Femme coquine en train de tromper
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Femme coquine en train de tromper
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AprĂšs quatre ans dâamour sans nuages, Louise et Eric envisagent dâemmĂ©nager ensemble. Mais un soir de fĂȘte trop arrosĂ©e bouleverse leurs plans.
Jâai rencontrĂ© Louise sur les bancs de la fac dâhistoire de Strasbourg, et on est vite devenus insĂ©parables. On se complĂ©tait parfaitement. Elle Ă©tait dĂ©jantĂ©e et rockânâroll, moi plus posĂ©. Une histoire familiale un peu chaotique âmĂšre artiste volage, pĂšre dĂ©pressif â en avait fait un ĂȘtre Ă vif. Je crois quâelle avait besoin de quelquâun comme moi, dont le passif familial Ă©tait on ne peut plus Ă©quilibrĂ©. On adorait tous les deux le cinĂ©ma et on passait des journĂ©es entiĂšres Ă regarder des films et Ă faire lâamour.
Louise a fini par passer son Capes et est devenue prof en lycĂ©e. Moi, aprĂšs de nombreuses hĂ©sitations, et bien quâelle mâait fortement encouragĂ© Ă choisir une voie plus «prestigieuse», jâai fini par devenir instit. Jâaurais pu intĂ©grer une Ă©cole de cinĂ©ma (mon rĂȘve) ou mĂȘme tenter lâagrĂ©gation, scĂ©narios plus excitants aux yeux de Louise⊠Mais la peur de lâĂ©chec, le dĂ©sir dâun confort immĂ©diat et de rĂ©elles aspirations Ă enseigner Ă des petits mâont fait renoncer. Je me disais que ce cadre rassurant me laisserait toujours, si je le voulais vraiment, le loisir de me lancer dans la rĂ©alisation dâun court-mĂ©trage. Jâai senti que ce quâelle qualifiait de «manque dâambition» avait un peu peinĂ© Louise mais, avec le temps, jâai eu lâimpression que cette dĂ©ception sâeffaçait. Nos postes respectifs nous plaisaient, la vie active et lâindĂ©pendance financiĂšre Ă©taient bien agrĂ©ables, nous sortions beaucoup, faisions la fĂȘte avec nos collĂšgues devenus des amis. Une petite vie Ă©panouie⊠Au bout de quatre ans passĂ©s ensemble, on se paye le voyage de nos rĂȘves: un mois au Japon. Notre couple marque des signes dâessoufflement, je sens que Louise commence Ă se lasser de notre train-train et je me dis que ce voyage serait salutaire. Sans se lâĂȘtre dit clairement, ce mois passĂ© ensemble 24 heures sur 24 constitue aussi une sorte de test avant dâemmĂ©nager ensemble. Le voyage se passe Ă merveille, les soupirs dâennui de Louise semblent loin et dĂšs notre retour, nous commençons Ă chercher un appartement. Seule ombre au tableau: je dois me faire opĂ©rer du genou en rentrant du Japon. Une intervention bĂ©nigne, mais qui nĂ©cessite pas mal de repos. Le jour de ma sortie de lâhĂŽpital, Louise me propose de venir Ă une fĂȘte quâelle organise avec ses colocs. Je suis encore un peu fatiguĂ© de lâopĂ©ration mais je me dis que cela me changerait les idĂ©es. Je ne croyais pas si bien direâŠ
Il y a beaucoup de monde chez Louise , pas mal dâinconnus, notamment ce mec au look de baby rocker qui ne me revient pas. Apparemment, il suit des cours de thĂ©Ăątre. Une biĂšre Ă la main, entourĂ© de trois nanas qui boivent ses paroles, il pĂ©rore sur «le kif suprĂȘme de se mettre en danger dans un rĂŽle». Insupportable. Le pire est sa façon de regarder Louise, Ă la fois provocante et libidineuse, comme sâil la possĂ©dait dĂ©jĂ . Il est vrai quâelle est particuliĂšrement en beautĂ© ce soir-lĂ , avec sa petite robe de geisha rapportĂ©e du Japon. Je bois quelques verres, discute avec les gens que je connais. Vers 1 heure, alors que la fĂȘte bat son plein, je me sens trĂšs fatiguĂ©. Sans doute le contrecoup de lâopĂ©ration. Je dĂ©cide donc dâaller me coucher dans la chambre de Louise. Dâhabitude, je ne suis vraiment pas jaloux, mais lĂ , jâai un mauvais pressentiment. Le petit ballet de regards continue, et je surprends mĂȘme Louise en train dây rĂ©pondre. Je ne peux donc pas mâempĂȘcher de la mettre en garde. Pas habituĂ©e Ă ce genre de sermon, un peu saoule, elle prĂ©fĂšre en rire, avant de mâassurer que je nâai aucune raison de mâinquiĂ©ter. AssommĂ© par la fatigue et les mĂ©dicaments, je mâendors trĂšs vite, malgrĂ© le brouhaha. Avant de me rĂ©veiller en sursaut Ă 6 heures⊠Louise ne mâa pas rejoint dans le lit. Bizarre. La soirĂ©e semble terminĂ©e, mais jâentends un bruit Ă©trange venant dâen bas. Comme si quelquâun frappait contre le mur Ă une cadence irrĂ©guliĂšre. Des travaux, Ă cette heure? Encore tout ensommeillĂ©, comme dans un rĂȘve, je descends lâescalier. Les bruits de coups, auxquels se mĂ©langent dâautres encore plus insolites, semblent venir de la salle de bains. Je suis tellement dans le coltard que lâorigine Ă©vidente de ces petits cris essoufflĂ©s ne sâimpose pas Ă moi.
En poussant la porte de la salle de bains, vision dâhorreur⊠Louise, sa robe de geisha remontĂ©e jusquâĂ la taille, la culotte sur les chevilles, les yeux bandĂ©s par la fine cravate noire du petit crĂąneur, est en train de se faire prendre contre le lavabo. Ne rĂ©alisant pas tout de suite qui jâĂ©tais, ou peut-ĂȘtre si, justement, le gars me jette un regard avinĂ© et goguenard sans interrompre la manĆuvre. Sentant quelque chose dâanormal, Louise retire son bandeau et sursaute. Câest ridicule, mais par rĂ©flexe, comme si jâavais surpris un couple inconnu, je referme la porte. Sans doute aussi que mon inconscient ne pouvait pas supporter une minute de plus ce spectacle. Je mâeffondre sur le canapĂ©, abasourdi. Louise et son amant sortent quelques instants plus tard, continuant sous mes yeux Ă se resaper. Le type se fait le plus petit possible et, presque sur la pointe des pieds, se dirige vers la sortie. Jâai quand mĂȘme lâimpression quâil se marre Ă moitiĂ©. Il parvient mĂȘme Ă lĂącher un «Bonne journĂ©e!» en fermant la porte. ComplĂštement bourrĂ©e, tout ce que Louise trouve Ă me dire, entre deux hoquets, est: «Viens chĂ©ri, on va se coucher⊠Jâai un peu perdu le contrĂŽle, mais ce nâest pas grave». Elle sâaffale sur un pouf et ferme les yeux. Je me lĂšve, rassemble mes affaires. Au moment oĂč je passe la porte, Louise se met Ă ronfler.
Le lendemain, elle essaye de mâappeler une bonne trentaine de fois , me laissant des messages Ă©plorĂ©s. Je finis par rĂ©pondre. Elle mâexplique que lâalcool lui a fait perdre la tĂȘte. Quand je lui dis que ce nâest pas une raison suffisante, elle avoue Ă contrecĆur que le cĂŽtĂ© flamboyant du gars lâa fait flasher et me reproche Ă demi-mot dâĂȘtre mou, sans ambition⊠Et surtout dâĂȘtre allĂ© me coucher alors que je sentais quâil se passait quelque chose, ce qui prouvait Ă ses yeux que je ne lâaimais pas assez. Je lui raccroche au nez. Par la suite, elle a tout fait pour se faire pardonner, et jâai tentĂ© dâoublier. Mais impossible de lui parler sans revoir cette image infernale. Mon amour pour elle sâest Ă©teint quand je lâai croisĂ©e peu aprĂšs main dans la main avec le type de la salle de bains. Elle avait lâair Ă©panouie. Lui portait la mĂȘme cravate que ce soir-lĂ .
Propos recueillis par SĂ©bastien Bardos
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Du samedi 27 août 2022 au samedi 03 septembre 2022 : Le 27 août à 19h00
Le 03 septembre Ă 16h00, au Palais de la Culture de Treichville
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