Fausse rousse va pas garder sa jupe longtemps

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Fausse rousse va pas garder sa jupe longtemps
Comment garder sa motivation et sa détermination plus longtemps ?
Blogueuse anxiété (guerir-anxiete.com) · L'auteur a 147 réponses et 17,1 k vues de réponse · 2 ans
Comment garder sa motivation Ă  la fac ?
Quelle est votre motivation numéro un dans la vie ?
Comment garder un haut niveau de motivation ?
Comment peut-on avoir le dĂ©clic pour ĂȘtre motivĂ© dans ce qu'on fait ?
NegoCoach ( 1985 – aujourd'hui ) · L'auteur a 116 rĂ©ponses et 21,7 k vues de rĂ©ponse · 2 ans
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Comment créer son propre NFT (jeton non fongible) ?
Comment ĂȘtre motivĂ© tous les jours ?
Quelle est la meilleure motivation dans la vie ?
Comment se garder motivé quand tout semble accablant ?
Quelles sont vos motivations pour avancer dans la vie et pourquoi ?
Pourquoi la motivation n’est pas utile ?
Quelles sont vos motivations lorsque vous ĂȘtes dĂ©couragĂ©s ?
Pourquoi ne parvenez-vous pas Ă  maintenir la motivation ?
Qui fait pour motiver dans votre vie ?
Comment retrouver son ambition et sa motivation dans la vie ?
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Avoir un but à long terme, le décomposer en actions court terme. Garder toujours notre objectif final en vue. Ne pas s'essouffler
La motivation et la dĂ©termination, selon moi, devraient ĂȘtre des consĂ©quences de nos activitĂ©s. Si les activitĂ©s ne sont pas motivantes, ce n'est pas d'ĂȘtre gĂ©nĂ©ralement motivĂ© qui va permettre de maintenir une dĂ©termination. Souvenez-vous que nos rĂ©sultats (succĂšs/Ă©chec) dĂ©pendent de nos comportements qui dĂ©pendent de notre attitude qui dĂ©pend de nos valeus et croyances. Quand les valeurs et croyances sont fortes (et vĂ©cues au quotidien), les comportements deviennent naturels et sans gros effort.


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Sabine a sĂ©duit RenĂ©, son voisin et collĂšgue de travail, mari de Julie et pĂšre du bĂ©bĂ© Margaux. Par hasard, Jacques, le mari les surprend. Le DRH, avec lequel Sabine pratique la promotion canapĂ©, veut envoyer les deux collĂšgues en stage. Le mari apprend de Judith, Ă©pouse du DRH l’inconduite de Sabine. Le double cocu dĂ©cide de se sĂ©parer de l’infidĂšle. RenĂ© hĂ©sitait Ă  aller en stage : le mari l’oblige Ă  rester l’amant de Sabine. Il accumule ainsi les preuves qui faciliteront son divorce. TentĂ© par Julie, qui n’obtient de son mari, Ă©puisĂ© par Sabine, que peu d‘amour, Jacques, l’infortunĂ© cocu, rĂ©siste, mais se rapproche de Judith, la femme bafouĂ©e du DRH, en instance de divorce. Ils auront le mĂȘme avocat : Georges. HĂ©las Judith Ă©pouse Georges, avocat gay. Sabine relance son ex-mari et trompe avec lui SĂ©bastien qu’elle compte Ă©pouser. Judith quitte Georges et s’installe chez Jacques : ils projettent de vivre ensemble et deviennent enfin amants.
Luc, l’amant cachĂ© mais trĂšs jaloux de Georges, a facilitĂ© le divorce de l’avocat et de Judith. DĂšs le jugement nous pourrons convoler. En attendant, nous sommes amants. Judith a insistĂ© pour que j’accepte par testament devant notaire d’hĂ©riter de tous ses biens. Ma situation professionnelle me met Ă  l’aise, je ne voyais pas l’utilitĂ© de ce testament avant un contrat de mariage. Elle a tenu absolument Ă  me donner ce gage d’amour. Pourtant depuis que nous avons emmĂ©nagĂ© ensemble, des gages d’amour, elle m’en a donnĂ©s au lit. Une crĂ©ature aussi frĂȘle, aussi dĂ©licate physiquement et moralement a complĂštement renversĂ© mon a priori sur les relations amoureuses.
Sabine m’avait habituĂ© Ă  des turbulences, Ă  des excĂšs, Ă  des nuits agitĂ©es. Son tempĂ©rament, surtout dans les premiĂšres annĂ©es, m’avait appris Ă  devenir ardent et endurant. Depuis notre divorce, elle m’était revenue pour quelques parties de jambes en l’air d’anthologie, malgrĂ© son remariage avec SĂ©bastien.
Quand SĂ©bastien Ă©tait dĂ©faillant ou quand elle avait le blues, elle dĂ©barquait, me flattait, me disait que j’étais unique et exigeait de rafraĂźchir ses souvenirs. C’était « un coup » comme disent les buveurs de comptoir. Sa fougue amoureuse m’avait consolĂ© de la dĂ©fection de Judith. DivorcĂ©, je n’avais plus de raisons de me montrer jaloux : tout ce qu’elle m’offrait dĂ©sormais Ă©tait don gratuit, sans obligation. J’étais cĂ©libataire et amant, c’était une situation plus enviable que mariĂ© et cocu.
Pendant ce court intermĂšde et les trois ou quatre premiers mois de sa grossesse, nous nous sommes conduits, lors de nos rencontres, comme des jeunes mariĂ©s. Sabine avait des coquetteries de pucelle, jouait Ă  la prude, refusait de montrer son minou, faisait la scandalisĂ©e quand j’envoyais une main dans son entrejambe en feu, poussait des cris d’orfraie si j’introduisais un doigt, criait au viol lorsque ma verge franchissait ses lĂšvres gonflĂ©es d’envie puis s’accrochait Ă  mes Ă©paules, soulevait son ventre en feu et me clouait sur son corps en m’emprisonnant entre ses jambes et ses bras tremblants de plaisir, crispĂ©s par l’orgasme ravageur.
Judith mit dĂ©finitivement fin Ă  ces sĂ©ances mĂ©morables avec Sabine en venant habiter chez moi. Et je n’eus rien Ă  regretter, au contraire. Je savais qu’elle serait une compagne sincĂšre, fidĂšle, un soutien indĂ©fectible. Je dĂ©couvris avec bonheur que cette petite femme Ă©tait habitĂ©e par le dĂ©mon de l’amour. DĂšs le premier coĂŻt, elle m’imposa l’image d’une amante rĂ©solue, sans tabous, prĂȘte Ă  me rassasier. Comme elle sortait d’une difficile cohabitation avec son mari gay, elle montra une fringale de tendresse touchante, un besoin de sexe Ă©mouvant et presque Ă©prouvant. Cupidon lui avait dĂ©cochĂ© une nouvelle flĂšche et je devins le seul homme capable de soigner toutes les blessures de son passĂ©. Nous nous aimions et tout naturellement nous faisions l’amour.
C’était simple, sans retenue, naturel. Le plus souvent elle menait le jeu, recherchait les occasions de se livrer Ă  des fantaisies folles. TantĂŽt il fallait gravir le grand escalier de sa maison, elle Ă  quatre pattes devant, moi obligĂ© de me contorsionner derriĂšre elle, accouplĂ©, verge glissant dans son vagin trempĂ©. Si je lĂąchais prise il fallait retourner Ă  la case dĂ©part. TantĂŽt il fallait descendre le mĂȘme escalier, moi sur les fesses et elle empalĂ©e sur ma hampe et riant des dĂ©sĂ©quilibres risquĂ©s. Tout Ă©tait jeu, plaisir, redĂ©couverte ou invention. Elle adorait enserrer mon cou de ses deux bras, venir coincer mes hanches entre ses cuisses et se laisser glisser sur mon vit pointĂ© vers sa vulve : pendant l’intromission elle dĂ©vorait ma bouche, ensuite je devais lui faire revisiter la maison dans cette position.
D’autres fois ses cuisses imposaient Ă  ma bouche le sillon de son sexe Ă  rĂ©jouir pendant que tĂȘte en bas elle se gavait de ma verge d’homo erectus : je devais dĂ©ambuler d’un miroir Ă  l’autre. AprĂšs il fallait essuyer les traces de cyprine mĂ©langĂ©e au sperme que nous avions rĂ©pandues sur le parquet cirĂ© ou sur les tapis. Certaines nuits je me rĂ©veillais, sucette grossissante dans sa bouche, puis elle se frottait Ă  moi comme une chatte et venait se poser sur moi, rivet avalĂ© par son sexe gourmand et elle s’endormait ainsi.
Sur son lieu de travail, qui aurait devinĂ© le volcan qui couvait dans cette digne responsable ? En sociĂ©tĂ© c’était une dĂ©licieuse et flatteuse prĂ©sence pleine de dignitĂ© Ă  mon bras. Mais Ă  la maison, c’était une bombe incendiaire ou une cĂąline adorable. Au retour de notre voyage de noces, pour son travail, elle fit un dĂ©placement professionnel vers Paris. Sa voiture glissa sur une plaque de verglas. Je fus appelĂ© pour reconnaĂźtre le corps dĂ©chiquetĂ©. Je vous Ă©pargne l’étalage de ma douleur, l’impression de vide, le sentiment d’injustice.
Une fois de plus je noyai mon chagrin dans le travail. Les misĂšres de ma vie privĂ©e nourrissaient les succĂšs de l’entreprise que je dirigeais. Lors de mon divorce discret, certaines langues bienveillantes avaient laissĂ© entendre que Sabine avait eu raison de me quitter si je ne la satisfaisais pas au lit. Au cours de nos Ă©bats adultĂšres d’aprĂšs jugement, Sabine m’avait rapportĂ© en riant ces propos d’une certaine Françoise, commerçante bien connue qui tenait une maroquinerie.
Elle finissait toujours par exprimer des regrets tardifs. Et je me sentais obligĂ© de voler sexuellement au secours du brave SĂ©bastien, en calmant les prurits de mon ex. Au lit j’apportais Ă  Sabine le complĂ©ment de frissons et de sperme nĂ©cessaires Ă  son bon Ă©quilibre, avec la satisfaction de n’avoir plus de contrainte. Elle avait fait retirer son stĂ©rilet et n’aurait plus osĂ© exiger un prĂ©servatif.
Au dĂ©cĂšs de ma regrettĂ©e Judith, les mĂȘmes gentillesses avaient fleuri.
Sabine Ă©tait venue me rapporter ces rumeurs au garage et prĂ©tendait avoir rĂ©vĂ©lĂ© que notre divorce n’était pas le rĂ©sultat de cette prĂ©tendue impuissance. Loin de lĂ , avait-elle expliquĂ©, j’étais son meilleur coup. Cette publicitĂ© gratuite eut un rĂ©sultat incroyable.
Le vendeur vexĂ© me transmet le message. Je jette un Ɠil. Françoise, la langue de vipĂšre, la colporteuse de ragots.
Elle commence son essai. De belle voiture, elle passe Ă  directeur sĂ©duisant, bel homme, apprĂ©ciĂ© dans la profession et par les commerçants de la ville, promis Ă  un bel avenir, auquel le syndicat dont elle est vice-prĂ©sidente offrirait un poste de choix. Mais il faudrait un entretien. Je suis disponible pour l’entendre. Nous pourrions dĂźner ensemble. Son mari supporter du club de foot de la ville rentrera trĂšs tard cette nuit d’une rĂ©union arrosĂ©e Ă  la biĂšre, la flamberge en dĂ©route.
Rendez-vous est pris dans un hĂŽtel restaurant de renom, statut social oblige. Pendant le repas le malheureux Arthur, son mari, est dĂ©crit comme un vellĂ©itaire sans envergure. Il l’a déçue et sans la poigne de sa femme il aurait bu le bouillon. Elle ne sait pas si elle va le supporter longtemps encore. L’apĂ©ritif, la bonne chĂšre et le bon vin aidant, ses confidences tournent Ă  une sorte d’appel au secours : il lui faudrait un homme comme moi pour redresser son commerce et pour la rendre heureuse. Je suis seul et s’il s’agit de lui donner du bonheur, je veux bien louer une chambre. AprĂšs la table, elle va pouvoir vĂ©rifier ce que je vaux au lit.
Ce paragraphe rĂ©sume plus d’une heure de minauderies, de sous-entendus, de suggestions subtiles qui aboutissent Ă  l’étage. Celle-lĂ , j’ai dĂ©cidĂ© de me la payer et de lui faire ravaler ses moqueries sur mon manque d’appĂ©tit sexuel, cause de mon divorce. Galant, j’aide au dĂ©shabillage de cette chĂšre, trĂšs chĂšre Françoise. Ses dessous de marque ont-ils Ă©tĂ© choisis pour m’éblouir au cas oĂč elle me mettrait le grappin dessus ? Ce n’est pas impossible, elle parade en soutien-gorge pigeonnant et en string dĂ©bordĂ© par des bourrelets affirmĂ©s. J’avais de l’acnĂ©, je m’intĂ©resse Ă  ses vergetures sur le ventre, les seins et les cuisses, je regarde avec insistance, je ne dis rien. Je sais, c’est bas. Je plaide les circonstances attĂ©nuantes. Il y a quinze ans, s’était-elle gĂȘnĂ©e pour pointer mon acné ?
Effectivement, c‘est trop visible. Je n’ai pas la cruautĂ© de parler des traces physiques, des bourrelets disgracieux et autres peaux d’orange. Je caresse le corps offert, mains sur les hanches. J’apprĂ©cie la masse des seins lourds mais fermes, je dĂ©pose gentiment un baiser sur chaque arĂ©ole, ma langue gifle les tĂ©tons Ă©pais, mes lĂšvres les font gonfler. Mes mains redescendent sur les flancs, franchissent les hanches, saisissent la ficelle du string, le font descendre, lentement. Elle ne proteste pas, consent, curieuse de voir mes rĂ©actions. Le pubis se dĂ©gage, le string dĂ©laisse la fente oĂč il se rĂ©fugiait et tombe. Je m’agenouille pour libĂ©rer les pieds. Devant moi pas un poil, juste des points noirs tĂ©moins du rasage. C’est un retour Ă  l’enfance, Ă  la pĂ©riode prĂ©-pubĂšre. Le bassin s’est Ă©largi, prĂ©sente une plage large, propre Ă  un accueil confortable et dans le V du sexe, entre les cuisses lourdes, un I au corps irrĂ©gulier fuit de la proĂ©minence du clitoris vers le sillon des fesses.
J’envoie mes deux mains par l’extĂ©rieur accrocher l’arriĂšre des deux colonnes et, sans permission, je vais embrasser le haut de la fente. Mon mouvement a surpris la femme en attente. Son pied droit a reculĂ©, a Ă©largi l’accĂšs au sexe, ma langue et mes lĂšvres ont suivi Ă  la conquĂȘte de la vulve au parfum aigrelet et agrĂ©able.
J’insiste, elle cĂšde le passage. Je lĂšche, je laisse courir ma langue, la pointe s’immisce entre les grandes lĂšvres. Elles accumulent du sang, gonflent, laissent apparaĂźtre les petites lĂšvres collĂ©es. L’attaque fait reculer Françoise, ses cuisses Ă©crasent mes doigts contre le matelas, elle part en arriĂšre, des deux mains amortit sa chute sur le lit. Je suis, en ventouse, sur la fente qui s’ouvre comme une grenade mĂ»re. Elle est femme qui se donne, je suis prĂ©dateur. Cette cramouille grasse et baveuse m’enivre, je la dĂ©vore et je lape les premiers jets de cyprine qui viennent lubrifier la porte accueillante. J’avais renoncĂ© Ă  l’attendre, elle s’offre.
C’est un dĂ©marrage au quart de tour. Les genoux s’élĂšvent, les pieds battent l’air, le ventre est agitĂ© de sursauts, les mains battent la couverture. Que de misĂšre, que d’envie, que de besoin d’amour derriĂšre le fard des visages les plus fiers ! Elle est Ă  la fĂȘte, se livre Ă  ma langue fouineuse, les petites lĂšvres s’ouvrent sur le puits mystĂ©rieux du vagin si inaccessible autrefois quand nous Ă©tions jeunes et abandonnĂ© en toute confiance aujourd’hui :
C’est une dĂ©claration d’amour en camaĂŻeu, avec toutes les nuances du mot aime qui s’appliquent Ă  la chose, Ă  l’acte, Ă  son rĂ©sultat le plaisir et Ă  celui qui le donne. J’y suis, cela rĂ©ussit, j’y reste. J’apporte mes doigts pour Ă©taler les chairs roses du sexe, pour titiller gaĂźment le clitoris Ă©panoui, pour creuser le conduit et pour y dĂ©busquer les points sensibles. Je les trouve : Françoise se dĂ©mĂšne, se secoue, fait des bonds, rit que c’est bon, pleure qu’elle en veut encore, avoue que ça fait une Ă©ternité 
Elle m’attendait : je suis lĂ , elle est Ă  moi. Le plaisir fort la fait divaguer, ses divagations me poussent Ă  accentuer les mouvements de mes doigts dans sa fleur et de la fleur je vais du bout de l’auriculaire inquiĂ©ter la rose dans son renfoncement, au milieu du rempart des fesses pointues. Car la largeur du bas du dos bien nourri se termine par deux fesses attendrissantes en pointe, presque maigriottes.
Nous sommes allongĂ©s l’un contre l’autre. Si elle avait voulu jadis, nous aurions vĂ©cu ensemble. Elle avait Ă©tĂ© la premiĂšre Ă  Ă©mouvoir l’adolescent gauche. Dans le fond, elle est encore bien conservĂ©e, consommable. Autrefois et aujourd’hui se confondent, je la regarde. Dans ses yeux se mĂȘlent joie et surprise, plaisir d’ĂȘtre lĂ  et dĂ©sir de connaĂźtre l’avenir. Je me penche sur sa bouche, elle s’offre au baiser. Jeune j’en rĂȘvais, mon rĂȘve s’accomplit Ă  retardement. Le dĂ©sir de vengeance s’est Ă©vanoui. Une femme me veut, je la veux. Je l’ai aimĂ©e d’un amour naĂŻf de jeunesse. Je lui donne mon amour d’adulte. Comme elle, j’oublie le mari amateur de foot, de biĂšre et de jeunettes. Nous sommes ensemble pour faire l’amour. J’ai rĂ©veillĂ© ses sens endormis, la belle au bois dormant s’intĂ©resse au bois durci en bas de mon ventre. Elle se met en mouvement, saisit la branche verte encore, et raide, la presse dans ses mains actives. Nos lĂšvres continuent le travail de sape, cherchent Ă  soumettre la bouche, s’attrapent, se lĂąchent, deux contre une, deux contre deux, salive abondante en renfort.
À mon tour de paresser sous les caresses. Françoise se meut, s’inverse, embouche mon gland dĂ©calottĂ©, lui dit des mots doux, l’enrobe de salive et l’enfonce jusqu’au fond de sa gorge. Arthur la nĂ©glige-t-il ? Peut-ĂȘtre, puisqu’elle le dit. Mais tailler une pipe ne s’oublie pas, elle en fait la brillante dĂ©monstration dans ce va-et-vient interminable de ses lĂšvres sur le braquemart rĂ©joui par cette rĂ©surrection de la chair. Parfois sa bouche se retire et sa langue tournoie autour du pivot de la joie, agace les bourses, les prĂȘte Ă  la bouche gloutonne qui apprĂ©cie le volume de chaque couille en fĂȘte. Mes sens n’ont pas oubliĂ©. Le deuil, la solitude ont laissĂ© intactes les sources du plaisir.
Au-dessus mes yeux, elle Ă©tale tout le bas de son corps. Je l’aplatis sur ma figure et je repars en exploration linguale dans les plis humides. Quand mon index se fraie un chemin dans le petit rond de sa rose, elle hĂ©site sur ma queue mais repart sans protester dans la succion de mon pieu. Le geste ne la rĂ©volte pas. Je ne suis pas le premier audacieux Ă  forcer le passage Ă©troit du bout du doigt, d’une phalange, d’une deuxiĂšme, de la troisiĂšme ! Ça chatouille, ça entre, ça s’enfonce, ça doit ĂȘtre bon, le doigt doit bouger, le doigt tourne en vrille, le doigt fore fort, le doigt immobile comme l’axe imaginaire de ce corps vaincu, montrĂ© du doigt, le doigt admis qu’elle veut garder dans son cul en folie.
Elle tourne la tĂȘte, m’interroge des yeux. J’acquiesce Ă  sa façon. L’heure est venue. Je ne veux pas faire cadeau de ma poudre aux oiseaux. L’acte sera complet. Françoise m’attend. Ses jambes dessinent un grand M majuscule. Sa vulve a pris du volume, un liquide huileux transparent baigne les abords du vagin, le clitoris joue Ă  cache-cache dans l’attente des frottements suivants.
L’ordre est clair. Je suis obĂ©issant. J’aime me soumettre dans ces cas-là ! J’empoigne mon dĂ©sir brandi, je le pointe sur la cible Ă©panouie, je franchis le seuil et je plonge dans le conduit profond, d’un trait. La bouche, les yeux de Françoise se sont ouverts tout grands, elle a Ă©mis un rĂąle de surprise et s’est refermĂ©e en serrant la tige qui l’a envahie. Ses pieds sont venus frapper mes reins, ses cuisses ont pris mes hanches en tenaille.
Cette fois il y a un cocu de plus sur cette terre. Arthur n’aura pas besoin de le savoir. Quinze ans, je n’attendais plus et pourtant je suis plantĂ© dans ce ventre immobile qui savoure la prĂ©sence de mon pĂ©nis Ă  l’arrĂȘt, Ă  l’affĂ»t du prochain tressaillement de la matrice enveloppante. Et alors je partirai Ă  l’assaut, je vais la besogner, la fourrer, la bourrer, la bousculer, lui faire regretter les annĂ©es de retard, la foutre, noyer son ventre, inonder ses entrailles, lui mettre le feu, lui montrer que je ne suis pas impuissant, que j’en ai deux et que je sais m’en servir. Il faudra qu’elle implore, qu’elle crie pitiĂ©. Je veux entendre enfin l’aveu de sa reddition, je veux qu’elle rĂ©pĂšte sans fin les « Je t’aime », les « Je t’aimerai toujours ». Elle est la femme de trente ans dans sa plĂ©nitude et s’il reste un coin Ă  remplir, je m’en charge.
Mais de son cĂŽtĂ© elle veut me montrer ses dons et m’accorder le don complet. Comme deux compĂ©titeurs nous « allons tout donner ». Dans mon ventre les humeurs grouillent, la sĂšve entre lentement en Ă©bullition, mes nerfs se tendent, s’agacent, font mal. Je bouge, je sors ou presque et j’y retourne, c’est trop bon, j’y prends goĂ»t. J’entame la valse lente du mĂąle dans la femelle rĂ©ceptive, je monte et je descends, me lĂšve et m’abats, fuis et reviens, et encore et sans fin, toujours prisonnier des membres infatigables et du dĂ©sir d’orgasme de la femme, esclave de mon instinct et de mes pulsions.
Françoise est en joie, elle le chante sous moi, elle le murmure Ă  mon oreille. Je fonds d’amour en elle, je remue, je harcĂšle, c’est long, c’est bon, c’est lent ou ça court. Nous sommes liĂ©s, collĂ©s sexe dans sexe, insĂ©parables. Ça y est :
Formidable ! Françoise, toujours prĂȘte au dĂ©duit, est vite
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