Femme au foyer allemande accueille son mari

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Femme au foyer allemande accueille son mari

Publié
le 27/04/2007 à 06:00 , Mis à jour le 15/10/2007 à 01:25
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Ministre chrétien-démocrate, docteur en médecine, maman de sept enfants, Ursula von der Leyen, veut faciliter l'accès au travail des mères de famille.
ELLE REFUSE de réduire les femmes à leur rôle de mère au foyer. Un point pour les sociaux-démocrates. Elle ne se revendique pas du féminisme. Un point pour les conservateurs. Depuis son arrivée à la tête du ministère de la Famille à Berlin, en novembre 2005, Ursula von der Leyen brouille les frontières idéologiques. Membre de l'Union chrétienne-démocrate (CDU) depuis 1990, fille de l'ancien ministre président conservateur de Basse-Saxe Ernst Albrecht, titulaire d'un doctorat en médecine et mère de sept enfants, elle se devait d'incarner le conservatisme bon teint. Rien ne pouvait laisser penser qu'elle partirait en campagne contre le modèle familial traditionnel porté par son parti. D'abord intéressée par la Santé, Ursula von der Leyen n'a pas tardé à concentrer son ambition sur la tâche qu'Angela Merkel lui a confiée : redéfinir la politique familiale du pays. Son offensive pour une nouvelle répartition des rôles a débuté par la mise en place d'une allocation parentale, instaurée le 1 er janvier 2007. Implicitement, elle était destinée à encourager les pères à rester eux aussi un temps à la maison. Si ses tailleurs marine et ses cheveux blonds lissés ont fait craindre aux sociaux-démocrates des heures de négociations difficiles, c'est dans ses propres rangs que le ministre a dû faire face aux critiques les plus véhémentes. Certains conservateurs l'ont accusée de dénigrer les mères au foyer. « Je ne veux pas que les femmes qui décident de quitter leur emploi pour élever leurs enfants soient discriminées » , a dit l'un de ses opposants, le ministre président de Rhénanie-Westphalie Jürgen Rüttgers. La «Petite Rose » Au SPD, on se refuse à dire qu'elle a tout inventé en matière de politique familiale. « Je me réjouis de voir qu'Ursula von der Leyen poursuit la politique que j'ai moi-même entamée » , a déclaré l'ancien ministre social-démocrate Renate Schmidt. Elle faisait allusion au débat sur la prise en charge des enfants en bas âge. À bientôt 49 ans, Ursula von der Leyen plaide pour la liberté de choix. Avant de se faire élire en 2001 avec un mandat local en Basse-Saxe, elle a dû mettre ses ambitions professionnelles de côté. Au lieu de se spécialiser en gynécologie, elle a suivi son mari en Californie. C'était au début des années 1990. Puis, chaperonnée par le ministre président de Basse-Saxe, Christian Wulff (CDU), qui a su détecter son charisme politique, elle a gravi les échelons. Élue au parlement régional du Land en 2003, elle a été nommée ministre de la Famille et des Affaires sociales, avant d'accéder au mandat fédéral. Comme son père, qui la surnomme la « Petite Rose », Ursula von der Leyen n'hésite pas à s'appuyer sur l'imagerie familiale pour asseoir les idées qu'elle défend. « Je ne veux ni ne peux me débarrasser de mes enfants. Ils font partie de ma vie et de mon concept politique » , a-t-elle dit. Les portraits de famille diffusés à l'envi dans la presse allemande sont une illustration de cette profession de foi politique.

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