Femme au foyer n'aime même pas embrasser

Femme au foyer n'aime même pas embrasser




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Femme au foyer n'aime même pas embrasser
au début de relation , un baiser me transporte. Mais quand la relation dure, je n'aime plus embrasser, cela ne me fait rien. En fait, je pense que j'ai plus de désir quand je ne suis pas sure des sentiments de mon partenaire. Quand c'est de l'acquis, cela ne me fait plus rien. Je n'ai pas envie mais quand on fait l'amour
ton problem fait appel a ton enfance par rapport au lien que tu as avec ta mere. c'est en effet par la bouche que nous avons ressenti notre premiere satisafaction. (allaitement). c'est donc en retrouvant la sensation du premier organe qui a penetré notre corps, le mamelon de la mere que nous retrouvons la confiance qui permet de s abandonner a l autre ou au contraire la rigidité et le degout faisant qu on le repousse. D ailleurs les problemes d allaitement qui ont empeché l enfant de se sentir nourri avec confiance et bienfaisance entrainent souvent plus tard une difficulté a donner des baisers ou a recevoir la langue de l autre dans sa bouche. Le baiser contient ainsi toutes ces memoires qui ravivent les liens d amourque l on a noués dans l enfance avec la mere. En embrassant l homme et la femme retrouvent ensemble des vibrations semblables a celles qu ils ont connues separement avec leur mere quand ils etaient bebes. Voila pourquoi les femmes et les hommes qui ont eu un debut de vie affective difficile avec leur mere n aiment pas ou ne savent pas embrasser. Car le baiser et les careesses peuvent meme etre agressifs comme si l amour les confrontait a nouveau aux manques ou aux abus qu ils avaient rencontrés plus jeunes. Cela donne des hommes et des femmes qui ne savent vivre leur sexualité qu en eliminant l etape des preliminaires afin que leur sexe soit tout de suite a l avant de la scene et qu ils puissent se sentir dans une creation qu ils vivent comme personnelle.
travail sur soi meme deja fait, cela m'a permis beaucoup de choses. Mais j'ai toujours ce problème. Ce que je ne comprends pas c'est que quand je suis en attente du désir de l'autre j'ai envie de l'embrasser mais quand je suis sure plus rien
sincerement je ne sais pas quoi te dire. ce que je peux te conseiller c'est le livre que j ai lu d ou j ai sorti la reponse car j ai le meme probleme. Il te donne les causes de ton probleme mais malheureusement tres peu de reponse puisque c'est a toi de les trouver car chaque personne malgré des histoires similaire a des attentes differentes. Il faut que tu fasses un travail sur toi meme.
comment s'en sortir j'aimerai faire plaisir à mon mari qui aime embrasser. Selon toi, étant donné que j'ai été en couveuse je n'ai pas été allaité. En ce qui concerne mes enfants j'en ai allaité un et pas l'autre. Cela veut dire q'un aimera embrasser et pas l'autre. Au réel celui qui a été allaité n'est pas trop calin, l'autre oui. Merci de m'éclairer
au début de relation , un baiser me transporte. Mais quand la relation dure, je n'aime plus embrasser, cela ne me fait rien. En fait, je pense que j'ai plus de désir quand je ne suis pas sure des sentiments de mon partenaire. Quand c'est de l'acquis, cela ne me fait plus rien. Je n'ai pas envie mais quand on fait l'amour La question que tu nous poses là en amène d'autres... Embrasser est en effet le premier geste de l'amour, celui, qui plus est que l'on peut faire à tout moment de la journée, qui peut faire plaisir et qui peut nous rassurer ( il m'aime je l'aime )... On peut y mettre à loisir, de tout, de la tendresse, de la passion, du désir etc... Ce que tu dis n'est donc pas anodin... Mais je crois surtout que la question que tu nous poses a trait à l'habitude dans le couple, peut être au fait que l'amour de ton mari t'étant acquis, tu n'as même pas besoin de faire des efforts pour le séduire, ces efforts tu les as faits pour le conquérir... Il faut que tu lui en parles, il faut que vous pimentiez un peu votre vie, je crois, en passant des moments seuls tous les deux par exemple, en organisant des jeux... Mais s'il n'est pas demandeur, il te faudra user de beaucoup de finesse... Mais tu sais, n'oublie pas: l'amour évolue par paliers...
Quel est ce livre? Quel est ce livre? Merci. titre du livre femme desirée, femme désirante du dr daniele flaumenbaum tres facile a lire et traite le sujet des relations mere fille et de sa sexualité ainsi que des causes de prob gyneco
travail sur soi meme deja fait, cela m'a permis beaucoup de choses. Mais j'ai toujours ce problème. Ce que je ne comprends pas c'est que quand je suis en attente du désir de l'autre j'ai envie de l'embrasser mais quand je suis sure plus rien solution quand tu auras enterré tes vieux fantomes et vraiement decidé de demarrer une nouvelle etape dans ta vie sa viendra. N essai pas de chercher laisse venir les choses. Tout ca est inconscient. Je n ai pas trouvé non plus la solution mais il faut que tu trouves d autre moyen d aborder par exemple ta sexualité. Interresse toi a d autre pratique comme par exemple le tantrisme. ou le tao. Il faut que tu donnes une autre dimension une nouvelle facon de voir la sexualité et les baisers amoureux
PEUT ËTRE AVANT mais maintenant à 45 ans c'est fini. J'aime mon mari, la vie que l'on mene ensemble, notre complicité. Le plus serait des longs baisers, mais cela fait partie également de mon côté romantique. Mais je vais lire le livre. Merci à tous de m'avoir entendue
travail sur soi meme deja fait, cela m'a permis beaucoup de choses. Mais j'ai toujours ce problème. Ce que je ne comprends pas c'est que quand je suis en attente du désir de l'autre j'ai envie de l'embrasser mais quand je suis sure plus rien N'aurai stu pas en fait une âme de chasseuse ? :-) Tu disais que l'acquis ne t'intéresse plus... Amicalement D.
eh oh, vivi c'est vraiment ton seul problème, le baiser? T'es sûre? Parce que s'il te transporte, au début, le baiser, cela signifie qu'il n'est pas un problème en lui-même... Bon, à toi de voir: il est probable que tu as trouvé la réponse à ta question... Tant mieux!

Avec l’aimable autorisation d’Anne Mollen
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Je n’ai aucune envie de cuisiner pour ma famille et j'en ai marre de culpabiliser
J’ai 53 ans et je vis toute seule pour la première fois de ma vie
Et si, maintenant que mes filles sont grandes, qu’elles vivent leur vie, et que j’ai plus de 50 ans, j’avais accompli ma mission et que je prenais tout simplement ma retraite?
Récemment, j’ai lu un article sur les mères au foyer de plus de 50 ans qui retournaient “faire quelque chose” de leur vie une fois que leurs enfants avaient quitté le nid. On nous présentait une maman qui avait abandonné ses études de médecine pour élever ses enfants et qui, une fois ces derniers devenus adultes, rattrapée par la cinquantaine, s’était rendu compte qu’elle avait vraiment envie de réaliser son rêve et de devenir médecin. Une autre maman était devenue mère au foyer avant de se lancer dans le jazz à 50 ans et de devenir une chanteuse réputée. Eh bien, moi, je dis: grand bien leur fasse!
Étant moi-même mère au foyer de deux adultes, âgées de 25 et 21 ans, j’imagine que cet article devrait m’inspirer. Que je suis censée avoir envie de raviver tous mes vieux rêves, ou d’en concrétiser de nouveaux. Je devrais peut-être retourner à la fac, pour passer mon master. Ou embrasser une nouvelle carrière. C’est ce que la société attend de nous, non? On nous incite à croire qu’on devrait toujours faire en sorte de booster ou d’enrichir sa carrière. Car c’est elle est censée nous définir.
Et si je n’en ai pas envie? Et si le fait d’avoir élevé mes filles pour qu’elles deviennent des adultes productives, heureuses et en bonne santé, avait été ma carrière? Et si, mis à part l’écriture (à laquelle j’aime m’adonner à mi-temps), j’en avais tout simplement fini avec le travail? Et si, maintenant que mes filles sont grandes, qu’elles vivent leur vie, et que j’ai plus de 50 ans, j’avais accompli ma mission et que je prenais tout simplement ma retraite?
Je suis devenue mère au foyer par accident, mais je n’aurais pu faire un meilleur choix de carrière. Tout a commencé à la naissance de la cadette, quand l’aînée avait trois ans. Je détestais mon boulot. J’étais rédactrice en chef d’une petite structure qui publiait des livres destinés à aider les bibliothécaires à se tenir au courant des nouveautés, et j’étais jalouse de mes amies mères au foyer. Je voulais être comme elles, et passer mes journées avec mes enfants: aller au parc ou les emmener à la bibliothèque pour l’heure du conte, et leur apprendre toutes les choses qu’elles devaient savoir pour devenir des personnes généreuses et accomplies. J’en ai donc parlé avec mon mari, et nous avons convenu que nos finances me permettaient de rester à la maison pendant un an avec mes filles, mais que je devrais ensuite retourner travailler.
C’est vraiment ce que je pensais faire. Je ne m’étais jamais imaginée en mère au foyer. J’avais toujours pensé que j’élèverais mes enfants tout en travaillant mais, au bout d’un an, je me suis rendu compte que j’aimais vraiment rester à la maison et que je voulais passer plus de temps avec les filles. Nos finances étaient très, très serrées mais, avec mon mari, nous avons fait en sorte que ça marche, et j’ai fini par avoir le job de rêve que j’avais toujours voulu… sans le savoir.
J’ai adoré assister aux premières fois de mes filles: premiers pas, premiers mots, premiers après-midi chez les copines. J’aimais aller les chercher à la maternelle et qu’elles me racontent leur journée, toutes excitées, me montrent leurs dessins et m’aident (parfois) avec enthousiasme à préparer le dîner. J’aimais les avoir près de moi dans la cuisine pendant que je faisais du pain, presque tous les soirs, debout sur une chaise à côté de moi pendant que nous pétrissions la pâte ensemble. Je me suis rendu compte, stupéfaite, que passer mes journées à leur faire découvrir le monde était plus gratifiant que tous les boulots que j’avais faits jusque-là.
Ce sont les années d’école primaire que j’ai préférées. J’ai eu l’occasion de voir mes filles grandir, s’épanouir, apprendre à lire et se faire des amis. Je me suis beaucoup impliquée à l’école: j’étais membre d’une commission scolaire de parents et de professeurs, dont j’ai fini par prendre la tête. J’ai fait partie de l’association des parents d’élèves toutes les années où mes filles ont été scolarisées, puis j’en suis devenue présidente. J’ai adhéré à presque tous les groupes de leur école, ou je les ai dirigés. Tous les ans, j’étais “volontaire” en classe. Tout le monde voulait ce qu’il y avait de mieux pour les enfants, et nous travaillions tous dur pour cela. Cela me plaisait beaucoup.
L’une des choses que je préférais, c’était le club de lecture mère-fille que je gérais avec un instituteur. C’était non seulement une façon formidable de nouer des liens avec ma fille en CM2, mais cela m’a aussi aidée à traverser des moments difficiles en tant que parent, quand l’une de mes filles en bavait et que j’en bavais pour l’aider à s’en sortir.
Bien sûr, les années de collège ont été un peu plus délicates à gérer, les hormones passant par là, mais mes filles avaient des amies et des activités et s’en sortaient plutôt bien. Et puis ça a été le lycée, avec ses hauts et ses bas – des cours difficiles, la pression pour avoir des notes permettant de s’inscrire dans une université prestigieuse, celle pour choisir les bonnes activités extrascolaires, cruciales pour les demandes d’inscription à la fac, les cours supplémentaires pour préparer le Bac, qui s’éternisaient et se terminaient à 22 h. Sans oublier la compétition entre filles (dont certaines étaient de vraies pestes), les chagrins et les larmes à sécher. Parfois, les choses allaient si mal – une de mes filles qui pleurait non stop pendant des heures, l’autre qui se réveillait en redoutant sa journée, ou moi qui essayais de les convaincre, encore et encore, que tout irait bien – que je n’arrivais pas à imaginer comment nous allions sortir de cette situation, mais nous en sommes sortis.
J’ai aussi détesté certaines choses dans ma carrière de mère au foyer. Ma cadette refusait catégoriquement les biberons, si bien que nous sommes restées collées l’une à l’autre pendant une année entière (j’aime bien pouvoir respirer un peu de temps à autre quand même!). En maternelle, mon aînée a eu une institutrice infernale et, aujourd’hui encore, je regrette de ne pas avoir insisté pour qu’elle change de classe. L’association des parents d’élèves était un drôle d’endroit, où les mères essayaient de se placer aux postes de “pouvoir”, et elles n’ont pas toujours été sympas avec moi quand je la présidais. Parfois, j’avais l’impression que l’adolescence de mes filles ne prendrait jamais fin, tandis qu’elles tentaient de démêler des émotions et des relations complexes tout en apprenant à se connaître et à se comprendre en tant qu’individus.
Mais aucune carrière n’est parfaite, et j’ai bien trop d’excellents souvenirs pour rester bloquée sur les mauvais très longtemps. J’ai adoré voir deux êtres humains grandir sous mes yeux pour devenir des citoyennes productives. Quand elles ont décroché leur Bac, j’ai eu le sentiment qu’elles avaient accompli quelque chose de très bien, et moi aussi. Quand ma fille est sortie diplômée de l’université, j’étais non seulement très fière d’elle, mais aussi de nous, du chemin parcouru ensemble. Ma cadette obtiendra son diplôme au printemps prochain, et je suis certaine que cela me fera le même effet.
Pour autant, je ne me suis pas toujours sentie bien dans mon rôle de mère au foyer. J’ai souvent le sentiment que les États-Unis reposent sur l’idée que tout le monde se doit d’avoir une carrière (et plus précisément, une carrière en dehors de la maison). En outre, il faut que cette carrière soit plus importante que tout le reste.
On voit souvent cette idée à la télé, aussi bien dans des histoires fictives d’avocates ou de médecins assoiffées de pouvoir qui jonglent entre leur travail et leurs enfants que dans les talk-shows, où les invitées parlent de leurs enfants tout en faisant comme si elles n’avaient rien dû sacrifier pour accélérer leur carrière. J’ai l’impression que je suis censée me dire que je pourrais, devrais être comme elles, que je devrais me lamenter d’avoir renoncé à ma carrière, de ne pas avoir pu tout avoir.
C’est peut-être ce que ressentent certaines femmes. Mais pour un grand nombre de mères au foyer comme moi, être à la maison avec nos enfants était – est – suffisant.
Alors, maintenant que mes filles sont grandes et que je ne tente pas de reprendre ma carrière là où je l’ai laissée (ou d’en chercher une nouvelle) j’occupe mes journées en faisant ce que beaucoup de gens font, une fois retraités: j’écris des articles comme celui-ci, ainsi que des romans, et j’adore ça. J’ai une amie avec laquelle je vais au cinéma chaque fois qu’un film, dont on sait qu’il n’intéressera pas nos maris, est à l’affiche. Je déjeune avec des amis de temps en temps. Je lis beaucoup. Je me tiens toujours disponible pour aider ma famille élargie, s’ils ont besoin de moi pour quoi que ce soit. Et je fais du bénévolat.
Dans quelques années, j’espère que je pourrai aider mes filles en m’occupant de mes petits-enfants, que j’écrirai toujours et que je profiterai toujours autant de mes amis et de ma famille.
J’ai conscience d’être dans une situation extrêmement privilégiée. Même si les finances de notre famille, avec un seul salaire, étaient – et sont toujours – très serrées, je me rends compte que de nombreuses mères ne pourraient même pas faire le choix que j’ai fait, car elles doivent travailler pour entretenir leur famille. À de nombreux égards, être mère au foyer était un luxe (du moins à mes yeux), un luxe que tant d’autres parents ne connaîtront jamais.
Je ne veux surtout pas critiquer les mamans qui travaillent en dehors de chez elles. Plusieurs de mes amies travaillaient quand nos enfants étaient petits et, maintenant que ces derniers ont tous quitté le nid, elles peuvent se concentrer pleinement ou différemment sur leur carrière: en faisant plus d’heures, en repassant à temps plein, en gagnant plus d’argent, en ayant de plus gros revenus que je n’en ai jamais eus, en réussissant des choses nouvelles. Et c’est super… pour elles.
Moi, je suis une mère au foyer de plus de 50 ans qui ne s’intéresse pas vraiment à tout ça. Je suis heureuse de la vie que j’ai, même si je n’aurais jamais imaginé les choses comme ça quand je suis devenue maman il y a 25 ans. J’ai deux adultes heureuses et en bonne santé, et j’écris quand j’en ai envie. J’ai de la chance car, même si on manque parfois un peu d’argent, mon mari et moi arrivons à nous en sortir, contrairement à de nombreux foyers vivant avec un seul salaire. Je n’ai pas besoin, ni envie, d’une autre carrière même si, aux yeux de certains, celle de mère au foyer n’est pas une “vraie” carrière, ni une carrière valable.
Ce que je voudrais en fin de compte, c’est que nous soyons mieux représentées dans les médias. J’aimerais voir plus de femmes qui ont eu des carrières de mères au foyer, des carrières réussies, passées à élever des enfants, puis des adultes, accomplis. Je veux voir des mères qui se sont épanouies en élevant leurs enfants, des mères qui, maintenant que ces derniers sont grands, peuvent prendre du recul et se dire qu’elles ont eu une carrière satisfaisante, utile et productive. Je veux voir davantage de femmes fières de ce qu’elles ont accompli, qui ne ressentent pas le besoin d’expliquer pourquoi elles n’ont pas travaillé en dehors de chez elles, ni de s’en excuser, car ce qu’elles ont fait était suffisant. C’était plus que suffisant: c’était merveilleux, et cette expérience change littéralement la vie à de nombreux égards.
Les femmes comme moi comptent autant que les mères ayant une carrière en dehors de chez elle et celles qui ont repris le travail ou se sont lancées dans une nouvelle carrière une fois que leurs enfants sont devenus grands. Nous avons simplement choisi d’avoir des rêves différents et de vivre ces rêves en sachant qu’ils nous combleraient autant que les carrières des autres. Nous n’avons besoin de rien d’autre, de rien de brillant, de rien de différent. Nous en avons fini. Nous sommes heureuses de ce que nous avons fait, et de qui nous sommes.
Ce blog, publié sur le HuffPost américain , a été traduit par Laure Motet pour Fast ForWord .
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