Femme au foyer coquine peut prendre n'importe quoi

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Femme au foyer coquine peut prendre n'importe quoi

Femme-MĂšre-Enfant
Femme accomplie, MÚre épanouie, enfant "génie"


Femme , MÚre / mercredi, février 13th, 2019
Aujourd’hui je souhaite vous parler d’un mĂ©tier que personne ne considĂšre comme un vĂ©ritable mĂ©tier ! Celui de femme au foyer. 
StigmatisĂ©es , les femmes au foyer sont souvent au coeur de dĂ©bat fĂ©ministe et sociĂ©tale. Elles sont Ă©galement, parfois, victimes de prĂ©jugĂ©s peu rĂ©vĂ©lateurs de leur statut. Il est temps de remettre les pendules Ă  l’heure et de rendre hommage Ă  ses femmes qui ont dĂ©cidĂ© de s’ occuper Ă  plein temps de leurs enfants .
DĂ©fendons et saluons toutes ces femmes, qui ont choisi d’endosser ce rĂŽle pendant quelques mois, quelques annĂ©es voire quelques dĂ©cennies. Car, ĂȘtre une femme au foyer n’est pas si Ă©vident, il n’existe pas de formation, et pas de bonne ou de mauvaise façon de l’exercer.
Bon, il est vrai qu’en saluant ces femmes, je me jette aussi, un peu des fleurs
 Puisqu’en ce moment je suis femme au foyer !
Mais derniers dossiers finalisĂ©s, mon ventre prĂȘt Ă  implosĂ©, il Ă©tait temps de me mettre en pause. Pour la grossesse prĂ©cĂ©dente, je me suis arrĂȘtĂ© 5 jours avant l’accouchement. Et j’ai repris le boulot une semaine aprĂšs. Je n’ai pas vraiment eu le temps de m’en remettre, mĂȘme si je l’avoue, j’ai repris le boulot de la maison. Alors pour cette Ă©niĂšme grossesse , j’ai dĂ©cidĂ© d’ arrĂȘter de bosser totalement.
J’ai fait le choix de devenir femme au foyer. J’ai dĂ©cidĂ© de mettre ma sociĂ©tĂ© de stratĂ©gie et dĂ©veloppement d’entreprise de cĂŽtĂ© pour profiter de mes enfants . M’occuper d’eux, prendre le temps de souffler et de vivre un peu pour moi. 
Il est vrai qu’en Ă©tant chef d’entreprise et mĂšre de famille nombreuse, on a pas besoin de prendre un abonnement dans une salle de sport : c’est la course permanente. On court partout et tout le temps, sans jamais s’arrĂȘter. A la longue, j’en ai perdu mon souffle et peut ĂȘtre mĂȘme mon but ! 
J’ai donc, logiquement dĂ©cidĂ©, mais sans vraiment me pencher sur le sujet, de faire une pause et de devenir une femme au foyer ! Du temps pour mes enfants, du temps pour dĂ©compresser , du temps pour rattraper mes heures de sommeil et du temps pour faire toutes sortes d’activitĂ©s que je n’avais pas le temps de faire en travaillant 
 
Je me suis dit, un peu naïvement sans doute, qu’en ne travaillant pas, j’allais d’avantage me reposer et voir un peu plus mes enfants grandirent. Oui, comme les vîtres sans doute, ils grandissent trop vite ! 
Mais, je me suis vite rendu compte que, rester chez soit et s’occuper de ses enfants n’était pas synonyme de repos 
 ni de dĂ©tente d’ailleurs. Etre femme au foyer, demande du temps, autant de travail et d’ investissement ! Au final, il est difficile de vous dire, qui demande le plus d’ implication , d’ organisation et rigueur entre ma famille et ma sociĂ©tĂ© ! C’est Ă  ce moment prĂ©cis, que pour moi j’ai dĂ©finie le rĂŽle de femme au foyer tel un mĂ©tier 
 
J’entends souvent des personnes et mĂȘme des mĂšres dirent que femme au foyer n’est pas un mĂ©tier . Un mĂ©tier ? Non, vous ĂȘtes trop gentilles ! Car c’est en rĂ©alitĂ© des mĂ©tiers ! Etre femme au foyer, c’est exercer plusieurs mĂ©tiers Ă  la fois. 
On est assistante maternelle, enseignante, gouvernante, femme de ménage, cuisiniÚre, nourrisse, puéricultrice, infirmiÚre, négociatrice et chauffeur (je ne vais pas précisé de taxi ou Uber car nous, on a pas le droit de faire grÚve !).
La oĂč je rejoins ces personnes, c’est qu’ ĂȘtre femme au foyer , dans notre sociĂ©tĂ© doit ĂȘtre un choix . Car ce job Ă  temps plein est prenant , il faut ĂȘtre en forme , avoir le morale et un bon mental . Sans compter que nos responsabilitĂ©s et obligations sont sans limites pour Ă©lever au mieux nos enfants. 
Une seconde d’inattention peut-ĂȘtre dramatique et revenir sur des mauvaises habitudes ou corriger les effets d’une mauvaise Ă©ducation, peut ĂȘtre compliquĂ©. Bon, il est vrai que l’on soit femme au foyer ou pas, cela ne change pas ! Mais c’est d’autant plus parlant lorsqu’on s’occupe de ses enfant constamment.
Etre femme au foyer, ĂȘtre une mĂšre non-stop , combiner plusieurs mĂ©tiers 
 mais pas que ! Oui, je pousse le bouchon encore plus loin
 Pour moi, c’est mĂȘme une vocation ! Il faut ĂȘtre dĂ©vouĂ© , savoir s’occuper des enfants , avoir la patience , la diplomatie , la bienveillance . Mais aussi, de la suite dans les idĂ©es pour les occuper et les Ă©veiller .
Durant cette pĂ©riode, j’ai appris Ă  prendre sur moi et Ă  revoir mes prioritĂ©s, Ă  laisser certaines choses de cĂŽtĂ© pour ma famille et mes enfants.
En endossant cette casquette, j’étais loin d’imaginer qu’on pouvait ĂȘtre sujet Ă  des prĂ©jugĂ©s ! CataloguĂ© de feignasse , sans conviction , sans diplĂŽme , vivant sur le salaire de son mari ou sur les allocations de la CAF . 
Il est vrai qu’en dĂ©cidant de faire le choix de rester chez moi pour m’occuper des miens, je me suis exposĂ© aux regards pas toujours bienveillant des gens, de la sociĂ©tĂ© et de certaines personnes de mon entourage. Laisser de cĂŽtĂ© une carriĂšre, une entreprise, des opportunitĂ©s pour faire la popote, la serpillĂšre et changer les couches n’a pas toujours Ă©tait bien vu .
Mais cela signifie t-il pour autant que je suis sans ambition et dépendante de mon mari ?
La rĂ©alitĂ© est qu’on a tout simplement rĂ©partie les rĂŽles au sein de notre foyer. Ce qui, je pense est plus avantageux lorsqu’on a plusieurs enfants et deux professions qui nĂ©cessite beaucoup de temps et d’investissement. Et en temps que femme au foyer, je ne pense pas avoir moins d’ ambition , elles sont tout bĂȘtement diffĂ©rentes de celle que j’avais avant. Je ne focalise plus sur ma carriĂšre et les rĂ©sultats de ma sociĂ©tĂ© mais sur mon rĂŽle de mĂšre.
Car avant toute chose, pour ĂȘtre une femme au foyer, il faut ĂȘtre convaincu qu’endosser ce rĂŽle est bĂ©nĂ©fique pour ses enfants mais aussi pour soit mĂȘme.
Je suis contente et fiùre d’avoir fait ce choix.
M’ occuper de mes enfants est essentiel, je suis heureuse et comblĂ© . Car se sentir bien en tant que femme Ă©quivaut Ă  se sentir bien en tant que mĂšre . 
Si vous partager l’idĂ©e ou pas qu’ĂȘtre femme au foyer est un mĂ©tier, une vocation. Si vous ĂȘtes femme au foyer ou femme active, le plus important est que vous vous sentez Ă  votre place . LĂ  oĂč vous avez envie d’ĂȘtre ! Peut-importe votre choix, soyez-en fiĂšre ! Si vous vous sentez bien chez vous Ă  coconner votre bĂ©bĂ©, arrĂȘter de bosser et profiter ! Si vous vous Ă©vadez en aller pointer au boulot, foncer, aller travailler ! 
Il n’y a pas de bon ou de mauvais choix , le tout est de trouver sa place , son Ă©quilibre pour se sentir en harmonie avec soit mĂȘme, afin d’ĂȘtre heureuse, Ă©panouie et accomplie .
Personnellement, j’ai Ă©tait ravie d’ ĂȘtre cette femme pendant plusieurs annĂ©es. Et je continue d’ĂȘtre cette femme d’ailleurs malgrĂ© le fait que repris mon activitĂ© . J’ai beaucoup amĂ©nagĂ© et rĂ©duit mon temps de travail . Ce qui me permet de travailler de la maison et de profiter en mĂȘme temps de mes enfants . J’ai trouvĂ© mon Ă©quilibre , en adoptant cette configuration un peu particuliĂšre mais de plus en plus rĂ©pandue. 
MĂȘme si lĂ  aussi, ça n’a pas Ă©tait Ă©vident. Travailler de la maison en gardant les enfants n’est pas toujours facile , mais pas impossible ! J’ai trouver des astuces qui me permettent de jongler entre les dossiers et les tĂ©tĂ©es sans trop de difficultĂ©s ! Cette organisation me permet de bosser l’esprit tranquille et de profiter de mes enfants comme je l’avais espĂ©rĂ©.
Je suis tantĂŽt femme au foyer , tantĂŽt femme active , mĂȘme si pour moi, toutes les mĂšres sont des femmes actives y compris celles qui ne travaillent pas ! Je suis passer de la femme au foyer active Ă  la femme active au foyer ! Concept un peu tirer par les cheveux, je vous l’accorde mais force est de constater que la femme au foyer est une femme active , lisez, vous vous y retrouverez 
 
J’ai dĂ©cidĂ© de partager avec vous mon expĂ©rience, mes interrogations et mes rĂ©flexions sur la fonction et le rĂŽle de la femme au foyer. Si vous aussi, vous ĂȘtes dans le mĂȘme cas ou que vous l’avez Ă©tĂ©, laissez moi vos commentaires afin que nous puissions en Ă©changer, tout les points de vue sont les bienvenues ! 
Enfin, je souhaite, tirer mon chapeau à toutes ces femmes au foyer, à toutes celles qui ont fait ce choix car un peu de reconnaissance fait toujours du bien ! 
Partager et liker pour nous entraider durant cette pĂ©riode, qu’elle soit passagĂšre ou pas.
On associe souvent la femme au foyer Ă  une personne feignante, sans diplĂŽme, sans objectif professionnel, sans ambition, dĂ©pendante de son mari ou de la sociĂ©tĂ©. Stop aux prĂ©jugĂ©s ! Il faut le dire, dans notre sociĂ©tĂ©, les femmes au foyer sont mal perçues et critiquĂ©es. Ce message est vĂ©hiculé 
Trouver sa place est indispensable pour se sentir bien au quotidien. J'ai traversĂ© une longue pĂ©riode de remise en question. En tant que mĂšre, en tant que femme ... Etre une femme tout en conciliant son rĂŽle de mĂšre n’est pas si facile. Pour ma part j’ai mis un moment Ă  trouver

Bienvenue sur Blog, moi c'est Anna. Je suis une jeune femme accomplie, une mĂšre Ă©panouie et j’élĂšve mes petits « gĂ©nies » en parfaite harmonie !!! Merveilleux me direz-vous ! C’est beau, mais ça sonne pas un peu faux ? Il est vrai que cela ressemble Ă  un slogan publicitaire des annĂ©es 70.

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Femme accomplie dans ma vie pro mĂȘme si je reste en ce moment beaucoup Ă  la maison.
MĂšre Ă©panouie de ma tribu mĂȘme si parfois j’ai hĂąte qu’ils s’endorment pour avoir la paix.
Enfants “gĂ©nies” 
 soyons honnĂȘtes, ils le sont tous aux yeux d’une mĂšre.
J’ai trouvĂ© mon IDEAL familial aprĂšs une longue pĂ©riode de remise en question.
S’ accomplir est parfois compliquĂ©, je partage des rĂ©flexions et des conseils qui m’ont permis d’avancer et de me recentrer.
Je me consacre Ă©galement beaucoup Ă  l’ Ă©ducation et Ă  l’ instruction de mes enfants. Vous trouverez diverses astuces pour distraire , instruire et Ă©panouir positivement vos enfants. Ainsi que diffĂ©rentes mĂ©thodes d’apprentissages dont la mĂ©thode ASELD .
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135 rĂ©flexions sur “Les femmes au foyer : des profiteuses ?”

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J’ai discutĂ©, il y a quelque temps, avec un petit jeune homme qui a eu l’outrecuidance de m’accuser d’ĂȘtre une profiteuse qui vit aux crochets de son mari . Quel affront ! 😀
Pire, je sais bien qu’au fond, beaucoup de gens, y compris dans nos familles respectives, partagent ce triste avis. Je ne rĂ©siste donc pas Ă  l’envie d’exposer ma vision des choses.
Il faut dire que pour une femme au foyer, les rĂ©flexions, plus exquises les unes que les autres, ne manquent pas : tu vas quand mĂȘme reprendre le travail, non ?, qu’est-ce que tu fais de tes journĂ©es ? (je reste allongĂ©e dans le canapĂ© Ă  regarder la tĂ©lĂ©, pourquoi ?).





Femme au foyer, ça fait rétrograde, pas sexy, quoi.
Ben oui, qu’est-ce qu’elle peut bien faire de ses journĂ©es ? Regarder les feux de l’amour sĂ»rement. Pfff la pauvre !
C’est sĂ»r, les enfants, ça s’élĂšve tout seul : on les pose dans un coin et ça ne bouge plus de la journĂ©e. 😉
Et puis, rĂ©trograde, peut-ĂȘtre, mais c’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes. 😉 Sans rire, c’est un modĂšle qui fonctionnait plutĂŽt pas mal avant, vous savez, avant que le divorce ne dĂ©truise une famille sur deux.
Chez nous, chacun contribue Ă  sa façon pour le bien-ĂȘtre de la famille. Mon but dans la vie, ce n’est pas d’ĂȘtre une femme libĂ©rĂ©e comme le prĂŽnent les magazines, c’est que ma famille tienne le choc.
Je trouve profondĂ©ment saugrenue (mais rĂ©vĂ©latrice des temps actuels) l’idĂ©e que les femmes au foyer seraient des profiteuses, tout comme il ne vient Ă  l’esprit de personne de considĂ©rer qu’un homme est un profiteur parce que sa femme lui fait Ă  manger, lui repasse ses chemises, ou s’occupe de ses enfants.
Evidemment, je parlerai ici du cas oĂč le salaire d’un seul conjoint suffit Ă  faire vivre la famille.
Je sais que beaucoup de femmes aimeraient pouvoir s’occuper de leur famille, mais ne le peuvent pas pour des raisons financiùres. Pas la peine de me dire que j’ai de la chance : je le sais (enfin je dirais plutît, 10% de chance, 90% de choix ).




Je sais aussi que certaines arrivent par-fai-te-ment Ă  gĂ©rer vie de famille et travail. J’en suis trĂšs heureuse, mais je pars quand mĂȘme du postulat que bien souvent, ce n’est pas aussi rose qu’on le dit, notamment au niveau de la fatigue engendrĂ©e.
Je sais bien aussi que tout le monde ne supporte pas de rester Ă  la maison ni de s’occuper d’enfants toute la journĂ©e (ce n’est pas aussi facile qu’on le croit). Quelque soit votre statut, sachez qu’il n’y a pas de condamnation dans mes propos.
J’ai grandi dans une famille oĂč la carriĂšre Ă©tait la prioritĂ© numĂ©ro 1.
L’idĂ©e Ă©tait la suivante : les enfants ne doivent pas faire obstacle Ă  la carriĂšre des parents.
Bref, trùs tît dans l’enfance, je me suis promis une chose : je m’occuperais de ma famille.
Mais il ne fallait pas le dire, chez nous les femmes au foyer étaient considérées comme des cruches incapables de faire quoi que ce soit de leur vie.
Je ne vous dis pas le choc quand j’ai fait mon coming-out !
Je n’ai pas trouvĂ© le monde du travail (salariĂ©) Ă©panouissant. Du tout. Pressions, jalousies, clients qui vous traitent comme un paillasson
 Mes collĂšgues en Ă©taient rendus Ă  prendre des mĂ©dicaments pour calmer leur stress. Finir comme eux, sĂ»rement pas. Travailler, oui, mais pas au prix de ma santĂ©.
Sans compter que j’habite une rĂ©gion oĂč les temps de trajet sont Ă  rallonge. Lors de mon dernier emploi, je passais 3 heures par jour dans les transports. Hors grĂšves bien sĂ»r.
Autant dire que je rentrais Ă©puisĂ©e et que le temps passĂ© en couple Ă©tait court. Quelle vie dĂ©testable quand j’y repense
 C’est Ă  ce moment-lĂ  que mon mari m’a fait la proposition qui a changĂ© notre vie : Tu n’es pas obligĂ©e de travailler, on peut vivre avec mon salaire. Quel homme ! 😀
Cela dit je ne m’interdis pas de crĂ©er ma propre activitĂ© dans quelques annĂ©es, mais il y a peu de chances pour que je reprenne le chemin du salariat.
Travailler pour vivre, OK, mais vivre pour travailler, non merci. Par contre, je suis convaincue qu’il est important de prendre soin des gens que l’on aime . CrĂ©er des liens avec ses enfants, c’est maintenant qu’il faut le faire, pas quand ils seront partis de la maison.
C’est une vision partagĂ©e par mon mari, qui a pris soin, de son cĂŽtĂ©, de choisir un mĂ©tier aux horaires rĂ©duits (oui c’est ça, Fonctionnaire, avec un grand F s’il vous plaĂźt 😛 ). Nous avons donc beaucoup de temps libre Ă  passer ensemble et avec notre fille, et c’est un plaisir quotidien.
D’autre part, je refuse de sacrifier ma vie de famille pour un boulot oĂč on me considĂšre comme un pion dont on peut se dĂ©barrasser Ă  tout moment.
Le travail, Ă  notre Ă©poque, est incertain. La famille, par contre, est faite pour durer. J’ai choisi de miser sur ce qui durera.
Mon charmant interlocuteur qui m’a inspirĂ© cet article, m’a fait une rĂ©flexion typique des adeptes de la rat race (je n’aime pas tellement ce terme, mais il reflĂšte quand mĂȘme bien la rĂ©alitĂ© : cette course de rats oĂč l’on est engagĂ© sans s’en rendre compte, pour tenter de gagner toujours plus d’argent et de paraĂźtre, en oubliant les choses importantes de la vie ).
La voici en substance : tu aurais pu faire de grandes Ă©tudes et gagner un bon salaire , au lieu de finir femme au foyer et de vivre aux crochets de ton mari.
Comme lui, bien des gens ont du mal Ă  imaginer qu’une femme au foyer ait un niveau supĂ©rieur au brevet des collĂšges.
Pour ma part, aprĂšs avoir poussĂ© jusqu’à un Master de droit des affaires, j’ai dĂ©cidĂ© de tout arrĂȘter. Pourquoi ? Parce que ça ne me correspondait absolument pas.
Ces Ă©tudes m’avaient Ă©tĂ© imposĂ©es par la pression familiale, parce qu’il fallait avoir un mĂ©tier prestigieux. Mais Ă  quoi sert un mĂ©tier prestigieux que l’on n’aime pas ?!
A frimer ? Ca ne m’intĂ©resse pas.
On peut se forcer un certain temps, mais on finit par y laisser des cheveux. Je prĂ©fĂšre la libertĂ© de mener Ă  bien mon projet de vie, faire ce que j’aime vraiment, sans ĂȘtre bloquĂ©e par le regard d’autrui.
Bref, puisque mon mari, qui aime son mĂ©tier, gagne suffisamment pour nous permettre de vivre avec son salaire, tout en Ă©pargnant une part substantielle de celui-ci, pourquoi irais-je m’épuiser avec un travail qui ne m’intĂ©resse pas, alors que j’ai une famille qui a besoin de ma prĂ©sence ?
Pour gagner plus d’argent ? Nous n’en voyons pas l’intĂ©rĂȘt.
Oui, on pourrait s’offrir des vacances sous les tropiques, partir au ski tous les hivers, payer une super nounou pour s’occuper de nos enfants
 !
Mais, pardon si je choque, mes enfants, je prĂ©fĂšre m’en occuper moi-mĂȘme. Je pense encore ĂȘtre la mieux placĂ©e pour ça.
Je préfÚre vivre avec moins, partir moins souvent en vacances, mais pouvoir profiter de ma famille au quotidien, plutÎt que de rentrer fatiguée et préoccupée tous les soirs.
Avec une femme et un enfant, mon mari ne dĂ©pense pas tellement plus que lorsqu’il Ă©tait cĂ©libataire.
Par quelle magie ? Parce que sa femme au foyer a le temps de tenir les comptes, de chercher les bons plans, et de rĂ©flĂ©chir Ă  l’orientation Ă  donner Ă  nos finances.
Parce qu’il n’y a pas de frais exorbitants de garde d’enfant Ă  payer, et plusieurs milliers d’euros d’impĂŽts Ă©conomisĂ©s chaque annĂ©e.
D’ailleurs, si je travaillais, la plus grande partie de mon salaire serait dĂ©pensĂ©e en frais de transport, vĂȘtements, repas, garde d’enfant, et impĂŽts.
Le rapport sacrifices/bĂ©nĂ©fices serait clairement nĂ©gatif. Quel en serait alors l’intĂ©rĂȘt ?
Sans compter le confort de vie que notre situation nous offre : avoir le temps de cuisiner, de discuter, de passer du temps en famille chaque jour.
Je pense que c’est un excellent mode de vie pour favoriser la cohĂ©sion du couple et de la famille. Il faut dire que j’ai un mari qui m’aide beaucoup dans les tĂąches quotidiennes, ce qui, Ă©videmment, rend les choses plus agrĂ©ables.
Au final, ce qui me pose question, c’est le postulat, rĂ©pĂ©tĂ© naĂŻvement, selon lequel il faut travailler et gagner le plus d’argent possible, mĂȘme quand on a dĂ©jĂ  de quoi pourvoir Ă  nos besoins.
C’est aussi cet a priori gĂ©nĂ©ralement nĂ©gatif sur les femmes qui dĂ©cident de travailler pour leur famille (ah, vous ne saviez pas que c’était aussi un travail ? ;)).
Et, quand je pense au nombre de divorces Ă  notre Ă©poque (presque un mariage sur deux), je me dis que nous faisons le bon choix d’aller Ă  contre-courant de la mentalitĂ© ambiante.
Pour ma part, je me sens parfaitement à ma place dans mon activité de mÚre au foyer. Moins de stress, de fatigue, et une vie de famille de meilleure qualité : franchement, une vie géniale.
Alors, si vous me croisez, retenez-vous de me demander quand est-ce que je reprends le travail. 😉
Et vous, avez-vous dĂ©jĂ  eu envie de prendre du recul, d’une façon ou d’une autre, par rapport aux injonctions de notre sociĂ©tĂ© ? Si vous ĂȘtes comme moi femme au foyer (ou si votre femme l’est), qu’est-ce qui a motivĂ© votre choix ?
PS : Chers lecteurs, si cet article vous a plu / aidĂ© / inspirĂ©, n’hĂ©sitez pas Ă  laisser un commentaire ci-dessous (je rĂ©ponds Ă  chacun), mĂȘme pour dire ce que vous pensez ĂȘtre une banalitĂ©. Cela fait toujours plaisir et rĂ©compense un peu le temps pass
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