Femme bonne se donne du plaisir

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Plaisir féminin : « La masturbation est une aide dans les relations avec les autres » - ©iStock






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On en parle de plus en plus mais la connaît-on vraiment ? La masturbation fait partie de nos vies mais il reste encore beaucoup à faire pour la décomplexer. Entretien avec Mélanie Guénette-Robert, sexologue et auteure du « Petit manifeste de la masturbation féminine ».  
Longtemps taboue, la masturbation est aujourd’hui présentée comme un rituel de « self care » pour les femmes et un outil de prise de pouvoir sur son corps . Pourtant, elle représente toujours une zone d’ombre, soit parce que les clichés subsistent, soit parce que le plaisir solitaire demande une connexion avec son corps parfois difficile à appréhender. Deux autrices québécoises, la sexologue Mélanie Guénette-Robert et la comédienne Roxanne Gaudette-Loiseau consacrent un ouvrage éducatif et inclusif au plaisir féminin. Histoire de la masturbation, détails de l’anatomie féminine, déconstruction des stéréotypes et acceptation de soi, le « Petit manifeste de la masturbation féminine » donne les clés pour (re)découvrir le plaisir.  
Mélanie Guénette-Robert. Cela fait vraiment longtemps qu’on en parle : déjà dans l’Antiquité on parlait du clitoris des femmes, sans le nommer ainsi. Mais est-ce qu’on en parlait bien ? Si on remonte un peu dans le temps, on voit que l’une des pionnières ayant permis de parler de ce sujet est Helen O’Connell, qui a découvert l’anatomie complète du clitoris. Et ça ne date que des années 90. Avant elles, il y a eu quelques sexologues mais si on cherche avant les années 70, ce sont les hommes qui parlaient majoritairement de la masturbation chez les femmes. Quand on effectuait nos recherches avec Roxanne Gaudette-Loiseau, on a été surprises de voir à quel point les hommes parlaient plus de la masturbation que les femmes. 
M.G-R. Longtemps, la masturbation des femmes a été contrôlée, considérée comme écœurante. À l’époque de la chasse aux sorcières, on considérait que les femmes guérisseuses, les sage-femme étaient écœurantes, on les marginalisait. Si on regarde la période de l’hystérie au 19ème siècle, qui était devenue une maladie en vogue, la sexualité des femmes était très contrôlée. On disait la masturbation reliée à une frustration sexuelle. Et puis on a eu Freud, qui nous a enseigné que la masturbation et le plaisir liés au clitoris était infantiles, immatures. Il y a eu un discours dans l’Histoire qui a rendu notre rapport au corps complexe, dominé par le patriarcat. Si on regarde juste au niveau de la masturbation, les études montrent que les hommes se masturbent avant la première relation sexuelle. Les femmes, au contraire, commencent à se masturber en majorité après le premier rapport sexuel.  
M.G-R. Il y a des femmes pour qui la masturbation est aisée, qui en retirent facilement du plaisir. Mais d’autres ont eu des expériences plus difficiles. Leur premier rapport à la sexualité n’était pas évident, elles étaient incertaines des sensations qu’elles ont vécues. Certaines craignent aussi de se masturber par rapport à l’éducation qu’elles ont eue. Il existe tellement de pluralité d’expériences chez les femmes, nous voulions leur dire que chaque expérience est valide. Quoi qu’elles ressentent, c’est normal. Nous voulions que les femmes se sentent puissantes et en contrôle de leur sexualité en lisant ce livre.  
M.G-R . Je travaille avec des survivantes et survivants de violences sexuelles . Avant cela, je travaillais avec des personnes touchées par les troubles du comportement alimentaire. Beaucoup de personnes survivantes sont aux prises avec un trouble alimentaire . Dans un cas comme celui-là par exemple le rapport au corps peut être problématique. Le toucher n’est pas évident pour certaines personnes, surtout si ça implique les organes génitaux. Certain.es nourrissent un malaise par rapport à leur vulve. C’est dur à dire mais certaines personnes ressentent aussi un dégout de leur corps. Apprendre à le dépasser demande un travail sur l’image. Être à l’aise avec sa sexualité et son corps peut nécessiter un accompagnement thérapeutique.   
M.G-R. On peut commencer par se renseigner. Plus on a de connaissances sur un sujet, plus on l’apprivoise, plus on se sent en pleine possession de nos capacités. Pour une personne qui nourrirait des émotions négatives par rapport à ses organes génitaux, il existe des comptes Instagram et des livres qui présentent une variété de vulves ou d’organes génitaux. On a peu été exposé.es à des représentations diverses de la vulve. Ça commence juste, par exemple, avec le compte « Vulva Gallery ».  
Beaucoup de personnes avec une vulve ne reconnaissent pas leurs organes génitaux. Un petit exercice pour se familiariser avec soi-même : s’installer avec un miroir et regarder les textures, les couleurs. Mais précisons que la masturbation n’est pas juste génitale : toutes les zones du corps peuvent être érogènes. Il faut aussi prendre le temps d’explorer dans un endroit sécurisant, tester les zones et les sensations qui nous excitent. Si une personne y est ouverte, les jouets sexuels peuvent être facilitants. Ce n’est pas obligatoire mais ça peut agrémenter l’expérience de la masturbation.  
M.G-R. On entend souvent qu’il y a: clitoridien et vaginal. Cette idée nous vient en partie de Freud. Mais dans le fond, c’est un mythe à déconstruire. Oui je peux tirer du plaisir d’une pénétration vaginale comme je peux tirer du plaisir d’une stimulation externe ou interne du clitoris. Mais l’orgasme est le même. La stimulation peut venir de différents endroits mais physiologiquement parlant, l’orgasme est similaire. D’une façon ou d’une autre, si j’ai recours à la pénétration, le clitoris est stimulé à l’intérieur : dans la majeure partie des corps, quand on vit un orgasme, le clitoris a été stimulé d’une façon ou d’une autre. Beaucoup de gens pensent également que l’éjaculation féminine serait de l’urine : c’est un discours invalidant pour les femmes. On questionne souvent l’authenticité la pureté de l’éjaculation féminine ou vulvaire. Non, ce n’est pas de l’urine et on devrait célébrer les fluides dans notre corps.  
M.G-R. Parfois, dans une relation intime, on perçoit la masturbation comme une menace. Elle prend l’aspect d’une tromperie et suscite une forme de jalousie et un contrôle de la sexualité de l’autre personne. Il faudrait plutôt la voir comme une alliée. Dans la vie, on a parfois envie de faire des choses en solitaire. Faire une marche, regarder une série qui nous fait plaisir ou lire un livre. Peut-être que notre conjoint n’aime pas les mêmes livres ou films que nous et c’est ok. Quand on parle de sexualité, c’est pareil. Le sujet suscite plus de craintes et de méfiances mais finalement, la masturbation est un moment pour prendre soin de soi. C’est une alliée car elle nous permet d’assouvir des besoins différents et de partager à nos partenaires nos préférences. C’est une aide dans les relations avec les autres. Elle permet d’allumer le désir, avec soi-même et dans les relations avec les autres.  
M.G-R . Pour les victimes de violences sexuelles, la masturbation va être une façon de reprendre le pouvoir sur sa sexualité, ça peut devenir réparateur. C’est aussi tout simplement un moment de bien être, pour mieux comprendre son corps et élargir son répertoire sexuel. Au niveau physiologique, plusieurs hormones de plaisir sont sécrétées et allègent les douleurs menstruelles, même si tout le monde n’est pas à l’aise avec le fait de se masturber pendant les règles. Elle diminue le stress, les migraines et les tensions, un peu comme une pratique sportive ! D’autres personnes pour qui les premières expériences n’ont pas été positives, les sensations de l’orgasme sont trop intenses et douteront mais peuvent apprendre à se connaître.  
M.G-R. Oui, on devient « agentive » sexuellement. Nous ne sommes plus seulement un objet de désir mais nous devenons notre propre sujet.  
M.G-R. Le livre est destiné principalement aux femmes, aux personnes qui ont une vulve, mais aussi aux hommes. Certaines parties, éducatives, peuvent s’adresser à des adolescentes. Ces passages peuvent être utilisés par des enseignant.es ou des parents, parce qu’ils permettent d’ouvrir la discussion. Je connais même des gens qui l’ont offert à leur conjoint !  
  « Petit manifeste de la masturbation féminine » , Mélanie Guénette-Robert, Roxanne Gaudette-Loiseau, Les Editions de l’Homme
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Résumé : Une découverte, l’innocence et nous voilà embarqué dans le plaisir et la volupté du corps féminin.
Le corps féminin, j’y ai goûté à l’âge de 13 ans, un classique je pense pour beaucoup d’ados, ce corps c’était celui de ma cousine. Des souvenirs me viennent et je deviens nostalgique de cette époque car à cet âge là on est innocent, on se découvre, on ne sait pas l’avenir de nos corps.
J’ai aimé ce corps féminin, à le parcourir avec d’abord mes yeux, puis osé le toucher, se donner des frissons et ne pas comprendre mais aimé ça, aimé cette sensation. Se retrouver dans cette chambre et ressentir du désir, mais on ne sait pas à ce moment là que c’est de l’excitation, de l’envie. On se déshabille, on rougit, on rit, on prend tout ça un peu à la légère. Pour ma part cela je pense a eu une influence sur moi par rapport à l’attirance que j’ai pour les femmes. A chaque vacances nous nous retrouvions dans ma chambre, et les gestes devenaient d’années en années plus désireux. Ce plaisir entre filles nous l’avons fait qu’avec les mains, des caresses, effleuré avec délicatesse ce sexe, sentir que nos sexes sont mouillés, ne pas comprendre au début mais l’envie est tellement forte que nos caresses deviennent de plus plus insistantes et se laisser aller, pousser un cri, ne pas comprendre pourquoi nos corps réagissent comme ça, sans le savoir avoir pris du plaisir et en donner, une jouissance innocente mais inoubliable, une première expérience qui va en amener d’autre.
Comprendre le corps féminin, pour ma part ma première vraie expérience avec une femme s’est passée il y a 2 ans maintenant. J’ai vraiment apprécié cette douceur et cette tendresse que l’on peut ressentir dans les bras d’une femme. Ses lèvres sur les miennes, des baisers longs et intenses, mêler nos langues, des regards de désir féminin. Prendre nos visages entre nos mains, des caresses qui amènent à l’excitation.
Je me suis régalée à sentir sa langue sur ma chatte. La faire mouiller, se régaler de mon goût, faire gonfler mon clitoris. Elle s’est servi aussi de ses doigts, a écarté ma chatte pour qu’elle puisse me fouiller plus profondément avec sa langue. M’amener à la jouissance. Planter aussi ses doigts, moi écartant encore plus les cuisses, et jouir de ses coups de doigts, de ses coups de langue.
A mon tour de lui donner du plaisir, j’ai hâte mais en même temps j’ai peur de m’y prendre mal, de ne pas savoir comment m’y prendre avec ce corps de femme. Je commence à la caresser de tout son corps, je la fais frissonner, j’aime. J’aime voir ses seins durcir de mes caresses, je prends ses tétons entre mes lèvres, je lui suce, je me régale, sentir sous mes caresses la douceur de sa peau et en même temps la fermeté de ses seins. Je l’entends gémir, me dis qu’elle veut sentir ma langue. Tout en la caressant je me dirige vers ce sexe que je vais dévorer. Envie de la faire mouiller, avoir le goût de son sexe dans ma bouche et le partager avec elle en un long baiser.
Deux corps de femme excités c’est tellement beau, nous sommes seules au monde, elle se laisse aller, je la lèche de plus en plus fort, j’ai besoin de sentir et de voir sa jouissance. son clitoris est gonflé de tant d’excitation, je souffle dessus avec délicatesse et tout de suite après je la lèche. Elle est là, à moi, elle se donne, plus elle gémit et plus je la lèche. Sa jouissance est toute proche, c’est un délice, elle jouit, je la regarde, elle est belle, elle est à moi.
Après cette première et délicieuse expérience, j’ai eu envie de donner encore plus de plaisir à une femme. Me transformer en homme en quelque sorte. Pouvoir dominer une femme, la pénétrer, qu’elle me laisse entrer dans son jardin secret.
Avec toujours les mêmes gestes, l’allonger, lui faire goûter à mes baisers, l’envoûter avec mon regard, l’apprivoiser jusqu’à ce qu’elle m’offre sa chatte. Me planter en elle, moi pour m’exciter encore plus mettre en marche le vibro qui fait parti du gode-ceinture, qu’elle sente aussi ses vibrations, puis voir mon gode se faire engloutir grâce à la mouille qu’elle sécrète. Je la regarde, lui donne du plaisir. Mes coups de hanche de plus en plus fort dans sa chatte, ils sont forts mais en même temps le plaisir que je lui donne lui procure de la tendresse, de la douceur.
Je suis bien en elle, je suis une femme dans une femme. C’est un moment tellement inte
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