Faux cambriolage se transforme en fétiche des pieds

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Faux cambriolage se transforme en fétiche des pieds

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Publié le 07/07/2017 à 9h18


& mis à jour le

13/09/2021 à 9h17




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Managers, comment recadrer un salarié casse-pieds
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Directeur commercial chez un négociant en vins, Stéphane se souvient de ce collaborateur toujours en retard aux réunions. Il prétextait un client important, un dossier urgent... En fait, ce faux débordé cherchait surtout à se faire remarquer tout en évitant de prendre sa part du travail collectif. Stéphane a eu l'idée de programmer les réunions tôt le matin, à un moment où aucun impondérable ne pouvait être crédible. Il a aussi décrété que le dernier arrivé en rédigerait le compte rendu. “Il est devenu un modèle de ponctualité”, remarque-t-il.
Qui n'a pas dans son équipe son lot de casse-pieds ? Selon le psychiatre François Lelord, 10% de la population adulte est constituée de personnalités difficiles. Impossible d'y échapper ! Au boulot, ceux qui nous pourrissent la vie ne sont pas forcément intentionnellement nocifs. Mais ils sont parfois plus visibles, surtout dans une équipe réduite, où tout le monde est bien obligé de travailler ensemble. Râleur chronique, planqué de service ou dinosaure bardé de certitudes... Voici nos conseils pour empêcher les trouble-fête de ruiner le mental de vos troupes.
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Vous prenez la tête d'une nouvelle équipe ? “Cartographiez votre service”, recommande Bertrand Duséhu, psychologue et fondateur du cabinet de conseil en ressources humaines qui porte son nom. Il s'agit de positionner chaque collaborateur sur un diagramme à quatre dimensions, appelé la carte des acteurs, selon qu'il est actif, passif, suiveur ou opposant. Cela permet de repérer vos alliés et de miser sur eux pour embarquer les traîne-savates dans leur sillage. “Il faut proscrire la stratégie du contournement, qui consiste à ignorer les casse-pieds en leur confiant le moins de missions possible”, prévient Henri Sendros-Mila, médiateur professionnel.
Un emmerdeur mis sur la touche se transforme en victime et risque de se révéler encore plus nocif. “Les entreprises les plus performantes sont celles qui intègrent des personnalités différentes”, souligne Christian Pousset, président de PeopletoPeople Group, spécialiste du e-coaching. On est tous le casse-pieds d'un autre. Il suffit de trouver celui avec lequel vous avez les meilleures chances de bien vous entendre.
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Et que faire si un salarié pousse le bouchon trop loin ? Surtout, ne pas réagir de façon épidermique. Rabrouer l'enquiquineur, c'est entrer dans son jeu... Et foncer dans l'impasse. “Dissociez la personne de son comportement”, conseille Annette Chazoule, responsable de l'offre de formation des managers chez Cegos.
Cherchez les motifs de son attitude. Consultez ses états de service : tel collaborateur n'a pas toujours traîné les pieds, tel autre est peut-être plus stressé que râleur... Cela vous aidera à lever les malentendus. Henri Sendros-Mila se souvient d'une jeune femme qui trouvait toujours un prétexte pour échapper aux réunions. En fait, elle portait un appareil auditif et ne voulait pas que cela se sache. Et comme elle redoutait de mal entendre ce qui se disait, elle s'esquivait...
Sophie, jeune ingénieure propulsée aux commandes d'un atelier de mécanique, se rappelle un contremaître qui marmonnait des commentaires graveleux sur son passage. “Ces propos sont indignes de vous !” lui a-t-elle dit en face. Habile réaction. En différenciant l'individu de son comportement, elle a reconnu la valeur du premier tout en jugeant sévèrement le second. Et s'est imposée comme la vraie chef de l'équipe. Les commentaires ont cessé. Comme le conseille Henri Sendros-Mila : “Au travail, ne prenez pas les piques personnellement mais décryptez l'inquiétude qu'elles révèlent.”
Un recadrage doit se dérouler en tête à tête : “Tenez-vous-en aux faits, recommande Annette Chazoule. Expliquez en quoi un comportement est gênant pour vous et pour l'équipe.” Et laissez l'emmerdeur s'exprimer. Acceptez, s'il y a lieu, la légitimité de son point de vu : il n'a peut-être pas raison, mais il a ses raisons. Une fois qu'il les aura exposées, à vous de le responsabiliser : un psychorigide se défausse d'une mission en s'abritant derrière sa fonction ? Demandez-lui de formuler une autre proposition ! Faire confiance à son intelligence est un bon moyen de le déstabiliser. “Vous le mettez en situation de s'observer lui-même”, explique Annette Chazoule.
Vous êtes prêt à céder face à un planqué qui s'autorise des pauses quand bon lui semble ? Ne laissez pas s'installer une exception, vous risqueriez les foudres de votre équipe. Faites savoir que vous traitez le problème mais que “cela peut prendre du temps”, ajoute Bertrand Duséhu. Un râleur chronique, par exemple, ne changera pas de comportement du jour au lendemain. Aidez-le à trouver ses propres ressources pour modifier son attitude. “Proposez-lui une solution sur la durée”, suggère Christian Pousset. Comme un mentoring par un dinosaure démotivé mais expérimenté. Ou une mutation vers un autre service... si possible celui de votre pire ennemi !
>> En vidéo - Mécontents, râleurs... les salariés malheureux, ça suffit !
Les algorithmes des nouvelles plateformes de recrutement, telles que Yatedo, parviennent à anticiper les probabilités de réussite d'un salarié à un poste, en se fondant sur son CV, sa personnalité, ses talents. De là à repérer les casse-pieds... la science n'en est pas encore capable ! “Rien ne remplace le contact humain”, reconnaît Saad Zniber, cofondateur de Yatedo. Les outils prédictifs servent à réduire en amont le temps de sélection des profils. Pour les emmerdeurs, faites confiance à votre intuition.
La phrase fétiche de votre casse-pieds maison. Elle lui permet de se réfugier dans une saine inactivité. Ce boulet traîne les pieds dès le matin, plombe tout le monde en pointant les échecs plutôt que les réussites et conteste toutes vos décisions. Le plus : Le casse-pieds est un expert en détection de problèmes. Pessimiste, il saura vous recadrer si vous péchez par excès d'enthousiasme. Un garde-fou en quelque sorte ! Le saviez-vous ? Au sein d'une équipe, ce type d'individu s'affirme plus motivé que tous les autres, selon une étude du cabinet Leadership IQ de 2013. Le moins : Il râle tout le temps. C'est usant à la longue !

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Agréable il sera de m'exprimer sans me censurer. D'être moi... At last! Ainsi, les mots réfléchis précéderont ma parole, ne dépasseront pas mes pensées. Vous me découvrirez en me lisant jusqu’au bout de ma plume sensible et authentique.


Verba valent, scripta manent.

C’est la fin de l’année scolaire! Les enfants sont heureux! On attend juste la chaleur et le soleil pour s’en donner à cœur joie! Finie la cours d’école et tous ces beaux enfants si gentils…
Je tiens à remercier tous les enseignants et le personnel des écoles de mes enfants, ainsi que ceux de tout le réseau scolaire. Je vous lève mon verre! Vous êtes de super héros. Ils font du travail extraordinaire chaque jour. Ils doivent composer avec toutes sortes de petites personnalités et de problèmes les plus intéressants les uns que les autres. L’attitude face à l’éducation est partagée. Le système scolaire nivelle vers le bas. On a donc du fun, car on joue au serpent -échelle. Plus les enfants sont paresseux, moins on exige de ces derniers. Ils sont turbulents, ils dérangent à tout bout de champs, mais ils faut les COMPRENDRE ! Mon œil. La discipline, ces enfants-là ne connaissent même pas ce que c’est! Leurs parents non plus, d’ailleurs. Pas plus que le respect!
Je tiens aussi à remercier tous ces enfants qui me font sortir de mes gonds à chaque année. Vous savez les enfants pas élèvés qui intimident les autres. Je ne peux pas croire que malgré toutes les publicités contre l’intimidation ces petites pestes pullulent encore nos cours d’école. Est- ce que c’est juste moi qui les repèrent à dix mille à la ronde? Le pire dans tout cela c’est que c’est moi qui se fait pointer du doigt, car je les dénonce. Ça va faire! C’est juste moi qui a un super détecteur d’intimidateurs? Y a t’il quelqu’un qui va les placer . Ben non! Voyons! Les parents vont déclarer la guerre! Leur pauvre petit va se mettre à brailler … Comédien , va! Trop drôle , je me roule à terre. Ils ont tous les droits et et et et… vous ne voulez pas savoir ce qui me vient en tête .
Réveillez- vous chers parents , car il y en a une maudite gang qui dort au gaz. Quand mon enfant fait quelque chose d’incorrect, je te le replace dans le temps de le dire. Ils ne sont pas des saints ,mais je sais une chose: ils ne sont pas des intimidateurs . Pourquoi? Simplement, parce que je les aies éduquées avec de bonnes valeurs. Le respect, le partage, l’entregent, la camaraderie,la diplomatie, l’humilité,la persévérance ,la détermination ,le savoir-vivre, la loyauté, la politesse, la sensibilité, la responsabilité,la modestie et surtout le respect de soi! Je pourrais vous en énumérer encore et encore, mais je veux rester humble! Vous n’aurez pas assez de tout l’été pour les enligner votre progéniture de toute façon… Une valeur par jour…oups… Ça va être long en bibittes! . Vous êtes capables… Ben non, vous êtes présentement en furie! Ah! C’est cute! Comme dans petite furie . Vous vous dites sans doute que j’ai un problème dans la tête. C’est bien correct! Je pense la même chose de vous, hi! hi! Cela est bien plus facile comme ça, hein? . Le reflet du miroir n’est pas toujours très reluisant.
J’en ai plein mon casque de ces enfants-rois dont les parents ne se rendent même pas compte que leur enfant est un vrai petit . C’est bien facile de comprendre leur aveuglement! Les enfants sont le reflet de ses parents. Ils apprennent par l’exemple. La pomme ne tombe jamais loin de l’arbre… Essayez même pas de discuter avec ces parent-là, car soit ils ne veulent pas le voir ou bien ils n’ ont pas ce qu’ils faut dans le coco pour comprendre les règles de base de la vie en société. Un jour, où je serai moins pompée, je vous parlerai de la pyramide de la vie…
Vous avez juste à demander à la mère qui a essayé de me mettre dans le coin quand j’ai dénoncer son enfant qui intimidait… Elle ne dort pas encore des nuits complètes. Je suis restée calme et j’ai eu confiance en moi. Moi, je dors très bien. RESPECT!!!!
Je suis moi aussi une enseignante …je resterai donc à partir de maintenant professionnelle dans mes propos. (Si vous saviez le nombre de fois que j’aurais eu le goût de sacrer une taloche en arrière de la tête d’un petit morveux…je sais que je ne peux pas, mais je mentirais si cela ne m’avait pas traversé l’esprit. SOYEZ SANS CRAINTE, je préfère être une maman à la maison… Jusqu’au jour où j’aurai une envie folle d’aller me faire pomper l’air par vos enfants. J’adore les défis. Jusqu’à maintenant, je n’ai reçu que des compliments de la part de mes supérieurs , donc ce que vous pensez m’importent peu. Cependant, je ne vous ferai pas cela, je ne veux surtout pas faire peur à vos enfants mal éduqués. J’ai d’autres choses à faire…
Pour terminer ce joli billet rempli d’amour , je tiens à partager une œuvre d’art avec vous. Je vous laisse le temps de dépomper. Ça va? Encore quelques secondes? Pas de problème, c’ est les vacances! Je n’ai pas d’horloge. Tic Tac Tic Tac….Tic Tac…tic tac…prenez votre temps… J’ai tout mon temps. Pas vous? C’est donc ben long! Coudonc, êtes-vous là? Excusez, vous devez gérer votre gosse qui a fait pleurer la petite voisine, celle donc c’est toujours la faute!?!?!
Dans la vie, nous sommes ce que nous entendons . Nous sommes ce que nous voyons . Nous sommes ce que nous disons . Nous sommes ce que nous ressentons . Nous avons tous la capacité d’avancer , de s’améliorer .
Regardez la photo en haut de ce billet… Allez mettez vos petites lunettes…c’est un chef d’oeuvre. Voyez-vous la même chose que moi? Je le souhaite. Vous pouvez grossir l’image…
Merci à vos enfants de faire grandir et de renforcer mes enfants! C’est la vie. Plus ça change,plus c’est pareil.
J’ai une petite montée de lait ce matin. Depuis plusieurs années, je lis des livres sur le comment être une mère parfaite. Je viens à peine de lire l’article sur le poupon crémé avec de la crème solaire brûlant son petit visage! Les commentaires qui suivaient condamnaient la maman du petit en la décrivant, pour être polie, de mère indigne. Je pourrais vous en donner des conseils! Je suis une maman. Une super maman!!! (Pas du tout…je suis juste une maman qui fait son gros possible). Je crois du plus profond de mon coeur, que tous les parents ne veulent que le bien de leurs enfants. En fait, je l’espère… Est-ce utopique?
Je me souviens lorsque mon test de grossesse s’est avéré positif pour la première fois, il y a de cela plus de 15 ans, déjà. Pour cinq minutes, j’étais tellement contente. Quelle belle nouvelle. Enfin! J’allais devenir une maman. J’avais donc peur de ne pas pouvoir avoir d’enfants. Idée qui se promenait dans les méandres de mon cerveau depuis mon plus jeune âge. Je ne pouvais pas considérer ma vie sans progéniture. J’y pensais souvent. Je ne sais pas d’où cela vient… je ne me pose plus la question.
Je me suis mise à réfléchir au fait que je portais un petit être dans mon ventre. Il y avait deux coeurs dans mon corps. Il y en avait de l’amour! Malgré cela, je ne ne faisais que pleurer d’angoisse. J’allais être responsable de quelqu’un, de son avenir, de son bonheur… Est-ce que j’ai tout ce qu’il faut pour être une maman? Je me souviens de la boule que j’avais dans l’estomac. Je n’en parlais pas. Sauf une fois à mon amie d’enfance en visite chez moi. Elle a dû regretter d’être venue me voir,car je n’ai pas arrêté de pleurer de tout le week end en me tapant dessus en disant que je ne serais pas capable d’être une bonne mère. Elle a été d’une telle écoute. Une écoute amicale et sans jugement. Qu’est-ce qu’ une bonne maman?
Une bonne maman est celle qui fait de son mieux. Celle qui s’oublie pour ses enfants. Qui oublie ou est trop fatiguée pour aller chez la coiffeuse malgré sa repousse de 3 pouces et qui a l’air d’une psychiatrisée! Il est où le fameux mode d’emploi qui vient avec la poupée bout-choux! On en trouve pour le landau, pour la poussette, pour le siège d’auto, pour le chauffe-lait, pour, pour, pour… en devenir folle. On se fait harceler par une infirmière-stagiaire pour qu’on allaite…c’est qui elle? Si je n’avais pas eu la noune si enflée et douloureuse, je te l’aurais escortée hors de ma chambre. Elle n’a pas fini sa puberté et veut me donner des conseils. Attends donc d’avoir ta propre poitrine pour toucher la mienne! « Lâche-moi les tétons et va voir ailleurs si j’y suis ». Surtout, ne réveille pas ma fille. Elle dort! Non, elle n’a pas faim! Elle a forcé comme une perdue pour passer dans mon canal pelvien très très serré pour se faufiler dans notre monde de fou et tout cela pendant 15 heures laissant sa mère fendue jusqu’aux oreilles. Elle est brûlée tout comme moi et elle veut la paix. Avec sa Cone Head,(utilisation de la ventouse), sa face enflée et sa peau toute ratatinée, WOW! quelle beauté ce bébé! Petite Furie a utilisé tous les mots de l’Évangile pour que cette étudiante comprenne qu’elle se devait de faire un autre choix de carrière et prenne la PORTE. Elle a vite compris que la FENÊTRE pouvait être une de mes options… C’est haut 4 étages… Ciao bye…je ne l’ai jamais revue! Au moins une qui a compris…
Des conseils fusent de partout…À tous et à toutes, avec mes plus grands remerciements, si je ne demande pas de conseils, gardez ceux-ci pour la belle-soeur ou la voisine. Surtout quand tu en es à ta troisième grossesse. C’est drôle, car on dirait que cela est écrit dans mon front… L’instinct demeure vraiment le meilleur conseiller. J’ai disons pété quelques coches, car moi mini-docteur, j’en connais un peu sur l’obstétrique ayant comme papa le meilleur des médecins de famille du monde entier. J’ai déjà participé ou disons espionné du haut de mes 5-6 ans des accouchements. Petite Marie connaissait bien son hôpital. Les portes à gros ressorts qui se ferment très lentement me permettaient de mettre mon pied juste à temps avant qu’elles ne se referment. Je regardaient les femmes les jambes dans les étriers…J’adorais cela. Poussez madame…allez poussez!!! Il me faisait grand plaisir une fois à la maison de tout démontrer à mes frères…Je suis la championne des détails! Vive les sundaes du poste de garde…
J’ai trois magnifiques filles. Elles ont vécu une vie atypique. Elles se sont couchées super tard, elles ont mangé du chocolat très tôt, ont mangé du Mc Do, mâché de la gomme à deux ans avec la suce dans la bouche et elles ont bu du lait maternisé, après m’avoir « étiré » ( je cherche et je cherche… un meilleur mot, mais rien ne me vient pour décrire le dommage) les seins, qui bien entendu sont devenus des queues de castor. ( Le tire-lait étire la tétine d’un bon trois pouces…c’est tout un événement à ne pas manquer!) Elles ont bu du coca-cola à 4 ans avec leur père. Elles m’en parlent encore. Père indigne. RÈGLE ENFREINTE! Je ne leur lavais pas les mains à tout bout de champs et elles ont mangé du sable plus que recommandé  dans la ration du grand livre de la vie. Elles sont tombées en vélo, ont avalé leur tasse d’eau dans le lac et la piscine. ( ATTENTION ! PRUDENCE! IL FAUT TOUJOURS LES SURVEILLER! NE VOUS FIEZ GUÈRE AU VOISIN. VOUS ÊTES RESPONSABLES DE VOTRE ENFANT!)
Une a même fait une commotion, car je ne l’ai pas eue à l’oeil une fraction de seconde. Elles ont fait de la fièvre, ont vomit, ont refusé de manger toute leur assiette et n’ont pas eu à chaque repas la ration recommandée de fruits frais ou de légumes. Une s’est plantée solide en courant avec ses gougounes Dora malgré tous mes avertissements. Je n’ai pas changé,dès le petit matin, la couche qui pendait d’un bord tellement elle était pleine de pipi… Après une journée dans la piscine, elles en ont sauté des bains. Le chlore a fait sa job toute la journée. Quand j’étais petite, je me lavais dans le lac… en prenant grand soin de marcher doucement afin de ne pas soulever le sable. Il y a donc une certaine évolution de l’espèce.
Quand il était plus que temps de prendre un bain. Je leur faisais croire qu’elles allaient se transformer en arbre… j’utilisais la menace! Je leur faisais peur! Je ne suis donc pas bien gentille. Sachez qu’il y a des limites à argumenter avec un enfant. Je leur ai montré la photo qui précède ce billet…assez persuasive, non??? Mon autre fille sauté des repas en braillant qu’elle n’avait pas faim. ( C’est certain, grand-papa venait de lui donner une belle grosse barre de chocolat Coffee crisp. Je la comprends donc, car moi aussi je n’ai pas soupé à l’heure prévue, car je connais la cachette chez grand-papa, et je m’étais bourrée de chips et de chocolat…des Aéros pour moi!)
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