Adèle Haenel qui a laissé parler sa colère en accusant le réalisateur français Christophe Ruggia d’attouchements et de harcèlement sexuel. Une colère qui, disait-elle à Mediapart , s’est ravivée “de manière plus construite”. Qu’elle a non seulement exprimé en tant qu’émotion, mais aussi comme le vecteur d’une colère généralisée, vécue par tant d’autres femmes.
“Je suis vraiment en colère. Mais la question ce n’est pas tant moi, comment je survis ou pas à cela”, a-t-elle affirmé. “Je veux raconter un abus malheureusement banal, et dénoncer le système de silence et de complicité qui, derrière, rend cela possible.”
À en constater la portée de cette prise de parole à l’heure actuelle, il s’agit d’un parfait exemple du pouvoir de la réappropriation de la colère des femmes.
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