Femme au foyer se fait derouiller

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Femme au foyer se fait derouiller
Responsable de la recherche et de la stratégie macroéconomique à La Financière de la Cité
Collectif d'élèves de l'Ecole polytechnique
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Comment prendre une activité professionnelle après de longues années de tâches domestiques ? À cette question, souvent angoissante, le centre Retravailler (1) veut, parmi d'autres (" le Monde " du 1er février), apporter une réponse. Il accueille à Paris depuis dix-huit mois, pour des stages de cinq semaines, des femmes, dont la plupart ont de trente à cinquante-cinq ans, désireuses de trouver un emploi.
FONDÉ et dirigé par Mme Evelyne Sullerot, sociologue, spécialiste du travail féminin, membre du Conseil économique et social, le centre Retravailler propose un stage de cinq semaines (quatre heures par jour) à des femmes de toutes catégories sociales et de tous âges. Aucun diplôme n'est exigé, mais, jusqu'à présent, seules étaient admises des femmes ayant un niveau inférieur ou égal au baccalauréat.
Il s'agit d'un stage de préformation. Les stagiaires ne se préparent pas à un métier, mais elles apprennent, ou réapprennent, ce qui est indispensable pour en exercer un, ou pour suivre un stage de formation professionnelle proprement dite.
Chaque jour, une centaine de femmes, réparties en groupes de vingt-cinq, font, sous la tutelle d'une animatrice, des exercices d'attention concentrée, de logique, d'aptitudes spatiales (nécessaires pour exercer certains métiers), de vocabulaire, de calcul, et enfin de nombreux exercices oraux, d'expression notamment.
Parce qu'elles ignorent à peu près tout du monde du travail, les stagiaires reçoivent fréquemment la visite de professionnels qui font le point sur divers métiers. Une animatrice est chargée de leur donner des notions de droit du travail, etc., mais aussi des renseignements sur les salaires, sur la façon de répondre à une petite annonce et de se présenter devant un éventuel employeur.
Une conseillère professionnelle s'occupe de l'orientation Celle-ci est conçue de telle sorte que chaque stagiaire prenne peu à peu conscience de ses propres aptitudes et possibilités. C'est pourquoi on l'appelle une " auto-orientation ", qui ne se précise en fait qu'en fin de stage.
Ce stage se donne pour but de " dérouiller " les facultés mentales. Il s'agit de développer l'esprit d'observation, la mémoire, l'intelligence des raisonnements et des relations entre différents termes ou situations, la méthode et la rationalisation des tâches, la fluidité verbale et la maîtrise de la parole, selon les situations.
Les femmes qui ne travaillent pas fuient inconsciemment un certain vocabulaire - technique, bancaire, juridique, administratif - qu'elles entendent pourtant tous les jours. En demandant aux stagiaires d'apprendre chaque jour dix mots de ce genre et de pouvoir les utiliser, l'animatrice cherche à obtenir, bien au-delà de l'acquisition de quelque deux cent cinquante mots, l'éveil de l'esprit critique, le désir de précision, le goût du savoir et de la recherche, le refus de cette ignorance dans laquelle se complaît parfois la femme au foyer.
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40 mots persopolitiques . Une édition illustrée des « mots » sur lesquels j’ai proposé une mise en perspective, un voyage étymologique, des correspondances oubliées. Collages de Raphaëlle Chaygneaud-Dupuy. Une occasion de naviguer de mot en mot et d’y trouver des résonances avec la politique, le monde, le vivant … et nous ! Des mots courants : platane, candidat, exister… Des mots plus rares : gyrovague, tsimtsoum, ipséité… ( se procurer le livre chez BOD )

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Rolland, Marie-Paule, Frédéric, Vincent, Corinne, Clémence, Camille, Jean-Pascal, Alexandre, Alison, David, Laurence, Valérie, Patrick, Catherine, Olivia : ils étaient seize à participer au Jury citoyen [1] qui s’est réuni dans les locaux confortables et lumineux mis à notre disposition par le CJD, avenue Georges V. Ils venaient de l’Ile-de-France, de Touraine, d’Alsace ou du Nord. Livreur, employé dans la restauration, enseignante, femme au foyer, étudiant…ils étaient de milieux différents, simplement mis en présence par un même tirage au sort sur des listes téléphoniques.
La question qui les réunissait était loin d’être de celles qu’on se pose tous les jours : la gestion de la mobilité permise par le traçage des déplacements (vidéosurveillance, géolocalisation, billettique) est-elle compatible avec le respect de la vie privée ? Pourtant, pendant deux week-ends, ils ont examiné sous tous les angles les incidences possibles de ces technologies sur notre liberté d’aller et venir. D’abord avec l’appui d’experts de ces domaines, professionnels ou chercheurs, favorables et critiques. Ensuite entre eux pour tenter de voir à quelles conditions ces technologies pouvaient être utiles sans devenir trop intrusives dans nos vies.
Comme à chaque fois dans ces jurys citoyens, ce qui frappe, c’est l’effort de conciliation d’enjeux souvent contradictoires non pas par des compromis mous mais par la mise en avant forte de ce qui n’est pas acceptable (par exemple la géolocalisation des enfants comme moyen de surveillance de leurs déplacements) et par une demande tout aussi forte d’être informés de ce qui se fait souvent à notre insu (comme la transmission de nos coordonnées à des fins commerciales). Pas de conversion spectaculaire des technophiles en technophobes ou inversement. Simplement une vigilance plus grande de tous et une envie d’être associés aux décisions prises sur ces sujets.
Dimanche, à l’issue de ces deux week-ends studieux, les participants étaient unanimes pour s’étonner et se réjouir. Se réjouir d’avoir eu la chance de donner leur avis, s’étonner que ce genre de pratiques ne soient pas plus développées. Je ne doute pas que tous ceux qui ont déjà participé à un jury, une conférence, un atelier citoyen – peu importe la dénomination – retrouveront dans ce rapide témoignage des similitudes avec ce qu’ils ont vécu eux-mêmes. On peut en effet constater, jury après jury, que la capacité de délibération citoyenne, est bien une constante. Le repli sur la sphère privée et l’indifférence aux enjeux collectifs ne sont donc pas une fatalité ! Ils ne sont en fait que le produit d’un manque de sollicitation des capacités que nous avons tous et qui, finalement, se « dérouillent » plutôt vite (au prix de quelques maux de tête, parfois, liés à l’attention soutenue que suppose l’exercice !).
Les chercheurs et experts qui ont accompagné le groupe sont tous repartis en se disant frappés de la maturité des débats, ravis d’avoir consacré leur samedi à cette expérience pour eux inédite. Trois d’entre eux, venus au départ pour une simple intervention, se sont pris au jeu et sont restés pour assister aux échanges. Un des intervenants en a parlé au sein d’une association professionnelle et a trouvé un tel écho qu’on lui a demandé un article sur le sujet !
Je suis sûr que c’est ainsi, de proche en proche, que ces pratiques démocratiques d’un nouveau type se développeront et seront prises en compte dans la décision publique. A ce propos, il serait intéressant de parvenir à recenser les initiatives prises. Elles se multiplient en ce moment, à toutes les échelles de territoire. Un signe encourageant pour la démocratie.
[1] Ce jury citoyen était organisé dans le cadre du Predit, programme national de recherche sur les transports piloté par le Ministère de l’Ecologie et du Développement durable. Il était mis en œuvre par une équipe de Synergence pilotée par Martin Vielajus et moi.
Juste quelques lignes pour remercier Hervé de nous avoir donner la parole – chacun(e) à son tour – et de m’avoir permis de m’étonner et de pouvoir me réjouir que la citoyenneté existe, et que la solidarité subsiste.
Nous étions venu(e)s de divers horizons et nous sommes reparti(e)s – un peu rassuré(e)s et mieux informé(e)s.
Le Jury Citoyen d’Octobre 2011 m’a ouverte à ce riche débat : l’incidence des nouvelles technologies sur ma liberté, au quotidien ?
Et je suis forte à présent de cette prise de conscience et de ma volonté de pouvoir dire « non » si je le souhaite.
Nous nous sommes senti(e)s écoutés, considéré(e)s et ainsi les citoyens que nous représentions ont été en quelque sorte replacés dans le débat politique. Il est inacceptable de ne pas être informé de ce qui ce fait ou se projette dans la plupart des domaines publiques.
Que vive la Démocratie et que suivent d’autres Jurys Citoyens !
Merci à toute l’équipe d’Hervé.
ça a été une expérience enrichissante et j’ai été heureuse de pouvoir donner mon avis
Bonjour
Je reste pour ma part imprégnée de ces deux week-end de réflexion sur ces sujets.
Mon attention se porte plus facilement sur les caméras dans les transports, sur les messages qui nous avertissent que ce moyen de transport est sous surveillance.
Ca laisse des traces ces séjours ensemble!
J’ai lu avec attention le blog d’Hervé et j’en retire la même satisfaction et j’accorde beaucoup de valeur à nos débats, qui ont été dans le respect des opinions personnelles.
Ca me donne envie de participer à plus de débats, d’échanges autours de différents sujets.
J’ai lu récemment un article dans la presse sur les premiers essais de la géolocalisation des enfants! ça me rappelle nos réactions à tous quand nous en avons parlé…
Je vous souhaite à tous une très belle journée et à bientôt peut-être.
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Dedans comme dehors, les citadins ont envie de vert. Végétaliser les rues, prendre soin des pieds d'arbres ou agrémenter salons et balcons de plantes en tous genres est devenu très tendance. Pour le plaisir, le bien-être, l’apaisement mais aussi davantage de convivialité en ville.


Cela mérite d’être souligné, chez Monsieur et Madame Epervier, c’est Madame qui monte au front et tient tête aux corneilles houspilleuses.


Après dix ans à la direction de l’association, Estelle Verdier gardera en mémoire la vitalité du quartier.


Depuis quelques mois, des chambres d'hôtel abritent des étudiants en situation précaire, refuge contre les conséquences de la crise sanitaire.


Avec ses coursiers en vélos-cargos électriques, la société Olvo illustre la montée en puissance des micromodes de transport pour s’adapter aux nouveaux usages et s’affranchir de la congestion du trafic. Installée dans la zone industrielle CAP 18, la jeune scop est également en pointe sur la politique sociale et fourmille de projets.


Diminution du nombre de logements, augmentation relative des espaces verts sont au programme mais riverains et associations sont encore loin d’avoir obtenu ce qu’ils souhaitaient. Néanmoins, la porte reste entr’ouverte à la poursuite de la concertation.


Les dessous de la Butte abritent un atelier de mécanique à l’ancienne, temple de la clef à molette et du cambouis.


Le vert gagne du terrain partout, même à l’intérieur. Rencontre avec les nouveaux accros du jardinage d’appartement.


Deux rues vont bientôt être réaménagées et rendues aux enfants et aux piétons. Fermées à la circulation devant les établissements depuis septembre 2020 afin de réduire la pollution, assurer la sécurité et se réapproprier l’espace public.


Ce n’est pas d’hier que les questions d’insalubrité et d’hygiène agitent le Landerneau parisien. Sans doute y a-t-il aussi à redire de l’état des lieux du 18e arrondissement. Néanmoins, si la critique est aisée, l’art du jardinage est difficile.


Cet article est le dernier de trois consacrés à la Commune. Après le rôle primordial joué par les femmes pendant ces soixante-douze jours d’insurrection, voir le numéro de mars, et la place des images sous forme de caricatures, dessins ou photos ; numéro d'avril, cette série s’achève en chansons et sur la mémoire sonore d’une époque. Certaines ont franchi les ans et témoignent encore de ce moment exceptionnel qui dura si peu mais qui marqua si fort la mémoire collective.


Bravant les difficultés liées aux consignes sanitaires, port du masque, fermeture des écoles, confinement, le projet Hip Baroque Choc réconcilie les élèves du lycée Auguste Renoir avec le répertoire baroque et souvent, avec eux-mêmes.


Le projet Voi(e,x,s), mené depuis trois ans par la compagnie Manque pas d’Airs (MPDA), se fait l’écho d’un travail sur l’interaction possible entre la musique et l’urbanisme.


Présidente de l’Association de défense de Montmartre et du 18e arrondissement (ADDM 18) durant 25 ans, elle vient de passer le flambeau.


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Tous les samedis, une quinzaine de femmes de la Goutte d’Or se retrouvent pour marcher à Montmartre. L’occasion de faire du sport tout en découvrant un autre quartier.
Il est 8h15 pétantes, boulevard Barbès. Pas de temps à perdre. A l’heure dite, le groupe commence son ascension vers la basilique du Sacré-Cœur, dans un Montmartre encore endormi. Depuis janvier, dix-huit habitantes de la Goutte d’Or, de 21 à 60 ans, participent à une marche sportive hebdomadaire d’une heure et demie autour de la Butte. A l’origine, Lydie Quentin, la directrice de l’association des Enfants de la Goutte d’Or, souhaitait offrir un temps de respiration à ces femmes, souvent mères de famille, tout en leur permettant de pratiquer en groupe une activité physique. Les plus motivées se retrouvent le mercredi matin, en plus du samedi. « Il faut que le sport devienne aussi essentiel que la nourriture et l’eau. Pensez à boire d’ailleurs », lance-t-elle à l’équipée du jour.
« Ça me fait beaucoup de bien ces sorties. Ça me donne de l’énergie », témoigne Sirfo, l’une des marcheuses, en longeant la Halle Saint-Pierre. « Marcher, ça défoule et ça permet de retrouver la forme. Avant, je participais aux cours de remise en forme organisés par l’association, mais ça s’est arrêté à cause de la Covid. Donc j’avais tendance à rester chez moi », complète Malika, dont c’est la quatrième sortie. Même satisfaction pour Houda, une autre habituée du groupe. « Cette sortie, c’est du tout en un. Je suis femme au foyer donc ça me change les idées, on discute, on rigole, en plus de faire du sport. » Pour d’autres, parfois en surpoids, c’est leur médecin qui les a incitées à pratiquer une activité physique.
A 8 h 45, petite pause rue Durantin histoire de faire quelques exercices et de reformer le groupe qui s’est étiolé, avant d’entamer la montée de la rue Lepic. « Allez, on fait de petits ronds avec le pied. Dans un sens, puis dans l’autre. C’est parfait pour dérouiller les articulations », explique Barbara, passionnée de randonnée à la ville, plasticienne de son métier, qui a été propulsée coach en cheffe il y a cinq mois. Au sommet, sur la Butte, c’est une série de pompes debout et d’étirements qui les attend, histoire de compléter la séance. Et pas question de lambiner, la coach veille.
« La marche sportive, en groupe, a plusieurs vertus. El
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